Discussion:Famille de Benoist

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Remerciements[modifier le code]

Merci à tous les contributeurs wikipédiens qui m'ont aidé et soutenu dans la laborieuse rédaction de cette monographie familiale et, en particulier, à l'IP 2a02:a 03f:50cc, qui reste le spécialiste incontestable de l'historique nobiliaire français.

Bien cordialement. Entremont (discuter) 10 novembre 2017 à 10:06 (CET)[répondre]

La famille de Benoist - (y compris sa branche cadette de Benoist de Gentissart) - fait partie des Familles subsistantes de la noblesse française recensées dans Wikipédia. Elle est mentionnée dans le catalogue de la Noblesse française, édition Robert Laffont, 2007, de Régis Valette. Elle est inscrite à l'ANF depuis 1951. Nous relevons dans la branche de Benoist :

  • Victor Louis (1813-1896), député au Corps Législatif de 1858 à 1870, officier de la Légion d'Honneur.
  • Charles Marie Jules (1842-1904), ESM St-Cyr, (Promo Nice et Savoie), général de division, commandant la 3° division de cavalerie, officier de la Légion d'Honneur.
  • Eugène (1884-1904), ESM St-Cyr (Promo 1902-1904), capitaine au 7° régiment de tirailleurs, chevalier de la Légion d'Honneur, mort pour la France le 22 juin 1915 à Aubigny-en-Artois (Pas-de-Calais).
  • Jules (1910-1940), fils du précédent, officier de réserve engagé dans les combats de la Guerre 39-40 au 3° Groupe de RD de l'Infanterie, chevalier de la Légion d'Honneur, Mort pour la France le 3 juin 1940 au Fort des Dunes de Lefrinckouke (Nord)...

Merci de laisser un peu de lest pour nous permettre de wikifier cet article qui en vaut la peine.

Cordialement. Entremont (discuter) 9 novembre 2017 à 10:27 (CET)[répondre]

Complément : j'ai renommé le titre de cet article qui se limitait à une branche partielle de Gentissart, ajoutée au XIX° siècle, lors de l'enregistrement de l'acte de baptême d'Ernest de Benoist (Branche cadette) en 1846... Ce titre éliminait le reste de la branche aînée de la famille de Benoist, qui justifie à elle seule son maintien dans Wikipédia. Le nouveau titre recouvre à la fois les branches subsistantes de Benoist (branche aînée) et de Benoist de Gentissart (branche cadette).

Entremont (discuter) 9 novembre 2017 à 11:48 (CET)[répondre]

Je ne me prononce pas encore, mais il est important de sourcer les ajouts ou modifications qui sont faites actuellement, sources qui aideront à évaluer l'admissibilité, ou dont l'absence au contraire pourra souligner la non-admissibilité.. Je signale que je n'ai rien à voir avec cette famille; je surveille simplement les articles liés à mon patronyme.
Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 novembre 2017 à 11:59 (CET)[répondre]
Bonjour Jean-Christophe BENOIST : Je n'ai pas l'habitude de parer les articles Wikipédia des plumes du paon et je n'interviens dans cet article qu'aujourd'hui. Vous devez savoir que, s'agissant de l'énumération des membres contemporains d'une famille, les sources secondaires sont relativement rares. Concernant les militaires, les archives du Service Historique de la Défense de Vincennes nous confirmeront leur parcours et j'ai bien l'intention de m'y rendre. Pour le reste , il faudra beaucoup travailler! L'authenticité de cette famille française d'origine flamande est confirmée par les sources secondaires que j'ai mentionnées. Mais, de grâce, évitons les ukases avant de faire tomber les oiseaux du nid.
Cordialement. Entremont (discuter) 9 novembre 2017 à 12:21 (CET)[répondre]
S'il s'agissait d'une "oukaze" ou de "faire tomber", j'aurais d'ores et déjà voté. Donc pas de procès d'intention SVP. Les sources ne sont pas des "plumes de paon" et je ne parlais pas forcément de sources secondaires, sachant en effet la difficulté d'en trouver. La vérifiabilité peut aussi passer par des sources primaires pour le factuel, mais la vérifiabilité n'est pas négociable, et n'est pas une apparence de parade.
Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 novembre 2017 à 13:49 (CET)[répondre]
Bonjour Jean-Christophe Benoist. Vous venez de poser le signe[réf. nécessaire] en regard de l'appartenance du père missionnaire Joseph Roger de Benoist à la famille de Benoist, après avoir effacé les armoiries de sa famille que j'ai rétablies. Vous avez vous-même reconnu que des sources secondaires sont difficiles à trouver. Je vous renvoie à son article nécrologique annexé où il est dit que son père est ardennais (exact), qu'il a deux frères (exact) et qu'il est d'une famille de militaires (exact). Si vous deviez persister , j'irai faire un tour chez les pères blancs de Bry-sur-Marne pour obtenir une confirmation de mes écrits, après une incursion au Service Historique de la Défense à Vincennes.
Bien cordialement. Entremont (discuter) 10 novembre 2017 à 11:26 (CET)[répondre]
J'ai répondu dans la PdD de cet article. Il y a peut-être une incompréhension de ma démarche, que j'espère avoir dissipé.
Cordialement, Jean-Christophe BENOIST (discuter) 10 novembre 2017 à 11:34 (CET)[répondre]
Bonsoir Jean-Christophe BENOIST. J'ai transcrit sur la PdD de la biographie du père missionnaire Joseph Roger de Benoist le message qui vient de m'être adressé par le Centre des Pères Blancs de Bry-sur-Marne, maison de retraite où est décédé le Père de Benoist le 15 février 2017. Nous avons désormais la confirmation de son appartenance à la famille de Benoist. Merci d'effacer le signe dubitatif que vous avez placé en regard du chapitre ORIGINE FAMILIALE.
Cordialement Entremont (discuter) 10 novembre 2017 à 20:26 (CET)[répondre]

Noblesse française[modifier le code]

Bonjour Entremont et tous intéressés,

Je comprends de la version actuelle de l'article que la famille de Benoist a été anoblie par Marie-Thérèse de Habsbourg en 1778, ce qui lui vaut son appartenance à la noblesse belge. Mais je ne vois pas de principe de noblesse française. Comment peut-elle figurer dans le Valette et avoir été admise à l'ANF ? Est-ce une exception à la règle, ou y a-t-il une bonne raison qui ne figure pas dans l'article et qu'il conviendrait d'ajouter ?

Cordialement, Keranplein (discuter) 11 novembre 2017 à 11:57 (CET)[répondre]

Faisons remarquer que Marie-Thérèse n'a jamais été impératrice d'Autriche, comme écrit ci-dessus, l'empire d'Autriche, puissance étrangère, n'ayant été fondé qu'en 1804 avec les possessions orientales des Habsbourg. (Napoléon désirant ainsi éloigner la puissance des Habsbourg de la France et la diriger vers l'Europe orientale). C'est en tant qu'impératrice des Romains (titre officiel des Empereurs du Saint-Empire, figurant sur tous les diplômes de noblesse) qu'elle a anoblit cette famille, sujette à l'époque du Saint-Empire romain. Peut-être que lorsque un territoire du Saint-Empire devenait français, comme ce fut le cas d'une partie des Flandres, de la Provence, de la Savoie, de la rive gauche du Rhône, de l'Alsace, de la Lorraine, des Bourgognes, des Trois Évêchés etc. que la noblesse impériale était automatiquement considérée comme française ? Peut-être est-ce là la jurisprudence de l'ANF, même pour le XIXe siècle ?
À vérifier et à confirmer ou contredire.
2A02:A03F:5059:A000:84CA:666E:44F6:55F3 (discuter) 11 novembre 2017 à 19:51 (CET)[répondre]
Bonjour,
Je confirme votre supposition sur les territoires annexés sous l'Ancien Régime, mais la famille de Benoist ne rentre pas dans ce cas de figure, à moins que la frontière actuelle passe plus au nord que celle de 1778.
Après vérification, c'est ma dernière hypothèse qui semblerait la bonne, à savoir que la version actuelle de l'article n'est pas correcte et omet les informations qui permettraient de comprendre le cas d'espèce. La famille de Benoist est originaire de l'actuel Hainaut français (sur un territoire proche de la frontière actuelle), et serait française depuis Louis XIV. C'est apparemment un Benoist français qui a reçu un titre de baron par Marie-Thérèse en 1778. Gentissart est bien dans le Brabant wallon, mais c'est une acquisition tardive, apparemment par le nouveau baron. Auparavant, les possessions de la famille étaient toutes dans le Hainaut.
Je propose que vous apportiez à cet article les amendements nécessaires. Il faudra ensuite que j'intervienne à mon tour sur quelques points de mise en forme.
Cordialement, Keranplein (discuter) 11 novembre 2017 à 21:25 (CET)[répondre]
Bonsoir, il ne m'est pas encore possible de vous en dire plus que Chaix d'Est-Ange qui avait déjà mis le doigt sur ce problème. Selon celui-ci en effet, concernant Charles Eugène Benoist anobli par Marie-Thérèse en 1778, « il ne semble pas qu'il ait fait régulariser en France sa situation nobiliaire » Lire en ligne. Lors de son anoblissement, il demeurait à Tournai (alors toujours comté de Hainaut (Saint-Empire) et son fief de La Marlière était situé dans les Pays-Bas du Sud (actuelle Belgique). Si Gentissart était bien situé dans le duché de Brabant, les fiefs d'Erquennes et du Châtelet, possédés par Philippe Benoist (1702-1773), tout comme La Marlière, possédé un temps par Charles Eugène, l'étaient dans le comté de Hainaut faisant partie des Pays-Bas (Saint-Empire). S'il avait été alors sujet du royaume de France, Marie-Thérèse n'aurait pas eu le pouvoir de l'anoblir. Les fiefs possédés par cette famille avant son anoblissement sont tous situés dans les Pays-Bas en terre d'Empire. Chaumont, lieu d'origine, dont André Benoist fut bailli au début du XVIIe siècle, était une enclave de la principauté de Liège dans le duché de Brabant. S'il manque des pièces à ce puzzle, je ne suis pas en mesure de le compléter.
Bien cordialement. 2A02:A03F:505D:0:3159:BE7F:A14F:A588 (discuter) 11 novembre 2017 à 22:21 (CET)[répondre]


Bonjour Apn,

Auriez-vous par hasard une opinion sur ce sujet ?
Le premier baron de Benoist avait-il le passeport de son territoire (dépendant de l'Autriche) ou un passeport français ?
Je lis sur internet que ses ascendants agnatiques étaient français, et non austro-belges (au sens territorial) comme cet article le présente, bien que les seigneuries familiales fussent bien situées dans l'actuel Hainaut belge.
Dans sa version actuelle, cet article me semble encore loin d'être satisfaisant.

Cordialement, Keranplein (discuter) 12 novembre 2017 à 00:22 (CET)[répondre]

(N.B. l'exposé qui suit répond à la première version de la question précédente, à savoir : "Le premier baron de Benoist avait-il un passeport autrichien ou français ?") Bonjour, le premier baron de Benoist n'avait certainement aucun passeport "autrichien" puisque cet État n'existait pas encore à son époque (anachronisme), l'archiduché d'Autriche n'était pas alors un État souverain mais une province du Saint-Empire. Le mot "autrichien" désignait à l'époque la "Maison d'Autriche" (devenue Maison de Habsbourg après son abdication en 1918). L'empereur François Ier appartenait à l'époque à la maison de Lorraine. Si le premier baron de Benoist avait demandé un "passeport" il aurait-eu un passeport du Saint-Empire (cercle de Bourgogne). Les principautés des Pays-Bas (Brabant, Hainaut etc...) étaient des possessions personnelles de la Maison d'Autriche (héritées de la Maison de Bourgogne), mais les habitants n'étaient pas "austro-belges".
Cordialement. 2A02:A03F:503E:E200:F109:C9F:FF86:76B9 (discuter) 12 novembre 2017 à 08:19 (CET)[répondre]
Nous cherchons à répondre à une question concrète, que j'ai résumée de façon rapide et simplifiée dans mon message. Si vous souhaitez vous contenter de délivrer des leçons d'histoire sans traiter le sujet réel, je vous suggère de profiter d'autres fils que celui-ci.
Keranplein (discuter) 12 novembre 2017 à 12:22 (CET)[répondre]
Petite précision concernant la "nationalité".
"avait-il le passeport de son territoire (dépendant de l'Autriche)" : son "territoire" ne dépendait aucunement de l'Autriche, mais faisait partie du Saint-Empire, l'Autriche n'était pas un État souverain à l'époque. Les provinces des Pays-Bas avaient comme suzerains directs les empereurs de la Maison d'Autriche, en tant qu'héritiers de la Maison de Bourgogne (cumulant les titres de ducs de Brabant, comtes de Flandre, de Hainaut etc..). L'expression "austro-belge" n'a aucun sens à l'époque, les habitants des Pays-Bas (dits "bourguignons", puis "espagnols", jusqu'en 1714, puis "autrichiens" étaient citoyens du Saint-Empire et non de l'Autriche.--2A02:A03F:50D5:FB00:D819:D9FB:7150:403E (discuter) 13 novembre 2017 à 23:34 (CET)[répondre]
Bonjour, en réalité, ces précisions ne sont pas si éloignées que cela du sujet, car pour pouvoir déterminer sa "nationalité" au moment de son anoblissement, sans tomber dans le flou, il faut connaître avec précision l'État auquel il appartenait, ou plutôt le Souverain dont il était alors le sujet (car on ne parle pas de "citoyenneté" à l'époque). Ce territoire du Hainaut est effectivement devenu français, sous la première République et l'est resté jusqu'à la fin du premier Empire. Les habitants sont donc automatiquement devenus français. Bien cordialement.--2A02:A03F:50D5:FB00:4CFD:35D0:B916:2525 (discuter) 14 novembre 2017 à 08:48 (CET)[répondre]
Puisqu'il faut vous mettre les points sur les i, non seulement vous vous cantonnez aux apparences pseudo-juridiques en étant à la limite du grotesque, mais en plus vous vous contentez d'écrire ce que tout le monde sait déjà. La question portait sur la partie française, et notamment sur le traitement de ce cas concret par l'ANF, comme Entremont l'a compris sans difficulté, et pas sur la partie d'outre-Quiévrain. Une fois de plus, vous noircissez de la PDD pour votre seul plaisir narcissique, au lieu de faire avancer le sujet. Je constate que vous êtes incapable de contribuer utilement au débat, mais que vous ne pouvez pas vous empêcher d'intervenir pour placer ce que vous croyez être votre science, pourtant bien vaine en l'espèce.
Keranplein (discuter) 25 novembre 2017 à 03:10 (CET)[répondre]
Bonjour Keranplein Émoticône,
Voici ce que disent Janssens et Duerloo, chercheurs universitaires spécialistes de la question nobiliaire en Belgique : « Bronnen: BZ R.137/11, 467 & ARA KNW.778, 377. Wenen, 16 september 1778. Keizerin Maria-Theresia. Verlening van de titel baron (overdraagbaar bij eerstgeboorte) aan Charles-Eugène-Marie de Benoist de Gentissart, heer van Erquennes, enz., inwoner van Doornik. »
Le 1er baron de Benoist était donc seigneur d'au moins un fief en Hainaut (en fait deux avec La Marlière), comté qui avait été français de 1678 à 1713. Peut-être vos sources internet font référence à cette possession temporaire du Hainaut par la France ?
Cette source nous renseigne aussi qu'il résidait à Doornik, c'est à dire Tournai qui a été française ou non à divers moment de la vie de Charles-Eugène-Marie (cf. Tournai#Histoire).
Quoi qu'il en soit, les patentes de noblesse ont été émises par l'Impératrice du Saint-Empire Marie-Thérèse.
Je ne pourrais pas vous en dire plus mais je puis vous fournir le contact direct du chef de famille dans le cas où vous voudriez creuser cela en dehors de WikipédiA.
Bien cdlt,
apn discuter 12 novembre 2017 à 19:37 (CET)[répondre]
Bonjour messieurs
Les actuelles investigations sur le rattachement de cette famille d'origine flamande à la noblesse française (Famille rnf: reconnue noble en France), ne peuvent trouver leur conclusion que dans le cadre de l'article 3 des statuts de l'ANF traitant des pays annexés définitivement ou provisoirement à la France. Nous attendons des précisions de la Commission des preuves.
Cordialement. Entremont (discuter) 13 novembre 2017 à 14:41 (CET)[répondre]
Bonjour Entremont,
Avez-vous reçu la réponse de la Commission des Preuves ?
Cordialement, Keranplein (discuter) 25 novembre 2017 à 04:01 (CET)[répondre]
Pas encore, hélas. Mon correspondant devra faire un tour du côté de chez le chevalier de Saint-George , si le silence persiste! De toute façon, le doute sur ses origines françaises ne devrait pas nuire à la notoriété de cette famille, dont j'ai eu la surprise de découvrir les personnalités contemporaines, confirmées en grande partie sur le plan militaire par le Service historique de la Défense à Vincennes, en souhaitant que ces sources primaires satisfassent les patrouilleurs de service, après la présentation de la source religieuse des Pères Blancs missionnaires Cordialement. Entremont (discuter) 25 novembre 2017 à 08:25 (CET)[répondre]
Bonjour Keranplein: mon correspondant s'est cassé le nez devant le silence assourdissant de la Commission des Preuves de l'ANF! Il m'indique toutefois que l'article 3 des statuts de cette association mentionne que « Les familles des pays annexés depuis 1789 produiront les preuves requises dans leur pays d'origine ». C'est le cas de la famille de Benoist, anoblie en 1778 par l'impératrice Marie-Thérèse, alors souveraine du Hainaut, lorsque cette famille résidait à Tournai. Par le décret du 23 mars 1793, Tournai a été intégré au territoire de la République française pour retomber huit jours plus tard dans le giron autrichien à la suite de la Bataille de Nerwinden! Ce court délai suffit à lui seul à justifier l'intégration de la famille de Benoist à l'ANF par application de l'article 3 . L'intégration de cette famille à la France se justifie à elle seule par le sang versé au cours des deux guerres mondiales... Cordialement. Entremont (discuter) 9 décembre 2017 à 10:17 (CET)[répondre]
Bonjour Entremont,
Je vous remercie pour vos démarches, bien qu'elles n'aient pas reçu de réponse officielle à ce jour.
L'article 3 des statuts, tel que je le lis, n'est pas censé s'appliquer à cette famille. Les seuls territoires annexés après 1789 définitivement sont en effet le Comtat Venaissin, Nice et la Savoie. Toutes les autres conquêtes de la Révolution et du Premier Empire ont été rendues. S'il fallait les prendre en compte, toutes les familles belges, néerlandaises, allemandes cis-rhénanes, et italiennes du nord seraient éligibles à l'ANF, ce qui ne me semble pas être le cas.
La famille de Benoist est apparemment originaire du Hainaut français plus que du Hainaut belge, la majorité de ses lieux de résidence réelle avant 1778, dans le Valenciennois, étant français depuis 1678. Il semblerait que Houtart se soit trompé dans sa notice (à moins qu'on l'ait mal lu) sur cette famille.
Ceci pourrait être une meilleure raison pour comprendre la décision de l'ANF, bien que ce soit une interprétation vraiment très large de l'article 3, au demeurant plutôt imprécis sur les cas limites. J'ai l'impression que l'ANF est en fait, contre toute attente, assez souple sur ses propres critères.
Cordialement, Keranplein (discuter) 9 décembre 2017 à 14:09 (CET)[répondre]

Armoiries de la famille de Benoist[modifier le code]

Copier/coller le blason de la famille de Benoist sur tous les articles de la famille est votre choix, qui est discutable. Le faire apparaitre une seule fois sur l'article de la famille serait suffisant. Quelle autre information valable pour toute la famille allez-vous ainsi copier/coller dans tous les articles ? Si aucune autre, pourquoi copier cette information là et pas une autre ? Pourquoi le blason est-il à ce point important qu'il faille absolument le dupliquer partout ? Je ne lutterais pas cependant, c'est mineur, mais ce n'était pas une question de respect, mais de bon sens.

Jean-Christophe BENOIST (discuter) 24 novembre 2017 à 14:59 (CET)[répondre]

Je vous remercie, monsieur, de tout le soin que vous apportez à patrouiller au travers des articles relatifs à la famille de Benoist et à ses membres. Vous me flattez en m'indiquant que mon choix est de pratiquer des Copier/coller: j'avoue que mes petits-enfants m'ont offert un ordinateur pour mes vieux jours, sans m'initier à cette pratique ! Vous aviez effacé les armoiries du député Victor Louis de Benoist qui avait été placées antérieurement par un contributeur WP .Je les ai rétablies, car j'estime que les blasons sont destinés à confirmer l'appartenance d'un personnage à une famille bien précise. Sur un plan général, j'ai tendance à respecter les ajouts antérieurs des contributeurs, lorsqu'ils sont conformes aux sources authentiques qui forment l'identité d'une famille. Pour le reste, chacun a le droit d'avoir une opinion personnelle sur le port des armoiries sous notre belle République, mais cela ne nous donne certainement pas le droit de reverter des articles sourcés. Merci de votre compréhension.
Bien cordialement aussi. Entremont (discuter) 24 novembre 2017 à 18:38 (CET)[répondre]

Pilote d’hélicoptère[modifier le code]

Désolé pour cette intrusion qui est hors sujet. Si elle gêne, ce message pourra être supprimé.
Où se situe dans la généalogie cet officier de Benoist de Gentissart dont j'ai oublié le prénom, qui était pilote d’hélicoptère de l'Arme du Matériel de l'Armée de terre ?

MYR (discuter) 4 août 2019 à 09:15 (CEST)[répondre]

Bernard de Benoist de Gentissart, né vers 1931, était officier mécanicien d'hélicoptère dans l'ALAT... Voir "Linkedin.
Cordialement. Entremont (discuter) 30 août 2019 à 21:14 (CEST)[répondre]

Ludovic Drigon de Magny[modifier le code]

Bonjour Entremont (d · c · b),

Une IP vient d'ajouter ce jour à cet article quantité de texte supplémentaire, sur la base d'une notice familiale produite par Ludovic Drigon de Magny. Or les trois généalogistes de la tristement célèbre famille Drigon de Magny sont réputés pour être les auteurs les moins fiables et les moins intègres de toute la profession, ce qui jette un sérieux doute sur la validité de ces apports.
Que peut-on sauver, selon vous, des ajouts qui viennent d'être faits à cet article ?

Cordialement, Keranplein (discuter) 21 novembre 2019 à 00:27 (CET)[répondre]

Merci, Keranplein, de m'avoir signalé l'intervention qui vient de survenir à propos de la monographie de cette famille franco-belge. Je laisse le soin aux spécialistes de poursuivre le débat historique auquel je reste étranger : mon intervention passée n'était motivée que par le souvenir de ma rencontre avec un ancien combattant de la Campagne d'Italie, aujourd'hui défunt, à la Kermesse des Pères Blancs à Paris.
Cordialement. Entremont (discuter) 25 novembre 2019 à 09:46 (CET)[répondre]


Retrait des passages issus de Drigon de Magny :

Selon Ludovic de Magny (auteur du XIXe siècle), « En 1732, la Chambre héraldique de Bruxelles aurait délivré une attestation sur parchemin reconnaissant à Charles-Philippe Benoist, seigneur de Gentissart, l’exactitude des cinq degrés de sa généalogie[1]. Cette reconnaissance des origines de la famille aurait de nouveau été confirmée par un « certificat de généalogie et d’armoiries » enregistré le 30 janvier 1772 au bureau des domaines et des finances de la généralité de Lille[1]. »

Selon Ludovic de Magny, « L'origine de la famille remonte à Jacques-Philippe Benoist, écuyer, seigneur de Gentissart, qui épousa en 1576 Françoise Van der Noeten. (Ces cinq degrés de filiation des seigneurs de Gentissart sont établis par le certificat de vérification de la Chambre héraldique de Bruxelles, du 7 juillet 1732). Il avait un frère nommé Vincent qui, le 2 mai 1583, obtint des lettres de confirmation de noblesse et dont les armes étaient : d'argent , à la fasce de sable, accompagnée de deux jumelles de gueules. (Le Roux, Noblesse de Bourgogne, Limbourg, Luxembourg, etc.) [1],[2]

Charles-Philippe Benoist, écuyer, seigneur de Gentissart, marié en 1692 avec Agnès Tombeur (2), mourut vers 1750 sans postérité. Il fit ses preuves devant la Chambre héraldique, et fournit une attestation datée des 24 avril et 2 mai 1732, par laquelle ses voisins, le baron de Spanghen d'Ottignies, le comte de Glymes du Saint-Empire, le vicomte de Jodoigne et le comte de Sart certifient « que les Benoist de Gentissart ont toujours vécu en gentilshommes et ont toujours été réputés nobles dans leur pays ». [1]

Dans les premières années du XVIIe siècle, un cadet des seigneurs de Gentissart alla tenir garnison dans le Hainaut, au Quesnoy. Il s’y maria, devint mayeur de la ville et ses descendants demeurèrent dans la partie de cette province qui formait le pays de Valenciennes. La prise de Valenciennes par Louis XIV et la paix de Nimègue les firent Français. La capitulation accordée à la ville de Valenciennes, le 17 mars 1677, garantit par son article 23, aux gentilshommes, chevaliers et anoblis, la jouissance des prérogatives attribuées à la noblesse. En 1770, Philippe-Eugène Benoist, écuyer, seigneur d’Erquennes et du Châtelet, dut prouver qu’il avait droit à cette jouissance, antérieurement à la conquête de Louis XIV. La Chambre héraldique de Bruxelles lui délivra, le 30 mars 1770, un certificat de vérification de généalogie et d’armoiries, établissant qu’il était de la souche des seigneurs de Gentissart. Ce certificat sur parchemin a été enregistré le 30 janvier 1772, au bureau des Domaines et finances de la Généralité de Lille. (Aux archives de la famille) [1]. »

signé Iyy (d · c · b)

Références[modifier le code]

  1. a b c d et e Ludovic de Magny, Recueil de généalogies de maisons nobles de France. Extrait du Nobiliaire universel publié sous la direction de L. de Magny, Paris : Direction des Archives de la Noblesse et du Collège Héraldique de France, (lire en ligne)
  2. Jean Le Roux, Recueil de la noblesse de Bourgogne, Limbourg, Luxembourg, Gueldres, Flandres, Artois, Haynau, Hollande, Zeelande, Namur, Malines, et autres provinces de sa Majesté catholique ... jusques à l'an 1714 ..., chez Simon t'Serstevens, (lire en ligne)