Discussion:Télétravail

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ca serait bien de compléter avec les hotspots wifi gratuits qui permettent de se rencontrer entre collègues. Si yen a que ça interesse...

La section « les pièges à éviter » est un copier/coller (réponse)[modifier le code]

Fond : J'ai copié cette page, car elle me semblait pouvoir renseigner les internautes souhaitant débuter en télétravail. Peut-être faudrait-il organiser le sommaire autrement :

  • Pour l'entreprise (donneur d'ordre)
  • Pour le télétravailleur débutant
  • Pour le prestataire souhaitant télétravailler


Forme : En tant que détenant du copyright, je donne l'autorisation de "publication" des contenus du site www3.cyberworkers.com, sur wikipédia, si cela peut servir la cause.

Neutralité : Pouvez-vous préciser comment faire preuve de neutralité ? Je ne pense pas que le fait de supprimer une section, en soit un, en tout cas, si je puis me permettre cette remarque.

Coopération : J'ai demandé à mes confrêres (teletravail.fr, afft.asso.fr, andt) de pouvoir intervenir, nous avons commencé à lancer une discussion par email, pensez vous que le présent espace de discussion, puisse être utiliser pour justement débattre du présent article ?

Merci de votre aide.

Cyril Slucki.

La section « les pièges à éviter » est un copier/coller[modifier le code]

La section « les pièges à éviter » est un copier/coller

C'est une copy exact d'une page du site CyberWorker : http://www3.cyberworkers.com/content/teletravail_comment6.php

Ceci éclairera peut-être de la source et du manque de neutralité suspecté.

Quand un article contient du copyvio, il est impératif de le signaler soit par un bandeau soit par un message à un administrateur. En effet, l'effacement du texte dans le corps de l'article ne suffit pas à effacer le copyvio qui reste visible via l'historique, il est donc impératif qu'un admin intervienne pour en supprimer les versions concernées. C'est désormais chose faite. sand 25 septembre 2006 à 09:21 (CEST)[répondre]

Versions à ne pas rétablir car contenant du copyvio[modifier le code]

  1. 16 juillet 2006 à 14:35 . . Hibou57 (Discuter | Contributions | Bloquer) (Suppression pour cause de violation de Copyright (voir fiche « à propos »))
  2. 11 juillet 2006 à 15:04 . . FrançoisD (Discuter | Contributions | Bloquer) (+ bandeau neutralité)
  3. 11 juillet 2006 à 07:56 . . Jerome66 (Discuter | Contributions | Bloquer) (Les pièges à éviter - correction lien interne)
  4. 10 juillet 2006 à 15:47 . . 212.234.230.130 (Discuter | Bloquer)
  5. 10 juillet 2006 à 15:46 . . 212.234.230.130 (Discuter | Bloquer) (Lien externe)
  6. 10 juillet 2006 à 15:45 . . 212.234.230.130 (Discuter | Bloquer) (Lien externe)
  7. 7 juillet 2006 à 09:12 . . Philippeplant (Discuter | Contributions | Bloquer)
  8. 30 juin 2006 à 13:51 . . Liquid-aim-bot (Discuter | Contributions | Bloquer) (Remplacement de texte (duo portail > Multi bandeau) - modif AWB)
  9. 30 juin 2006 à 11:03 . . Philippeplant (Discuter | Contributions | Bloquer) (Lien externe)
  10. 14 juin 2006 à 08:35 . . 89.83.144.207 (Discuter | Bloquer) (Lien externe)
  11. 14 juin 2006 à 08:35 . . 89.83.144.207 (Discuter | Bloquer) (Lien externe)
  12. 13 juin 2006 à 10:49 . . Cslucki (Discuter | Contributions | Bloquer)
  13. 13 juin 2006 à 10:20 . . Cslucki (Discuter | Contributions | Bloquer)

Accidents du travail etc.[modifier le code]

Quid des accidents du travail pour les télétravailleurs ? des congés maladie ? du télétravail des salariés pendant les arrêts maladie, congés de maternité, etc. ? des travailleurs "mi en entreprise, mi en télétravail" ? de la législation sur le temps de travail ? sur les horaires de travail ? sur le travail de nuit ? On veut tout savoir ! --Touchatou (d) 6 janvier 2010 à 23:59 (CET)[répondre]

Pas de spécialiste pour répondre ? --Touchatou (d) 3 février 2010 à 19:10 (CET)[répondre]


Simplement car très peu d'entreprises avec salariés en télétravail. Demander à Pole Emploi, Medef, et syndicats, vous verrez. On parle plus de télétravail gris (le fait de faire du télétravail pour une entreprise sans adopter une convention spécifique ou un avenant). Donc à ce niveau d'opacité que ce soit des entreprises comme Orange, IBM, Renault, Alcatel, EDF, elles préféreront se vanter de leur innovation en termes de recrutement, de gestion des hommes (les fameux travailleurs du savoir, blabla de consultant) que de rapporter les pb rencontrés. Maintenant ce n'est que mon humble avis. J'ai mis quelques articles sur http://www.cyberworkers.com/news/ à ce sujet ayant interviewé certaines de ses entreprises.

L'article télésalariat ne concerne (ou plutôt ne devrait concerner) que le télétravail salarié. Il est encore moins sourcé que télétravail (par ex. "le télétravail optimise la productivité" chez l'un et "le télésalariat augmente la productivité" chez l'autre), omet (comme télétravail)les inconvénients, inclut une section "Mesures du gouvernement en faveur du télétravail (sic)" (et non du télésalariat), passe allègrement de "télésalariat" à "télétravail" ... mais inclut des informations utiles. Il fait clairement doublon avec télétravail. Vu que l'article est purement franco-français, on pourrait le renommer "télésalariat en France" et répartir les informations entre les deux articles. --Touchatou (d) 3 février 2010 à 19:10 (CET)[répondre]

enjeux environnementaux[modifier le code]

Bonjour, la section Enjeux environnementaux est entièrement à revoir si on en croit cette étude. Si vous ne lisez pas l'anglais, vous pouvez lire cet article de Rue89. Pamputt 8 octobre 2010 à 16:46 (CEST)[répondre]

Enjeux éthiques : tendancieux (stéréotypes de genre)[modifier le code]

Une fois de plus, la conciliation de la vie familiale et des devoirs professionnels est uniquement présentée comme une préoccupation de mère de famille. Ces stéréotypes sont ceux-là même qui pénalisent gravement les femmes dans leur carrière ET leur vie privée encore aujourd'hui, ainsi que les hommes qui souhaiteraient eux aussi concilier mieux ces deux aspects de leur vie. Puisque le télétravail est par ailleurs exposé comme un moyen de réviser la conception de l'organisation du travail, l'article gagnerait à conserver de bout en bout une position ouverte aux évolutions professionnelles et sociétales des modes de travail. Il suffit de neutraliser la formulation : le télétravail comme moyen de mieux concilier vie professionnelle et privée (pour qui que ce soit). Sur le fond, cet apport du télétravail me semble en outre sujet à caution, ou alors il me semble prudent de restreindre explicitement le gain sur ce terrain à une optimisation des temps de transport ainsi qu'une organisation plus souple de la journée, à horaire de travail constant. Sinon, on suggère fortement que le télétravail n'est pas tout à fait du travail, ce qui demeure le plus gros frein culturel à la mise en place du télétravail dans certaines entreprises.

Proposition de fusion entre Sans bureau fixe et télétravail[modifier le code]

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner

Le premier apparaît comme étant au mieux un cas particulier du second où l'on parle déjà de nomadisme. Voir le bistrot du jour. v_atekor (d) 26 octobre 2011 à 13:30 (CEST)[répondre]

Attention : la discussion se poursuit dans Wikipédia:Le Bistro/26 octobre 2011#Autopromotion ? ... Alphabeta (d) 26 octobre 2011 à 14:48 (CEST)[répondre]

Copie de la discussion du Bistro
Salut à tous,

La page Sans Bureau Fixe ne relève-t-elle pas de l’autopromotion de la boîte mentionnée dans « En savoir plus » ? Ou alors il faudrait réécrire cette page. Jihaim | 26 octobre 2011 à 10:33 (CEST)[répondre]

Le terme existe, la définition est juste. C'est la promo du "En savoir plus" qu'il faut supprimer et les passages de supputation. les termes « free seating » et « desk sharing » sont aussi beaucoup utilisés (mais ne concerne que les employés de la société qui se partagent des bureaux - ne pas confondre avec Coworking- ), rentre dans la définition. Ces termes sont sans doute plus connus que le néologisme "Sans Bureau Fixe". Cordialement --Cyril5555 (d) 26 octobre 2011 à 11:08 (CEST)[répondre]
je connais mieux l'expression de nomade appliquée à la catégorie professionnelle et qui est nettement plus naturelle en français que cet anglicisme sorti de sous les fagots ou que le néologisme SBF franchement pas très heureux. Pour travailleur nomade google nous trouve plein de trucs ici dont des publications ... v_atekor (d) 26 octobre 2011 à 12:30 (CEST)[répondre]
Ok. En fait, je crois que tout est déja présent dans l'article télétravail (qui parle déjà du nomadisme). On peut tout de même inclure y inclure la pratique du free seating, un cas particulier de plus en plus pratiqué. Donc Pour la supression de SBF + fusion du free seating dans l'article télétravail. Cyril5555 (d) 26 octobre 2011 à 13:11 (CEST)[répondre]
Pour Deux voix avec moi.v_atekor (d) 26 octobre 2011 à 13:16 (CEST)[répondre]
 Neutre sur le fond. J’ai corrigé « L’expression Sans Bureau Fixe  » en « L’expression sans bureau fixe » dans cet article Sans Bureau Fixe que j’ai renommé Sans bureau fixe. En tout cas l’expression est plaisante et mérite au moins les honneurs du Wiktionnaire. Alphabeta (d) 26 octobre 2011 à 13:28 (CEST)[répondre]
Seulement si on peut sourcer son usage, et pour le coup travailleur nomade est bien plus simple à sourcer ... v_atekor (d) 26 octobre 2011 à 13:33 (CEST)[répondre]
Surtout pas dans le Wiktionnaire, c'est un néologisme qui ne mérite rien pas très (très) peu usité. Cyril5555 (d) 26 octobre 2011 à 13:35 (CEST)[répondre]
Merci de pas anticiper dans SBF Ce lien renvoie vers une page d'homonymie ce qui peut advenir à l’article Sans bureau fixe. Et un dictionnaire ne peut rejeter systématiquement les néologismes... Alphabeta (d) 26 octobre 2011 à 13:45 (CEST)[répondre]
Contre Ces deux concepts ne sont pas équivalents :
  • le télétravail implique du travail à distance au moyen des outils de télécommunication ;
  • sans bureau fixe, comme actuellement défini dans l'article, s'applique aux travailleurs mobiles ou itinérants, tels les représentants de commerce ou les informateurs médicaux ; bon nombre d'entre eux, comme les médecins ou les artisans n'utilisent pas nécessairement les outils de télécommunication, mais se déplacent chez un client pour exercer leur profession, ce qui n'a rien à voir avec du télétravail :
  • le concept de « free seating » ou « desk sharing » (je ne connais pas le terme français), cité en référence dans l'article sans bureau fixe, est tout autre : il s'agit dans une entreprise, de ne plus attribuer à chaque employé un poste de travail fixe, mais d'avoir un certain nombre de postes de travail non dédiés qui peuvent être occupés indifféremment par l'un ou l'autre selon les horaires de chacun.
Cymbella (répondre) - 26 octobre 2011 à 14:15 (CEST)[répondre]
« desk sharing » cobureautage? v_atekor (d) 26 octobre 2011 à 14:36 (CEST)[répondre]
Dans le milieu professionnel j'ai déjà entendu parlé de « bureaux partagés ». Sémhur (d) 26 octobre 2011 à 15:37 (CEST)[répondre]
Qu'en termes galants ces choses la sont dites. Cageàlapinage pourrait convenir aussi.Diderot1 (d) 26 octobre 2011 à 19:54 (CEST)[répondre]
Coucou du Wiktionnaire : sans bureau fixe. Emballez, c'est pesé. Émoticône sourire--GaAs 26 octobre 2011 à 15:48 (CEST)[répondre]
Je n'ai jamais entendu parler de l'expression "Sans bureau fixe", en général on dit "nomade" ou "itinérant". Je ne comprends pas pourquoi tu t'es précipité pour rajouter cette expression sur le wiktionnaire. D'où sort-t'elle ? --Guil2027 (d) 26 octobre 2011 à 16:01 (CEST)[répondre]
« Cobureautage » et « bureaux partagés » semblent plutôt être la traduction de coworking. Dans ce sens, « bureaux » désigne plutôt les locaux, partagés par plusieurs entreprises, que les postes de travail, à savoir la table et la chaise, partagés par plusieurs personnes. - Cymbella (répondre) - 26 octobre 2011 à 16:20 (CEST)[répondre]
Merci à ArséniureDeGallium (d · c · b) (GaAs). De moi à lui : je me souviens aussi avoir lu que l’ancien entraîneur (dont le nom m’échappe) de Laure Manaudou était devenu un « entraîneur SPF » (sans piscine fixe)... Alphabeta (d) 26 octobre 2011 à 17:00 (CEST)[répondre]
@Guil2027 : au moins une dizaine d'usages en tant que locution nominale sur GoogBooks, un usage dans un article de l'Express trouvé en 15 secondes parmi 18000 résultats sur le web, c'est plus que suffisant pour être sur le Wiktionnaire (dont les CAA se résument à « est utilisé »). Pour cobureautage ou co-bureautage, dont Goog ne trouve que 59 occurrences sur tout le web, c'est plus tangent, mais je pense que je vais le créer aussi. --GaAs 26 octobre 2011 à 17:24 (CEST)[répondre]
Il n'empêche que pour wikipedia, c'est un peu faiblard. On peut mettre le "sans ... fixe" à toute les sauces comme l'exemple d'Alphabeta, surtout pour un usage journalistique. Delà à en faire un usage encyclopédique... Cyril5555 (d) 26 octobre 2011 à 20:35 (CEST)[répondre]
(conflit modif') Typiquement le genre d'expressions inventées et utilisées par les journalistes alors que d'autres mots existent déjà. --Guil2027 (d) 26 octobre 2011 à 20:38 (CEST)[répondre]

Au final, on fait quoi? Jerome66 (d) 11 novembre 2011 à 14:10 (CET)[répondre]

Pour supprimer « sans bureau fixe ». Pour fusionner télésalariat dans télétravail.
Si on suit la définition de l’article, « sans bureau fixe » s’applique à tous ceux qui n’ont pas de bureau du tout - la plupart des plombiers, électriciens, égoutiers, travailleurs du bâtiment et des travaux publics, camionneurs, chauffeurs de taxi, la plupart des travailleurs saisonniers, les agriculteurs, les éleveurs, les forestiers, etc. soit plus ou moins la moitié des actifs dans le monde – et tous ceux qui travaillent dans un « bureau » qui n’est pas fixe. Dans les pays riches, c’est la même définition que le travailleur nomade – sauf qu’un contributeur a ajouté des idées personnelles : « globes (sic) trotteurs accomplis (re-sic) » « absence de contrainte d’horaire » (on est loin d’une définition encyclopédique).
Le terme « sans bureau fixe » ne correspond à aucun concept et l’article n’a pas la moindre source valide pour une définition.
L'expression journalistique « sans bureau fixe » est beaucoup moins utilisée (6 620 pages sur Google) que :
« travail mobile » (297 000 pages) et « travailleur mobile » (23 400 pages)
« travail nomade » (34 500 pages) et « travailleur nomade » (16 300 pages).
Il se peut que « travail mobile » (ou « travail nomade » ?) mérite un article, à condition d’avoir des matériaux encyclopédique à mettre dedans ; ce qui n'est pas le cas de « sans bureau fixe ». Sur la différence entre « travail nomade » et télétravail, on peut voir pp.10-13 in Dominique Denis « Dynamiser le télétravail : un enjeu décisif pour la croissance et l’emploi », Chambre de commerce et d’industrie de Paris, octobre 2011, 22 pp.
Dans la foulée, il faudrait fusionner l’article télésalariat dans télétravail (voir pages de discussion des deux articles). Salutations. Touchatou (d) 15 novembre 2011 à 00:04 (CET)[répondre]
J'ai fusionné télésalariat dans télétravail et mis un bandeau d'admissibilité "Sans bureau fixe", qui me semble pas du tout admissible. --Nouill (d) 8 décembre 2011 à 00:00 (CET)[répondre]

Proposition de nouvelle section Enjeux plus neutre et complète[modifier le code]

Environnementaux[modifier le code]

L'écobilan complet du télétravail n'a pas été calculé, mais il semble pouvoir fortement diminuer certaines dépenses et le temps perdu à cause des transports (carburant, frais de parking, d'assurance, temps perdu, etc.). Selon une étude faite auprès de 1 000 entreprises de moins de 50 salariés[1], 88 % des PME françaises dépenseraient jusqu'à 50 000  par an en déplacements professionnels[2]. 80 % des TPE et PME sondées feraient de la réduction et l'optimisation des coûts de fonctionnement une de leurs priorités pour rentabiliser leur activité ; 43 % des entreprises de la Construction présenteraient "une part très importante dans leurs déplacements par rapport au temps de travail global" et plus de 60 % se disent intéressées par l'adoption du télétravail [2] ; Par ailleurs, les dernières ordonnances de la loi travail facilitent l'accès au télétravail[3].

On estime que si une personne qui réside à 25km de son lieu de travail passe 2 jours par semaine en télétravail, elle économise 512 litres d’essence par an, soit 2 tonnes équivalent carbone en moins dans l’atmosphère.[4]

Le télétravail permettrait ainsi de réduire l’impact écologique du travailleur en limitant ses déplacements, mais il nécessite l’utilisation d’internet (cloud computing) et donc la sollicitation des data centers hébergeant les contenus web. Hors, ces datacenters sont des consommateurs croissants de ressources dans leur ordre de fonctionnement[5]. Ainsi, on estime que “les plus énergivores peuvent atteindre les 100 mégawatts (MW) de puissance. Un data center de 10.000 m2 consommerait ainsi autant qu'une ville de 50.000 habitants, selon le Syndicat des entreprises du numérique en France (Syntec).”[6]

L’économie énergétique dégagée par la suppression du trajet domicile-entreprise aura nécessairement pour conséquence un des effets de rebond[7] menant à une consommation accrue d’autres ressources énergétiques rendant le bilan énergétique du télétravail moins positif. Ainsi, le temps passé par le travailleur à se rendre sur son lieu de travail sera utilisé par le télétravailleur pour accomplir d’autres tâches nécessitant la consommation de différentes ressources : électricité et énergie grise pour les TIC, toute autre ressource qu’il peut solliciter depuis son domicile si cela ne concerne pas les TIC (eau, gaz).[8]

Un autre exemple d'effet de rebond concerne le déplacement du télétravailleur sur son lieu de travail en cas de nécessité : "[le télétravail] peut conduire à des déplacements plus longs lorsque la présence physique au bureau est nécessaire et que les employé(e)s décident de vivre plus loin de leur lieu de travail parce qu’elles savent qu’elles pourront télétravailler"[7].

Éthiques et sociétaux[modifier le code]

Le découplage entre activité professionnelle et locaux d'entreprise, ainsi que le risque d'une perte des limites entre vie professionnelle, personnelle et familiale, posent de nouvelles questions, y compris pour la vulnérabilité des travailleurs face au stress au travail quand la pression de l'employeur ou du système augmente, ainsi que pour la notion d'accident du travail.

Entre délocalisation et mobilité (...)en dissociant, tout en recombinant la dimension spatiale et temporelle du travail, en développant des mécanismes de délocalisation et d'organisation réflexive des relations sociales, tout en favorisant l'étirement entre implications locales (circonstances de coprésence) et interactions à distance (rapports entre présence et absence), le télétravail semble participer, au sens où l'entend Giddens, à la radicalisation de la modernité, notamment à travers deux figures : l'omniprésence et l'ubiquité[9]

Le télétravail peut aussi apparaître comme la solution idéale pour les jeunes parents souhaitant concilier leur vie de famille et leur devoirs professionnels. Le problème que pose cette solution restant l'enjeu de séparer le travail et la vie de famille par un lieu et un temps dédié, ce qui n'est pas toujours évident. Et si les salariés gagnent en flexibilité, responsabilisation et baisse du temps de trajet, il n'est pas facile de se faire accepter comme travailleur complet.

Cependant dans certains cas le télétravail peut être une source d’abus, en effet il a été démontré que certaines entreprises l’utilisent “afin de contourner le système social et le droit du travail” propre à la France, ces dernières embauchent des personnes à l’étranger afin de limiter les obligations envers leurs employés.[10]

  1. OpinionWay, « 68% des entreprises françaises sont intéressées par le télétravail », Etude pour Brother, 13 février 2014, Communiqué de presse Brother. Lien externe.
  2. a et b Batiactu (2014), brève intitulée Les PME de la construction concernées par le télétravail, 2014-03-17
  3. « Ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017 relative à la prévisibilité et la sécurisation des relations de travail | Legifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  4. Saint-Quentin-en-Yvelines, « Télétravail : un enjeu économique, social, et environnemental », sur SQY entreprises.com, (consulté le )
  5. Administrator, « Chiffres clés », sur www.greenvision.fr (consulté le )
  6. « Data centers : réduire la facture énergétique pour rester compétitifs », Actu-Environnement,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. a et b (en-US) « Les effets rebond du numérique | EcoInfo », sur ecoinfo.cnrs.fr (consulté le )
  8. Fabrice Flipo, Cedric Gossart, Infrastructure numerique et environnement : l’impossible domestication de l’effet rebond, , 10 p. (lire en ligne)
  9. Dominique CARRE et Sylvie CRAIPEAU, Entre délocalisation et mobilité: analyse des stratégies entrepreneuriales de télétravail, (lire en ligne)
  10. Julien Lausson, « Une député LREM s'alarme des dérives du télétravail - Politique - Numerama », Numerama,‎ (lire en ligne, consulté le )

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Hilegacy (discuter), le 1 février 2018 à 14:26 (CET)[répondre]

Formulation alambiquée. Référence imprécise[modifier le code]

Pas compris l'ajout de Notification AnneJenny : « il peut engendrer un effet rebond se traduisant par des déplacements personnels plus importants pour s'extraire d'un ancrage urbain». Que signifie «s'extraire d'un ancrage urbain», en termes simples. Qui parle ainsi ? Et la référence jointe est très imprécise : le lien envoie sur un site, où trouver le texte concerné, sans son titre, sans sa date, sans son auteur, est difficile.... L'intitulé joint fait penser à un article dans une revue : La revue du CLIP numéro 21. À quelle date ce numéro 21 . Quel est le titre de l'article ? Quel est l'auteur (est-ce lui qui parle d'ancrage urbain ?) ? --HenriDavel (discuter) 1 mai 2020 à 11:07 (CEST)[répondre]

Section avantages / Inconvénients[modifier le code]

Bonjour, cette présentation de sections semble peu encyclopédique, c'est comme si on achetait un produit. Je compte déplacer les éléments de ces sections dans les sections consacrées aux enjeux économiques, environnementaux, sociaux, s'il n'y a pas d'opposition. Merci ! Sijysuis (discuter) 6 juin 2020 à 15:28 (CEST)[répondre]

Bonjour Sijysuis, c'est effectivement souvent un problème, ces sections avantages/inconvénients. D'un côté, elles sont assez synthétiques, d'un autre elles empêchent la discussion dialectique (encyclopédique). Tant qu'il n'y a pas de pertes, feu vert pour ma part. — Vega (discuter) 6 juin 2020 à 16:30 (CEST)[répondre]
OK ! Sijysuis (discuter) 6 juin 2020 à 16:57 (CEST)[répondre]

Paragraphe Typologie[modifier le code]

J'ai modifié le paragraphe "typologie".

Il peut s'exercer à domicile, le lieu de résidence du télétravailleur, ou hors domicile dans un lieu tiers de confiance professionnel (télécentres, espace de travail partagé,..[réf. nécessaire]

J'ai supprimé l'acronyme EFN. Je suppose qu'il signifie "Espace public numérique", mais c'est ambiguë.

Romanc19s (discuter) 25 février 2023 à 10:08 (CET)[répondre]