Utilisateur:YvAna & André/Brouillon YVETTE GALOT, ELUE DE LA VERITE POUR UN LOBBYING ETHIQUE

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LOBBYING ÉTHIQUE
                           ÉLUE DE LA VÉRITÉ
                           Yvette GALOT
Illustration.
5ème Vice-Présidente Région Martinique

IIIème Forum des Régions Ultra-Périphériques Octobre 2014 à Bruxelles

Fonctions
Conseillère Municipale 2ème Maire-Adjointe
En fonction depuis le
(16 ans, 2 mois et 6 jours)
Élection 1995 – 2000 : Conseillère municipale ville du DIAMANT 4500 habitants
Réélection 2001 - 2008 : 2ème Maire-Adjointe de la ville LE DIAMANT 6000 habitants
Candidate Élections 2008 et 2014 Conseillère municipale d'opposition
En fonction depuis
(16 ans, 2 mois et 6 jours)
Élection 2008 – 2014 : Conseillère municipale opposition ville du DIAMANT 6000 habitants
Réélection 2014 - 2020 : Conseillère municipale opposition ville LE DIAMANT 6100 habitants
5ème Vice-Présidente du Conseil Régional de la Martinique

(5 ans, 8 mois et 22 jours)
Élection Présidente de la Commission Culture & Patrimoine Élue en charge du Personnel Présidente des C.T et CAP
Biographie
Date de naissance (55 ans)
Lieu de naissance Fort-de-France (Martinique)
Nationalité Française
Parti politique AUCUN PARTI PRIS
Père Lara Yves GALOT
Mère Amour Marie-Reine GALOT
Conjoint André JEANNE-LOUISE
Enfants Samuel, Emmanuel, Guévara SAE--GALOT
Profession Cheffe d'entreprise, 28 ans d'expérience


Biographie[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT est arrivée sur cette terre après neuf mois dans le ventre de ses parents, la parèdre Amour et Lara, le 7 avril de cette fameuse année 1969 sous le prénom de Yvana qui fut refusé à l'état civil français à Fort-de-France, au motif de "prénom d'origine russe qui ne peut être validé, nous sommes en pleine période de Guerre froide contre la Russie". Yvette GALOT débute ainsi son entrée sur la terre ferme sur fonds de conflit politique larvé international. Tout le reste de sa vie la plongera dans la Politique. Sa scolarité à l'école primaire du bourg du Diamant, la commune d'ancrage de son père, fils Orphelin à 2 ans de Casimir Neveu "GALO", Militant politique assassiné le 24 mai 1925, par les fusils à baïonnette des militaires de l'armée coloniale française, alors qu'il militait, avec d'autres, contre la fraude électorale institutionnelle en pleine élection municipale, dans ce que l'histoire sociale nomma "La Guerre du Diamant" qui se solda par dix morts. A 10 ans, Yvette GALOT fut ensuite scolarisée au collège du Diamant jusqu’à la classe de 4ème, puis au Collège Cassien Sainte-Claire à Fort-de-France. Elle vécut dans la capitale, de l'île, en pension chez sa sœur Pierrette, avant de rejoindre le lycée de Bellevue à Fort de France où elle obtient son Baccalauréat B (Sciences Économiques et Sociales), en 1989, avec une option en langue allemande.


Yvette GALOT vit au grand air, baigne dans l'éducation stricte et ouverte de ses parents très aimants qui lui livrent les premières leçons de Vie, au rythme des nombreuses activités culturelles qui rythment le bord de mer, et sont célébrées sur l'une des plus belles plages de l'île. La devise reçue du vivant de Lara, son Père Terrestre, illettré et analphabète l'a forgé dans une Conscience politique de lignage à assumer, en une résilience fondée sur la bonne humeur pour persévérer en toutes circonstances en restant solide et ferme dans ses convictions à l'image de la pierre brute du Rocher du Diamant, face à cette histoire très complexe et sombre des nègres en exil :

" Toujou O Galo San Janmin Rété !" 
  
"Toujours à avancer et persévérer sans jamais s'arrêter !"


Formations et débuts professionnels[modifier | modifier le code]

Après une inscription en DEUG de Sciences Économiques et d’Histoire à L’Université des Antilles et de la Guyane à Schoelcher, Martinique, de 1989 à 1991,Yvette Galot quitte ses études en cours ne se sentant pas sur sa voie dans le théorique, pour vivre la réalité du terrain économique, politique plus pragmatique et surtout beaucoup moins intellectuel. Au grand dam de ses camarades étudiantes, elle s'inscrit à une formation de gestion touristique au Centre de Formation à la Gestion de la CCIM (Chambre de Commerce et Industrie de Martinique). Dénommée Promotion H.T.R Cadre de Direction (Hôtellerie-Tourisme-Restauration), cette formation est dispensée par des cadres professionnels référencés dans le secteur du Tourisme et de la Gestion. Son sujet d’étude est concret. Allier atouts culturels et marketing touristique. Elle y apprend le travail en co-élaboration. Avec ses collègues stagiaires, ils montent une croisière pour réaliser un travail collectif : une étude de marché comparative sur l’accueil touristique dans les Caraïbes en faisant une croisière d’une semaine du Sud des petites Antilles, jusqu’à Porto-Rico.


Son sujet d’examen qui consiste en la Création virtuelle dans son île d’un Cabaret-Restaurant, de dimension caribéenne, dans la capitale Fort-de-France, pour la Valorisation des Musiques Traditionnelles et danses folkloriques des îles. Elle obtient le Diplôme HTR de niveau Deug. Pour rentabiliser ce projet de Cabaret-Complexe Culturel qui devient pour elle un objectif, Yvette Galot comprend qu’il lui faut connaître les rouages des circuits de commercialisation.


Une démarche avant-tout pragmatique et concrète[modifier | modifier le code]

Une nouvelle opportunité s’offre à Yvette Galot: la toute nouvelle offre de formation par l’AFPA Martinique, de niveau Bac + 2 dans le secteur du Tourisme qui en pleine effervescence économique sur l'île : la formation TCPT (Technicienne de Commercialisation de Produits Touristiques), qui se solde par une étude de prospection de clientèle à Montréal durant la Fête très populaire de la Saint-Jean en juin en partenariat avec l’Office du Tourisme de Martinique installé à Montréal. Avec l'équipe de ses collègues stagiaires, ils montent un programme de commercialisation des spécificités culturelles de l'île en s'invitant sur le char des festivités de rue de la Fête de St-Jean, à Montréal, au CANADA, portant haut la Grand-Robe traditionnelle, symbole de l’élégance de la Femme Antillaise, arborées dans les grandes célébrations de famille et dans les concours d'élégance des Reines-Mères.


La dimension économique et politique est intrinsèque à son parcours d'apprentissage. Aussi, le mémoire d’examen traité par Yvette Galot pour l’obtention de son diplôme est « De la nécessité de développer sur le plan économique le Tourisme Culturel en Martinique" en s'appuyant sur les atouts traditionnels à valoriser dans l'île à partager dans le respect : cas d’étude : le groupe KASSAV’ qui remporte un succès en Europe».


Ce sujet d'études l'a conduite vers la DRAC pour la recherche de son stage et Yvette Galot est poussée à s'investir dans une Fabrique artistique et culturelle Créative, qui a suivi un combat mené par un groupe d'artistes engagés de l'île « Le Corps Musical », dans l’ex-hôpital militaire de l’Ermitage dans la Capitale Fort-de-France.


La révélation de la cause en faveur des artistes...[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT découvre un besoin exprimé dans la douleur de certaines situations, de professionnalisation des artistes avec ces militants engagés. Son tuteur de stage, Jean-Luc Héricher, qui travaille avec la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles de Martinique, institution décentralisée du Ministère de la Culture), lui présente une nouvelle opportunité : celle de pouvoir postuler à un appel à candidature pour la Formation « Manager du monde de la Musique » se déroulant en France. Vingt stagiaires seront retenus sur 600 candidats en moyenne venant de toute la France. Sans hésitation, elle relève ce défi pour se spécialiser dans le droit social en vue de la professionnalisation des artistes. Au concours d’admissibilité devant un jury situé à Paris, devant la réalité vécue et le besoin exprimé par les artistes de la Martinique, Yvette GALOT défend la nécessité d’accompagner son pays dans le cadre de politiques économiques, alliant sociologie, commerce et droit des artistes. Elle est sélectionnée parmi les 20 stagiaires d’Issoudun, une ville située à 60 Km environ de Bourges, ville organisatrice du plus gros festival de France de l’époque, « Le Printemps de Bourges ».

D'octobre 1992 à Juin 1993, elle poursuit la formation de « Manager du Monde de la Musique 4ème Promotion », une formation conçue au départ dans sa commune d'Issoudun, dans le milieu du rock français par Bertrand LEDOUX, un ancien papa manager forcé d'un groupe de rock en progression, "Les Blankass", monté par ses deux fils. La formation qui se déroule à Issoudun (Indre), est reconnue par le Ministère de la Culture et est chapeautée par L’IRMA (*1) (Centre de Formation et de Ressources pour les Musiques Actuelles) situé à Paris.

Yvette Galot y choisit l’Option « Entrepreneur de Spectacle » et « Manager Agent artistique ». C'est du concret comme elle aime. C'est vivant. Tous les formateurs et intervenantes de cette formation sont aussi des professionnels en exercice dans de grosses maisons de disques de dimension internationale, des managers et producteurs d’artistes de renom dans une France artistique qui bouillonne. Yvette GALOT est plongée dans le milieu du rock français. Elle assiste même à des concerts avec les Blankass avec la joie de la découverte d'une culture différente. Elle y rencontre la xénophobie et parfois le racisme anti-nègre, du type "je n'embarque pas les gens de couleur dans ma voiture", lancé au tout début par l'un des stagiaires de la formation, "je vous loue l'appart au téléphone, et quand je vois votre couleur, je vous refuse parce que vous êtes une négresse", deux fois de suite, à Issoudun. Pour y faire face, et soutenue par son directeur de centre, elle est accueillie pour dormir dans un centre AFPA tout neuf. Et elle résiste à ce qu'elle qualifie "d'ignorance des confinés des esprits territoriaux" manipulés sur l'absence d'histoire dans les manuels scolaires d'Etat, sur les civilisations nègres proto-historiques, qui ont bâti cette Planète : Ignorance chronique qui induit les peuples a-culturés à de telles dérives. Elle en fait un combat par l'arme miraculeuse de sa résilience culturelle naturelle et de l'art de l'observation transmise par son père. Et elle parvient en restant en Amour, à imposer sa singularité de fille des îles défendant la voix des artistes des îles dans un programme de professionnalisation.

Son sujet d’examen est la création d’un projet concret ou d’un sujet théorique. Elle choisit encore une fois le concret, par le concert. Elle matérialise sur papier la Création d’une Agence Artistique qu’elle nomme « L’Agence Artistique Emergen’s ». Elle obtient sa certification de niveau Bac + 2 de « Manager du Monde de la Musique 4ème Promotion avec de bons résultats», faisant d’elle la Première Femme nègre Manager diplômée dans son pays[1]. Elle revient au pays pour y retrouver son père malade et sa famille, à la demande expresse de son papa, elle choisit de rester mettre à disposition ce qu’elle a appris. Son père décède 17 jours après sa décision d'annuler un contrat déjà signé dans une Maison de disque à PARIS et d'en faire profiter l'une de ses camarades de stage de la Guadeloupe, pour postuler chez des producteurs de l'île en envoyant des lettres de candidatures spontanées. Au bout de cinq jours, elle est contactée par un producteur. Un CDI de 50% de la valeur du revenu parisien lui est proposé. Elle accepte avec joie

Vision Socio-Economique et Culturelle[modifier | modifier le code]

Après un bref passage en contrat CDI, chez ce producteur de disque de l’île, JM Productions Mano Granier, Yvette GALOT choisit de mettre fin au CDI au bout de six mois de bons et loyaux services, pour répondre à cet appel plus fort, qui la pousse à créer une entreprise, et faire ce pour quoi elle avait fait l’effort de quitter l’île, de se battre y compris avec le racisme ignorant rencontré sur sa route, pour faire valoir sa différence. Bravant le risque de se retrouver sans aucun moyens, elle démissionne sans hésitation pour se consacrer à la cause plus large et pouvoir être libre et utile à un plus grand nombre d'artistes de son pays de toutes les disciplines artistiques. Elle décide de donner vie à son sujet d’examen à Issoudun en enfantant de L’ Agence Artistique EMERGEN’S. La première agence privée de professionnalisation des artistes de l’île qui entendait surtout travailler en harmonie et cohésion avec toutes les structures et institutions publiques existantes.


Faire fructifier le Partenariat Privé-Public en impliquant les institutions étatiques dans la professionnalisation et la mise en place d'une économie de l'art et des traditions immatérielles[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT fait une demande de licence d’agent artistique qu’elle obtient en novembre 1993 du Ministère du Travail sous le numéro 667. En 1994, démissionnaire, Yvette Galot est sans le sou. Pour obtenir les moyens financiers pour ouvrir l’entreprise et la développer, Yvette GALOT rencontre une nouvelle opportunité sur sa route : Le Concours « DÉFI JEUNES » organisé sous l’égide du Ministère de La Jeunesse & Sport. Elle y présente sa candidature à Fort-de-France. dans la catégorie « Entreprises ». Elle remporte le 1er Prix départemental "DEFI JEUNES[2]". Elle obtient une enveloppe financière jointe à celle de son sponsor privé, première étape d’accessibilité ce Défi. Son dossier est envoyé à PARIS à son insu par un fonctionnaire Jeunesse & Sport Martinique, Monsieur André FAURE, aux fins de représenter la Martinique dans le « DÉFI JEUNES NATIONAL ». Elle est la seule candidature retenue pour l’ensemble des DOM-TOM. Elle part défendre l’utilité du Modèle Socio-Economique Solidaire dans l'art, qu’elle élabore à partir de l’Agence Artistique Emergen’s, sous le statut juridique très à risque d’une entreprise individuelle, où les biens personnels sont engagés.

Le choix de servir les artistes comme Manager est plus fort. Elle convainc le jury de professionnels et obtient à PARIS le Premier Prix National de la meilleure Jeune entreprise innovante du "DÉFI JEUNES" pour toute la FRANCE en 1994, à l’âge de 25 ans. Cette distinction lui est remise à Bordeaux avec des moyens financiers supplémentaires. Ce qui lui permet, avec le soutien continue de sa famille, de monter, en toute discrétion, L’Agence Artistique EMERGEN’S: comme Manager, agent Artistique en obtenant la licence d’État pour l’exercice de cette profession, puis comme Entrepreneure de Spectacle ne pouvant obtenir de licence nationale étant sur l'île. Cette injustice, teintée pour elle d'une iniquité, devient son prochain défi à surmonter. Elle comprend par ses recherches, que le sujet est politique et législatif.

Et si le combat de la dignité des artistes en valait la peine...[modifier | modifier le code]

C'est en tant que Conceptrice, Entrepreneure de Spectacles qu'elle se bat pendant des années par du lobbying politique auprès des députés de l’époque. Avec sa petite entreprise privée, Yvette GALOT organise, sur deux journées, les 05 et 06 février 1995, le "1er Colloque du genre sur le droit Social dans le Spectacle dans les DOM-TOM" en Martinique, avec le concours de l'un de ses anciens formateurs, Stéphane LE SAGERE, qui était à l'époque président du syndicat national des artistes musiciens. Elle arrive à convaincre le Directeur du Ministère du Travail en Région, le DRAC de l'époque, Joby Bernabé, le président du Corps Musical, Christian Boutant le directeur de la SACEM relayé, le sous-directeur de la Caisse de Sécurité Sociale, le Président du Syndicat de la Grande Hôtellerie, des collectivités publiques, la direction de l'ANPE Martinique qui a délégué un agent, et Fanny AUGUIAC, la directrice du CMAC, de se joindre à elle autour de la table pour ce séminaire mémorable, bien relayé par la presse locale.

Un an après, en 1996, Yvette GALOT part à la conquête de la Caraïbe, de la Guadeloupe et de la Guyane, en conceptualisant le 1er « Trophée des Jeunes Talents de la Caraïbe », un concours de performance sur la Voix des îles, avec comme invité d’honneur le Premier Ministre de Sainte-Lucie, Le Sir John COMPTON, et Ophélia de la Dominique. C'est Tamara Sainte-Marthe de l'île de Sainte-Lucie qui remporte le premier prix financé par Yvette GALOT avec son entreprise, à savoir la réalisation d'un CD.


L’objectif de ce concept est de favoriser les retrouvailles chez les Afro-descendants esclavagisés par le dialogue interculturel avec en point de mire l’ouverture d’un marché économique potentiel pour les artistes des îles de la Caraïbe et des Antilles. Sans aucune subvention publique, l’entreprise EMERGEN’S loue la salle Le Grand Carbet, pour organiser ce spectacle enregistré et diffusé en prime-time un samedi soir par la télévision publique Télé Martinique, sous la direction des antennes de Gérard CÉSAR de la Guadeloupe qui soutient la VISION.


Tout cela se fait pendant qu’Yvette GALOT poursuit son lobbying économique et politique : celui que la Licence d’Entrepreneure de Spectacle, relevant de L’Ordonnance Législative de 1945, soit datant d’avant la départementalisation de la Martinique (obtenue le 19 mars 1946), soit révisée pour être étendue, à l’ensemble des DOM-TOM. C’est ainsi, qu'ayant appris par des sources parisiennes du militantisme culturel, la révision nationale de l’Ordonnance de 45, qui régit le Spectacle Vivant, Yvette GALOT amplifie son action soutenue par son ancien professeur Stéphane LE SAGERE, auteur du livre "Profession artiste", qui était consulté dans cette révision portant sur la reconduction du régime particulier d'assurance chômage des artistes et techniciens du spectacle, au titre de ses compétences professionnelles approfondies sur le sujet et de son militantisme syndicale. Sur ces conseils, Yvette GALOT restée en contact permanent avec lui pour le suivi, crée le Syndicat des Entrepreneurs de Spectacles avec un nouvel arrivant dans la profession dont elle encourage l’implication, pour appuyer la démarche politique et assurer l’installation de la Commission d’attribution de la licence auprès de la DRAC Martinique qui sera le relais national en Région du Ministère de la Culture pour le suivi et la concrétisation de ce dossier à haut potentiel économique pour les entreprises, mais surtout pour l’exportation et la commercialisation des talents des artistes de l’île et des DOM vers l’Europe. Sa petite entreprise reconnue pour ses combats, comme le relate un article paru dans Le Monde[3] est bien représentative de cette tenace envie chez les jeunes martiniquais de s'en sortir par la création d'entreprises innovantes. C'est ainsi qu'elle avait déjà à l'orée du 21ème siècle, organisé de nombreux concerts de portée nationale voire internationale, comme celui de Cesaria EVORA en 1998 en Martinique, ou de Compay Segundo puis du Buena Vista Social Club[4] en 2002, 2001, mais ne pouvait louer une salle à Paris ou à Toulouse, ou Bordeaux, par exemple, pour organiser des concerts pour des artistes des îles émergents, par absence de licence.

A force de rapports et de combats, la licence d’Entrepreneur de Spectacle est enfin prise en compte dans l'Ordonnance révisée de 1945, le lobbying est fait sur plusieurs points dont l'extension de cette ordonnance qui offre au spectacle vivant un cadre juridique de professionnalisation rénové entamé en 1999, et étendu en l'an 2000 à l'ensemble des DOM-TOM. C'est son premier combat politique dans le secteur du lobbying économique et politique pour l'art, qui ne concerne pas que son île la Martinique, mais l'ensemble des DOM-TOM. La mise en place de la Commission d'attribution fut un autre challenge à cause de la lourdeur du système administratif étatique.

Le temps de l’installation de la Commission d’attribution de la Licence en région est plus lente. Une nouvelle porte providentielle inattendue s'ouvre pour Yvette GALOT. L’artiste de Martinique Gertrude SEININ demande à Yvette GALOT de financer et produire un concert qu'elle pourrait avoir l'opportunité de faire à L’ OLYMPIA de PARIS, grâce à Madame Ninette André par des connaissances parisiennes, à l’occasion des célébrations du centenaire de l’éruption de la montagne Pelée en mai 2002. L’artiste confrontée à cette exigence de L’ OLYMPIA de fournir une Licence d’entrepreneur pour louer la salle, comprend alors l’importance de s’impliquer aux côtés d’Yvette GALOT. L'Agence EMERGEN'S a bien les fonds pour réserver la salle six mois avant la date prévue, mais la licence est encore dans les circuits administratifs des Ministères à Paris. Il en va de l'intérêt de l'artiste qui prend à cette occasion toute la mesure de ce combat de professionnalisation des artistes et des professionnels privés du spectacles vivant des îles, entamé lors du Colloque de février 1995. Yvette GALOT l'invite à s'impliquer à ses côtés dans ce dernier round pour faire en sorte que La licence d’Entrepreneure soit de manière exceptionnelle, attribuée par dérogation préfectorale à Yvette GALOT pour couronner ses années de combat avec sa petite entreprise.



Franchir certaines étapes demande d'être dans la Conviction...[modifier | modifier le code]

C’est ainsi qu’est organisé et produit par une jeune entreprise des Antilles, pour la première fois, le premier plus somptueux concert de valorisation de La Biguine de Saint-Pierre, enterrée sous les décombres du volcan La Pelée, sous la direction artistique de Gertrude SEININ et son breton de mari, Roland qui déplace un bus de Breton au concert des cultures : « La BIGUINE A L’OLYMPIA » avec un grand orchestre de 17 musiciens placés sous la double direction de Manuel CÉSAIRE et des proches musiciens de son papa Mano CÉSAIRE, Jean-Marc ALBICY, De Négri et tous les autres, avec le steel Pan des Caraïbes de l’école de Guy LOUISET à L’honneur, le Ballet Intercommunal du Sud de la Martinique, Tché Kréyol de Michel FILIN, le chanteur de ragga- Caribbean rap, Valley, de Fort-de-France et en invité d’honneur le musicien de guitare classique de dimension internationale : le japonais Ichiro Suzuki. Plus de 70 personnes ravissent le publics des îles, de France et de Bretagne qui se déplacent pour ce concert historique à guichet fermé organisé, régi, produit par les fonds propres de Yvette GALOT et sa petite entreprise installée dans sa commune du DIAMANT où elle est devenue entre-temps 2ème adjointe au Maire. L’Office du Tourisme de Martinique se mobilise pour communiquer sur ce concert, le Ministère de la Culture accompagne l’artiste et le Conseil Régional de l’époque offre les billets d’avions aux 70 musiciens, la SACEM s’implique. Yvette GALOT qui a tout investi de ses fonds propres pour la location de la salle et la logistique joue gros. Elle peut y perdre son entreprise. Mais, c'est une femme de Conviction qui fait tout sans peur et sans hésitation quand il s'agit de cause noble : ressusciter l'Institution Biguine du temps des "Bals nègres" des Ernest Léardée, à PARIS. Le concert se tient à guichet fermé dans la salle mythique de L'OLYMPIA noire de nègres, qui pour certains n'ont jamais pu revenir voir leurs familles sur l'île après cinquante ans par manque de moyens.


Après 1995, Yvette GALOT réussit en 2002, le challenge de mettre en musique et en harmonie toutes les institutions publiques pour célébrer l’entrée triomphale de la Biguine de Saint-Pierre du XVIIIème siècle à l’ OLYMPIA et la voie ouverte pour les entrepreneurs de spectacles des DOM-TOM de pouvoir organiser des concerts en toute liberté dans toute la France, voire l’Europe.


Jusqu'en 2002, l’agence artistique EMERGEN’S devient, avec le concours intéressé d’un mécène partenaire privé qui l'a emmenée à Cuba rechercher des musiciens traditionnels, l’organisatrice exclusive et privilégiée de l’artiste Compay Segundo avec lequel elle développa une franche collaboration, signe d'une entente intergénérationnelle dans le "melting-pot très riche de la Caraïbes".


De 2002 à 2003, Yvette GALOT souhaite se former pour aller plus loin encore et parce qu’elle aime apprendre. Elle est up-gradée d'un niveau Bac + 4 par validation des Acquis professionnels à l’Université LYON 2 Sociologie pour accéder à un DESS Professionnel * (DESS : Le Diplôme d'Études Supérieures Spécialisées) en « Direction de Projets Culturels ». Elle choisit comme objet d’étude "Les enjeux de la valorisation du Patrimoine immatériel de la Martinique". Le sujet est très politique et sociologique. Elle suit ses deux années d'étude avec persévérance.

Le champs d'intervention professionnel est en train d'évoluer... L’heure de l’action institutionnelle !


Elle doit pourtant choisir entre l’obtention du DESS et la disponibilité exigée de répondre aux contraintes liées à sa nouvelle nomination, par le Conseil Général après avoir postulé à un appel à candidature sur le poste semi-public sous couvert associatif, de directrice du Centre Culturel de Rencontre installée dans une Habitation historique du XVIIème siècle, Le Domaine de Fonds Saint-Jacques. Dans ce Programme scientifique sur les traditions orales, entamé par Jean-Claude William un ancien président universitaire, et la directrice du Centre qui l’a précédé, Yvette GALOT a la mission d'asseoir le Programme de recherche pour lequel le Centre a obtenu d'être affilié à L’A.C.C.R, (Association des Centres Culturels de Rencontre). Elle poursuit le travail en y apportant sa touche singulière pour une mise en œuvre appliquée et accessible à tous les publics dans un territoire du Nord agricole symbole de la ruralité en Martinique. Le travail essentiel porte sur une étude comparée sur L’Oralité dans les Caraïbes et les Amériques. Yvette GALOT dirige le Centre Culturel Fonds Saint-Jacques de février 2003 à septembre 2011 tout en l'inscrivant dans une dynamique européenne et internationale par des participations à des colloques au Brésil, en Grèce, en Allemagne, en France pour partager les résultats et méthodologies utilisés pour la recherche entamée sur la productivité économique de la Culture et l'intégration sociale des jeunes en situation d'exclusion par L'ART. Elle est proche des jeunes du quartier Saint-Jacques qu'elle intègre dans le Programme scientifique d'expérimentation.

Yvette GALOT maintient l'activité croissante de l’entreprise l’Agence Artistique Emergen’s », elle en confie la direction et l’administration à trois jeunes femmes qu’elle a formées, deux de sa commune et une autre de la Martinique. Elle garde la main sur la gestion des trois premières éditions du Festival de Haute Taille et des Quadrilles du Monde, qu’elle conceptualise et propose dans la fréquence d’une biennale à la ville du François en 2002. LA "HAUTE TAILLE », que la nouvelle adjointe à la culture, Madame TINAUT, lui a demandé de revaloriser dans le cadre des compétences en ingénierie de projet culturel, et par la mise en œuvre d'un audit, qui est une autre corde à l'arc de l'Agence EMERGEN'S en matière de politique publique de la culture. Le symbole très  fort pour Yvette GALOT, dans cette commune du François qui est celle de sa mère Amour, Marie-Reine, perdure dans cette ville par cette musique dansée dite de salon du XVIIème siècle. Elle va plus loin en proposant à la Commune d’ouvrir cette musique dite "coloniale" à sa Vérité Historique. Yvette GALOT entame des recherches sur une année qui l'amène à découvrir que la Haute-Taille est une forme résurgente du quadrille européen.


Manager à l’époque de Dédé SAINT-PRIX, musicien ayant conservé et valorisé le style « Chouval Bwa », elle lui demande des informations sur cette danse. Il l’a dirige vers David KHATILE, un Martiniquais du Lamentin, docteur en ethnomusicologie, qui est invité pour animer le colloque sur les Quadrilles du Monde. C’est ainsi que La Ville du François accueille et devient l’organisatrice du 1er Festival International De la Haute-Taille et des Quadrilles du Monde conceptualisé et organisée de A à Z par Yvette GALOT et son équipe.

Des groupes de toute la planète se déplacent ainsi durant quatre jours en Martinique. Les hôtels de la commune sont pleins. Yvette GALOT réussit sur un espace d’expérimentation la démonstration faite en 1992 dans son Mémoire « Pour un développement du Tourisme Culturel en Martinique ». Elle organise les trois premières éditions de cette Biennale : 2003 -2005 -2007 et confie la suite à un jeune entrepreneur de l’île, dès lors que la partie politique de sa mission prend le pas sur l’économique et qu’elle devient la 5ème Vice-Présidente de La Culture et du Patrimoine du Conseil Régional de Martinique, de 2010 à 2015. Dans sa détermination à aller encore plus loin dans la professionnalisation des Artistes, en objectifs permanents, pour doter les Artistes d’un outil de structuration publique pour la mise en place d’une véritable économie de la Culture et des Arts, ayant fait avec son entreprise tout ce qu’elle pouvait faire dans la limite de ses Possibilités, Yvette GALOT garde le cap en soutenant les Artistes en leur proposant comme intermittents avec des fiche de paie saisonnière et un statut reconnu, en tant qu’ « opérateurs incontournables » d’un produit à forte valeur ajoutée, pour un secteur prometteur de l’économie touristique.

Yvette GALOT a aussi été à l’origine des concepts d’animation du ports de croisières et de l’aéroport, financés et organisés par l’ARDTM (Agence Régionale de Développement du Tourisme en Martinique), mais aussi des animations par des groupes et ballets d’Île-de-France, de la FOIRE de PARIS.


La Parité inachevée[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT est entrée en politique, avec l'entreprenariat économique comme solution à expérimenter pour une autonomisation et une revalorisation de la conscience mémorielle économique des afro-descendants. Elle est entrée dans les institutions et collectivités de politique publique bien avant la mise en place de la Loi sur la Parité Homme-Femme. Elle a dû se battre dans le secteur très masculin, voire machiste du spectacle. Elle a réussi à manager des groupes constitués en majorité d'hommes, tout en se faisant respecter en tant que Parole Matricielle Féminine, en tournée et dans tous les autres rapports professionnels. Elle a aussi croisé sur son chemin politique et institutionnel le harcèlement et le chantage sexuel qu'elle a combattu avec fermeté par sa liberté d'entreprise dans le secteur économique et par l'absence de compromis sur le sujet.

Le pouvoir phallique l'a aussi combattu en secret, au point qu'elle ait fini par en faire un objet sociologique applicatif : la Gouvernance Paritaire Homme-Femme. Cette approche militante commencée en tant qu'Entrepreneuse active et leader économique est son leitmotiv basé sur une vision sans cesse affirmée de l'impérieuse urgence de la prise en compte et de la mise en œuvre d'une véritable démarche de Gouvernance Paritaire Homme-Femme pour une féminisation de l'approche managériale dans les organisations sociales.

La parité de quotas pour elle était inachevée. C'est cet objet de recherche qu'il lui tient à cœur de conduire, et de faire valoir dans tous les secteurs d'activité où elle est sollicitée et impliquée pour son pays, jusqu'à la Présidence de l'école Régionale d'Arts Visuels, qui sera transformé sur sa proposition en Université pluridisciplinaire d'arts sous le nom revisité de "Campus Caribéen des Arts" (CCA), sujet délicat et complexe qu'elle conduit avec enthousiasme et détermination.

Le respect de la Parole Féminine complémentaire à la vision masculinisée de la Société est son combat de toujours. La Gouvernance Paritaire Appliquée est aussi pratiquée et imposée par Yvette GALOT, dans sa mission de 5ème Vice-Présidente de la Région de la Martinique : Combat antique qui a encore des répercussions sociétales graves et pathologiques dans une société occidentale gréco-romaine érigée sur l'obélisque du pouvoir phallique de domination culturelle.

En décembre 2015, Yvette GALOT quitte tout de ses hautes fonctions dans les institutions et collectivités publiques pour revenir à ses amours fidèles de toujours : l'entreprenariat économique des femmes et des jeunes. Elle écrit son premier essai socio-politique auto-biographique, avec le livre "MA VOCATION" sorti en décembre 2017. Elle quitte l'île et installe deux entreprises dans le MIDI de la France, où elle poursuit sa Mission de chercheure Vérité en sciences économiques et sociales, en traditions orales, sur un plan macro et proto-historique en parallèle à la création de deux entreprises avec L’Époux que La Vie lui a offert pour cette nouvelle étape, qui lui ouvre de nouveaux champs dans le but toujours prioritaire, de la Pacification de La Société par le dialogue interculturel et le respect de la différence



Collaborer avec des artistes de la Caraïbe...[modifier | modifier le code]

Le 32e festival del Caribe dédié à la Martinique .

E. Ch. Jeudi 8 Septembre 2011 - 20h00

Madame Manin, présidente du Conseil général, et pour la Région, Yvette Galot, présidente de la commission culture et patrimoine, et Karine Galy, présidente de la commission coopération et affaires européennes, se sont rendues à CUBA.



Célébrer la vitalité des différentes formes d'arts traditionnels[modifier | modifier le code]

A l'heure du dire, du rire, du lire... .

2011 : Clôture aujourd'hui du festival des mots en hommage à Marius Gottin. Capitale des mots, du parler, du rire, du conte, de la lecture, ou de la danse, c'est dans les jardins de la cour Tamarin, à Bellefontaine, qu'a été donné le coup d'envoi du festival des mots dédié à Marius Gottin. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ombre de cet homme de communication, de littérature, de médias, tout simplement de culture a plané tout au long de la cérémonie, sur l'assistance...



La question de la Valorisation et du Partage du Patrimoine immatériel...[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT avec Savina TARSITANO EN GRECE EN 2007 DANS UN SYMPOSIUM SUR LA PRODUCTIVITÉ PAR L’ART . KID’S GUERNICA




Productions, Organisations, Manifestations à l’actif d’Yvette GALOT…[modifier | modifier le code]

Compay Segundo en Martinique…

Le jeudi 12 avril 2001, un concert Unique.




Rencontre en 2004 à Fonds Saint-Jacques avec le trompettiste Solon Goncalves

Yvette Galot avec Christian Boutant de la Sacem l'avait choisi en 2004, comme invité d'honneur de la seconde édition du Festival Biguine Jazz organisé par Fonds Saint-Jacques.

Dimanche 15 Novembre 2009 - 20h00 Décès du trompettiste Solon Goncalves. Le trompettiste de jazz brésilien est décédé hier, à l'hôpital Bichat à Paris à l'âge de 90 ans. Solon Goncalves a travaillé dans les années 1970 en Martinique avec des musiciens comme Winston Berkeley, Henry Guédon, Alex Bernard ou le regretté Bib Monville…

Elle avait à cette occasion, tenu à lui rendre hommage pour avoir fait découvrir sur les scènes extérieures la biguine qu'il avait associée à son tumbélé brésilien …




LA BIGUINE A L’OLYMPIA

Paris,  Gertrude SEININ le 12 mai 2002.

Et le Tout Paris Caraïbes put goûter à ces festivités du "Cœur Martinique" sans prendre l'avion.. .



Parcours d'une chercheure de Vérité[modifier | modifier le code]

Aux huit années passées à la direction du Centre Culturel de Rencontre de Fonds Saint-Jacques (label Franco-européen soutenu par l’Association A.C.C.R), qui est le cadre de programmation pluriannuel du Centre de Recherche Scientifique sur les Traditions Orales des Caraïbes, d’Afrique, et des Amériques, témoignent avec profondeur toutes les rencontres populaires pacifiées prenant racine sur ce premier site historique, durant ce choc des cultures que constitue l’histoire rapportée de La traite négrière et l’esclavage des nègres, aux confins de ce lieu de convergence de toutes les cultures qu’est la France, en ce qu’Yvette GALOT ait réussi à interroger les résurgences du conte en Europe, diagnostiqué les emprunts et Métissages des cultures.

La recherche continue…

FONDS SAINT-JACQUES est d’abord un musée quand Yvette GALOT y arrive : celui qui y célèbre L’architecture de l’habitation et le passage durant cinq années du dit « Révérend Père LABAT » d’origine Basque qui y dirigea les travaux de la Purgerie. Yvette GALOT, fille d’un père illettré et analphabète, comprend l’urgence à patrimonialiser les Contes, proverbes et traditions orales, croyances en tête. Cet objet cadre avec les objectifs scientifiques du programme du CCR:[Centre_culturel_de_rencontre] qu’elle doit mettre en œuvre après validation par le Conseil d’administration du Centre Culturel.



Son entrée politique à La Région Martinique[modifier | modifier le code]

Yvette GALOT crée trois mois après son arrivée dans le Centre Culturel Fonds Saint-Jacques, avec Alfred VARASSE, la Tragédie Musicale « DE L’ESCLAVAGE A L’ESPOIR » avec plus de 80 figurants et choristes sur scènes, dans un spectacle vivant retraçant de manière consciente, et pacifiée l’horreur de la méchanceté et de la haine humaine plus que le système qui la valide, l’esclavage.


En juillet 2003, Yvette GALOT y crée le 1er Festival « METIS’ARTS » dans lequel elle introduit le Soutien du Centre au Concept cher à Christian BOUTANT, le directeur musicien de la SACEM, de valoriser le style « Biguine Jazz » dans une soirée dédiée un jour. Yvette GALOT qui globalise tout va plus loin et lui propose alors d’inclure un nouveau festival dans le Festival METIS’ARTS qui est déjà dans les circuits de la communication, le 1er Festival « BIGUINE JAZZ », qu’elle propose de nommer « « Biguine Jazz Festival » : Le Festival dans le Festival ».



Explorer toutes les facettes de la Parole de Vérité...[modifier | modifier le code]

Elle a surtout une exigence, la même que pour tous les festivals et rencontres organisées : que LA PAROLE CIRCULE EN OUVERTURE pour comprendre cette société multiculturelle hybride qu’est la Martinique dans l’aire culturelle de la Caraïbe et des Amériques. Henri GUEDON est l’invité d’honneur. La conférence animée par Dalila DANIEL avec en invitée la chanteuse de jazz Roger Dorwling-Carter est proposée par Yvette GALOT sur le thème « De la Biguine au Jazz ». la Biguine de Saint-Pierre, qui se jouait à paris, comme ancêtre du Jazz américain.

En 2003, Yvette Galot, innove en introduisant LA PAROLE SCIENTIFIQUE POPULAIRE DISPARUE au cœur du festival METIS’ARTS qui se tient dans la Nord Atlantique en parallèle au Festival de Fort-De-France pour permettre aux gens du Nord de se retrouver, pour permettre aux vacanciers de passage en Martinique de retrouver leurs racines. D’où le choix imposé par ces objectifs culturels de la date de Juillet avant les pluies car tout se passe sur la pelouse en plein air.la 1ème Visio-Conférence du genre entre deux pays à l’honneur sur le premier festival METIS’ARTS : La Martinique et le Brésil représenté par le comté de SAO PAULO. Elle travaille cette préparation avec la metteur en scène brésilienne Jandira BAUER. Elle fait confiance à la jeune société d’un jeune Martiniquais convaincu que le Numérique est une chance économique pour communiquer.

Ce fut un succès qui la conduit à être invitée au BRESIL en novembre 2003 pour rencontrer les cultures syncrétiques oralisées et étudier leur similitudes avec celles de la Martinique. Elle lance une série de colloques, conférence et séminaires enregistrés pour laisser des traces.



Son parcours politique[modifier | modifier le code]

Élue politique depuis 1995, elle a vu s'installer la loi sur la Parité. Elle a dénoncé la dégradation accélérée du climat de confiance du public envers la classe politicienne, trop occupé à s'évertuer d'exécuter les mandats confiés par le "Peuple" pour s'occuper de régler les problèmes de ce dernier. "Il attendra la prochaine échéance électorale !"

1995 – 2000 : Conseillère municipale ville du DIAMANT commune de 4500 habitants

2001 - 2008 : 2ème Adjointe au Maire ville du DIAMANT commune de 5000 habitants

2010-2015 : 5ème Vice-Présidente du Conseil Régional de Martinique avec 400000 habitants.

Présidente de la Commission Culture & Patrimoine

Élue en charge du personnel régional – Présidence des CAP et C.T paritaires



"Zero Waste Lobbying"[modifier | modifier le code]

La question de la Moralisation de la vie dans la Politique s'est très vite posée, avec l'urgence d'une remise en question très profonde, face au constat d'une lutte frénétique pour le pouvoir, une bataille dénuée de bon sens lorsqu'il s'agit de garder le pouvoir à tous prix...

Alors que faire ? Ces questions ont nécessité beaucoup de courage de la part de Yvette GALOT, qui a fait le choix de la Radicalité de L'Amour et de l’Équité. Le contexte de la politique, extrapolé à la situation budgétaire et financière des communes dans les îles nous amène à nous prendre en main, Prendre le combat de chasser tous les " vieux démons du passé" qui gangrènent les avancées de conscience, indispensables pour ce nouveau temps du 21ème siècle.

IL S'EN SUIT UNE EXIGENCE TRÈS FORTE : Traquer l'illusoire et ne faire aucun compromis avec ceux qui s'accrochent au pouvoir. Il faut laisser des exemples, des modèles concrets de réussites économiques pour sortir de l'assistanat institutionnalisé. La créativité économique par la valorisation du talent et de la Vocation, la mise en place d'un centre de formation dans la création de commerces éthiques Zéro Déchet de proximité depuis 2018, est le nouveau défi intergénérationnel d'Yvette GALOT, depuis Perpignan, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises.


Notes et références[modifier | modifier le code]


Articles connexes[modifier | modifier le code]