Rond-point de la Cépière
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Rond-point de la Cépière
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| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 43° 35′ 03″ nord, 1° 24′ 00″ est |
| Pays |  France |
| Région | Occitanie |
| Département | Haute-Garonne |
| Métropole | Toulouse Métropole |
| Ville | Toulouse |
| Secteur(s) | 6 - Ouest |
| Quartier(s) | Pradettes (nord) • Mirail-Université (sud) |
| Morphologie | |
| Forme | Ellipse |
| Superficie | env. 50 000 m2 |
| Transports | |
 Bus
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141887 |
| Odonymie | |
| Nom actuel | 1970 |
| Nom occitan | Rotonda de la Cepiera |
| Histoire et patrimoine | |
| Création | 1970 |
| Notice | |
| Archives | 315558344400 |
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Le rond-point de la Cépière est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Description[modifier | modifier le code]
Le rond-point de la Cépière est une voie publique. Il se trouve à la limite du quartier des Pradettes, au nord, et du quartier de Mirail-Université, au sud, tous deux dans le secteur 6 - Ouest.
Voies rencontrées[modifier | modifier le code]
Le rond-point de la Cépière rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants :
- Avenue Louis-Bazerque
- Chemin du Mirail
- Rue Nicolas-Louis-Vauquelin
- Avenue du Corps-Franc-Pommiès / périphérique (A620) - Échangeur no 27 (La Cépière)
- Route de Saint-Simon
- Avenue du Groupe-Morhange / périphérique (A620) - Échangeur no 27 (La Cépière)
- Chemin du Pigeonnier-de-la-Cépière - accès piéton
- Chemin de la Cépière - accès piéton
Transports[modifier | modifier le code]
Le rond-point de la Cépière abrite en son cœur une station de bus, fréquentée par les lignes de bus 141887. Il est en revanche relativement éloigné des stations de métro.
La station de vélos en libre-service VélôToulouse la plus proche est la station no 263 (87 avenue Jean-Baylet).
Odonymie[modifier | modifier le code]
Le rond-point de la Cépière tient son nom du château et du domaine voisin (actuel no 22 chemin de la Cépière)[1]. Il avait appartenu au milieu du XVIe siècle à Auger de La Cépière (ou La Sipière)[2].
Histoire[modifier | modifier le code]
Moyen Âge et période moderne[modifier | modifier le code]
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Salies 1989, vol. 1, p. 252.
- Salies 1989, vol. 1, p. 251.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., éd. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2-8672-6354-5).
- Louis-Emmanuelle Friquart et Annie Noé-Dufour, Les Quartiers de Toulouse. Le Mirail. Le projet Candilis, coll. « Itinéraires du Patrimoine », no 322, Accord édition, 2006 (ISBN 2-908695-53-7).
- Stéphane Gruet et Rémi Papillault (dir.), Le Mirail. Mémoire d'une ville, Éditions Poïésis - A.E.R.A., 2006 (ISBN 978-2-917138-02-1).
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Notice no 315558429702 », Au nom de la voie, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 20 septembre 2021 (consulté le ).
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).
