Édouard François Zier

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Édouard François Zier
Édouard Zier, gravure par Désiré Quesnel
Figures contemporaines tirées de l'Album Mariani
Naissance
Décès
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ThiaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Père
Conjoint
Noémi Balleyguier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Édouard François Zier, né à Paris en 1856 et mort à Thiais le [1], est un peintre et illustrateur français.

Biographie

Élève de son père, Victor Casimir Zier, qui était peintre[2] et de Jean-Léon Gérôme, il expose sa première toile, Mort de Caton d'Utique, au Salon de 1874[3].

Édouard Zier a collaboré à de nombreux journaux tels que L'Illustration[3], Le Monde illustré[3], Le Courrier français, Le Journal de la jeunesse et Le Tour du monde. En 1917, il remplace le dessinateur Joseph-Porphyre Pinchon, mobilisé au front, pour dessiner deux histoires de Bécassine, dont Bécassine chez les Alliés, en collaboration avec Maurice Languereau, alias Caumery[4].

Il a également illustré de nombreux ouvrages, entre autres Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas,[5][1] Aphrodite de Pierre Louÿs,[6] Le Roman comique de Scarron[3], La cantiniére du XIIIe siècle de Georges Le Faure,[6] Les Trésors de la fable d'Auguste Louvet, Jeanne d'Arc de Marius Sepet,[7] Voyages et aventures du Capitaine Marius Cougourdan d'Eugène Mouton,[8] Seulette et Le Trésor de Madeleine de Pierre Maël,[8] A l'abordage d'Henry de Brisay,[9] ainsi que plusieurs ouvrages de Zénaïde Fleuriot[10], de Jeanne Schultz,[8]. En 1890, il illustre le roman Reconnaissance de Marie d'Agon de la Contrie.

Œuvres

Galerie

Notes et références

  1. ↑ a et b « Édouard ZIER (1856-19 janvier 1924) », Revue des lectures, vol. 12,‎ , p. 101
  2. ↑ Enregistré comme portraitiste, histoire aux salons de peinture, a réalisé des œuvres religieuses
  3. ↑ a b c et d Uzanne 1903
  4. ↑ Antoine Court, Regards populaires sur l'Anglo-Saxon : drôles de types, publications de l'université de Saint-Étienne, 2003, (ISBN 2-86272-273-1), p. 196
  5. ↑ Megías (2007), p. 57.
  6. ↑ a et b Megías (2007), p. 61.
  7. ↑ Megías (2007), p. 70.
  8. ↑ a b et c Megías (2007), p. 63.
  9. ↑ Megías (2007), p. 67.
  10. ↑ Megías (2007), p. 68.

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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