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Utilisateur:Karldupart/Brouillon

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Boîte à outils[modifier | modifier le code]

Félix et Louis Lazare, ''[[Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments]]'', édition de 1844, {{p.|203-204}} {{lire en ligne|url=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200946t/f209.image}}
  • Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Table des matières », p. 531
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Carte interactive[modifier | modifier le code]

Carte
Les hameaux de Ranville

Prison du château de Caen[modifier | modifier le code]

L'ancienne prison, mentionnée à de nombreuses reprises dans les textes entre le XIIe et le XVe s. se trouvait entre la tour sud-est du donjon et la porte des Champs.

Elle est construite peut-être vers les années 1160-1170, lorsque Henri II Plantagenêt mène d'importants travaux d'aménagement dans le château. Mais il est possible qu'elle est été construite avec le reste du château au milieu du XIe.

À partir du XIVe s., les textes permettent véritablement d’appréhender l’organisation topographique de la geôle castrale25. Ceux-ci indiquent l’existence d’une “vielle fosse” au-dessus de laquelle se trouve une “chambre”, cette dernière ayant été réaménagée à neuf en 133626. Une “haute sale” est également attestée en 1360 (s’agit-il de la même chambre ?)

Les hommes et les femmes étaient enfermés séparément

Il est également possible qu’une partie de la prison, manifestement dotée d’un certain nombre d’éléments de confort (cheminée, vitres en verre), ait été dédiée aux prisonniers nobles

Au-dessus de la prison des femmes se trouvait une “maison”36. Nous ignorons à quel usage celle-ci était employée :

Il existait également une gehine, c’est-à-dire une salle de la question, dans laquelle des travaux étaient parfois effectués ou des cordes livrées

La prison comprenait un “parquet”40, c’est-à-dire un enclos ou un espace clos41 : peut-être la cour fermée, visible sur plusieurs plans anciens. Un puits, qui se trouvait peut-être dans cette cour, était réservé à l’usage de la geôle.

a geôle disposait d’un jardin45, sans que l’on sache avec certitude si celui-ci se confondait avec le parquet, s’il en constituait une partie seulement ou s’il était situé ailleurs (par exemple au nord des bâtiments, entre les fossés du donjon et la courtine nord du château). Cette dernière hypothèse est assez plausible

le jardin était entouré d’une clôtu

Il apparaît donc que la prison a déménagé dans la ville au cours de la première moitié du XVe s., vraisemblablement vers les années 1430, à l’époque où la Normandie était sous le contrôle de la couronne anglaise

les bâtiments du château qui avaient servi de geôle ont vraisemblablement été réaménagés en résidence, ce que pourrait suggérer le terme “ostel” ; nous n’en connaissons toutefois la fonction exacte qu’à partir du XVIIIe s., où ils servaient de logement pour les soldats et les officiers, jusqu’à leur destruction vers 1900 où ils sont remplacés par de nouveaux casernements.

En 2016, trois maçonneries ont été mises au jour dans la tranchée TR12 (fig. 2 et 4) : les murs nord (n° 1) et sud (n° 2) d’un édifice, tous deux larges de 0,90 m, et un mur de refend (n° 3), large de 0,80 m (fig. 5)60. Les murs, apparus à moins de 0,30 m de profondeur, étaient construits en petits moellons calcaires liés à un mortier coquillé. Le recalage avec les plans anciens a confirmé leur appartenance à l’ensemble interprété comme la prison.

mur nord : Immédiatement au-dessous de ce ressaut sont apparus des graffitis soigneusement réalisés.

deux ensembles distincts, disposés de façon presque perpendiculaire mais non jointive


Un document de 1883, comprenant des plans et des dessins des élévations, fournit un aperçu des bâtiments à cette date, à l’intérieur comme à l’extérieur (fig. 9)65. Bien que de nombreuses modifications les aient certainement affectés au cours des siècles66, les élévations représentées en 1883 présentent des caractéristiques potentiellement compatibles avec une datation antérieure67.


En tout état de cause, comme l’ont montré les fouilles récentes, les rez-de-chaussée des bâtiments sont probablement entièrement conservés ainsi que, peut-être, une partie du premier étage.

Presqu'île (Caen)[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La Presqu'île est délimitée par :

Elle est accessible par :

  • sur le canal :
    • le pont de l'Écluse,
    • le pont de la Fonderie,
    • le pont de Colombelles,
    • Pegasus Bridge,
    • les portes des écluses de Ouistreham
  • sur l'Orne,
    • le barrage de l'Orne,
    • le pont du chemin de fer portuaire,
    • les deux ponts des anciennes lignes de chemin de fer de la SMN,
    • le viaduc du Haut-Plateau,
    • la voie de rocade à Colombelles,
    • le pont de l'ancien village à Colombelles,
    • le pont de Ranville.

Histoire[modifier | modifier le code]

Jusqu'au XVIIIe prairie marécageuses traversée par les méandres de l'Orne. Appelée prairie Saint-Gilles ou prairie de Madadame car appartient à l'abbaye aux Dames.

Orne redressé à partir du XVIIIe et La Presqu'île est créée au XIXe siècle après le percement du canal de Caen à la mer (inauguré en 1857).

Les activités liées au port de Caen se développe aux alentours du bassin Saint-Pierre, puis du Nouveau Bassin. La gare de Clopée est établie au XXe siècle pour servir de gare de triage entre la SMN et le port.

Installation des charbonnages.

Le marché de gros est établi.

Les activités déclinent dans la seconde partie du XXe siècle, l'activité se concentrant sur la partie amont du canal.

Le canal Victor Hugo et le déversoir du Maresquier sont creusés.

plan guide

Des bâtiments publics :

Premiers logements

Arrivée du tramway

Temporisation du projet le temps étude

Chronologie des TC de Lyon (métro, funiculaire, tram)[modifier | modifier le code]

  • 6 décembre 1974 : inauguration de la ligne entre les stations Croix-Paquet et Croix-Rousse
  • 28 avril 1978 : inauguration
    • de la ligne A entre Perrache et Lauren-Bonnevay
    • de la ligne B entre Charpennes - Villeurbanne et Part-Dieu
    • de la ligne C entre Hôtel de Ville et Croix-Rousse
  • 14 décembre 1981 : ouverture de la section de la ligne B Part-Dieu - Jean Macé
  • 12/13 juin 1983 : fermeture des Brotteaux et ouverture de la Part-Dieu
  • 10 décembre 1984 : ouverture de la section de la ligne C Croix-Rousse - Cuire
  • 1990 : la station « Charpennes - Villeurbanne » est rebaptisée « Charpennes - Charles Hernu » ; la station République est renommée « République - Villeurbanne »
  • 4 septembre 1991 : ouverture de la ligne D entre Gorge de Loup et Grange Blanche
  • 11 décembre 1992 : ouverture de la D entre Grange Blanche et gare de Vénissieux
  • 28 avril 1997 : ouverture de la D entre Gorge de Loup et Vaise
  • 4 septembre 2000 : ouverture de la B entre Jean Macé et Stade de Gerland
  • 2 janvier 2001 : ouverture
    • de la ligne T1 entre Perrache et Feyssine
    • de la ligne T2 entre Perrache et Porte des Alpes
  • 27 octobre 2003 : ouverture du T2 entre Porte des Alpes et Saint-Priest - Bel Air
  • Juin 2004 : la station « Place Guichard » devient « Place Guichard - Bourse du travail »
  • 15 septembre 2005 : ouverture du T1 entre Perrache et Montrochet
  • 2005 : la station « Laurent Bonnevay » est renommée « Laurent Bonnevay - Astroballe »
  • 27 novembre 2006 : inauguration de la ligne T3 entre Part-Dieu - Villette et Meyzieu ZI
  • 1er octobre 2007 : ouverture de la A entre Lauren Bonnevay et la Soie
  • Début 2009 : la station « Guillotière » est renommée Guillotière - Gabriel Péri »
  • 20 avril 2009 : ouverture du T4 entre Jet d'Eau et Hôpital Feyzin - Vénissieux
  • 13 décembre 2009 : ouverture de la gare Jean Macé
  • 9 août 2010 : inauguration de Rhônexpress
  • 2011 : la station « Montrochet » est renommée « Hôtel de Région - Montrochet »
  • 17 novembre 2012 : ouverture de la ligne T5
  • 2 septembre 2013 : prolongement du T4 de Jet d'Eau - Mendès France à La Doua - Gaston Berger
  • 11 décembre 2013 : prolongement de la B de Stade de Gerland à Gare d'Oullins
  • 19 février 2014 : prolongement du T1 de Montmorchet - Hôtel de Région à Debourg
  • 10 juin 2014 : prolongement du T3 à Meyzieu - Les Panettes
  • 1er avril 2015 : la station « Flachet » est renommée « Flachet - Alain Gilles »
  • 1er décembre 2015 : ouverture de la branche du T3 vers Parc olympique lyonnais
  • 2019 : la station « Suchet » est renommée « Place des Archives », la station « Centre Berthelot » est renommée « Centre-Berthelot Sciences-Po-Lyon », la station « Part-Dieu Servient » est renommée « Part-Dieu Auditorium »
  • 22 novembre 2019 : ouverture de la ligne T6

Carte[modifier | modifier le code]

Ligne de La Plaine à Pantin

Sièges de Parlement[modifier | modifier le code]