Utilisatrice:Gabrielle Marie WMCH/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

{{Ébauche|peintre suisse}}

Marthe Rakine née Schrepfer le 20 novembre 1904 à Moscou et décédée le 27 juillet 1996 à Lausanne, est une artiste peintre suisse[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Marthe de Rakine-Schrepfer naît le 20 novembre 1904 à Moscou, d'un père suisse et d'une mère française. Elle étudie à l'École supérieure de Villamont à Lausanne puis, en France, à l'École nationale supérieure des arts décoratifs, à l'École des langues orientales et à l'Académie de la Grande Chaumière avec Othon Friesz. À Paris, elle partage son atelier avec son mari, le peintre et sculpteur Boris Rakine, près de la porte de Versailles[2].

xxxxx[modifier | modifier le code]

En 1949, après avoir visité les États-Unis et le Mexique, elle déménage en 1948 à Toronto au Canada avec son mari. Elle étudie la céramique pendant deux ans à l'université de l'École d'art et de design de l'Ontario. Après avoir reçu le premier prix Drakenfeld de New York à l'Exposition nationale canadienne[réf. nécessaire], elle décide de se consacrer exclusivement à la peinture. Son œuvre est alors présentée dans différents musées : le musée des beaux-arts du Canada[3], au musée de Montréal[Lequel ?], au musée de Vancouver (en), au musée de Toronto[Lequel ?], au musée de Hamilton[Lequel ?], au musée de Londres (en), ainsi qu'à l'université de Toronto[réf. nécessaire].

En 1952, Gordon Washburn, le directeur de l'Institut Carnegie de Pittsburgh la désigne grâce à son œuvre intitulée The Daffodils comme l'une des six meilleures peintres du Canada, ce qui lui permet d'être invitée à participer à l'Exposition internationale de Pittsburgh[4]. À partir de 1958, la famille s'installe à Épalinges en Suisse. Elle continue à exercer son métier en donnant également des leçons de peinture. À la suite de la mort de son mari, elle est accueillie à la Fondation Boissonnet à Lausanne, où elle meurt le 27 juillet 1996[5].

Elle fait partie des dix artistes canadiennes....[6][modifier | modifier le code]

Expositions[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Schrepfer, Marthe Laurence Marie », sur sikart.ch, (consulté le )
  2. Guy Weelen, Marthe Rakine, Paris, Les Presses littéraires de France,
  3. (en) « Collections, Marthe Rakine », sur gallery.ca (consulté le )
  4. (en) Rose MacDonald, « Six Canadian Paintings for Carnegie Art Show », The Telegram,‎ , p. 5
  5. (en) Colin S. MacDonald (volumes 1-8), Anne Newlands et Judith Parker (volume 9), A Dictionary of Canadian Artists, Ottawa, National Gallery of Canada/Musée des beaux-arts du Canada
  6. (langue non reconnue : xx) XX, « XX », XX,‎ xx
  7. gabrielle, « blabla », tadah,‎ , p. 22
  8. Courrier de l'Association française d'action artistique, 7 mars 1963

Liens externes[modifier | modifier le code]

{{Portail|peinture|culture de la Suisse}} {{DEFAULTSORT:Rakine, Marthe}} [[Catégorie:Peintre suisse du XXe siècle]] [[Catégorie:Élève de l'École nationale supérieure des arts décoratifs]] [[Catégorie:Élève de l'Institut national des langues et civilisations orientales]] [[Catégorie:Élève de l'Académie de la Grande Chaumière]] [[Catégorie:Naissance en novembre 1904]] [[Catégorie:Naissance à Moscou]] [[Catégorie:Décès en juillet 1996]] [[Catégorie:Décès à Lausanne]] [[Catégorie:Culture canadienne]]