Forêt de Beynes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 23 janvier 2021 à 16:46 et modifiée en dernier par Reinhardhauke (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Forêt domaniale de Beynes
Image illustrative de l’article Forêt de Beynes
Localisation
Coordonnées 48° 50′ 59″ nord, 1° 51′ 12″ est[1]
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Géographie
Superficie 435 ha[3]
Longueur 3,4 km
Largeur 1,9 km
Altitude
 · Maximale
 · Minimale
105 m
144 m
71 m
Compléments
Statut Forêt domaniale
Administration Office national des forêts
Essences chêne pédonculé, hêtre, charme
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Forêt de Beynes
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
(Voir situation sur carte : Yvelines)
Forêt de Beynes
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Forêt de Beynes

La forêt de domaniale de Beynes se trouve dans les Yvelines (France), sur les communes de Beynes et Saulx-Marchais.

Histoire

La forêt a été autrefois un massif très giboyeux, les premiers tracés de route de chasse datent de François Ier dont les maîtresses habitaient Beynes[4].

La forêt a pu être aménagée dès le XVe siècle par Guillaume d'Estouteville, seigneur de Beynes que quelques auteurs[Qui ?] ont dit avoir été grand-maître & général réformateur des eaux et forêts de France vers 1425[5].

En 1923, la famille Chabannes la Palice vend la forêt à David David-Weill, banquier[6].

Le , l’État français acquiert la forêt pour la somme de neuf millions cinquante mille francs.

Flore

Le chêne (92 %) est l'essence majoritaire de cette forêt domaniale. Parmi les essences minoritaires l'on rencontre le hêtre et le charme (3 %), le bouleau et le tremble (3 %), des fruitiers, et des ormes et divers (2 %).

Installations gazières

La forêt est ponctuée d'installations gazières reliées au centre de stockage souterrain et à la station de compression de Beynes.[7],[8],[9]

Notes et références

  1. Coordonnées trouvées sur Géoportail.
  2. Site de la ville
  3. [2]
  4. Jacques Tréton, Montainville, joli village du Pincerais, 1997.
  5. Louis Moréri, Le Grand Dictionnaire historique ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée, 1759, p. 256
  6. Annales des épiphyties, Volumes 8 à 9, INRA, p. 4
  7. https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/110001385.pdf (« les chênaies paraissent assez banales et sont en maints endroits altérées par les installations de Gaz de France »)
  8. Véronique Beaugrand, « Gaz : sécurité renforcée sur le site de Beynes », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. http://www.grtgaz.com/fileadmin/grands_projets/beynes/documents/fr/lettre-info-n7-beynes.pdf

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :