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Utilisateur:Dukelloyd/Brouillon6

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Cité-jardin du Plessis-Robinson
Vue de la cité-basse depuis l'actuelle avenue de la République
Présentation
Type
Architecte
Construction
1924-1939 (cité-basse)
1952-1960 (cité-haute)
Propriétaire
Hauts-de-Seine Habitat
Localisation
Pays
France
Département
Commune
Accès et transport
Gare
Autobus
179 (cité-basse)
179, 195 (cité-haute)
Coordonnées
Carte

L'ancienne cité-jardin[modifier | modifier le code]

Cité-basse[modifier | modifier le code]

A la fin de la Grande Guerre, l'Office public des habitations à bon marché de la Seine conçoit un vaste plan d'aménagement de cités-jardins au sud de la région parisienne. Le projet intitulé Cité-Jardin du Grand Paris est porté par les architectes Joseph Bassompierre-Sewrin, Paul de Rutté, Paul Sirvin et Maurice Payret-Dortail. Il comprend la construction d'une cité-jardin de 100 000 habitants s'étendant sur les communes du Plessis-Robinson, Châtenay-Malabry et Vélizy-Villacoublay ainsi qu'une cité universitaire dans le parc de Sceaux.

Payret-Dortail prévoit de percer une avenue commerçante à travers l'actuel Parc Henri Sellier... Il est prévu d'insérer deux gares de tramway desservant respectivement les Portes d'Orleans et de Versailles.

A sa construction, la Cité-basse compte 217 logements dont 73 individuels et 6 boutiques.

Cité-haute[modifier | modifier le code]

Sur le secteur du plateau, ce sont 1967 logements HBM et HLM qui sont construit entre 1933 et 1939. Quatre tranches de travaux vont suivre à la fin de la Seconde guerre mondiale et plus de 2500 logements seront construits sous forme de grands ensembles.

Les ateliers d'artistes[modifier | modifier le code]

La nouvelle cité-jardin[modifier | modifier le code]

Dès son élection, le maire RPR Philippe Pemezec entend diversifier l'offre de logements et introduire plus de privé dans une ville qui compte près de 70% de HLM[1]. Après la ZAC Coeur de Ville débutée en 1991, un appel d'offre est passé en 1999 pour une ZAC Cité-Jardin. Le projet vainqueur est celui de l'urbaniste Xavier Bohl, se basant sur une architecture traditionaliste et régionaliste. La nouvelle cité-jardin est inaugurée en 2008 par la municipalité et s'étend sur plus de 21 hectares. Elle comprend plus de 1600 logements dont 250 logements sociaux ainsi que des commerces et des équipements publics. Le projet gagne en 2012 le Grand Prix européen de l’urbanisme, décerné par le Conseil européen des urbanistes et le Comité européen des régions[2][3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]