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Palais des facultés de Caen

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Palais des facultés de Caen
Grandes écoles
Plan de l’université au XVIIe siècle.
Présentation
Destination initiale
Destination actuelle
Détruit en 1944
Architecte
Brodon
Construction
XVIIe siècle / XIXe – XXe siècles
Localisation
Pays
Commune
Coordonnées
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Le palais des facultés de Caen, appelé également grandes écoles, est un ancien bâtiment construit dans le centre-ville ancien de Caen au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles pour abriter l'université de Caen. Agrandi au XIXe et XXe siècles, cet ensemble a été détruit lors de la bataille de Caen en 1944.

Le palais des facultés était situé dans le centre-ville ancien de Caen. Il était compris entre la rue Pasteur au nord, la rue aux Namps à l'est, la rue Saint-Sauveur au sud et le chevet de l'église du Vieux Saint-Sauveur à l'ouest.

Carte

Avant la Révolution

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L'université de Caen est fondée en 1432 lors de l'occupation anglaise de la ville consécutive à la prise de la ville de Caen en 1417. Les premiers enseignements sont dispensés dans l'ancienne halle de la mercerie située rue des Cordeliers et occupée en partie par le bailliage et de la vicomté de Caen[1],[2]. En 1443, la demeure dans sa totalité est laissée à l'usage des facultés[3]. Les locaux sont agrandis grâce à des donations en 1444. Une salle de la porte Saint-Julien était également utilisée comme amphithéâtre de médecine[4].

En 1476, l'université est transférée sur une propriété derrière le chevet de l'église Saint-Sauveur léguée par Marie de Clèves[5],[2].

L’architecte Brodon reconstruit les « grandes écoles »[6],[5] sur ce même emplacement entre 1694 et 1704[4],[7]. Avec son plan en forme de « U » s’organisant autour d’une cour régulière définie par le corps central du bâtiment, les deux ailes latérales perpendiculaires[8] et fermée par une grille sur la rue de la Chaîne (actuellement rue Pasteur)[N 1], cet édifice s'inspire, comme pour l'Université de Perpignan construite un demi-siècle plus tard[9], de l’architecture palatiale afin de marquer la présence de l'institution dans l'espace urbain.

L’intermède révolutionnaire

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L'établissement est fermé en 1791, anticipant ainsi de plus de deux ans la suspension de l'enseignement universitaire dans l'ensemble du pays le [10]. Une loi du préconise que les bâtiments nationaux des anciens collèges et universités soient employés de préférence pour l'établissement des écoles centrales ; celle du Calvados s'installe donc dans l'ancien palais de l'Université[N 2]. La rentrée solennelle a lieu le . Les écoles centrales sont finalement fermées le [11].

Le palais des facultés sur le cadastre napoléonien avant les extensions du XIXe siècle

Après la Révolution : les extensions des XIXe – XXe siècles

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La façade sur la rue Pasteur après l'extension des années 1840
La cohabitation du palais de justice et de la faculté de droit

À partir de 1804, la plus grande partie des locaux est occupée par le tribunal civil[12]. L'université est rétablie par la loi du et cohabite avec l'administration judiciaire ; seul l'enseignement du droit se tient dans l'ancienne salle de théologie[13]. Pour pallier le manque de place, les facultés sont éclatés dans différents locaux : la faculté des lettres et l'enseignement des mathématiques avec le lycée de Caen (ancienne abbaye aux Hommes), les cours de physique et d'histoire naturelle dans un amphithéâtre de l’hôtel de ville (ancien séminaire des Eudistes)[13]. En 1823, l'ancien collège des Arts, situé rue Pasteur également, est remis à disposition de l'université[13].

Le réaménagement des années 1840

Les bâtiments sont remaniés sous le rectorat de Jacques-Louis Daniel (1840 - 1852). En 1840, des plans d'agrandissement du palais sont présentés au Conseil des bâtiments civils afin d'accueillir la faculté des sciences. Le projet a deux composantes : la construction de trois nouveaux bâtiments à l'emplacement de l'ancien collège des Arts et l'ajout d'un étage au corps de bâtiment existant avec modifications des pavillons[14].

En 1843, le tribunal s'installe définitivement dans le palais de justice de la place Fontette[4] ; dès la rentrée 1842, l'université dispose seule de ses anciens locaux[13] qui[15]. En 1844, les travaux d'agrandissement, par l'ajout d'un étage aux bâtiments en rez-de-chaussée, sont terminés[13]. Les facultés de droit, de lettre et les enseignements théorique de médecine occupent le rez-de-chaussée[13]. Le muséum d'histoire naturelle de Caen, fondé par la Société linnéenne de Normandie, est aménagé au dernier étage de l'université[16]. Ce dernier est inauguré le [17].

L'AGEC lors l'inauguration du nouveau palais de l'université les 2 et 3 juin 1894
Les extensions des années 1890-1900

En 1875, il est envisagé de reconstruire la faculté des sciences sur un site indépendant soit sur un terrain près du lycée Malherbe (ancienne abbaye aux Hommes), soit à la place d'un établissement de bains désaffecté[18]. Mais en , on prend finalement la décision d’agrandir les bâtiments sur le site existant[19]. Les travaux commencent en 1884 et se terminent en 1888[13]. Avec les nouvelles ailes, inaugurées seulement le [20], l'université occupe désormais l'ensemble de la parcelle comprise entre les rues Pasteur, aux Namps, Saint-Sauveur et le chevet du vieux Saint-Sauveur[19].

Enfin, le , est posée la première pierre de la bibliothèque des facultés par le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, Joseph Chaumié[21]. Ce bâtiment est construit de 1903 à 1906 entre les deux nouvelles ailes pour remplacer les locaux trop exigus et vétustes mis à disposition jusque-là par la ville dans un immeuble de la rue Saint-Sauveur[13].

Les projets avortés des années 1930

Malgré ces différents agrandissements, les locaux s’avèrent très rapidement insuffisants et mal adaptés. De plus, les bâtiments, à l'exception de la bibliothèque, sont jugés malcommodes et très mal distribués[22]. Une partie de l'ancienne église Saint-Sauveur est occupée par la faculté des sciences[22]. Dès 1917, celle-ci réclame « de toute urgence [de] faire construire des bâtiments spéciaux pour la chimie, pour la physique, et pour les sciences naturelles en dehors du palais actuel de l’université ».

Un concours est lancé en 1938 pour construction d'une nouvelle faculté des sciences sur des terrains pris sur la Prairie, à côté de la Maison des étudiants (inaugurée en 1928 sur l'avenue Albert-Sorel) et du laboratoire départemental de bactériologie du Calvados (établi en 1932 sur la rue du Stade, actuelle rue Fred-Scamaroni). Il est remporté par Georges Damblère et Jacques Duvaux ; mais le manque de fonds, puis la guerre ralentit le projet qui ne sera jamais mené à bien[18]. Dans l'entre-deux-guerres, on envisage également de construire un nouveau bâtiment dans la cour d'honneur pour accueillir l'institut commercial, mais faute de crédits le projet est abandonné[22]. Dans les années 1930, la bibliothèque arrive à saturation et une partie de l'institut technique de Normandie (ancêtre de l'école d'ingénieurs) doit déménager en 1931 dans un immeuble de la rue de Geôle[22].

La destruction

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Le , un mois après le débarquement de Normandie, lors de l’opération Charnwood, 2 200 tonnes de bombes explosives sont larguées sur la ville. L'université n'est pas directement visée, mais quelques bombes tombent sur l’aile de chimie, provoquant l’incendie dévastateur des produits inflammables[23],[18]. Le bâtiment est entièrement détruit par le brasier. Les ruines de la bibliothèque sont sécurisées afin de servir de locaux provisoires pour l'administration municipale, l’hôtel de ville (ancien Séminaire des Eudistes de Caen) ayant également été détruit[24]. Considérant que les bâtiments du XIXe siècle n'offrent que peu d'intérêt[25], les autorités font entièrement raser les vestiges de l'université ; les derniers vestiges disparaissent pendant l'été 1960[26]. Certains contemporains toutefois s'en émeuvent ; l'association des amis du Vieux Caen déplore ainsi la destruction de « ces belles portes de l'ancienne université qui auraient été très bien incluses dans les murs de la nouvelle. »[27]

Dans le cadre de la Reconstruction, l'administration table sur l’accueil de 3 500 étudiants et choisit de construite une nouvelle université à l'extérieur du centre-ville. Sous l’impulsion de Pierre Daure, l'édification d'un campus « à l'américaine » sur les hauteurs du Gaillon (actuel campus 1) est confiée à Henry Bernard et s’étale de 1948 à 1957[23]. Sur une partie de l'ancien site du palais des facultés (rues Pasteur et aux Namps), sont construits des immeubles, alors que l'espace central (côté rue Saint-Sauveur) est transformé en jardin public (square Camille Blaisot) afin de dégager le chevet de l'ancienne église Saint-Sauveur.

Architecture

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Le bâtiment originel (XVe – XVIe siècles)

Au XVIe siècle, Charles de Bourgueville décrit les « grandes écoles » comme « un grand, magnifique et superbe bastiment qui contint, en longueur, l'espace de cent cinquante marches, et faict tout le costé d'une rue ; car aussi en ce seul bastiment sont les escoles de théologie, Droits canon et civil, médecine et les arts, où se font les lectures publiques et actes de chaque Faculté. Et au mitan, est posée une belle et singulière librairie fournie d'une infinité de livres de toute science, de laquelle les docteurs et le clavier d'icelle Université ont les clefs, pour la clorre et ouvrir aux estudiants. Et au haut de la vis d'icelle est posée une horloge et cadran, afin que les docteurs, régenz et escoles soyeut bien réglez en leurs lectures. »[5]

Le bâtiment du XVIIIe siècle

L’université construite tournant du XVIIe – XVIIIe siècles était constitué d’un corps central de cinq travées à un étage flanqué de deux ailes latérales de trois travées, chacune à un seul niveau. Deux bâtiments à un niveau, parallèles au premier et en avant, complétaient ce dispositif qui formait ainsi une petite place ouverte sur la rue Pasteur[19]. Le bâtiment central accueillait au rez-de-chaussée la salle de l'école droit civil et à l'étage la bibliothèque. À droite, coté rue aux Namps, se trouvaient la salle de l'école de droit canon, séparée par celle de droit civil par un vestibule et un cabinet. À gauche, côté église Saint-Sauveur, se trouvait l'école de médecine, séparée par la salle de droit civil par l'escalier et un vestibule. L'aile côté rue aux Namps accueillait la salle de l'école de théologie et une petite salle dite l'écoute. L'aile en face accueillait la salle des Arts, séparée de la cour par un grand vestibule[8].

Le bâtiment après les extensions du XIXe – XXe siècles

Au XIXe siècle, on rehausse les bâtiments latéraux d’un étage (1844) et on double en épaisseur le corps central, notamment en construisant un avant-corps central sur la cour arrière pour abriter l’escalier (1844-1888)[13].

Deux nouvelles ailes sont construites le long de la rue aux Namps, puis devant le chevet de l’église[13]. Tous les nouveaux bâtiments, sont construits sur un soubassement afin de rattraper la pente existant entre la rue Pasteur et la rue Saint-Sauveur. Hormis ce fait, les extensions reprennent le même code architectural que les bâtiments originaux de facture classique : fenêtre avec voûte en plein cintre au rez-de-chaussée, fenêtre à linteau droit à l’étage et toit mansardé[19].

Dans les années 1900, la grande cour qui donnait sur la rue Saint-Sauveur est fermée par un nouveau bâtiment abritant la bibliothèque construit par Henri Deguernel[19]. Cette bibliothèque possédait 9 kilomètres de rayonnage pouvant accueillir 300 000 volumes[13] sur trois niveaux. La salle de lecture (longue de 22 mètres et d’une hauteur de plafond de 6 mètres) pouvait accueillir plus de 100 lecteurs[28].

La statuaire

L'université inaugure le des statues représentant François de Malherbe et Pierre-Simon de Laplace, ainsi que les bustes de Pierre Varignon, Guillaume-François Rouelle, Hippolyte-Victor Collet-Descotils, Augustin Fresnel, Jean Vauquelin de La Fresnaye et Jules Dumont d'Urville[17]. Hautes de 2,35 m, les statues en bronze sont posées sur deux piédestaux en granit de Vire d'1,85 m dans la cour sur la rue Pasteur[17]. Les piédestaux sont dessinés par l'architecte de la ville Émile Guy ; la statue de Malherbe est l’œuvre de Antoine Laurent Dantan[29],[30] et celle de Laplace de Jean-Auguste Barre[31],[32]. Les bustes sont installées dans le péristyle de l'hôtel de l'université — construit à la place de l'ancien collège des Arts — à l'entrée des salles de la faculté des sciences[17].

Les statues sont déboulonnées le , sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux, pour être fondues[22]. Un groupe d'étudiants tente d’empêcher l'enlèvement des statues et manifeste en suivant le véhicule qui les emporte.

  1. La rue Pasteur s'appelait alors rue de la Chaîne car on tendait une chaîne au début des cours à l’entrée de la rue pour éviter le passage des chariots susceptible de gêner les étudiants.
  2. Le 7 mai 1795, Jacques-Charles Bailleul, délégué de la Convention, avait décidé par arrêté que l'école centrale du Calvados serait installée dans les anciens bâtiments de l'abbaye aux Hommes. Mais le projet est abandonné du fait de l’hostilité de la municipalité qui souhaite récupérer l'usage des anciens bâtiments conventuels et qui propose donc que les cours se tiennent dans l'ancien palais de l'Université.

Références

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  1. Pierre-Daniel Huet, Les origines de la ville de Caen, revues, corrigées & augmentées, Rouen, Maurry, 1706, p. 265 [lire en ligne].
  2. a et b Jules Cauvet, « Le Collège des Droits de l'ancienne Université de Caen » dans les Mémoires de la société des antiquaires de Normandie, Caen, 1856, vol. 2, p. 474-574 [lire en ligne].
  3. Amédée de Bourmont, « Fondation de l'Université de Caen et son organisation au XVe siècle » dans Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie, Caen, Le Blanc-Hardel, 1884, t. XII, p. 354-356.
  4. a b et c Christophe Collet, Caen, cité médiévale : bilan d'histoire et d'archéologie, Caen, Caen Archéologie, 1996.
  5. a b et c Charles de Bourgueville, Les Recherches et antiquitez de la ville et Université de Caen et lieux circonvoisins des plus remarquables, Caen, J. Le Fevre, 1588, p. 310-311.
  6. Pierre-Daniel Huet, op. cit., p. 266.
  7. Eugène de Robillard de Beaurepaire, « Journal des choses mémorables arrivées à Caen, d'après des notes manuscrites du XVIIe et du XVIIIe siècles » dans l'Annuaire des cinq départements de la Normandie, Caen, Association normande, 1890, 56e, p. 320 [lire en ligne].
  8. a et b « Plan de l'université », sur archives départementales du Calvados (consulté le )
  9. Esteban Castañer Muñoz, « L’Université de Perpignan au XVIIIe siècle : palais et temple du savoir à l’âge des Lumières » dans In Situ [En ligne], no 17, 2011, mis en ligne le 23 novembre 2011 [lire en ligne]
  10. Jean Laspougeas, « La nation ou la liberté ? L'université de Caen contre la Révolution, 1791 » dans Revolution und Gegenrevolution 1789-1830 zur geistigen Auseinandersetzung in Frankreich und Deutschland Schriften des Historischen Kollegs. Kolloquien: Zur geistigen Auseinandersetzung in Frankreich und Deutschland, Oldenbourg Wissenschaftsverlag, 1991, p. 63-77.
  11. Charles-Hippolyte Pouthas, « L'École centrale du Calvados – Organisation et fonctionnement depuis l'ouverture de l'École jusqu'à la fin de l'an X (1796-1802) », dans les Mémoires de l'Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen, Caen, Henri Delesques, 1912, p. 257-334 [lire en ligne].
  12. Patrice Gourbin, Le Palais de justice de Caen : construction et transformation de 1781 à 2006 dans les Annales de Normandie, Laboratoire d'ethnographie régionale, Caen, 2007, vol. 57, no 1-2, p. 83.
  13. a b c d e f g h i j et k Jean Quellien, Dominique Toulorge, Histoire de l’Université de Caen, 1432-2012, Caen, Presses universitaires de Caen, 2012, p. 147-150.
  14. « Fiche détaillée n° 18410 », sur Base Conbavil (consulté le )
  15. Guillaume-Stanislas Trébutien, Caen, son histoire, ses monuments, son commerce et ses environs, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1870 ; Brionne, le Portulan, Manoir de Saint-Pierre-de-Salerne, 1970, p. 284.
  16. Ibid., p. 304-307.
  17. a b c et d Léon Puiseux, Inauguration des statues de La Place et de Malherbe, et des bustes de Varignon, Rouelle aîné, Collet-Descotils, Fresnel, Vauquelin et Dumont-d'Urville, à Caen, le 5 août 1847. Suivie des Notices historiques, Caen, impr. de B. de Laporte, (lire en ligne)
  18. a b et c Patrice Gourbin, « La reconstruction de l’université de Caen. À l’origine du campus français » dans In Situ [En ligne], no 17, 2011, mis en ligne le 23 novembre 2011 [lire en ligne]
  19. a b c d et e Philippe Lenglart, Le Nouveau Siècle à Caen, Éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1989.
  20. « Programme des fêtes avec ministre » dans Le bonhomme normand, 30e année, no 22, 1er au 7 juin 1894.
  21. « Les fêtes caennaises », Journal de Caen,‎ .
  22. a b c d et e Jean Quellien, Dominique Toulorge, op. cit., p. 180-182
  23. a et b G. Louis, C. Leloche et F. Thibert, reportage sur l’histoire de l’université de Caen, 19-20, France 3 Normandie, 29 janvier 2008.
  24. « Caen et la reconstruction » dans Caen, une ville à explorer, dossier pédagogique du SCÉRÉN (CNDP-CRDP), p. 20 [lire en ligne].
  25. Patrice Gourbin, Construire des monuments historiques ? La confrontation des monuments historiques et de la modernité dans la reconstruction de Caen après 1944, Paris, Université Paris 1, 2000, p. 48-49.
  26. Paris Normandie, 23-24 juillet 1960
  27. Édouard Tribouillard, Amand Oresme, Caen après la bataille : la survie dans les ruines, Caen, Mémorial de Caen, 1993, p. 54-55.
  28. Destruction-reconstruction de la bibliothèque universitaire sur le site de la bibliothèque universitaire de Caen
  29. « Statue de François de Malherbe à Caen », sur À nos grands hommes
  30. « Monument François de Malherbe à Caen », sur e-monumen
  31. « Monument au marquis de Laplace à Caen », sur À nos grands hommes
  32. « Monument au marquis de Laplace à Caen », sur e-monumen

Articles connexes

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Lien externe

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