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Vigilance de Calagurris

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Vigilance
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Vigilance, en latin Vigilantius, fut un prêtre chrétien actif aux alentours de 400. Il est connu par les écrits de saint Jérôme contre lui.

La vie de Vigilance est connue grâce aux échanges de lettres entre Paulin de Nole, Sulpice-Sévère et Jérôme de Stridon, saint Jérôme. Dans son traité Contre Vigilance (Contra Vigilantium), saint Jérôme le dit fils de cabaretier.

Il est né vers 370 à Calagurris[1] en Gaule aquitaine, l'actuelle Saint-Martory dans le Comminges. Il est encore jeune quand son talent est connu de Sulpice-Sévère qui avait une villa à Primuliacum, qu'on suppose être située à proximité de Saint-Martory[2],[3],[4]. Sulpice Sévère l'a probablement baptisé et l'a envoyé en 395 à Paulin de Nole avec des lettres. À la Noël 394, le peuple de Barcelone a obtenu de Lampius, évêque de Barcelone, d'ordonner prêtre Paulin de Nole[5]. C'est pendant ce séjour à Barcelone que Paulin rencontre Vigilance, avant qu'il se rende avec sa femme Thérasia à Nole en Campanie où il avait été gouverneur. Vigilance est probablement déjà prêtre si on en croit la lettre de réponse de saint Jérôme à Paulin en 395.

Vigilance se prépare alors à partir en pèlerinage en Palestine au printemps 395, quand la mer est ouverte et que la navigation en Méditerranée est reprise. Paulin lui a donné de l'argent à distribuer en aumônes aux moines[6] et une lettre pour Jérôme ainsi que le Panégyrique de Théodose[7]. Après son arrivée en Palestine, au printemps 395, Vigilance visite saint Jérôme dans son couvent, à Bethléem, à la même époque qu'Oceanus qui part de Bethléem en juillet. Vigilance ayant une lettre de recommandation de Paulin, Jérôme le reçoit amicalement comme il l'écrit à Paulin :

« Le saint prêtre Vigilance a été accueilli avec un empressement dont ses paroles pourront mieux vous informer que ma lettre. Le motif de son départ précipité et de notre abandon, je ne puis le dire, pour ne blesser personne. Bien qu'en passant et en hâte, je l'ai cependant un peu gardé et lui ai fait goûter notre amitié : vous saurez ainsi par lui ce que vous n'aurez point à regretter en nous[8],[9] ».

Saint Jérôme ne donne pas les raisons qui ont amené Vigilance à le quitter rapidement. Vigilance ne reste pas longtemps en Palestine comme l'indique saint Jérôme dans sa lettre à Paulin. On sait par la Lettre 61 de saint Jérôme à Vigilance[10], écrite vers 396, que leur discussion a porté sur Origène. Saint Jérôme accuse Vigilance d'avoir défendu la doctrine d'Origène et que lui-même lit ses ouvrages comme tous ceux sur les Écritures selon la recommandation : « Examinez tout avec discernement : retenez ce qui est bon[11] » pour en apprendre ce qu'il y a de meilleur et en critiquer ce qui est contraire à la doctrine de l'Église. Saint Jérôme affirme qu'Origène est un hérétique pour ses affirmations sur la résurrection des morts, sur l'état des âmes, sur la pénitence des démons et sur les séraphins, mais qu'il a bien expliqué la Bible sur plusieurs points obscurs. Il écrit qu'il ne voit pas pourquoi Vigilance le critique quand il a traduit ce qu'il y a de bon dans l'œuvre d'Origène et retranché ou passé sous silence ce qu'il y a de mauvais. On trouve saint Jérôme polémiste quand il écrit que c'est tout autre chose de goûter le vin et d'entendre ce que les prophètes et les apôtres ont écrit en rappelant le métier de cabaretier du père de Vigilance.

Vigilance quitte la Palestine pour rejoindre Paulin à Nole. Dans la lettre de saint Jérôme à Vigilance, saint Jérôme écrit que Vigilance est passé par l'Égypte où les idées d'Origène sont défendues. Ernest-Charles Babut place cette visite en Égypte après son départ de Bethléem qui était considérée par Paulin et Sulpice Sévère comme un lieu de sainteté. Il a pu observer la vie des cénobites de la Thébaïde et en a tiré l'opinion que l'institution monastique et le célibat obligatoire des clercs étaient des nouveautés dangereuses[12]. Vigilance arrive malade à Nole[13]. Pendant son séjour en Italie, Vigilance accuse saint Jérôme d'origénisme comme l'a fait à la même époque Rufin d'Aquilée.

Puis Vigilance revient en Gaule où il rejoint Sulpice Sévère dans sa villa de Primuliacum porteur de la Lettre 5 de Paulin à Sulpice Sévère. Vigilance a dû faire part à Sulpice Sévère de ses opinions sur le monachisme ascétique et le culte des saints qui se développent dans l'Église et que Sulpice Sévère soutient comme son ami Paulin, ainsi que saint Ambroise et saint Martin. C'est probablement à la suite de cette rencontre que Sulpice Sévère a envoyé Postumien en Égypte, en 401, pour faire une contre-enquête. À son retour il a rédigé ses Dialogues, en 404, qui sont une forme de réponse au livre de Vigilance sans le citer[12].

Selon Gennadius de Marseille, dans De viris illustribus, il a occupé une charge de prêtre dans le diocèse de Barcelone[14].

Vers 403, il écrit son traité dans lequel il a critiqué certaines pratiques de l'Église, parmi lesquelles le culte des reliques des saints, les miracles qui avaient lieu sur leurs tombeaux, les jeûnes, les veilles et les aumônes, le célibat des clercs et les moines. Vers 404, les prêtres aquitains Ripaire et Desiderius ont écrit la Lettre 109 à saint Jérôme pour connaître son avis sur le livre de Vigilance dans lequel il condamne l'honneur fait aux reliques et aux saints. Saint Jérôme lui répond et lui demande de lui envoyer le livre de Vigilance[15]. Ce traité ne nous est connu que par la réponse violente qu'a rédigé en une nuit, vers 406, saint Jérôme, Contre Vigilance, pour le remettre à Exupère, évêque de Toulouse par l'intermédiaire de Sisinnius[16], dans lequel il n'hésite pas à mêler controverse dogmatique et portrait à charge dépréciatif montrant un saint Jérôme polémiste et satirique[17].

L'autorité de saint Jérôme en Occident a fait que Vigilance a fini par être considéré comme un hérétique, même si sa pensée a continué d'avoir une influence en Gaule, dans les Alpes cottiennes (où Jérôme dit qu'il se serait réfugié)[18] et en Espagne tout au long du siècle, comme le montrent les positions de Fauste de Riez à la fin du Ve siècle.

Les lettres de Dungal au IXe siècle le mentionnent fréquemment, accusant Claude de Turin et les léonistes de suivre les préceptes de Vigilance. Dans les vallées vaudoises, il est parfois aussi appelé Léon en référence à son diocèse d'origine, Lugdunum Convenarum, parfois appelé Château-Léon[19].

Adversus Vigilantium

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À l'été 406, des pèlerins venus à son monastère de Bethléem ont informé saint Jérôme des attaques du prêtre Vigilance contre le culte des reliques, le célibat des prêtres et les honneurs accordés aux moines qu'il juge excessifs. Jérôme en perd son sommeil et, en une nuit, il rédige le texte Contre Vigilance, une réponse qu'il veut cinglante pour faire taire définitivement de tels propos en accablant Vigilance de sarcasmes rageurs et d'invectives. Il est probable que ce texte ne visait pas seulement Vigilance mais aussi une partie de l'épiscopat de la Gaule qui, d'après Jérôme, « ne confèrent le sacrement de l'ordre à personne s'ils ne voient sa femme enceinte ou portant des marmots entre ses bras ». Ce combat de Jérôme est celui d'une réforme de l'Église impulsée par les moines d'Orient et l'évêque de Rome qui veulent imposer la communion des saints, le mérite des moines, la valeur du célibat des prêtres.

Le texte de Jérôme a été utilisé à plusieurs moments de l'histoire religieuse.

Au XIe et XIIe siècles, à la suite de la réforme grégorienne, les évêques vont revendiquer l'administration de toutes les paroisses de leurs diocèses. Les chanoines réguliers vont revenir aux traditions primitives de l'ordre canonial en développant leur mission pastorale. Ils vont alors contester la possession de biens ecclésiastiques et le sacerdoce des moines. Pour justifier cette contestation, les clercs séculiers et les chanoines réguliers se sont appuyés sur les textes des Pères de l'Église et, en particulier, une sentence se trouvant dans Contre Vigilance : « le moine n’a pas pour fonction d’instruire, mais de pleurer sur lui-même ou le monde et d’attendre en tremblant la venue du Seigneur ». Pour saint Jérôme, le moine ayant décidé de se retirer dans le désert, il n'a pas pour vocation d'enseigner la foi au peuple chrétien. Cette phrase du Adversus Vigilantium est devenue une sentence qui est utilisée pour la première fois en 829 par Raban Maur dans une polémique avec son élève Gottschalk[20]. De nombreuses copies du texte de saint Jérôme se trouvent dans les bibliothèques du Moyen Âge.

Louis de Berquin a été condamné à mort et brûlé vif comme défendant des propositions luthériennes et injurieuses aux vœux monastiques dont celle tirée d'une note rédigée sur sa traduction, Epistre de saint Hierosme contre Vigilance : « Ce qu'ils demanderont à un saint ils n'oseront le demander à un autre saint, comme si chacun des saints avait son certain office et charge ». En 1523, la Faculté de théologie de Paris a condamné ceux qui renouvellent les propos de Vigilance et qui attaquent l'usage d'orner les reliques des saints et de les mettre dans des lieux élevés, et qui soutiennent qu'il faudrait les laisser dans la terre[21]. Il avait encouragé le roi François Ier à inviter Érasme à venir enseigner au futur Collège Royal, en 1523, à l'initiative de Louis de Berquin qui avait lu en 1520 Adversus Vigilantium dans l'édition de saint Jérôme de 1516 publiée par Érasme[22]

  • « Contre Vigilance », dans Œuvres complètes de saint Jérôme, traduction de l'abbé Bareille, Louis Vivès, Paris, 1878, tome 3, p. 1-15 (lire en ligne)

L'Histoire littéraire de la France lui consacre un chapitre[23].

Notes et références

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  1. Dans son traité Contre Vigilance, saint Jérôme écrit que Vigilance est originaire de Calagurris et le compare à Quintilien qui est né dans la Calagurris d'Espagne, Calahorra. Mais dans le même texte, saint Jérôme précise qu'il est d'une race de bandits et de Convènes qui ont été établis dans une région au nord des Pyrénées après la victoire de Cnaeus Pompeius contre eux en Espagne et dont la capitale était Lugdunum Convenarum. Il est possible de placer le site de Calagurris des Convènes à partir de l'Itinéraire d'Antonin qui le cite comme un relais sur la route d'Aquae Tarbellorum, de Dax à Toulouse, qui suit la Garonne, et située à 26 milles romains de Lugdunum. Cette indication permet de placer Calagurris à Saint-Martory. Des ruines d'un oppidum ibérique se trouvent sur une colline dominant la ville et la présence d'une source ferrugineuse peut expliquer le nom du site car Calagurris signifie « eau rouge » (Henri Crouzel, « Un "hérétique" commingeois: Vigilance de Calagurris », p. 163-164).
  2. Plusieurs lieux ont été donnés pour l'implantation de la villa de Primuliacum, en Aquitaine : Périlhac, en Agenais, Prémillac, près de Saint-Sulpice-d'Excideuil, Pouliac ou Primouliac, dans le Béarn, Vendres, l'avant-port de Narbonne, Martres-Tolosane qui est à côté de Calagurris. À partir du livre De Gloria confessorum de Grégoire de Tours, l'abbé L. Ricaud a supposé que le prêtre saint Sever de Bigorre était Sulpice Sévère et que la villa de Primuliacum était située Sextiacum, aujourd'hui Saint-Sever-de-Rustan. La villa de Primuliacum aurait été détruite en 407 après les invasions qui suivent le passage du Rhin (406) (compte-rendu de René Aigrain du livre de l'abbé L. Ricaud, Sulpice-Sévère et sa villa de Primuliac à Saint-Sever-de-Rustan, Tarbes, 1914). Dans La fin du Monde Antique, 1996, André Chastagnol place cette villa au seuil de Naurouze, Marie-Pierre Arnaud-Lindet place la villa près de Béziers. Dans l'article Les origines du culte de saint Martin de Tours aux Ve et VIe siècles, 2009, Bruno Judo situe la villa près de Carcasonne.
  3. F. Mouret, « Sulpice Sévère à Primulac », dans Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, p. 447-568 (lire en ligne)
  4. Ernest-Charles Babut, « Prémillac », dans Annales du Midi, 1908, tome 20, no 80, p. 457-468 (lire en ligne)
  5. Lettre 1 de Paulin de Nole à Sulpice Sévère, §10.
  6. Saint Jérôme, Contre Vigilance, §13.
  7. Citée dans la Lettre 61 de Jérôme à Vigilance, §3 (la numérotation des Lettres de saint Jérôme est celle de leurs traductions par Jérôme Labourt chez Les Belles Lettres en 8 volumes). Cette lettre n'est pas parvenue mais on en connaît la réponse par la Lettre 58 de Jérôme à Paulin.
  8. Lettre de réponse de Jérôme à Paulin de Nole rapportée par Vigilance.
  9. Traduction de Ferdinand Cavallera, Saint Jérôme, sa vie et son œuvre, p. 221-222 (lire en ligne)
  10. « Lettre de Jérôme à Vigilance », dans Lettres de Saint Jerôme traduites en françois par Dom Guillaume Roussel, chez Roulland, Paris, 1713, tome 2, p. 304-312, (lire en ligne)
  11. Première épître aux Thessaloniciens 5:21
  12. a et b Babut 1906, p. 210-213
  13. Lettre 5 de Paulin à Sulpice Sévère.
  14. Gennade de Marseille, Traité des hommes illustres, p. 12, sur le site Theologica.
  15. « Lettre de Jérôme à Riparius », dans Lettres de Saint Jerôme traduites en françois par Dom Guillaume Roussel, chez Roulland, Paris, 1713, tome 2, p. 298-304, (lire en ligne)
  16. « VIGILANTIUS (Saint Jérome contre Vigilance) », sur info-bible.org (consulté le ).
  17. (en) Jerome, « Letter to Riparius »
  18. Jérôme de stridon, « Lettres de Jérôme »
  19. Sophia Bompiani, Les vaudois avant Pierre Valdo (et après), Amazon, , 135 p. (ISBN 9798460352531), p. 14-15
  20. Thierry Kouamé, « Monachus non doctoris, sed plangentis habet officium. L’autorité de Jérôme dans le débat sur l’enseignement des moines aux XIe et XIIe siècles », dans Cahiers de Recherches Médiévales et Humanistes, 2009, tome 18, p. 9-38 (lire en ligne)
  21. Louis Ellies Dupin, Nouvelle bibliothèque des auteurs ecclésiastiques, chez George Gallet, Mons, 1703, tome 13, p. 213, 218, 220 (lire en ligne)
  22. Le chevalier de Berquin, Déclamation des louenges de mariage [1525], notes et commentaires de V. Telle, Librairie Droz, Genève, 1876, p. 36-37 note 16, (ISBN 978-2-600-02499-0) (extraits)
  23. Lire en ligne sur Gallica

Bibliographie

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  • Jean Baiole, « De Vigilance et de son hérésie », dans Histoire sacrée d'Aquitaine contenant l'estat du christianisme depuis la publication de l'Évangile, jusques à nous, par Jean Dalvy, Cahors, 1646, p. 115-128 (lire en ligne)
  • Pierre Bayle, « Vigilantius », dans Dictionnaire historique et critique, chez Reinier Leers, Amsterdam, 1702 (2e édition), tome 3, p. 2960-2962 (lire en ligne), Desoer libraire, Paris, 1820, 11e édition, tome 14, T - X, p. 388-395 (lire en ligne)
  • Jean Martinay, La vie de saint Jérôme prêtre solitaire et docteur de l'église, chez la veuve d'Antoine Lambin, Paris, 1706, p. 340-359 (lire en ligne)
  • Alexandre Du Mège, « Recherches sur Calagurris », dans Histoire et mémoires de l'Académie royale des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, 1826, p. 94-97 (lire en ligne)
  • Claude Devic, Joseph Vaissète, Alexandre Du Mège, Histoire générale de Languedoc, tome 1, J.-B. Paya, Toulouse, 1840, p. 220-221 (lire en ligne)
  • Jacques-Paul Migne, «Vigilance», dans Dictionnaire des hérésies, des erreurs et des schismes, ou Mémoires pour servir à l'histoire des égarements de l'esprit humain par rapport à la religion chrétienne, tome 2, col. 214-225 (lire en ligne)
  • Albert Réville, « Vigilance de Calagurris, un chapitre de l'histoire de l'ascétisme monastique. Fin du IVe siècle. Commencement du Ve », dans Annuaires de l'École pratique des hautes études de 1901, 1901, p. 1-25 (lire en ligne)
  • Ernest-Charles Babut, « Sur trois lignes inédites de Sulpice Sévère », dans Le Moyen Âge, revue d'histoire et de philologie, 1906, p. 205-213 (lire en ligne)
  • Henri Crouzel, « Saint Jérôme et ses amis toulousains », dans Bulletin de littérature ecclésiastique, 1972, tome 73, no 2, p. 125-146 (lire en ligne)
  • Henri Crouzel, « Chronologie proposée du prêtre commingeois Vigilance de Calagurris (Saint-Martory) », dans Bulletin de littérature ecclésiastique, 1972, tome 73, no 4, p. 265-266 (lire en ligne)
  • Henri Crouzel, « Un "hérétique" commingeois: Vigilance de Calagurris », dans Mémoires de l'Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, 1985, volume 147, p. 163-174 (lire en ligne)
  • Jean-Louis Feiertag, Vigilance et Jérôme sur la lecture d’Origène dans un florilège du XIe siècle, dans Revue d' Études Augustiniennes Et Patristiques, 2005, volume 51, p. 279-296 (lire en ligne)
  • Jean-Louis Feiertag, « L'histoire du texte de l' Adversus Vigilatium et du Contra Iohannem Hierosolymitanum : bilan et nouveautés en vue d'une édition mineure », dans Éditer et traduire saint Jérôme aujourd'hui dans la collection des Sources chrétiennes, Actes de la journée d'étude à la mémoire de Yves-Marie Duval, , Lyon, p. 33-39 (lire en ligne)
  • Pascal-Grégoire Delage (ed.), Vigilance de Calagurris ou le cauchemar de Saint Jérôme Actes de la cinquième Petite Journée de Patristique, , à Saintes, Association CaritasPatrum, 2013, (ISBN 978-2-95342836-0)

Liens externes

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