Discussion:Les Enfants de Don Quichotte

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pourquoi ont ils pris ce nom pour leur association? je n'arrive pas à faire le lien entre don quichotte et "les enfants de don quichotte" ... J e suis sûrement stupide mais bon si je ne demande pas je ne saurais jamais! merci de votre reponse^^

la manche[modifier le code]

don quichotte de la Manche. Et la manche c'est l'activité de beaucoup de SDF.

A part cela, un peu succint l'article. On ne parle pas beaucoup de ce qui s'est passé sur le campement de Paris, les dissensions, les émergences et mille choses . De meme pour les campements de province.

Ca l'air un peu sous controle cet article... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.2.117.107 (discuter)

Promotionnel?[modifier le code]

Je trouve cet article relativement neutre (exemple:a réuni plus de 15000 personnes selon les organisateurs et moins de 1800 selon les forces de police). Certes il n'est peut-être pas assez dévellopé mais je ne trouve pas ici les explications qui démontrent la partialitée (ou aspect publicitaire) de l'article. Je trouve injustifié la présence du bandeau promotionnel.--Toubabmaster (d) 27 mars 2008 à 14:40 (CET)[répondre]

EDQ à travers la France à l'Hiver 2006-2007[modifier le code]

Il s'est ouvert effectivement plus de campements à travers la France que ne le présente l'article pour l'instant. La plus part des villes qui ont participé ont laissé des postes sur notre forum ou des vidéos sur internet, sans compter l’ensemble des articles de la presse. Je vais donc ajouter les villes qui ont aussi eu leur mouvement EDQ et que je peux référencer officiellement. Certaines autres villes n'ont pas eu de campement mais un mouvement avec quelques actions publiques. On peut aussi parler du déroulement des campements dont celui de Sète qui avait été détaillé au jour le jour (bien que l'auteur ait tenu à les effacer par la suite pour protester contre certaines inefficacités) et qui fut le premier à terminer ses pourparlers avec la FNARS, alors que Nice fut l'un des derniers et ne fut pas satisfait des solution proposées. Mais d'une manière générale, on peut dire qu'il y a eu une action commune, des conditions communes au démontage des campements mais des différences de personnalité de tous ces campements (et de leur organisation) qui ont chacun apporté des revendications constructives ou intéressantes et qui ont enrichi le mouvement et mis en exergue plusieurs types de difficultés des SDF (logement, toxicomanie et décès, parcours administratif, prise en charge médico-social, cercle travail/logement, respect SRU, type de populations SDF...). Il faudra aussi placer un mot sur la création des villages de l’espoir (6 actuellement en France) grâce à Jacques Deroo et qui est la conséquence des recherches et propositions de solution de prise en charge adaptée pour les SDF clochardisés afin de proposer des modèles de réinsertion ou de ré inclusion qui marchent et soit moins onéreux que les solutions existant précédemment (accueil de nuit, meublés, CHRS…).

Je vais donc rajouter la liste non exhaustive des villes qui ont eu un réel campement: Aix en Provence, Avignon, Bordeaux, Dax, Fréjus, La Rochelle, Lyon, Lille, Nice, Nantes, Orléans, Poitiers, Sète, Strasbourg et Toulouse, dont on retrouve les traces ici et .

Je vois que ma liste a été retirée car elle rendrait le contenu indigeste. Il faudrait pourtant la placer quelque part car elle est instructive il me semble.
J'ai aussi l'intention d'apporter d'autres informations qui pour l'instant donne à peut près ça pour l'article de l'hivers 2006-2007. Il y a certainement besoin de le réduire mais une quantité d'informations qu'on me demande souvent y apparaissent. Elles manquent pour certaines cruellement dans l'article :

Début janvier 2007, sur les quais de Jemmapes et de Valmy, plusieurs centaines de SDF et quelques dizaines de volontaires (lesquels partagent à des fins de solidarité les conditions des premiers) sont présents. À partir du 2 janvier, d'autres campements se forment en France comme à Nantes, Lille, Grenoble,Toulouse et Bordeaux. Créé le 6 janvier, le campement de Strasbourg devient le deuxième de France avec 70 tentes, celui de Nice en comptera 35 avec 95 personnes au total inscrites sur la liste donnée à la FNARS.

Les Enfants de Don Quichotte reçoivent alors le soutien de nombreuses personnalités politiques : Bertrand Delanoë, Christine Boutin, François Bayrou ou François Hollande ainsi que de l'acteur Jean Rochefort.

Liste non exhaustive des villes qui ont eu un campement EDQ et des négociations avec la FNARS en rapport avec le mouvement des Enfants de Don Quichotte : Aix-en-Provence, Avignon, Bordeaux, Dax, Fréjus, La Rochelle, Lille, Lyon, marseille, Nice, Nantes, Orléans, Paris, Poitiers, Sète, Strasbourg et Toulouse.

Dans la première semaine de janvier, le gouvernement annonce un projet de loi sur le droit au logement opposable demandé entre autre par l'association. Le 17 janvier 2007, le conseil des ministres examine ce projet de loi. Cependant l'association des Enfants de Don Quichotte choisit de ne pas retirer le campement du quai de Jemmapes, ni ceux de province, et propose au contraire de ne retirer que les tentes des SDF à qui sont proposés des solutions de « logement pérenne », acceptées personnellement par le SDF et correspondant aux attentes de la charte du Canal Saint-Martin (mot d'ordre : « un logement, une tente »).

La FNARS, engagée depuis le 15 janvier dans la « sortie de crise » [1], est alors chargée de coordonner au niveau local et national les solutions individuelles proposées à chaque SDF, avec les différents services des associations ou organismes compétents et dans chaque région où ont lieu des actions EDQ. Chaque campement en France, considéré comme faisant parti d'un mouvement (adhésion spontanée, manifestée et sans inscription) suivant l'association des Enfants de Don Quichotte, déposera ainsi auprès de la FNARS la liste des SDF, ville par ville, qui demandent une solution de logement pérenne par le biais du mouvement. La promesse est ainsi faite à l'association, que chaque SDF du mouvement, c'est-à-dire logeant sur les campements et ayant fait inscrire son nom sur la liste produite à la FNARS, obtiendra une solution de relogement. La plus grande vigilance est alors demandée par le mouvement aux organismes et à la FNARS qui les coordonne dans ce projet, afin que les EDQ ne soient pas relogés à la place d’autres SDF qui n’appartiendraient pas au mouvement. La demande des Enfants de Don Quichotte restant de trouver des solutions qui n’enlèvent rien à personne et qui soient créatrices ou rentabilisées.

La Fin des campements se fera alors progressivement jusqu’au mois d’avril et même de mai, après que plusieurs refus aient été faits par les SDF aux médiateurs de la FNARS (hôtels-meublés le plus souvent) et que les explications de ces refus aient pu être entendues et comprises par les organismes concernés, mais aussi les médias et l'opinion publique pour que soient désormais trouvées de meilleures alternatives. La promesse est alors faite que conformément à la loi DALO qui ne rentrerait en application que plus tard, chaque personne relogées dans ce cadre ne puisse plus être mise à la porte des services sociaux et se retrouver ainsi à la rue régulièrement (inconvénient des accueils de nuit où le SDF n'est généralement accueillit que pour 15 jours et sans possibilité d'accéder à ce lieu d’hébergement le jour). Mais au fur et à mesure, des solutions comme celles des hôtels que refusait le mouvement à cause de leur coût, de leur caractère précaire et de leur manque de suivi, sont acceptées faute de réelles structures qui soient différentes et à disposition immédiate, mais en attente de la création de ces structures ou nouvelles solutions que doit engendrer l'application de la loi DALO en complément des lois de l'action sociale rénovée et renforcée par la loi 2002-2. Théoriquement, chaque SDF intégrant un parcours social ne peut plus en sortir faute d'insuffisance ni y régresser ; et tout progrès sur un coin du territoire dans le social (innovation) est à développer dans les autres parties du territoire au niveau des communes (CCAS...), départements (DDASS...) ou régions (Conseil régional, CRAM...).

Parmi celles-ci, le principe des villages de l'Espoir de Jacques Deroo, ancien SDF et moniteur-éducateur, et raconté par Liliane Gabel dans son livre "les Coulisse du Village de L'espoir" [2], verra le jour à Ivry-sur-Seine et commencera à être développé dans d'autres régions de France (6 en milieu 2008, avec la prévision d'en créer au moins un par département). Jacques Deroo put mettre en place son projet grâce au mouvement des Enfants de Don Quichotte qu'il a soutenu et investi, mais duquel il se détachera pour continuer ses actions (Salauds de Pauvres) sans la contraintes des engagements du mouvement d'Augustin Legrand. Son projet initiale consiste en des villages de bungalows où le SDF désocialisé peut apprendre à vivre à nouveau avec un chez soi individuel, à retrouver les gestes du quotidien comme la préparation de ses repas, l'hygiène ou encore l'entretien de son logement, tout en étant accompagné par des éducateurs. Cette solution présente l'avantage d'être plus économique que tout autre type de logement de réadaptation ou de réinsertion comme les CHRS ou encore les appartements thérapeutiques, mais aussi de pouvoir apporter un accompagnement de proximité renforcé avec la présence continue de travailleurs sociaux sur les lieux. Ce projet est considéré comme l'un des résultats positifs permis par le mouvement des Enfants de Don Quichotte.

@ (:Julien:) et aux autres qui peuvent faire avancer cet article : Bonjour, j'ai vu que vous aviez retiré la liste des villes ayant participé au mouvement. Je me demande s'il n'est pas important de la faire apparaitre tout de même (ailleurs?). De plus, l'article actuel étant pauvre, ce qui fait que les gens préfèrent venir se renseigner directement auprès des EDQ ou sur leur forum, je pense qu'il y a beaucoup à rajouter comme sur le rôle de la FNARS (qui n'apparait même pas!), la "sortie de crise" et ses conditions, les innovations qu'a crée ou permis le mouvement, le fond de la loi DALO, la chronologie, l'intégration et la pertinence du mouvement au coeur de l'action sociale, la différence entre le mouvement et l'association EDQ... Sans ces repères, personne ne peut rien comprendre au mouvement en ne lisant que cet article puisqu'il est plein de lacunes et d'approximations. Il y a des subtilités importantes et des informations qui méritent d'apparaitre. Il est aussi étonnant qu'il ne figure pas un seul mot sur l'abbé Pierre ou encore le concept du Don Quichotte qui est l'élément central du sens que prend le mouvement. Dans la mesure où cet article semble vous importer, pouvez vous me répondre dans la section discussion afin de faire le point sur ce qui peut paraitre ou sur la manière de réduire les informations essentielles. Merci

Alchy (d) 8 novembre 2008 à 2:37 (CEST)