Discussion:Ordinateur quantique

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons



Univers simulable[modifier le code]

David Deutsch émet l'idée suivante : si l'univers entier est simulable dans ses moindres détails avec un ordinateur de 300 qubits, comme le suggère le calcul, cela signifie :

soit qu'il existe quelque part une loi inconnue qui nous empêchera d'atteindre cette limite (sans quoi il serait possible à la partie de décrire le tout, ce qui semble curieux)

>N'est ce pas ce que l'on constate chez l'homme avec l'ADN ? une minuscule partie du tout (la cellule) contient la description du tout global (le corps dans son ensemble) ? ça ne me parait pas si improbable.

C'est malheureusement faux : un organisme vivant dépend plus des conditions dans lesquelles s'effectue sa croissance que de son ADN. Simplement, on considère cette influence comme moins significative parce qu'on ne peut pas l'analyser : elle comprend beaucoup trop de facteurs dès que l'organisme en question n'est pas microscopique. Cette explication éclaire aussi le problème de la simulation de l'univers entier : ça dépend de ce qu'on entend par "simuler", et surtout, de ce qu'on espère tirer de la simulation. On peut construire une machine aussi complexe que l'univers entier, mais explorer ses résultats demandera autant de temps et d'énergie que d'explorer l'univers entier. La loi qui empêche d'atteindre une connaissance complète de l'univers est bien connue, c'est le théorème de Gödel. Il est tout-à-fait possible qu'une partie décrive le tout, mais alors soit la méthode qui permet de passer de la partie au tout est tellement simple que cette description est inutile, soit elle est tellement imprévisible que "décrire" ne signifie plus la même chose que "connaître" ou "comprendre". Bref, "simuler l'univers entier" est une jolie phrase bien vendeuse, mais d'un point de vue scientifique, ça ne veut rien dire.


Le sujet est certes intéressant et mérite sa place dans une encyclopédie. L'article manque cependant de structure et n'est pas terminé. Il y a également beaucoup de répétitions, et le propos est de temps en temps peu clair. Une relecture et refonte par l'auteur original ou par quelqu'un connaissant le sujet seraient les bienvenues.


C'est moi ou il y a des trucs qui sont pas très justes. Comme l'histoire du chat qui est mort et vivant en même temps ou la particule à deux endroits à la fois. Ça me semble faux. Le chat est soit vivant soit mort mais pas les deux en même temps. On se sait pas comment il est. Il y a seulement une probabilité qu'il soit mort et une qu'il soit vivant. Mais il n'est pas les deux à la fois. Une fois qu'on effectue la mesure (on ouvre la boite pour voir s'il est en vie), à ce moment là on connait son état. Je vois ce que l'auteur veut dire mais AMHA ça porte beaucoup trop à confusion. Quelqu'un d'un peu plus pointu que moi en quantique pourrait donner son avis? Je ne voudrais pas faire de bêtises. Med 26 aoû 2003 à 10:33 (CEST)

En fait, le chat n'est pas une particule, donc il est effectivement soit mort, soit vivant, mais on peut considéder, que, si le chat en était une (de particule), il serait dans une superposition de deux états quantiques, équiprobables. On jette un coup d'oeil, et hop' décohérence !
Ce chat là a été introduit par Schrödinger, justement pour éclairer ces phénomènes de superposition, comme métaphore.
tim (salut Med !)
Pour moi la particule est comme le chat. Elle a une position donnée. C'est juste qu'on ne peut pas la connaître avant d'avoir fait la mesure. C'est comme pour l'histoire des fentes de Young certains disent que la particule passe par les deux trous en même temps. Je n'aime pas trop ce genre d'explication qui porte trop à confusion à mon sens. Pour la plupart des non scientifiques (au sens large) que je connais, on pourrait détecter la particule à deux endroits en même temps ... D'où le fait que je n'aime pas trop cette explication. Les gens oublient que c'est une affaire de probabilité et de fonction d'onde derrière tout ça. Med 26 aoû 2003 à 11:08 (CEST)
Je considère plutôt que la particule, et non le chat, est dans un certain espace, avec une certaine probabilité. Quand on mesure sa position, elle "apparaît" a un certain endroit. Pour les fentes de Young, la particule, lors de la mesure, apparaît dans l'un ou l'autre, au hasard. tim
Rien de tout ce qui précède dans la discussion ne tient vraiment la route, puisque le verbe "être" n'a pas le moindre sens en mécanique quantique : on ne peut y parler que de ce qu'on observe. Or le chat lui-même ne peut pas constituer un observateur possible puisqu'il ne peut s'observer lui-même que vivant :-D (logique, non ?). 81.65.27.14 8 septembre 2005 à 17:58 (CEST)[répondre]
Hehehe, il-y a des différences d'interprétations au sujet du chat mort ou vivant ou mort-vivant. Une des positions tenues par de nombreux quantistes est : comme, selon la théorie quantique, il est impossible de savoir si le chat est mort ou s'il est vivant; la question ne se pose même pas. Dans le cas hypothétique où on aurait la fonction d'onde totale du chat et de son environnement, l'équation de Schrodinger est toujours valable : tout se comporte comme si le chat était à la fois mort et vivant jusqu'au moment où l'on effectue une observation du système. Maheureusement c'est encore plus compliqué que ça ; si un observateur (appelé l'ami de Wigner) effectue l'observation mais ne dit rien concernant l'état du chat; alors le problème est toujours le même pour le système Schrodinger-chat. Il faut donc réinterpréter le système chat+Schrodinger+l'observateur et selon la mécanique quantique il n'y toujours pas de paradoxe; c'est juste que les propriétés quantiques vont à l'encotre de notre intuition.
D'autre part, certain considère que les notions d'états quantiques n'ont peu ou pas de sens pour les systèmes macroscopiques.
D'un point de vue intuitif et philosophique, le problème reste intéressant. -- Looxix 26 aoû 2003 à 19:38 (CEST)

Il-y-a une difference entre le faît de se trouver en deux endroits en même temps (qui n'a pas de sens operationnel justement parce-que l´état du système est détruit lorsque il est mesuré), et de se trouver en superposition d´états, qui a un sens operationnel précis: Le sens de la superposition est déterminé en considerant un ensemble statistique de ces systèmes. Bien qu'il existe une notion de logique quantique, le principe que p et non p est faux est toujours valable. CSTAR 21 jun 2004 à 16:09 (CEST) (en anglais User:CSTAR)

Cet article a été proposé comme article de qualité mais a été rejeté car ne satisfaisait pas les critères de sélection dans sa version du 25 novembre 2005 (historique).
Si vous désirez reprendre l'article pour l'améliorer, vous trouverez les remarques que firent les wikipédiens dans la page de vote.

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 22:50 (CET)[répondre]

Traité
Lien encore valable
Dake* 31 janvier 2006 à 00:48 (CET)[répondre]


Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 22:53 (CET)[répondre]

Traité
retiré.
Dake* 31 janvier 2006 à 00:49 (CET)[répondre]


Calculateur quantique a base solide[modifier le code]

(edit: message replacé correctement le 10/03/05)

Bonjour, Etant donné que la puce de calcul à base solide existe depuis quelques mois grace à l'University of Michagan, je me suis permis de l'ajouter dans l'article

Calculateurs a 12 qubits[modifier le code]

Je viens de l'apprendre dans la lecture du numero de Technology review (MIT) du mois d'aout 2006.

On progresse...

Voici l'article

"SL: Today, the largest general-purpose quantum computer is only a dozen bits. So we're at least a decade or two away. But we've already built quantum computers that simulate other quantum systems: you could call them quantum analog computers. These little machines can perform computations that would require an ordinary computer larger than the universe".


A mon avis, ce paragraphe est très faible : il est à la fois hasardeux et non sourcé. Que doit on en faire selon vous ?
--Gloumouth1 18 août 2006 à 13:05 (CEST)[répondre]

Le modifier en Potentiel Commercial pour commencer à mon avis. Ensuite, pour le contenu, l'adapter sur ce meme titre. PapyMougeot79 (discuter) 8 mars 2016 à 15:02 (CET)[répondre]

Nombre d'atomes dans l'univers[modifier le code]

J'm'y connais pas trop en chimie/physique, mais bon, quand je lis ça : "S'il y avait eu n qubits, cette table aurait eu 2^n lignes. Pour un n aux alentours de 100, il y aurait eu plus de lignes que d'atomes dans l'univers connu."
2^100 ~= 1.26*10^30, soit à peu près le nombre d'atomes dans environ 2.1 tonnes d'hydrogène. On connait pas le même univers ou le nombre d'avogadro est pas défini de la même manière chez vous?
--213.246.243.80

Je suis d'accord avec vous, c'est foireux. D'ailleurs, d'une manière générale, cet article manque de sources.
--Gloumouth1 26 octobre 2006 à 09:24 (CEST)[répondre]
Jreeman En fait oui c'est tout à fait faux, ce nombre est supérieur au nombre d'atomes dans notre univers... observable qui correspond aux corps qu'on peut observer grâce à la lumière émise.
Il s'agit clairement d'une confusion entre les 100 qubits qui permettent d'après Deutsch de simuler (en puissance théorique) un cerveau humain et des 300 qubits permettant de simuler l'ensemble de l'univers connu (source : The Fabric or Reality, David Deutsch). Il y a donc juste à remettre en place le bon chiffre. 81.64.199.206 9 février 2007 à 09:26 (CET)[répondre]

Discussions autour du calculateur quantique[modifier le code]

Je ne comprends pas bien où est la paradoxe dans le fait que le temps de calcul d'un tel ordinateur deviendrait arbitrairement court. Il semble être dit implicitement qu'il est absurde de prétendre connaitre la Vérité ceci grâce à un ordinateur. Mais ce n'est absolument pas ce qu'implique l'existence d'un tel calculateur, cela signifie juste que nos connaissances seraient dépasser par les capacités de calcul d'un tel ordinateur, la limitation deviendrait alors nos connaissances et non le temps de calcul. Un exemple : la théorie du chaos dit qu'une toute petite erreur dans les conditions initiales sont suceptibles d'engendrer des grandes différences dans les résultats. Donc non un tel ordinateur ne sera pas capable de fournir des resultats conforme à la réalité.

« Connaître la vérité » ne signifie pas grand chose en matière de calcul (l'article parle de calculateur). Un calculateur quantique ne peut être assimilé à un ordinateur, à aucun point de vue. Des « connaissances dépassées par des capacités de calcul », cette expression ne veut rien dire. Quant à ce donc, il sonstitue un exemple parfait de non sequitur. Je suis très étonné de voir un commentaire pareil en page de discussion. 81.64.199.206 9 février 2007 à 09:30 (CET)[répondre]

La controverse D-Wave[modifier le code]

Cette affaire est à suivre de près pour le devenir de l'article :

  • Ou bien les réserves sont infondées, et ce passage montrera les caractère houleux des débuts du calcul quantique en matière industrielle (ce qui n'est pas sans rappeler les débuts du Sperry Univac 1).
  • Ou bien elles le sont - ce que l'avenir dira - et ce passage méritera de devenir un article autonome avec juste un lien dans l'historique du calcul quantique. Il s'agirait en effet d'un coup de poker impressionnant, méritant un article en soi tout comme le Turc mécanique.

(Il y a de bonnes autres vidéos sur le calcul quantique sur ces pages).

81.64.199.233 17 février 2007 à 00:32 (CET)[répondre]

De plus le D-Waxe X2 à 1052 QuBit ? Il me semble qu'il ne va pas au delà de 436 QuBit.

"Ordinateur" est ici un contresens sur le mot "computer"[modifier le code]

Le terme utilisé originellement dans la littérature anglosaxonne est quantum computer. Computer peut signifier calculateur (exemple : "analog computer") ou dans le cas très précis d'une machine de type Von Neumann "ordinateur"). Or un calculateur quantique n'a strictement rien à voir avec une machine de Von Neumann. Même le concept de "variable" y est totalement différent, puisqu'une variable informatique contient une valeur scalaire et une variable quantique une distribution complète de valeurs.

Je sais que plusieurs journalistes (à la différence des chercheurs) ont déjà commis l'erreur de parler d'"ordinateur" quantique, mais Wikipédia n'a pas de raison particulière d'entériner ce barbarisme. Nommer "ordinateur" un dispositif qui n'a justement rien à voir avec un ordinateur ne peut qu'embrouiller l'esprit du lecteur, exctement comme lorsqu'avant l'invention du mot "ordinateur" les mêmes journalistes (ou leurs parents) les nommaient en total abus de langage cerveaux électroniques, ce dont tout le monde rit encore aujourd'hui. 196.203.183.74 9 septembre 2007 à 14:34 (CEST)[répondre]

Pas faux tout ça. Mais "ordinateur quantique" est maintenant un terme consacré, et tout autre terme pour le titre de l'article serait limite TI. Si : WP a une raison particulière d'entériner ce barbarisme; être le reflet de la connaissance telle qu'elle est et ne pas faire de TI. Cela étant dit, "Calculateur quantique" est plus précis et toute de même assez usité (bien que beaucoup moins que "Ordinateur quantique"). --Jean-Christophe BENOIST 9 septembre 2007 à 17:51 (CEST)[répondre]
Tout dépend sans doute si l'on regarde la presse de vulgarisation (voire - horreur ! -les quotidiens) ou si on assiste à des conférences. Le mieux est sans doute de présenter les deux en indiquant le pourquoi de chaque terme. Pour un programmeur, l'affaire est claire : le flux de données est quantique, la logique de traitement, elle, utilise de bons vieux bits (il n'existe pas de "code d'instructions quantique", mais un code d'instructions tout à fait classique et qui est celui d'un ordinateur ordinaire). Bref, ajouter une carte quantique (si c'est un jour possible) sera assez similaire à ajouter un convolveur ou un calculateur de FFT à son PC. Il s'agira là aussi juste d'un circuit annexe auquel on fournira et dont on tirera peu d'informations, et qui effectuera de son côté un très grand nombre de combinaisons.
J'avais connu l'article dans un meilleurs état. Il a glissé vers le sensationnalisme genre « Sciences et Avenir » gonflé de superlatifs et d'hyperboles. J'ai essayé de remettre un peu de neutralité dans la mesure du possible Trimégiste (d) 15 décembre 2007 à 00:34 (CET)[répondre]
Bonjour, Quelles sont vos sources pour dire que le mot français "ordinateur" est "le cas très précis d'une machine de type Von Neumann". Les calculatrices sont, formellement, des machines de type Von Neumann mais on utilise pas pour autant le mot "ordinateur" pour les qualifier. Il me semble donc que c'est moins un barbarisme qu'une question sur le champ sémantique du mot français "ordinateur". Toute source sur la question serait donc bienvenu Jck (d) 18 juin 2008 à 16:47 (CEST)[répondre]
Bonjour, les modèles de calcul quantique (circuit ou machine de Turing quantiques) sont des modèles Turing-complet, j'aimerai donc comprendre le sens de cette intervention car je pense que pour un calculateur Turing complet ont peut parler d'ordinateur. Bonne journée Antoinetav (d) 16 juillet 2008 à 00:17 (CEST)[répondre]
D'accord avec Antoine. Je pense qu'il manque en fait un paragraphe dans l'article, et même une phrase dans l'intro, exprimant les différences entre un ordinateur "classique" et un ordinateur quantique. Car même si - nous sommes d'accord - les deux sont des machines de Turing, les principes de fonctionnement sont fondamentalement différents et c'est peut-être ce que veut exprimer l'IP. Un ordinateur quantique est bien plus proche d'un calculateur analogique (tiens, "calculateur" et pas "ordinateur" ?) que d'un ordinateur classique. D'ailleurs à propos, une question dont je ne connais pas la réponse : un calculateur analogique est-il fondamentalement une machine de Turing ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 16 juillet 2008 à 13:26 (CEST)[répondre]
J'hésite un peu. J'ai déjà trouvé un article qui soulignait que "ordinateur" désigne une machine absolument polyvalente, et que donc les machines qu'on développe actuellement sont des calculateurs quantiques, alors que l'ordinateur quantique reste un rêve lointain. Cela dit, "ordinateur" n'est jamais qu'un terme marketing parce qu'IBM France ne voulait pas commercialiser un "calculateur" (et dépoussiérage d'un nom d'une fonction dans l'Eglise...). Je constate aussi, pour l'analogie, qu'on dit le plus souvent "supercalculateur", alors que la plupart des supercomputers sont des machines polyvalentes. Mais pas toutes : le premier du classement est loin d'être le plus puissant "computer" du monde, parce que ce dernier est trop spécialisé pour faire tourner le logiciel de mesure des performances. BOCTAOE. Ou pas. Barraki Retiens ton souffle! 19 juillet 2008 à 14:42 (CEST)[répondre]
Pouvez vous donner vos sources ? Alors au début on se demande si un ordinateur est une machine de Von Neumann (sans aucune base tangible pour orienter le débat) et maintenant on spécule sur le degré de spécialisation que doit avoir un ordinateur! Barraki si vous avez une source qui fait autorité, donnez là! sinon, on s'en fout de vos spéculations personnelles! Je propose de renommer l'article "ordinateur quantique" terme qu'utilise tous les spécialistes français. Il est proprement grand-guignolesque de lire en première phrase d'un article wikipédia que "calculateur quantique" est très improprement nommé "ordinateur quantique" pour ensuite mettre un lien vers le site du CNRS, la plus haute autorité scientifique française, qui parle d' "ordinateur quantique" ! Certain ne craignent décidément pas le ridicule! J'ajoute qu'en France, il n'est pas d'usage pour l'Académie Française de définir un mot français comme "traduction" de tel ou tel mot étranger. "Ordinateur" n'est pas une traduction de tel ou tel concept mais un mot français ayant sont champs sémantique propre et dont l'usage évolue avec le temps comme tous les mots français Jck (d) 9 août 2008 à 18:17 (CEST)[répondre]

Un ordinateur quantique est, formellement, un ordinateur. Il est Turing universel et est émulable sur machine de Turing. En d'autres termes il ne peut faire ni plus ni moins qu'un ordinateur classique. Il va juste incroyablement plus vite pour certaines taches (les classes de complexités sont changées). Le fait que, pour l'instant, il n'existe que des calculateurs quantiques, ne change rien à ce que serait un ordinateur quantique. Koko90 (d)

Pour l'instant cela ne change rien aux classes de complexités, on ne sait pas résoudre de problèmes NP-complets avec des ordinateurs quantiques (et en plus on ne sait même pas si NP est différent de P).Antoinetav (d) 3 novembre 2008 à 19:24 (CET)[répondre]
Ok, disons qu'il peut changer les classes de complexités, dont la hiérarchie n'est toujours pas proprement établie, mais que les taches qu'il peut effectuer sont exactement les même qu'un ordinateur classique. Seule le temps change. Donc pour moi le terme approprié est ordinateur et pas calculateur (qui, quelque part, ne devrait pas s'appliquer à une machine Turing universel). Koko90 (d)
Comme je le disais plus haut, tout dépend si on comprends Ordinateur=Machine de Turing, dans ce cas le terme "ordinateur" est alors approprié pour un calculateur quantique, ou si on comprends Ordinateur=Machine fondée sur des bits classiques avec des algorithmes classiques etc.. AMHA, on ne devrait pas employer le même terme pour désigner des machines fondées sur des principes opérationnels complètement différents et sur des algorithmes qui n'ont strictement rien à voir, même si ce sont toutes deux fondamentalement des machines de Turing. Comme je le disais plus haut également (et sans avoir eu de remarques ou réponses a ce propos), c'est exactement le même problème entre ordinateur traditionnel et calculateur analogique. Personne ne songe à nommer un calculateur analogique un ordinateur, et pourtant un calculateur analogique ne fait non plus rien de plus ou rien de moins qu'un oridinateur. Il le fait plus vite, sur une classe restreinte de problèmes, avec des "algorithmes" fondamentalement différents, exactement comme un calculateur quantique. En fait, sur de nombreux aspects, un calculateur quantique est très analogue à un calculateur analogique. --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 novembre 2008 à 12:13 (CET)[répondre]
Sauf que les calculateur analogique n'étaient pas Turing universels... Koko90 (d) 6 novembre 2008 à 12:25 (CET)[répondre]
Ah ! C'est la question que je posais plus haut. Je te crois a priori, mais as-tu une référence ou une source à ce sujet ? Cela dit, ou pourrait très bien émuler des portes ou/et, des bits etc.. avec un calculateur analogique et émuler (très péniblement) un ordinateur classique avec elles, de la même manière que on pourrait émuler (très péniblement aussi) le fonctionnement d'un ordinateur classique avec un calculateur quantique.. --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 novembre 2008 à 13:13 (CET)[répondre]
La première machine Turing universel, donc le premier ordinateur (on emploi parfois le terme d'ordinateur universel) est le Z3. C'est un fait connu est reconnu http://en.wikipedia.org/wiki/Z3_(computer) Les calculateurs analogiques sont peut-être universels maintenant mais les premiers sont antérieurs au Z3... Koko90 (d) 6 novembre 2008 à 14:22 (CET)[répondre]
Je vois. Je demandais si fondamentalement (pas en pratique) un calculateur analogique est une machine de Turing. Il l'est ou il ne l'est pas, indépendamment des implémentations physiques. S'il l'est fondamentalement (comme un calculateur quantique l'est fondamentalement), et cela doit être démontrable, alors peu importe le Z3. De toutes manières, le "Z3" quantique (i.e. un ordinateur quantique universel et utilisable universellement en pratique) n'existe pas encore. Sur l'article Z3, être un ordinateur n'est pas défini commé "être une machine de Turing ou non", mais comme être une machine universelle, programmable en pratique (have often been the ones used as criteria in defining a computer). Selon ce même critère, les calculateurs quantiques ne méritent pas l'appellation d'ordinateur non plus. CQFD --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 novembre 2008 à 14:57 (CET)[répondre]
D'abord il en faut pas confondre machine de Turing et machine Turing universelle. Il existe une infinité de machines de Turing n'étant pas universelles... Quand on dit qu'une machine est Turing universelle (Turing complete), on dit juste qu'elle peut juste, potentiellement, émuler toute machine de Turing. Ensuite "être une machine universelle, programmable en pratique" est juste une formulation maladroite de la notion de Turing universalité (utilisé, notamment, pour déterminer si un langage de programmation à bien une expressivité universelle). Enfin, dans l'article sur le Z3, c'est bien la Turing universalité qui est citée pour prouver que la machine était réellement universelle (colonne Turing complete du tableau de comparaison). Toute seule la notion d'universalité n'a aucun sens. Quand on l'emploie en informatique, que ce soit pour qualifier une machine ou un langage, c'est la notion de Turing universalité qu'on emploie en fait.
C'est exact. Je voulais dire "machine de Turing universelle" partout où j'ai dit "machine de Turing" tout court. Un dispositif est, ou n'est pas, Turing universel quelle que soit son implémentation matérielle et son langage. Par exemple le jeu de la vie est une machine de Turing universelle (je n'ai pas les ref sous la main, mais je peux les retrouver). Mais hors de question de l'utiliser "en pratique" comme telle. Et, effectivement, le jeu de la vie n'est pas un "ordinateur".. --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 novembre 2008 à 16:18 (CET)[répondre]

Je redémarre la polémique sur le titre de l’article, le terme consacré en français (i.e. par les chercheurs francophones) est bien «ordinateur quantique» et non «calculateur quantique», et il ne s’agit pas d’un contresens sur la traduction. Pour le férifer, j’ai fait une recherche sur theses.fr, qui comprends les thèses récentes en Français et exclut donc les journalistes et la vulgarisation (argument cité plus haut). J'ai fait la recherche via google, pour éviter les faux positifs pour «calcul quantique». Il y a 4 résultats pour calculateur quantique [1] et 61 pour ce qui concerne ordinateur quantique "ordinateur+quantique"+site:theses.fr. Quelques justifications supplémentaires suivent. On n’est pas dans le cadre d’une machine analogique, car un ordinateur quantique aurait en particulier une puissance de calcul supérieure à un ordinateur classique : il pourrait calculer en temps polynomial tous les problèmes de la classe BQP, un sur-ensemble de la classe BPP, calculable par un ordinateur classique probabiliste. En outre, deux des problèmes phares pour lesquels l’ordinateur quantique fournit un accélération (Recherche dans une base de donnée et factorisation) sont des problèmes pour lesquels on utilise des ordinateurs, pas des calculateurs. (Il est vrai que le troisième problème phare, la simulation quantique ne permet pas de trancher). Enfin, en anglais, dans les conférences scientifiques, on distingue clairement les «quantum computers» (machines de Turing universelles permettant de calculer des problèmes BQP en temps polynomial) des autres machines relevant du calcul quantique, comme les simulateurs quantiques («quantum simulators», souvent analogiques), les machines à la DWave («quantum annealers»), les échantillonneurs bosoniques («Boson sampler»), etc. Cette distinction relève de la même différence en Français entre ordinateur et calculateur, un «quantum computer» étant clairement dans la première catégorie. Fgrosshans (discuter) 9 février 2016 à 16:55 (CET)[répondre]

Merci pour ces remarques et ces recherches. De toutes manières, ce sont les sources qui tranchent sur Wikipédia, je ne serais pas le dernier à le dire. Il y a en effet de bonnes raisons de les appeler Ordinateur (l'aspect Turing universel, distinction claire avec les simulateurs quantiques et avec DWave..), et de bonnes raisons de s'en démarquer (modèle de programmation totalement différent). Je ne procèderais pas à un éventuel renommage, mais je ne m'y opposerais pas. Dans tous les cas, il manque un paragraphe à ce sujet dans l'article, et c'est presque encore plus important que le titre de l'article. Pourquoi ne le feriez vous pas ? Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 10 février 2016 à 13:00 (CET)[répondre]

On a laissé une question... et enlevé la réponse ![modifier le code]

Le fonctionnement des ordinateurs quantiques peut paraitre mystérieux au premier abord : la théorie quantique est une théorie décrivant des probabilités de présence. Comment dès lors concilier ce concept d'aléa avec un calcul qui se veut déterministe ?

C'était expliqué dans une version antérieure de l'article avec une image très simple, et compréhensible par tous. Pourquoi avoir gardé la question pour supprimer la réponse (certes intuitive) qui motivait à la lecture du reste ? Pourquoi ne pas avoir commencé par indiquer le but recherché, plutôt que partir bille en tête dans des calculs sans savoir seulement où on cherche à aller ? Ca ne va pas du tout !

L'article était à peu près clair; faut-il croire que pour certains, faire sérieux implique de faire indigeste ? Les rédacteurs intermédiaires n'ont-ils donc jamais lu un seul cours de Feynman ?

Trimégiste (d) 15 décembre 2007 à 00:46 (CET)[répondre]

Peux-tu nous donner un lien sur la version de l'article qui a ta préférence ? Sans défendre spécialement la version actuelle, la réponse est tout de même dans le texte, juste après (même si ce n'est pas spécialement clair). Si tu as des idées pour améliorer l'article n'hésites pas ! Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 15 décembre 2007 à 13:38 (CET)[répondre]
Euh... OK, je plongerai en apnée dans les profondeurs de l'historique; cela va prendre un peu de temps, mais j'apprendrai sans doute au passage par qui et pourquoi ledit passage avait été supprimé (en admettant, maintenant que j'y pense, que ce soit bien là que je l'aie lu...) Trimégiste (d) 15 décembre 2007 à 17:44 (CET)[répondre]

fois le nombre de qubits ?[modifier le code]

"Une analogie possible est de se représenter un calculateur quantique comme un processeur SIMD dont le nombre de pipelines serait fois le nombre de qubits."

Ne voulait-on pas plutôt dire : "... dont le nombre de pipelines serait où N est le nombre de qubits."

Si ça n'est pas ça, alors que représente N ? 78.225.80.103 (d) 26 août 2009 à 20:55 (CEST)[répondre]

Créer un second article pour les informations proprement pratiques (ou techniques, comme on voudra) ?[modifier le code]

Je tombe sur la table des matières suivantes :

http://www.squint.org/qci/contents.html

qui correspond à ce qu'on aimerait trouver quelque part (avec quelques variantes, bien entendu) après avoir lu l'article général sur le calculateur quantique. Quelqu'un a-t-il lu le livre en question et serait-il d'accord pour créer un article sur le sujet, par exemple "calcul quantique" ? Il semblerait utile, pour des raisons de lisibilité, de bien séparer les articles destinées à ceux qui cherchent une synthèse claire et ceux destinés à ceux qui veulent approfondir un peu sans pour autant se lancer dans des achats de livres avant se savoir si le reste ne les rebutera pas trop. 212.198.24.62 (d) 24 octobre 2009 à 13:31 (CEST)[répondre]

Par ailleurs, si quelqu'un a de l'expérience sur la simulation de calcul quantique avec une carte CUDA, ses ajouts sont les bienvenus. 212.198.24.62 (d) 24 octobre 2009 à 13:33 (CEST)[répondre]
On pourrait déjà envoyer le plus gros de ce qui concerne D-Wave dans un article en propre, en n'en mettre qu'un lien vers cet article particulier dans l'article général ?
L'article devient de plus en plus complet. En effet, il serait opportun de réfléchir ensemble à une structure liant un article général à plusieurs articles plus spécialisés. Pour déterminer les noms du premier et des autres, pourions-nous faire des propositions en PdD sous forme de liste à puces hiérarchisée en indiquant les avantages et inconvénients de chaque proposition ?
Le site de D-Wave a bien évolué graphiquement et dans ses annonces. Il reste cependant bien évasif sur ses résultats réels (même si IBM l'était tout autant en annonçant son 360). En faire un article à part, puisqu'il n'est lié à rien d'autre, paraît en effet une première bonne idée. Cela évitera par ailleurs de jeter le discrédit sur l'article si par hasard, ce qui n'est pas exclu, il s'agissait d'une nouvelle Poudre de perlimpinpin et que Google se soit fait embobiner (ce qui semble pourtant très improbable... mais moins ;-) ).
Désolé pour l'erreur de référence concernant les tailles d'entrée/sortie. Je vais replonger dans ma doc et essayer de retrouver l'info. Mais si mes souvenirs sont bons, la complexité d'un état est en fait celle de sa description complète minimale, non ? 82.226.27.88 (d) 24 septembre 2011 à 01:40 (CEST)[répondre]
Tout à fait ! C'est une interprétation possible du "peu d'entrées", mais il faudrait être sûr que c'est celle là, et l'expliquer dans l'article sinon c'est sûr que 100% des lecteurs ne comprendront pas ce que cela signifie dans le fond.
Pour D-Wave, on peut s'inspirer, voire traduire, en:D-Wave Systems qui n'est pas trop mal fait. Effectivement, il ne faudrait pas que D-Wave commence à prendre trop de place, alors que tout le monde se demande s'il s'agit bien de calculateurs quantiques ! (mais cela peut être une techno tout de même intéressante, sans être un calculateur quantique pour autant) Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 24 septembre 2011 à 10:49 (CEST)[répondre]

Peu d'entrées[modifier le code]

C'est discutable, et cela peut induire en erreur. Par exemple, pour l'algorithme de Grover, on alimente le calcul avec 2^N états superposés en entrée, ce qui est loin d'être "peu d'entrées" si N=30 par exemple !! Mais il est vrai, d'autre part, que c'est un état équi-superposé, et qu'il y a peu d'informations dans cette superposition. La référence est demandée surtout pour voir ce que l'on entend exactement par "peu d'entrées", ce qui n'est pas évident. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 2 septembre 2011 à 11:22 (CEST)[répondre]

Merci pour la source, qui est très intéressante. Mais je n'ai pas réussi à voir le passage sur le "peu d'entrées"; j'ai cherché "input", "few", "number" sans trouver le passage en question. Je ne remet pas vraiment en cause cette phrase, je cherche juste à comprendre ce qu'elle veut réellement dire. --Jean-Christophe BENOIST (d) 22 septembre 2011 à 10:25 (CEST)[répondre]

Cela signifie simplement que s'il y a deux valeurs d'entrées respectivement de M et N bits, le calcul portera sur MxN qubits (l'équivalent d'un produit cartésien ° en APL) et qu'une compression / aura lieu pour en sélecter la partie souhaitée. Lorsque les opérandes ont quelques dizaines de bits ou centaines de bits, leur produit cartésien sera de 100 à 10 000 qubits, et après réduction bien plus petit (par exemple une clé de 128 bits). Comme toute observation de l'état le détruit, il faudra effectuer 128 fois la mesure pour ramener à chaque fois un bit, et renvoyer les 128 bits du résultat. Toute la complexité est donc traitée au niveau du processeur quantique et n'a pas à encombrer les lignes. C'est pourquoi IBM a ouvert son système Qiskit sur la Toile François-Dominique (discuter) 21 mai 2023 à 01:42 (CEST)[répondre]

Confidentialité des requêtes[modifier le code]

Ce qui est dans le paragraphe est exact, mais le lien avec les calculateurs quantiques n'est pas évident. Il s'agit plutôt d'un "dispositif quantique" qu'un "calculateur quantique", un peu comme pour les dispositif de cryptographie quantique qui ne sont pas non plus vraiment des "calculateurs". Il me semble que on devrait limiter cet article aux applications qui font de véritables calculs qui utilisent N qubits en intrication, localement. Qu'en pensez-vous ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 septembre 2011 à 14:21 (CEST)[répondre]

De fait, l'article commence à devenir un peu riche et il serait sans doute bon de faire de tout ce qui est transmission quantique un article à pert entière et de juste mettre un lien dans celui-ci. Je ne trouvais pas stupide de rappeler au passage que les effets quantiques sont utilisés depuis belle lurette par l'informatique même si c'était jusqu'ici pour autre chose que le calcul (cela ne prend après tout qu'une phrase et constitue un rappel intéressant). Enfin, je ne comprends pas ce que peut signifier "une infinité de valeurs" (pour le qubit) en matière physique. Je vois mal en particulier avec quelle précision on peut espérer connaître l'information de phase d'un qubit. Existe-t-il en la matière une limitation intrinsèque à la précision comme le signal/bruit dans tous les dispositifs électroniques ? Quelqu'un a-t-il des éléments sur la question ? Il serait utile d'en nourrir l'article. 82.226.27.88 (d) 1 mars 2012 à 07:51 (CET)[répondre]
Désolé si les revert ont paru un peu brutaux mais il y avait tout de même des choses fausses que on ne pouvait laisser, et parfois il faut aller vite. L'état quantique (non mesuré) d'un qbit peut prendre physiquement une infinité de valeurs, et les algorithmes quantiques prennent en compte toute cette palette, mais il est vrai que on ne s'intéresse qu'à l'état mesuré du qbit qui prends typiquement deux valeurs, comme un bit normal. Il y avait confusion entre le nombre d'états de N qbits intriqués (2^N) et le nombre d'états (mesurés) d'un seul qbit qui est de 2 (typiquement) comme un bit normal. Le bruit intervient à deux niveaux, d'une part dans la probabilité de lecture du resultat (par exemple dans l'algorithme de Grover on essaye de rendre la probabilité de lecture la plus proche possible de 100%, mais le bruit fera que la probabilité sera de 98% au lieu de 99% par exemple. Et surtout, le bruit peut faire décohérer l'intrication, et là tout est à recommencer. N'hésitez pas à essayer de recommencer à modifier l'article : le mieux est de partir d'une source pour essayer de dire ce que l'on veut dire. Cela permet de fonder l'information, et aussi de justifier les choix éditoriaux comme celui de parler des effets quantiques dans les dispositifs classiques, ce qui peut en effet être intéressant, mais aussi embrouiller le lecteur selon le point de vue. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 1 mars 2012 à 10:00 (CET)[répondre]

Premier réseau quantique (prototype)[modifier le code]

« We have realized the first prototype of a quantum network," Stephan Ritter concludes. "We achieve reversible exchange of quantum information between the nodes. Furthermore, we can generate remote entanglement between the two nodes and keep it for about 100 microseconds, whereas the generation of the entanglement takes only about one microsecond. Entanglement of two systems separated by a large distance is a fascinating phenomenon in itself. However, it could also serve as a resource for the teleportation of quantum information. One day, this might not only make it possible to communicate quantum information over very large distances, but might enable an entire quantum internet." »

Breakthrough in Quantum Communication ScienceDaily (Apr. 11, 2012)

QC et combinatoire[modifier le code]

La quantité d'information à ce sujet est impressionnante, et décourage presque de lui consacrer une section dans l'article. Vaut-il mieux oublier le sujet ou lui consacrer un article spécialisé à part pointé par celui-ci ? :

https://www.google.fr/search?q=%22quantum+computer%22+combinatorics

Les réponses glanées semblent se composer de deux questions bien distinctes :

  • Usage des CQ en combinatoire (c'est surtout cela que je cherchais)
  • Usage de la combinatoire pour réduire le taux d'erreurs au prix d'une forte augmentation du nombre de qubits

Peut-être le deuxième point peut-il être juste mentionné dans l'article et le premier faire l'objet d'un article à part ? Attention : je ne sais pas si c'est facilement faisable ou non, n'ayant pas encore lu tous les liens relatifs à ce premier point. 212.198.148.24 (d) 9 mai 2013 à 04:11 (CEST)[répondre]

Faire de D-Wave un article à part entière avec lien ici ?[modifier le code]

Les considérations sur D-Wave commencent à prendre pas mal de place. Compte tenu de leur caractère particulier (controverse, battage commercial et promotionnel de cette société difficile à démêler du reste...) et de l'incertitude amenant à se demander néanmoins si D-Wave en 2013 ne serait pas similaire à l'IBM de 1953 (résultats signalés par Harvard en 2012, vente à Lockeed, contrat avec Google, article dans Nature, communication à l'ACM...), on commence à entrer tout de même dans le très sérieux. Par ailleurs, vu les sommes en jeu, on peut se dire qu'elles n'ont pas été investies sans tests préalables.

Alors je ne sais pas. Ou bien D-Wave est l'escroquerie du siècle, ou bien ils ont vraiment comme ils le disent quelque chose de géant, et un marché qui démarre avec hésitation (comme IBM, justement, au lancement du 701), ou bien encore leur matériel ne peut-il offrir que des gains énormes sur des classes de problèmes très limités (mais n'était-ce pas le cas des ordinateurs à leurs débuts aussi ?). Dans tous les cas de figure, il semble que l'aspect d'aventure industrielle l'emporte ici un peu sur le côté purement scientifique ou technique, ne serait-ce que parce que cette société ne dévoile pas grand chose des internes de sa machine (ce que les ingénieurs - non informaticiens, il n'y en avait pas - d'EDF et de la SNCF reprochaient à IBM aussi, décidément... !). Tout cela me semble militer pour un isolement dans un article séparé, afin de garder une homogénéité à l'article principal. Qu'en pensez vous ? 212.198.148.24 (d) 9 mai 2013 à 06:47 (CEST)[répondre]

Non, je n'ai pas l'intention d'acheter d'actions D-Wave. Parce qu'on ne sait pas du tout, même si leur produit est viable, si ça va devenir IBM ou Bull ! :-( 212.198.148.24 (d) 9 mai 2013 à 06:47 (CEST)[répondre]

Autre raison pour un article séparé : la partie D-Wave a maintenant sa longue chronologie propre, qui ne se trouve de ce fait pas en harmonie avec le reste des dates, et qu'on ne peut interclasser avec elles non plus si on veut que l'article reste lisible. 212.198.148.24 (d) 9 mai 2013 à 07:23 (CEST)[répondre]

je suis d'accord pour un article séparé. Il y a l'article D-Wave. Peut être vaudrait il déplacer le paragraphe "La controverse D-Wave" vers cet article?--Jean trans h+ (discuter) 5 avril 2017 à 10:07 (CEST)[répondre]

Liens externes[modifier le code]

Les 2 liens suivants listés en bas de page ne présentent aucune information pertinente et devraient être retirés :

  • Présentation PDF de Frédéric Magniez (CNRS)
  • (en) Le site d’IBM sur le calcul quantique

Quant au titre de cet article faisant référence au calculateur, il est trop restrictif. Selon Feynman et Deutsch notamment, on parle bien d'un ordinateur quantique. Ce concept n'est pas limité à l'optimisation telle que le fait par ex un solver comme CPLEX. Ce titre ne correspond donc pas au cadre qu'il tente de définir. Merci. - Luxorion

Merci pour ces remarques. Je lis essentiellement des sources anglophones, et je n'ai pas d'opinion ferme sur le terme français, mais je suis d'accord que le terme "ordinateur quantique" est de plus en plus employé par les sources scientifiques francophones ([2]) pour désigner ce dont il est question dans cet article. Plutôt favorable au renommage. D'accord également pour ces LE, qui sont plus ou moins morts. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 24 juillet 2013 à 09:46 (CEST)[répondre]
En ce qui concerne le LE sur Luxorion, il est pertinent, mais il est vraiment dommage de se limiter à ajouter un LE et de ne pas enrichir cet article ! N'hésitez pas ! Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 24 juillet 2013 à 09:50 (CEST)[répondre]
Je trouve ceci, peut--être à suivre (vu la source), peut-être pas : http://goparallel.sourceforge.net/leap-for-quantum-supercomputing/
Mais "ordinateur quantique" ? Dites, vous savez au moins de que c'est qu'un ordinateur ? Ca possède une unité de calcul et une unité de contrôle qui sert à les enchaîner et une mémoire qui sert (entre autres) à mémoriser les ordres à cette unité de contrôle. Pour le moment, qu'on vise à faire des machines dont le ou les circuits de calculs soient quantiques, tout le monde est d'accord. Il y a de même des cartes graphiques, des convolveurs, et il doit bien avoir des circuits de calcul de FFT.
En revanche, quand on aura des machines qui comporteront des instructions quantiques, des adresses quantiques et des branchements quantiques, on pourra bien parler sans abus de langage d'"ordinateurs quantiques", mais soyez assez aimables de m'en prévenir, car aucune recherche dans ce domaine n'a seulement commencé à en croire la presse.
Et de toute façon, l'article "ordinateur quantique", qui pourrait exister alors, sera alors fortement distinct de celui-là, qui ne s'occupe que d'algorithmes classiques faisant intervenir un circuit de calcul quantique. Il faudrait peut-être ne pas tout confondre. 212.198.148.180 (discuter) 21 octobre 2013 à 22:43 (CEST)[répondre]
"Selon Feynman et Deutsch notamment, on parle bien d'un ordinateur quantique'". Totalement faux : ils emploient le terme computer qui a toujours désigné des engins de calcul, mais cela longtemps avant que n'existent les ordinateurs. La Pascaline est un computer. La machine d'Anticythère constitue d'ailleurs aussi un computer, tout comme les ancienne machine à calculer Curta, qui n'ont rien à voir avec un ordinateur. Ce n'est pas de ma faute si le français est (considérablement) plus précis que l'anglais. C'est probablement pour cela que nous avons beaucoup moins besoin qu'eux d'avocats par million d'habitants. 212.198.148.180 (discuter) 21 octobre 2013 à 22:43 (CEST)[répondre]
Il s'agit surtout de prendre le terme le plus courant, en français, dans les bonnes sources, pour désigner le sujet de cet article. Donc il s'agit de prendre des sources en français, de discuter de leur valeur, et de prendre le terme qu'elles proposent. Il faut surtout qu'un quidam qui arrive de la presse scientifique qui parle d'"ordinateur quantique" et qui arrive sur cette page soit bien conscient que l'on parle bien de la même chose, ce qui n'est pas strictement évident avec le titre actuel. Mais comme vous le voyez on ne se précipite pas car il y a en effet de bon arguments de chaque côté. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 22 octobre 2013 à 00:29 (CEST)[répondre]

"Selon Feynman et Deutsch notamment, on parle bien d'un ordinateur quantique"

Je suppose qu'il faut lire "selon les traducteurs de Feynman et Deutsch, car ils ne rédigent pas à ma connaissance en français. Or l'anglais, contrairement au français, n'a pas de mots distincts pour "ordinateur" et "calculateur" : c'est le même mot Computer dans les deux cas.

Sabine Hossenfelder (voir son excellente chaîne YouTube) rappelle de façon très pertinente - Quantum Computing: Top Players 2021 - que le calcul quantique doit être orchestré par un ordinateur classique, lui (ne traitant pas de données sous forme quantique), qui joue le rôle d'unité de contrôle de ce circuit de calcul. 2A01:E0A:8BF:94B0:BDDC:2B5C:853D:7BEC (discuter) 11 octobre 2021 à 12:58 (CEST)[répondre]

Comment obtenir un résultat d'un tel calculateur ?[modifier le code]

Bonjour

Préambule: je ne suis pas physicien quantique: ne pas taper svp.

Dans tous les articles sur le sujet (ici comme dans les revues de vulgarisation) je ne vois jamais aborder le sujet de la lecture des résultats, compte tenu de l'intérêt annoncé des qubits: effectuer un calcul, pour lequel un calculateur classique devrait travailler séquentiellement pour chaque combinaison possible des entrées (chaque hypothèse), en parallèle pour toutes ces valeurs possibles grâce à la superposition des états quantiques.

Si je comprends bien le principe de calcul:

  • on met au départ chaque qubit du vecteur dans une superposition quantique de ses 2 états (symbolisées par '0' et '1')
  • on effectue des opérations sur le vecteur à l'aide d'opérateurs quantiques en essayant de ne pas casser la superposition
  • et hop avec qubits cela permet de réaliser opérations en même temps à chaque étape.

Bien.

Mais à la fin, on a toujours un système quantique que personne n'a lu.

Et dès qu'on le lit, on obtient UNE valeur du vecteur sur les possibles, aléatoire qui plus est.

On en fait quoi ?

Avec un processeur classique, certes on travaille sur 1 vecteur d'entrée à la fois, mais à la fin on est capable de dire quel vecteur a donné le résultat recherché (par exemple les 2 facteurs qui donnent le produit P qu'on cherchait à factoriser).

Avec un calculateur quantique, une fois la mesure finale faite, si on ne tombe pas sur les données à obtenir (le produit par exemple), on fait quoi ? On recommence jusqu'à trouver , ce qui permet de déduire les facteurs en mesurant le reste du vecteur ?

Si c'est ça, je ne vois pas où on gagne du temps, car le nombre d'essais va croître exponentiellement avec la longueur du vecteur. Donc ça ne peut pas être ça. Donc quelque chose m'échappe: il serait intéressant pour tous d'expliciter ce point, il me semble.

Merci

Sans rentrer dans les détails (cf algorithme de Shor) l'idée intuitive est qu'un filtre ne laissera passer que l'état (parmi ceux superposés) pour lequel le calcul réussit (avec un codage convenable, par exemple, le couple de facteurs (p,q) tels que pq-N=0). Ensuite, la lecture de ce résultat détruit effectivement le calcul, mais on n'a plus qu'à le contrôler classiquement.--Dfeldmann (discuter) 3 décembre 2014 à 21:18 (CET)[répondre]
Dans la série: "faites ce que je dis, pas ce que je fais", il faut bien reconnaître que ma version, sans être tout à fait fausse, était bien optimiste... En fait, la difficulté que vous soulevez est bien réelle, et il faut tout le talent de Shor pour l'esquiver ; une lecture attentive de l'article détaillé consacré à son algorithme vous montrera que c'est réellement possible (et même déjà vérifié en pratique), mais horriblement délicat à mettre en œuvre pour, en effet, ne pas tomber dans le piège que vous signalez...--Dfeldmann (discuter) 3 décembre 2014 à 21:31 (CET)[répondre]
Le cas d'école pour répondre à la (pertinente) remarque est plutôt l'algorithme de Grover, avec l'amplification d'amplitude nécessaire et particulièrement apparente. Je n'aurais pas le temps d'améliorer l'article sur ce point dans l'immédiat, mais c'est en effet un point qui mérite d'être mieux présenté. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 3 décembre 2014 à 22:08 (CET)[répondre]
Merci beaucoup, cela m'éclaire un peu, car jusqu'à présent c'était le noir complet. Je vois en effet que l'algorithme de Grover adresse ce sujet, je vais essayer de comprendre l'article. Dans ma compréhension l'idée est que l'on peut gagner significativement du temps par rapport à une recherche brute pour trouver la solution parmi les sur le type de problème évoqué (calcul en essais au lieu de ). Cela est très surprenant du reste.

Sujet traité sur France Culture ce jour[modifier le code]

Pour info, voir le lien externe correspondant pour réécouter l'émission Science publique de Michel Alberganti sur l'ordinateur quantique : « L'ordinateur est-il en train de devenir quantique ? ». Cordialement. --Cjp24 (discuter) 4 mars 2016 à 23:13 (CET)[répondre]

Cité par cette émission, le magazine Science et Vie de mars 2016, qui titre en page de couverture : « Ordinateur quantique : L'invention la plus folle de tous les temps ». (Source). --Cjp24 (discuter) 5 mars 2016 à 01:16 (CET)[répondre]
Ce magazine indique les vidéos concernant l'ordinateur quantique D-Wave 2X, sur la chaîne vidéo YouTube de D-Wave System. --Cjp24 (discuter) 5 mars 2016 à 01:38 (CET)[répondre]

Organisation de l'article[modifier le code]

La structure de l'article est un peu bizarre: Historique, Nouvelles diverses, Réalisations physiques... Pourquoi ne pas fusionner tous ces paragraphes?--Jean trans h+ (discuter) 5 avril 2017 à 10:05 (CEST)[répondre]

Oui, l'article s'est construit au fil de l'eau. Mais il vaudrait mieux sans doute forger un nouveau plan plus cohérent, plutôt que de tout fusionner en vrac. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 5 avril 2017 à 10:14 (CEST)[répondre]
Bon je suis allé au charbon et j'ai modifié fortement la structure. J'espère que c'est ok.--Jean trans h+ (discuter) 5 avril 2017 à 10:32 (CEST)[répondre]

Section exacte, mais sans doute pas dans le bon article[modifier le code]

"Confidentialité des requêtes : Si les transmissions quantiques se généralisaient dans l’avenir, elles pourraient assurer une confidentialité totale /5. On ne peut en effet pas réaliser une copie exacte de l'état intriqué d'un qubit : cette règle est connue sous le nom de théorème de non-clonage /5. Si un nœud intermédiaire essaie de copier une requête quantique, il la perturbera nécessairement5. L'émetteur de la requête pourra détecter l'existence éventuelle de cette perturbation /5. Cette question pose toutefois aussi celle de la faisabilité de répéteurs."

A priori, la transmission, qui concerne un émetteur et un récepteurs distants, ne semble pas à sa place dans un article concernant les calculateurs, dont le fonctionnement est au contraire local. Non ? 82.226.27.88 (discuter) 30 août 2017 à 02:45 (CEST)[répondre]

Oui et non. Tel qu'il est rédigé (en parlant de la confidentialité etc..) la section n'a effectivement rien à voir avec le calcul quantique. En revanche, il faut tout de même transmettre l'information quantique au sein du calculateur, sans perdre ou perturber l'information quantique, et c'est donc un problème d'ingénierie notable pour le calculateur quantique (mais qui est bien maitrisé à courte distance). Donc globalement, oui, vous avez raison. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 30 août 2017 à 10:05 (CEST)[répondre]

Exemple algorithme de groover, recherche de base de données, comparaison biaisée[modifier le code]

L'ordinateur (ou calculateur) quantique est une merveilleuse idée qui sera sans doute très utile un jour, et l'algorithme de groover va sans doute nous épater dans des tas de problèmes de combinatoire... Cependant ce n'est pas la peine de biaiser les comparaisons pour le mettre en avant: je parle évidemment de l'exemple de "la recherche dans une base de données optimisée", n'importe quel "computer scientist" stockera ces données de façon triée (on parle de base de données optimisée n'est-ce pas?) et donc le temps de recherche d'un élément ne sera pas de O(N) comme indique cet article, mais de O(log2(N)) soit nettement plus rapide. Par exemple pour 10^6 entrées groover prendra un temps asymptotique de 1000, un bsearch classique prendra 20... En outre je ne parle pas d'autre structures de données permettant d'aller plus bas encore (hash tables qui peuvent donner du O(1) si on peut éviter les collisions). Et le stockage dans une base de donnée optimisée (triée) peut se faire de façon optimisée également en O(log2(N)) si on utilise des structures de données telles que des red-black tree. Bref cette section manque soit de notions d'informatique au sens noble du terme, soit l'exemple est mal choisi. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.27.40.95 (discuter), le 6 septembre 2017 à 22:26 (CEST)[répondre]

C'est une coquille de l'article. Je corrige (n'hésitez pas non plus !). Jean-Christophe BENOIST (discuter) 6 septembre 2017 à 23:56 (CEST)[répondre]
Je suppose que les "bases" de données en question sont simplement du "big data" en vrac, composé par exemple de dizaines de millions de tickets de caisse de supermarchés taggés, ou de métadonnées récoltées par les opérateurs de téléphones mobiles. Il n'est clairement pas question de trier ça pour un usage unique. Et pas de O(log2(N)) ici : ces bases de données sont logiquement en NoSQL vu leur nature, donc en rien optimisées, et parfois pas même optimisables (base d'empreintes digitales, par exemple). Ce ne sont ni les tableaux en mémoire, ni les fichiers sur disque, ni les bases de données "classiques" des années 1970. Le monde a tout de même pas mal changé depuis ;-) 77.136.14.222 (discuter) 10 septembre 2017 à 22:27 (CEST)[répondre]
Donc on est bien d'accord il ne s'agissait pas de base de données optimisées ;-) Pour le big data, ça peu se trier/se ranger via d'autres techniques je pense au distributed hash tables qui ne sont pas des années 70 par exemple, ça s'applique parfaitement au tickets de caisse ou meta données,etc.... Et d'ailleurs le big data est un très mauvais exemple pour un calculateur quantique qui est une machine à très forte capacité calculatoire mais à très faible capacité I/O! En ce qui concerne l'exemple des empreintes digitales, je ne vois pas en quoi ce n'est pas optimisable, j'ai de très forts doutes qu'aujourd'hui les recherches dans ces genres de données en soient encore à du O(N)... Pour s'en convaincre il suffit de faire une petite recherche google, allez un exemple: http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.500.7102&rep=rep1&type=pdf papier de 2006... Quand aux "temps on changés", une énorme part de nos codes source actuels repose sur ce qui a été théorisé/publié dans les années 60,70 et 80, un petit tour à la bibliothèque vous en convaincra, d'ailleurs l'ordinateur quantique a été théorisé dans les années 80! :-) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.27.40.95 (discuter), le 18 septembre 2017 à 00:40 (CEST)[répondre]

"un algorithme de résolution de systèmes linéaires avec un gain exponentiel"[modifier le code]

c'est quoi un gain exponentiel pour un algo de résolution de système linéaire? Le seul sens de "gain" que je comprend ici est sur la complexité algorithmique (ou temps asymptotique). Petit rappel un système linéaire général se résoud en O(N^3) (méthode directe, cf pivot de gauss, facto lu cholesky...) et en système en itératif O(N^2) (souvent matrices creuses, ce que le voit le plus en physique, il existe nombre d'algos très utilisés: Jacobi, Gauss Seidel, Conjugate Gradient, GMRES...). Étonnant de pouvoir obtenir un gain exponentiel sur un problème polynomial... A moins que "gain" se réfère à autre chose, mais quoi???? --109.27.40.95 (discuter) 6 septembre 2017 à 22:36 (CEST)[répondre]

La source de cette affirmation est l'étude suivante Quantum Algorithm for Linear Systems of Equations. Le « gain exponentiel » fait référence au temps nécessaire aux algorithmes classiques comparés à l'algorithme proposé par Aram W. Harrow, Avinatan Hassidim et Seth Lloyd pour résoudre un problème linéaire spécifique. Temps qui augmente exponentiellement avec la valeur k du conditionnement de la matrice creuse étudiée. N'hésitez pas à modifier l'article. Cordialement.--Jean trans h+ (discuter) 18 septembre 2017 à 09:04 (CEST)[répondre]

Transport de molécules quantique[modifier le code]

J'aimerais créé un groupe pour trouver comment transporté un objet ou même des personnes a un autres endroit avec le théorème de mécanique quantique Eldiablodetamere (discuter) 21 juillet 2020 à 01:28 (CEST)[répondre]

Ce que l'on nomme "transport" ici n'est pas autre chose que destruction à un endroit avec copie conforme à un autre, puisqu'il est impossible a priori de copier un état quantique sans le détruire.
Ne crée surtout pas ton groupe sur Facebook : quand on y parle de MQ, il y est question plutôt de fantasmes que de physique. 2A01:E0A:8BF:94B0:BDDC:2B5C:853D:7BEC (discuter) 11 octobre 2021 à 13:09 (CEST)[répondre]

Vitesse ?[modifier le code]

Dans la partie :

- Intérêt des calculateurs quantiques -

On n'explique pas d'où provient la vitesse supérieure des ordinateurs quantiques. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A02:A03F:659F:5F00:F48E:21F4:2126:6988 (discuter), le 15 mai 2021 à 15:51 (CEST)[répondre]

Sisi, c'est à la fin du paragraphe, il faut lire jusqu'au bout (à partir de "Une analogie..") Jean-Christophe BENOIST (discuter) 15 mai 2021 à 17:05 (CEST)[répondre]

Sabine Hossenfelder sur le calcul quantique en 2021[modifier le code]

Je sais qu'il faut veiller à ce que la Wik ne se transforme pas en compilation de liens Web, mais ces propos sur le calcul quantique éclairent sacrément la question, et davantage même que notre article. Alors ? On l'inclut ou pas ? youtu.be/OGsu5MIzruw 2A01:E0A:8BF:94B0:BDDC:2B5C:853D:7BEC (discuter) 11 octobre 2021 à 12:42 (CEST)[répondre]

Le retour du prétendu "blogger"[modifier le code]

Olivier Ezratty, dont la mention des travaux (compilations d'articles) avait été supprimée parce qu'il avait été un peu hâtivement qualifié de "blogger", nous fait parvenir ceci :

I published recently my first peer-reviewed scientific paper in quantum physics and computing, a 18 pages perspective on superconducting qubits in EPJA.

It is an update to the corresponding chapter in my book Understanding Quantum Technologies 2022. A new experience in my 5-year wild quantum journey.

Thanks to all the quantum physicists and other players in that field who helped me, particularly from CEA SPEC and the #QEI!

https://www.oezratty.net/wordpress/2023/my-first-peer-reviewed-paper-on-quantum-computing/

Pas merci aux Wikipédiens désinvoltes se permettant de censurer ce qu'ils n'ont pas suivi, donc. François-Dominique (discuter) 21 mai 2023 à 01:50 (CEST)[répondre]

Correction de coquilles[modifier le code]

Dans le paragraphe "qubit", il me semble qu'il y a quelques coquilles :

- Dans le sous-parapgraphe démarrant par "La première colonne montre tous les états possibles pour trois bits", il faut modifier le début l'avant-dernère phrase "Durant le calcul, ces trois nombres" en "Durant le calcul, ces huit nombres".

- Idem pour la première phrase du sous-paragraphe suivant, il faut changer "Cependant, il n’est pas possible de voir directement ces trois nombres" en "Cependant, il n’est pas possible de voir directement ces huit nombres".

- Dans l'avant-dernière phrase de ce même sous paragraphe, remplacer "ampere" par "amplitude de probabilité" ou tout autre vocable pour signaler qu'on évoque les nombres complexes à partir desquels on calcule la probabilité d'un état donné. FRJEDU (discuter) 9 novembre 2023 à 17:59 (CET)[répondre]