Iñaki Urdangarin

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Iñaki Urdangarin
Image illustrative de l’article Iñaki Urdangarin

Titre Duc de Palma de Majorque
(1997-2015)[1]
Biographie
Nom de naissance Iñaki Urdangarin Liebaert
Naissance (56 ans)
Zumarraga (Espagne)
Père Juan Urdangarin Berriochoa
Mère Claire Liebaert Courtain
Conjoint Cristina de Borbón y Grecia (1997-2023)
Enfants Juan Urdangarin y Borbón
Pablo Urdangarin y Borbón
Miguel Urdangarin y Borbón
Irene Urdangarin y Borbón

Blason de Iñaki Urdangarin

Iñaki Urdangarin Liebaert, né le à Zumarraga, est un ancien joueur de handball espagnol, ayant joué en équipe nationale. Il est l'ex-époux de l'infante Cristina de Borbón, seconde fille du roi Juan Carlos Ier d'Espagne. Par ce mariage, il est devenu duc consort de Palma de Majorque (de 1997 à 2015, date où le titre a été retiré à son épouse).

Du (date de son mariage) au (date d'accession au trône de Felipe VI), le duc est membre de la famille royale officielle d'Espagne[2]. Après cette date et jusqu'à son divorce, en 2023, il est membre de la famille du roi (l'Espagne faisant la distinction entre la famille du roi et la famille royale officielle).

Biographie[modifier | modifier le code]

Naissance[modifier | modifier le code]

Iñaki Urdangarin Liebaert est le fils de Juan María Urdangarin Berriochoa (1932-2012), ingénieur et homme d'affaires et de Claire Françoise Liebaert Courtain (1935), une Belge native d'Anvers, mariés en 1958. Iñaki a un frère et cinq sœurs[3].

Études[modifier | modifier le code]

Il est diplômé de l'École supérieure d'administration et de direction d'entreprises (ESADE) de Barcelone.

Vice-président du Comité olympique espagnol[modifier | modifier le code]

En , Iñaki Urdangarin est nommé premier vice-président du Comité olympique espagnol (COE), dont il est membre depuis 2001. Il occupe ce poste jusqu'en [4].

Vie professionnelle (après le handball)[modifier | modifier le code]

En 2006, il entre au service de l'entreprise Telefonica, pour participer à la tenue de ses forums Générations Actives, en tant que président d'honneur. De 2009 à 2013, il occupe des responsabilités internationales, pour cette même entreprise, pour un salaire de 1,5 million d'euros par an. Pour ce travail, il a déménagé à Washington avec son épouse et ses enfants. En 2012, il rentre avec sa famille à Barcelone[5],[6],[7],[8].

Mariage et descendance[modifier | modifier le code]

Il épouse le à Barcelone, l'infante Cristina de Borbón, seconde fille du roi Juan Carlos Ier et de la reine Sophie[9],[10]. De ce mariage naissent quatre enfants, trois fils et une fille, tous nés à Barcelone et considérés comme grands d'Espagne avec le traitement d'« excellence », selon le décret royal du  :

  • Juan Valentín de Todos los Santos Urdangarin y Borbón (né le ) ;
  • Pablo Nicolás Sebastián de Todos los Santos Urdangarin y Borbón (né le ) ;
  • Miguel de Todos los Santos Urdangarin y Borbón (né le ) ;
  • Irene Urdangarin y Borbón (née le ).

Après la révélation dans la presse de son infidélité, Iñaki Urdangarin et l'infante Cristina se séparent le [11]. Le divorce est prononcé en décembre 2023[12].

Vie familiale en Suisse[modifier | modifier le code]

Lors de l'été 2013, son épouse et ses enfants s'installent en Suisse. L'infante Cristina loue un appartement dans un hôtel particulier de la rue des Granges (réputée pour être celle de nombreux aristocrates) à Genève.

Pour leur emménagement, la députée Loly Bolay, ancienne présidente du Grand Conseil genevois, rencontre le couple pour lui souhaiter la bienvenue[13].

Iñaki Urdangarin reste d'abord en Espagne, pour plus de commodité, en raison de l'affaire judiciaire (citée plus bas), puis il rejoint le nouveau domicile familial peu de temps après. Depuis, il n'est pas rare que la presse parle de la nouvelle vie de l'ex-duc et duchesse de Palma de Majorque, avec leurs quatre enfants[14].

Représentations officielles[modifier | modifier le code]

De la date de son mariage en 1997, jusqu'en (affaire Noos, voir ci-après), le duc était très actif au sein des activités royales, avec son épouse. Par exemple, pour reprendre des représentations récentes, recensées par le site de la Maison Royale d'Espagne :

Le , le couple est invité par le président Barack Obama au gala de l'Institut hispanique des États-Unis[15].

En 1998, lors de la remise de la Médaille d'Or des Iles Baléares au couple.

En 2009, le gouvernement régional de la Catalogne reçoit les duc et duchesse de Palma de Majorque, afin de les nommer membres d'honneurs d'un cercle culturel, lié à la musique[16]. En 2008, Ils président la finale de l'open de tennis de Barcelone, et remettent la coupe à Rafael Nadal[17].

Ils présideront également une exposition culturelle et historique, à Saragosse[18]. La même année, le couple visite l'université Harvard avec l'ambassadeur d'Espagne aux États-Unis[19]. Le lendemain, ils visitent la bibliothèque de Boston[20]. En 2005, à Barcelone, le duc et la duchesse présidaient la remise d'un prix littéraire[21].

Après l'abdication du roi Juan Carlos Ier en faveur de son fils Felipe VI, le , l'infante Cristina et Iñaki Urdangarin restent membres de la famille royale d'Espagne, en qualité de membres de la famille du roi (l'Espagne faisant la distinction entre la famille royale officielle, et la famille du roi).

Affaire Nóos[modifier | modifier le code]

En , Iñaki Urdangarin et ses associés font l'objet d'une enquête dans le cadre de l'affaire Nóos, elle-même dérivée de l'affaire Palma Arena[22],[23],[24],[25],[26],[27]. Le , les médias annoncent le probable détournement de fonds publics à partir de l'Institut Nóos que préside Iñaki Urdangarin[28]. L'enquête porte également sur Carlos García Revenga, trésorier de l'Institut Nóos et secrétaire des Infantes, au service de la Maison royale[29].

Le , le palais de la Zarzuela publie un communiqué dans lequel il est précisé qu'Iñaki Urdangarin est écarté des activités officielles de la famille royale, pour son comportement jugé « non exemplaire », selon la Maison royale[30].

Dans son traditionnel message de Noël, le , le roi Juan Carlos fait implicitement allusion à cette affaire.

Le , l'époux de l'infante Cristina d'Espagne est mis en examen pour malversation, fraude fiscale, trafic d'influence, escroquerie et blanchiment. L'audience devrait avoir lieu à la mi-2015[31].

Le , l'infante Cristina est mise en cause dans cette affaire, soupçonnée de complicité dans les détournements de fonds présumés. Si la procédure est un temps suspendue à la demande du parquet le , l'infante est de nouveau inquiétée par la justice[32] et devra comparaître pour complicité dans les délits contre le fisc[31].

Depuis 2013, l'affaire judiciaire de plus en plus axée sur son épouse, n'exempte pas pour autant Iñaki Urdangarin de poursuites. Ce qui amène les médias à dévoiler le statut de protection, dû à son rang, que lui accorde le gouvernement lors de déplacements nécessaires à l'instruction judiciaire, comme en [33].

En , il est révélé que le juge Castro à l'origine des poursuites contre l'infante Cristina et son époux, sera prochainement mis à la retraite. Le juge avait demandé à prolonger son temps de travail, pour continuer l'instruction de cette affaire, ce qui lui a été refusé[34].

Le , l'ouverture du procès a lieu. Iñaki Urdangarin et son épouse comparaissent auprès de 16 autres prévenus. La prochaine audience est fixée au [35],[36].

Le , lors de son témoignage au tribunal, l'infante Cristina témoigne en sa faveur, en déclarant de nouveau être « convaincue de l'innocence » de son époux, et ajoute : « il a toujours été bien conseillé » [37].

Le , la Justice requiert 19 ans et demi de prison à l'encontre d'Iñaki Urdangarin, et ne réclame aucune peine à l'encontre de son épouse, contrairement à l'accusation populaire (procédé judiciaire espagnol, qui permet à la partie civile de requérir) qui maintient une demande de 8 ans de prison.

Le , les défenseurs d'Iñaki Urdangarin et de son épouse plaident pour un acquittement du couple. Il est rappelé qu'Iñaki Urdangarin s'est déjà acquitté d'un versement de 1,2 million d'euros, ordonné par la Justice. Par ailleurs, la défense met en évidence les dysfonctionnements de l'accusation populaire (l'association Manos Limpias), notamment en raison de ses propres affaires judiciaires, et à ce titre plaide pour l'acquittement. En effet, l'association Manos Limpias (Mains propres) est accusée de diverses fraudes financières, et surtout de tentative d'extorsion de fonds à l'encontre de l'infante et de son époux (voir ci-après) [38],[39],[40].

Dérives judiciaires[modifier | modifier le code]

Lors de la comparution de son épouse, le , dans le bureau du juge Castro, un film de l'audition est réalisé. La vidéo clandestine est publiée par le journal El Mundo. L'infante porte plainte. Cependant, plus d'un an après, la vidéo est toujours présente sur le site du journal[41]. En , il est annoncé qu'un procès aura lieu, pour juger les protagonistes à l'origine de la vidéo[42].

Le couple doit faire face à d'autres fuites judiciaires dans les médias, qui touchent à la vie privée, notamment des mails qui n'ont pas de lien avec l'affaire. Par exemple, en , des échanges amicaux captés par la justice, entre Iñaki Urdangarin et des membres de la famille royale bulgare sont dévoilés[43].

Arrestation de la partie civile (2016)[modifier | modifier le code]

Le , l'association Manos Limpias (Mains propres) qui s'est portée partie civile contre Iñaki Urdangarin et l'infante Cristina fait l'objet de poursuites judiciaires. Son dirigeant Miguel Bernad est arrêté. Il est accusé de tentative d'extorsion de fonds auprès du couple, en ayant proposé de se retirer de l'accusation, contre la somme de 3 millions d'euros. Le procureur exige la prison à l'encontre de Miguel Bernad et de Luis Pinada (un autre protagoniste de l'affaire)[44],[45].

Verdict et appel (2017)[modifier | modifier le code]

Le , Iñaki Urdangarin est condamné à 6 ans et 3 mois de prison. Son épouse, l'infante Cristina, est relaxée, mais condamnée à une amende de 265 000 [46].

Iñaki Urdangarin dépose un recours en appel. Le , le tribunal décide de le laisser libre, dans l'attente du second jugement en appel. En effet, le procureur n'exige pas d'incarcération, sous condition du versement d'une caution (de 200 000 ). Les juges vont plus loin, et décident de laisser Iñaki Urdangarin, libre, sans même verser de caution[47]

Rebondissement judiciaire : tribunal mis en cause (2018)[modifier | modifier le code]

Le , la Cour Suprême espagnole, où Iñaki Urdangarin a porté l'affaire, révèle que l'expert du dossier a commencé à travailler en secret avec le juge Castro (qui avait mis en examen Iñaki Urdangarin et son épouse), bien avant que l'affaire ne soit instruite et que le juge soit saisi. Cet expert, du nom de Rafael Balaguer, ne nie pas les faits et révèle même qu'il n'a jamais été nommé officiellement par le tribunal. La Cour Suprême cite à comparaître Rafael Balaguer, pour faux témoignage, le [48],[49].

Prison et sorties partielles (depuis 2018)[modifier | modifier le code]

Le Tribunal suprême rend son jugement le et baisse l'amende de l'infante à 136 950  et fait passer la peine de prison ferme d'Iñaki Urdangarin à 5 ans et 10 mois[50], qui est incarcéré le à la prison de Brieva, à une centaine de kilomètres au nord de Madrid. Il est le premier (et le seul à ce jour) membre d'une famille royale contemporaine à être incarcéré.

À compter du , Iñaki Urdangarin est autorisé à sortir de prison deux jours par semaine, afin d'effectuer du bénévolat dans un centre d'hébergement de jour[51]. Pour des raisons de sécurité, liées à la particularité de sa situation familiale, il est conduit à ce centre dans une berline aux vitres semi-teintées, comme le soulignent les médias[52]. Son arrivée à ce centre est filmée et photographiée par les journalistes[53].

Carrière sportive[modifier | modifier le code]

Iñaki Urdangarin
Urdangarin en 2010
Urdangarin en 2010
Fiche d’identité
Nationalité Drapeau de l'Espagne Espagne
Naissance (56 ans)
Lieu Zumarraga (Pays basque)
Taille 1,97 m (6 6)
Masse 99 kg (218 lb)
Poste Arrière droit
Situation en club
Club actuel retraite sportive
Parcours professionnel *
SaisonsClub M. (B.)
1986–2000 FC Barcelone
*Statistiques en compétitions nationales et continentales.
Sélections en équipe nationale
Année(s)Équipe M. (B.)
1986-1989 Espagne junior 036 0(58)[54]
1986-2000 Espagne 170 (371)[54]

Palmarès[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

Urdangarin a évolué toute sa carrière (de 1986 à 2000 ) avec le FC Barcelone :

Compétitions internationales

Compétitions nationales

En équipe nationale[modifier | modifier le code]

Ses résultats en équipe nationale d'Espagne sont :

Titulature[modifier | modifier le code]

  •  : Son Excellence le duc de Palma de Majorque
  • Depuis le  : Son Excellence Iñaki Urdangarin Liebaert
En-tête officielle du papier à lettres du couple ducal, de 1997 à 2015.

Par son mariage en 1997, Iñaki Urdangarin devient duc de Palma de Majorque, par jure uxoris, et à ce titre grand d'Espagne, avec prédicat d'« excellence ». Le , son beau-frère le roi Felipe VI retire ce titre ducal conféré à son épouse, et Iñaki Urdangarin en perd l'usage également, de fait[55],[56].

Après le retrait du titre ducal à son épouse, il conserve néanmoins son prédicat d'excellence, Iñaki Urdangarin bénéficiant également de ce prédicat en qualité de grand-croix de l'ordre royal du Mérite sportif espagnol.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (es) « El Rey revoca el título de Duquesa de Palma a su hermana Doña Cristina », sur Europapress, (consulté le ).
  2. Un album photos consacré au duc. Site officiel de la Maison Royale d'Espagne
  3. Régine Salens, « Claire Liebaert, le roc de l’infante Cristina et de son mari », sur dhnet.be, (consulté le ).
  4. El Mundo 16/02/04
  5. Nomination au poste de Washington - déménagement de la famille. Europapress 22/04/09
  6. Fin de contrat à Telefonica / détails des modalités
  7. Vidéo d'Iñaki Urdangarin à la tribune lors d'un congrès de Telefonica en 2010
  8. Le retour de la famille à Barcelone / modalités professionnelles avec Telefonica. El Mundo 28/08/12
  9. Le mariage au JT de France 2 - reportage de Martine Laroche-Joubert, 1997
  10. Vidéo du mariage sur le site officiel de la Maison royale d'Espagne
  11. « Cristina d'Espagne trompée par son mari Iñaki Urdangarin : elle annonce leur séparation ! », sur purepeople.com, (consulté le ).
  12. « L'Infante Cristina et Iñaki Urdangarin ont divorcé en décembre », sur vanitatis, (consulté le ).
  13. article Le Matin, du 31/08/2013, sur l'installation en Suisse
  14. article Vanitatis El Confidencial, du 8/04/2015
  15. Rencontre des ducs de Palma de Majorque avec Barack Obama. Site officiel de la Maison Royale d'Espagne
  16. Article sur la nomination d'honneur au cercle culturel. Site officiel de la Maison Royale d'Espagne
  17. Open Sabadell / coupe à Rafael Nadal. Site officiel de la Maison royale d'Espagne
  18. Exposition culturelle et historique de Saragosse. Site officiel de la Maison royale d'Espagne
  19. Visite d'Harvard. Site officiel de la Maison royale d'Espagne
  20. Visite de la bibliothèque de Boston. Site officiel de la Maison royale d'Espagne
  21. Présidence de prix littéraire. Site officiel de la Maison royale d'Espagne
  22. (es) Urdangarin será imputado antes de dos meses y su esposa no será implicada 07-12-2011
  23. (es) El 'caso Urdangarin' menoscaba la imagen y el prestigio de la Corona
  24. (es) Los gestores de Nóos facturaron al Instituto 1.700.000 euros cuando ya no funcionaba ABC
  25. (es) Más de seis millones de euros sin justificar
  26. (es) La fiscalía estudia imputar a Iñaki Urdangarin por el caso Palma Arena
  27. (es) La Fiscalía investiga el convenio del Gobierno balear con Iñaki Urdangarín, El Mundo
  28. (es) Iñaki Urdangarin será imputado en el 'caso Palma Arena' El País, 09-11-2011
  29. (es) Aguas turbulentas en La Zarzuela, 10-12-2011
  30. (es) Zarzuela aparta a Urdangarín de sus actos oficiales porque su comportamiento "no le parece ejemplar", RTVE, 12-12-2011
  31. a et b Isabelle Piquer, Le Monde du 26 décembre 2014, p. 5
  32. « Espagne : l'infante Cristina de nouveau inquiétée par la justice », (consulté le )
  33. TeleCinco - article et reportage sur le traitement VIP du duc, dans le cadre judiciaire - décembre 2014
  34. article Vozpópuli, février 2015, sur la retraite forcée du juge Castro
  35. TF1/LCI reportage sur l'ouverture du procès 11/01/2016
  36. Euronews reportage et article sur l'ouverture du procès 11/01/2016
  37. AFP extrait vidéo du témoignage de l'Infante. 3/03/2016
  38. - Euronews 10/06/16
  39. Vidéo et article sur la plaidoirie de la défense de l'Infante - Razon 11/06/16
  40. Reportage au tribunal + retour sur l'affaire, et article sur la plaidoirie de la défense - TeleCinso 14/06/16
  41. El Mundo, publication de la vidéo clandestine. 2014
  42. El Mundo, annonce du procès pour la vidéo - 07/07/15
  43. article Vanitatis El Confidencial, avril 2015 / mail privé avec des membres de la famille royale bulgare
  44. (es) Ángeles Vázquez, « Ausbanc pidió a la Infanta tres millones "para gastos" a cambio de "plegar velas" », sur elmundo.es, (consulté le )
  45. (es) Ángeles Vázquez, « El juez envía a prisión a los responsables de Ausbanc y Manos Limpias », sur elmundo.es, (consulté le )
  46. Euronews 17/02/2017
  47. Euronews - vidéo et article du 23/02/2017
  48. (es) Esteban Urreiztieta, « Un juez imputa por falso testimonio al perito que dio inicio al 'caso Nóos' », El Mundo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. (es) « Imputado por falso testimonio el perito cuyos informes iniciaron el 'caso Nóos' », Público,‎ (lire en ligne, consulté le )
  50. Iñaki Urdangarin ¿y ahora qué?, El País, 12 juin 2018.
  51. Paris Match, « Iñaki Urdangarin, le mari de la princesse Cristina d’Espagne, sort de prison pour quelques heures », sur parismatch.com (consulté le )
  52. « URDANGARIN llega al centro donde realizará labores de voluntariado » (consulté le )
  53. « Photo d'Inaki Urdangarin lors de son arrivée pour du bénévolat » (consulté le )
  54. a et b « Statistiques en équipe nationale d'Espagne », sur site de la Fédération royale espagnole de handball (consulté le )
  55. Le Figaro - retrait du titre à l'Infante. 12/06/2015
  56. Copie du décret, sur ABC.es, 12/06/15
  57. Article El Mundo, sur la décoration - 13/05/2001

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]