Raymond de La Porte
| Raymond de La Porte | ||||||||
| Biographie | ||||||||
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| Nom de naissance | Turiaf Marie Raymond de La Porte | |||||||
| Naissance | Versailles |
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| Ordination sacerdotale | ||||||||
| Décès | (à 68 ans) 14e arrondissement de Paris |
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| Évêque de l'Église catholique | ||||||||
| Ordination épiscopale | ||||||||
| Évêque de Bérissa | ||||||||
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| Évêque du Mans | ||||||||
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| « Misericordia et Veritas. » | ||||||||
| (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
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Turiaf Marie Raymond La Porte, né le à Versailles (Yvelines, France) et mort le à Paris, France), est un homme d'Église français des XIXe et XXe siècles. Il est évêque du Mans de 1912 à 1917.
Biographie[modifier | modifier le code]
De souche nobiliaire, Raymond de La Porte est le fils d'Augustin Marie Fernand de La Porte et Marie Marthe Alexandrine de Cappot[1]. Après des études au Lycée Hoche puis au grand séminaire de Versailles, il est ordonné prêtre pour le diocèse de Versailles et nommé vicaire à Brunoy puis aumônier à l'établissement scolaire Saint-Nicolas d'Igny. Par la suite il devient en 1885 vicaire à la paroisse Notre-Dame de Versailles puis professeur de philosophie au petit séminaire de Versailles en 1900. En 1906, Charles Gibier, évêque de Versailles, le choisit pour vicaire général. Nommé curé doyen de Notre-Dame de Versailles le , il ne peut prendre cette charge, étant parallèlement nommé évêque du Mans[2]. Sacré le par Gibier, Pierre-Louis Péchenard, évêque de Soissons qu'il avait remplacé comme président de l'Alliance des Grands Séminaires, et Olivier de Durfort de Civrac, évêque de Poitiers, il ne reste qu'un peu plus de cinq ans à la tête du diocèse manceau[3]. Son épiscopat se caractérise essentiellement par une attention particulière aux questions d'enseignement, de formation du clergé, et de soutien aux prêtres et séminaristes mobilisés au cours du premier conflit mondial. De santé précaire, La Porte résigne sa charge en et exerce diverses fonctions à Rome (procure des religieux de Picpus, consulteur de la Congrégation des Sacrements). Il meurt le au couvent des Augustines de Notre-Dame du Bon pasteur à Paris[4].
Armes[modifier | modifier le code]
De pourpre à l'olivier arraché d'argent[5].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Archives départementales des Yvelines. Commune de Versailles. Registre des naissances intervenues en 1857. Acte 671. [1]
- Dominique-Marie Dauzet et Frédéric Le Moinge (dir.), Dictionnaire des évêques de France au XXe siècle, Paris, Éditions du Cerf, 2010, 840p., p.389, (ISBN 978-2-204-09041-4)
- Fiche de La Porte sur le site Catholic hierarchy.
- Dominique-Marie Dauzet et Frédéric Le Moinge (dir.), Dictionnaire des évêques de France au XXe siècle, Paris, Éditions du Cerf, 2010, 840p., p.390, (ISBN 978-2-204-09041-4)
- André Cosson, Armorial des cardinaux, archevêques et évêques français actuels, résidentiels et titulaires au 1er janvier 1917, Paris, 1917, H/ Daragon éditeur, 288p. Disponible sur Gallica
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la religion :
