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Discussion:Mammifère

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Les articles encyclopédiques concernant les niveaux de classification du vivant sont en général indiqués au pluriel. Il serait préférable d'avoir les articles :

Mammifères plutôt que Mammifère
Primates plutôt que Primate
Artiodactyles plutôt que Artiodactyle
etc.

Qu'en pensez-vous ?

Les regles (recommandations) de nommage des articles dit que quand c'est possible on doit mettre les articles au singulier. Les articles au pluriel étant réservés aux listes (pseudo-)"exhustives", par exemple Rois de France.

Les modifications que je propose pour cette page sont le premier exemple du travail de modernisation qui serait nécessaire pour toutes les pages traitant de taxons. En effet, la classification traditionnelle est considérée comme obsolète sur bien des points depuis plusieurs décades !

Mmy 8 avr 2003 à 12:48 (CEST)

Je suis pas qualifié pour juger si une thèse est obsolète ou pas, mais je pense qu'on devrait faire coexister les thèses traditonnelles avec les nouvelles interprétations. En gros, hésite à ajouter tout ce qui te semble necessaire, mais je pense que ça serait bien de laisser les thèses communément admises. Aoineko

J'avais le point en tête dès le début. Je ne pense pas avoir enlevé quoi que soit, si ce n'est par le choix d'un vocabulaire peut-être trop 'judgmental'. Mais, si on veut qu'un projet comme Wikipedia ait une audience auprès des spécialistes, on ne peut donner une part trop belle à ce qui est communément admis quand cela est en contradiction avec l'ensemble des spécialistes, non ? Mmy 8 avr 2003 à 20:32 (CEST)

L'article dit : "les membres des mammifères sont situés verticalement au-dessous du corps, le maintenant en général plus haut par rapport au sol.

Le pelage est une formation dermique caractéristique qui sert à la régulation thermique. Les poils ont pu évoluer en piquants, en écailles, ou en plaquettes." Est ce que ces affirmation sont applicables aux cétacés ? Merci d'avance pour les réponses. Kassus 19 juillet 2005 à 13:53 (CEST)[répondre]

Très bon article, on sent que l'auteur s'y connait. Mais ne serait-il pas utile de présenter un résumé vulgarisé pour les non-spécialistes ? Bravo encore pour votre travail, je reste admiratif devant chaque article wikipédia ;)

Reformulé, vulgarisé. 80.215.178.253 (discuter) 8 mai 2016 à 16:22 (CEST)[répondre]

J'ai modifié la partie sur les motivations de Linné qui me paraît un peu fantaisiste. En effet, il n'y a aucune différence au niveau "mammifère" entre allaiter et mettre en nourrice et je ne pense pas que cela peut justifier que Linné ait choisi de s'appuyer sur la présence de la glandes mammaire plutôt que les poils.

Sa classification est surtout pertinente par rapport à celle d'Aristote et permet d'englober logiquement des espèces comme les cétacés (réponse à la question ci-desus).

Alors que le poil est une kératinisation, une formation épidermique, les glandes lactéales de type alvéolaire ne sont présentes que et toujours chez les mammifères uniquement.

Chez l'ornithorynque, les champs mammaires débouchent, comme chez tous les mammifères, sur des pores séparés, mais à chaque pore correspond un poil le long duquel s'écoule la sécrétion.

Waltercolour 4 octobre 2005 à 21:46 (CEST)[répondre]

Le plus gros mammifère

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Salut, Qui peut me donner le nom du plus gros (ou grand) mammifère existant sur la planète ? Merci.

La baleine bleue. Bonne journée.--Valérie 26 janvier 2007 à 14:32 (CET)[répondre]

Origine des glandes mammaires

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Il me semble avoir appris que l'origine des glandes mammaires sont les glandes sébacées et non les glandes sudoripares, comme il est dit dans l'article concernant les mammaliens cordialement

JPJ

Groupe des protothériens : combien d'espèces ?

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Cet article recense trois espères de protothériens : l'ornithorynque, l'échidné australien, et l'échidné d'Océanie. Or l'article Échidné cite 4 espèces d'échidnés encore vivantes : Tachyglossus aculeatus, Zaglossus bruijni, Zaglossus attenboroughi et Zaglossus bartoni, ce qui donne 5 protothériens avec l'ornithorynque. J'attends confirmation avant de corriger. Nicombo (discuter) 25 août 2013 à 18:07 (CEST)[répondre]

Correction effectuée Nicombo (discuter) 2 octobre 2013 à 23:25 (CEST)[répondre]

Mammifères terrestres, volants, aquatique

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Dans l'introduction:

"Si le taxon est d'origine terrestre, un de ses principaux ordres, les chauves-souris, a acquis le vol battu. Par contre peu de ses représentants ont une vie aquatique, [...]"

Je trouve étrange d'insister sur l'importance de l'ordre des chauves-souris tout en réduisant celle des mammifères aquatiques.

Les mammifères aquatiques complets ou partiels regroupent un très grand nombre d'espèces dans des branches très diverses. On les retrouve dans plusieurs ordres et leur importance est non négligeable.

De plus pourquoi parler d'"origine" terrestre et dire que les chauves-souris ont "acquis" le vol ? Cela peut donner l'impression que la vie aérienne est la prochaine étape de l'évolution. Si des réponses à cette discussion vont dans le même sens, je proposerait une modification du style :

"Les mammifères sont principalement terrestres, bien que certains aient une vie aquatique, partielle (phoques, ours blanc, castor, hippopotame, loutre, campagnol amphibie, ornithorynque...) ou totale (baleines, dauphins...), tous ayant conservé une respiration pulmonaire. L'ordre des chauves-souris a en outre acquis le vol battu."
— Le message qui précède a été déposé par Ssimono (d · c), le 19 janvier 2016 à 23:17‎ (CET). Il est recommandé de signer en cliquant sur Exemple du bouton signature ce qui ajoutera les quatre tildes de signature (~~​~~).[répondre]

C'est une question de formulation, oui, qui peut se discuter. Pour le nombre d'espèces, ce n'est pas un argument : les chauves-souris représentent tout de même un gros morceau du camembert (20 %), qui ridiculise des groupes comme les carnivores ou les monotrèmes, qui sont pourtant volontiers mis en avant. Il reste l'argument du nombre de fois où un retour à un mode de vie aquatique est survenu, qui me paraît valable. Quoiqu'il en soit, les listes de liens bleus entre parenthèses « (phoques, ours blanc, castor, hippopotame, loutre, campagnol amphibie, ornithorynque...) », font un peu inventaires lourdingues pour une introduction qui devrait se vouloir générale. Totodu74 (devesar…) 20 janvier 2016 à 12:00 (CET)[répondre]
Intro reformulée, vulgarisée. 80.215.178.253 (discuter) 8 mai 2016 à 16:23 (CEST)[répondre]

Illustration de l'article

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L'illustration est inappropriée. Elle représente un homme, certes mammifère, mais le choix s'est porté sur un homme noir "chasseur", laissant penser qu'il est plus proche de l'animalité que d'autres humains. Il y a manifestement un préjugé raciste. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.224.59.145 (discuter), le 28 septembre 2019 à 23:49 (CEST)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil

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Une anecdote basée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence, sa formulation ou l'ajout de sources dans l'article.
Les anecdotes sont destinées à la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil de Wikipédia. Elles doivent d'abord être proposées sur la page dédiée.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 03 avril 2020 à 00:16, sans bot flag)

Monotrèmes : comment allaiter sans mamelles ?

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Dans les caractéristiques, l'exception des monotrèmes est indiquée en ces mots : Parmi les mammifères actuels, les monotrèmes sont les seuls à ne pas posséder de mamelles.

Or l'article sur les monotrèmes indique dés le début : Les monotrèmes (Monotremata) constituent un ordre animal défini par Charles-Lucien Bonaparte en 1838, regroupant des espèces caractérisées par le fait d'être à la fois ovipares et mammifères : ils pondent des œufs mais allaitent leurs petits.

D'où ma question : si l'incohérence apparente n'en est pas une, alors comment les monotrèmes allaitent-ils leur petits, s'ils non pas de mamelles ?

Merci de la précision, ou de la correction. 77.192.89.34 (discuter) 30 décembre 2022 à 11:56 (CET)[répondre]

La réponse (ici) est :

« Après la naissance, les jeunes lèchent le lait qui perle au niveau des champs mammaires, deux zones glandulaires de part et d'autre de l'abdomen (les mamelles et les mamelons, présents chez les autres mammifères, n'existent pas chez les monotrèmes). Les glandes mammaires, très simples, aboutissent au niveau d'un pore de la peau, à la base d'un poil particulier, épais, appelé poil mammaire[1]. Chez l'échidné, ces champs mammaires sont situés dans une poche incubatrice d'environ 4 cm de largeur, qui n'existe qu'au moment de la ponte et de l'allaitement[2]. »

Ariel (discuter) 30 décembre 2022 à 13:18 (CET)[répondre]

Références

  1. Beaumont A et Cassier P, Biologie animale Tome 3, Paris, Dunod université, (ISBN 2-04-016946-6), p. 144-225-228-231-615-617-623-626.
  2. Collectif, Grande encyclopédie alpha des sciences et techniques, Zoologie tome II (1974), p. 85 à 88, Grange Batelière, Paris.

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil

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Une anecdote fondée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée, elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence ou sa formulation et à ajouter des sources dans l'article.
Les anecdotes sont destinées à la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil de Wikipédia. Elles doivent d'abord être proposées sur la page dédiée.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 10 décembre 2023 à 12:17, sans bot flag)

8 milliards d'individus Homo Sapiens

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Ce paragraphe comporte, me semble-t-il, quelques inexactitudes et erreurs que je me suis permis de souligner dans le texte :

  • Les huit milliards d'êtres humains constituent la population la plus importante de mammifères (et pas des seuls animaux domestiques). C'est même probablement la plus importante de tous les vertébrés. Concernant les invertébrés, je n'ai pas de données chiffrées, mais si les fourmis, par exemple, sont sans doute plus nombreuses que les humains, elles se répartissent en 16 000 espèces en ,
  • La population des rats est certainement proche de celle des humains, mais là aussi, il existe des centaines d'espèces différentes contrairement à l'Homo sapiens.. 93.19.43.177 (discuter) 5 février 2024 à 00:46 (CET)[répondre]
Bonjour. Je ne vois pas de contradiction dans la formulation, qui signifie que l'homme est plus nombreux que n'importe quelle espèce domestique.
Ça reste une estimation, pas un décompte précis, et on peut donc légitimement en douter. Le conditionnel me parait incontournable.
Parmi les rats, on parle sans doute de Rattus norvegicus, espèce la plus répandue dans le monde actuellement (mais ce n'est pas sourcé), cette espèce est vraiment partout.
Je doute qu'on puisse étendre le résonnement aux vertébrés, car un certain nombre d'espèces de poissons marins doivent largement dépasser les effectifs humains à l'échelle mondiale. Même en eau douce, l'épinochette par exemple est présente dans presque tous les plans d'eau des régions boréales d'Eurasie et d'Amérique du Nord, et elle est même présente en mer. La plupart des Chinois mangent régulièrement de la carpe, or il faut trois ans pour qu'une carpe atteigne une taille consommable, il y a donc certainement bien plus de carpes dans les rizières et plans d'eau de Chine que de Chinois dans le pays, surtout si on compte les alvins, et ça surpasse probablement l'humanité. Le poulet/coq/poule est aujourd’hui élevé et consommé en quantité par la majorité des peuples du monde, et il a des effectifs bien plus importants que l'homme dans beaucoup de pays, y compris tous les pays d'Asie. Dans le monde sauvage, il y a aussi certains amphibiens qui comptent des densités de plusieurs centaines à milliers d'individus par hectare sur des aires de répartition de plusieurs millions de kilomètres carrés (certaines grenouilles arboricoles tropicales, des urodèles comme Salamandrella keyserlingii qui grouille dans toute la Sibérie et au-delà, probablement quelques urodèles d'Amérique du Nord, ou même la grenouille ou "crapaud bufle" Pyxicephalus edulis qui sort de terre en nombre invraisemblable à chaque saison des pluies dans toutes les savanes d'Afrique, etc). Parmi les reptiles quelques espèces atteignent de très fortes densités sur de grandes aires de répartition et peuvent probablement dépasser les effectifs humains : l’iguane vert dans les forêts tropicales d'Amérique ? le lézard vivipare dans les régions boréales d'Eurasie ? probablement plusieurs geckos et scinques tropicaux, et la tortue boite dans les forêts d'Amérique du Nord où elle atteint des densités parfois énormes (les promeneurs doivent faire attention à pas marcher dessus) ? Quant aux invertébrés, bien évidement de très nombreuses espèces surpassent les effectifs humains dans le monde, et de loin.
Cordialement :-) Robur15 (discuter) 5 février 2024 à 04:26 (CET)[répondre]