Discussion:Cerveau humain

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Foetus a un odorat[modifier le code]

Je viens d'effacer un changement (retrait de 'odorat' dans le contexte : le foetus a un odorat') et ai ajouté une référence: Benoist Schaal. Le foetus perçoit les odeurs et s'en souvient : la formation d'attentes sensorielles et leurs implications. Médecine & Enfance, 2010, 30 (Hors Série "Aspects Sensoriels de l'Alimentation de l'Enfant"), pp.20-34 Il y en a d'autres, mais je n'en mets qu'une. Si le sujet est controversé, il faudrait, non pas effacer odorat mais ajouter une ligne pour évoquer la controverse et ajouter des références. Cathrotterdam (discuter) 1 février 2016 à 08:23 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 26 juin 2019 à 11:15, sans bot flag)

‎Différence structurelle entre le cerveau de la femme et celui de l'homme[modifier le code]

@Salsero35 La version que j'ai découverte à l'occasion d'un LSV est très problématique. Au début, j'ai cru à une simple erreur d'inattention à propos de la déclaration de "l'infériorité de l'intelligence féminine", mais c'est beaucoup plus grave que cela :

  1. Je vois qu'il est fait état de différences de capacités cognitives entre les deux sexes prouvées scientifiquement, sans source.
  2. Des enchaînements de cause à effet relevant du travail inédit Les chercheurs ont longtemps pensé que cette disparité anatomique s'expliquait simplement par la différence de taille entre les deux sexes mais différentes études infirment cette explication. Ainsi, les hommes ont en moyenne 16 % de neurones corticaux en plus que les femmes, ce nombre étant déterminé par le sexe et l'âge et non par la taille du cerveau Ref : (en) B. Pakkenberg, H.J. Gundersen, « Neocortical neuron number in humans: effect of sex and age », J Comp Neurol., vol. 384, no 2,‎ , p. 312-320. (J'ai enlevé le Ainsi car il est difficile de trouver un rapport de cause à effet.)
  3. Des commentaires peu scientifiques quand on parle de Ce résultat séduisant[Pour qui ?] semblerait confirmer le stéréotype opposant la femme multitâche à l'homme monotâche, avec une source qui ressemble plus à de la presse People qu'à une source secondaire de qualité[1]
  4. Une troncature de ce que dit une source qui en change radicalement le sens : Pour un même sexe et au sein de la même tranche d'âge (j'ai précisé), une méta-analyse portant sur 37 études montre bien une corrélation positive entre taille du cerveau et quotient intellectuel<
  5. Mais surtout, alors que des centaines d'articles ont été écrits sur le sujet, et que plusieurs sources tertiaires attestent d'un profond biais de genre dans le cadre de ces études, sur quelles bases ont été choisies les sources primaires choisies ? Serait-il envisageable de se baser sur des sources secondaires de qualité ? --Pa2chant. (discuter) 27 juin 2019 à 05:29 (CEST)[répondre]
Pour info : The Trouble with Sex Differences --Pa2chant. (discuter) 27 juin 2019 à 08:16 (CEST)[répondre]
Bonjour Pa2chant.. Double grrr. Premier grrr je n'ai pas reçu cette notification car ça bug chez moi, deuxième grrr tu as repéré plusieurs bourdes. Mais 1/ Je ne vois pas dans la section une déclaration sur l'infériorité de l'intelligence féminine, c'est plutôt le contraire qu'il ressort de cette section. 2/ Différences de capacités cognitives entre les deux sexes prouvées scientifiquement : c'est sourcé par Martine Fournier mais je peux apporter des réfs supplémentaires selon des professeurs de psychologie et de neurologie si tu le souhaites (la phrase pourrait cependant être reformulée ou précisée pour éviter que le lecteur comprenne que ces différences de capacités cognitives traduisent une capacité cognitive supérieure chez l'homme). 3/ Le terme séduisant est en effet non neutre ou aurait dû être attribué, c'est une erreur de ma part. Le Monde de l'intelligence de la presse people ? Désolé mais je me rappelle bien que cet article sur le cerveau de Mars et de Vénus est une source tertiaire (analyse et critique de plusieurs études scientifiques). Je l'avais choisi en ce sens et parce qu'il faisait appel à des chercheuses femmes (neurobiologistes et autres dont je peux retrouver le titre si tu le souhaites) qui démontaient justement les stéréotypes du type monotâche/multitâche mais revenaient sur des études montrant des différences structurelles et fonctionnelles entre les deux sexes (structures cérébrales des femmes facilitant les tâches de mémorisation et celle des hommes la spatialisation), différences pas simplement innées mais acquises par l'éducation et la plasticité cérébrale. 4/ Je ne comprends pas la troncature : le professeur Michael C. Ashton dans ce livre p. 283 ne parle pas de "Pour un même sexe et au sein de la même tranche d'âge". De même, je ne comprends pas ta balise pertinence sur cette méta-analyse puisqu'elle est reprise par de nombreux ouvrages et qu'elle est confirmée par des méta-analyses plus récentes. 5/ Ma plus grosse bourde est ta dernière remarque : si tu as compris cette section comme étant en faveur de la thèse d'une intelligence supérieure des hommes, alors d'autres lecteurs l'interpréteront pareil et toute la section est à réécrire. Peut-être est-ce dû au paragraphe entre taille du cerveau corrélée au QI, ce qui pourrait faire croire, comme les femmes ont en moyenne un cerveau moins volumineux, qu'elles ont un QI inférieur et donc une intelligence inférieure ? Évidemment qu'il y a un profond biais de genre dans le cadre de nombreuses études mais je maintiens que les études les plus récentes, même issues de femmes chercheuses (à moins qu'elles soient victimes de ce biais aussi et qu'elles interprètent mal les images numériques du cerveau) montrent bien qu'il y a des différences structurelles, et des capacités distinctes. Et la conclusion de cette section rappelle le débat persistant entre les facteurs innés (déterminisme biologique : rôle des gènes, des hormone sexuelles) et les facteurs environnementaux (différences de capacités dues à l'éducation, aux conditionnements, aux contraintes sociales…). Donc, il faut amender sérieusement cette section afin de montrer tous ces biais et que la conclusion soit plus claire : pas de différence entre intelligence homme/femme, mais avec des différences structurelles au niveau du cerveau et des différences au niveau des capacités cognitives, ce qui a donné lieu à beaucoup de stéréotypes. Salsero35
Je n'ai pas le temps maintenant, je te réponds demain avant que tu t'attaques à des gros travaux. Le principal pb étant dans le choix des sources secondaires, parce que si on se base sur les sources primaires, j'en ai trouvé une qui indiquait un écart de g=0,40 pour les femmes^^. As-tu pris le temps de lire la source que j'ai citée dans mon second post (il y en a plein d'autres sur le même modèle/sujet, mais celle-ci est représentative.) L'autre idée est que si on parle biologie (structure et fonctionnement du cerveau, il est peut-être sage de ne pas s'engager sur la partie psychologie cognitive, qui est déjà largement traité dans d'autres articles. --Pa2chant. (discuter) 28 juin 2019 à 18:52 (CEST)[répondre]
Oui, j'ai lu la source et c'est à elle que je faisais référence pour amender la section car elle évoque de nombreuses études biaisées. Il y a une phrase qui résume bien la situation : "Of course, sex differences are also found at cellular and molecular levels of the central nervous system (Cosgrove et al., 2007). But whether it involves gene expression, neuronal signaling, gross structure, or regional blood flow, every brain-related sex difference is not necessarily behaviorally relevant" : les différences existent jusqu'au niveau cellulaire et moléculaire mais de là à les corréler à des différences comportementales, le lien est difficile à faire. Et d'accord avec ton analyse, vu l'impression négative que dégage cette section pour toi, il faut mieux éliminer la partie psychologie cognitive, mais pas complètement car si on laisse que les données structurelles brutes, le lecteur pourrait en conclure cerveaux plus gros = personnes plus intelligentes. Salsero35 28 juin 2019 à 19:29 (CEST)[répondre]
1/ Tu ne le vois plus parce j'ai corrigé, mais c'était bien présent dans le diff. soumis en première ligne ;)
2/ Différences de capacités cognitives entre les deux sexes prouvées scientifiquement : la source est inaccessible et la ref est à confirmer, parce que je suis très sceptique, surtout si on parle de capacités.
3/ "Mars et Vénus" : les théories exposées sous ce titre m'avaient séduites il y a quelques années, jusqu'à ce je réalise qu'elles étaient fausses. Depuis, quand je vois cette expression, j'ai une sirène qui s'allume. Là encore l'article n'est pas accessible, cependant tu indiques qu'elles "démontaient justement les stéréotypes du type monotâche/multitâche", alors que dans l'article cela semble au contraire conforter le stéréotype ?
4/ Peut-être que le livre qui reprend l'étude présente dans le texte ne reprend pas ce point des groupes par sexe et tranche d'âge (peut-être jugé tellement évident que cela va sans dire ? Exemple : on est moins capable d'apprendre et de mémoriser à 70 ans qu'à 20 ans, on réfléchit mins vite, et cela n'implique pourtant pas que la taille du cerveau diminue) mais ce point est cité dans le résumé de la source (For all age and sex groups, it is clear that brain volume is positively correlated with intelligence. J'ai mis la balise pertinence parce qu'une fois enlevé le rapport de cause à effet initialement présent ( Les chercheurs ont longtemps pensé que cette disparité anatomique s'expliquait simplement par la différence de taille entre les deux sexes mais différentes études infirment cette explication. Ainsi […] une méta-analyse portant sur 37 études montre bien une corrélation positive entre taille du cerveau et quotient intellectuel. ) et les analyses étant faites par groupe d'âge et de sexe, sans comparaison entre hommes et femmes, cette phrase n'a selon moi pas sa place dans cette section.
Pour la réécriture, il me semble préférable de se baser sur des source de synthèse de qualité scientifique, par exemple cette méta-revue : A meta-analysis of sex differences in human brain structure, en se concentrant sur les différences biologiques. Pour une extension aux capacités cognitives, je suis beaucoup plus réservée, je comprends l'inverse des sources : il y a peut-être des différences sur les formes d'intelligence entre homme et femmes, mais pas nécessairement en termes de capacités cognitives. D'accord sinon pour reprendre la conclusion que tu suggères avec Cosgrove. --Pa2chant. (discuter) 1 juillet 2019 à 08:13 (CEST)[répondre]

Destruction de données sourcées[modifier le code]

Je comprend une attitude défensive sur le sujet vues les âneries qui ont pu être dites depuis le XIXe siècle sur les soi-disant supériorités des uns sur les autres... mais on ne peut pas accepter la destruction de données sourcées — en clair la censure de tout ce qui touche aux « différences de structure et aussi de fonction »[2]. Vouloir nier en bloc ces différences est une impasse scientifique. S'opposer à ce que l'on cite les études abordant le sujet serait une démarche anti-encyclopédique (obscurantiste).

En revanche, il faut effectivement faire très attention à ce que des conclusions à l'emporte-pièce ou stigmatisantes ne soient tirées de ces études, d'autant plus qu'on n'est qu'au balbutiement de la compréhension de ces phénomènes.

La rédaction que j'ai proposée ce matin me semble équilibrée (et sourcée). Libre à chacun de l'améliorer - pas de la supprimer. --A1AA1A (discuter) 5 août 2019 à 11:14 (CEST)[répondre]

Il ne s'agit évidemment pas de nier des différences quand elles sont fidèlement rapportées à partir d'études fiables, mais je ne peux que vous confirmer mon commentaire d'édition : une différence de trajectoire dans le développement du cerveau (donnée non contestée par le consensus scientifique à ma connaissance) ne constitue pas "un dimorphisme structurel et fonctionnel" ! C'est même tout le contraire. --Pa2chant. (discuter) 5 août 2019 à 11:23 (CEST)[répondre]
Et pour le paragraphe sourcé avec une étude sur le cerveau du rat, cela n'a rien à faire dans une section sur le cerveau humain.--Pa2chant. (discuter) 5 août 2019 à 11:28 (CEST)[répondre]
1) Le « dimorphisme structurel et fonctionnel » est sourcé cf. article de Mariana Alonso, neuroscientifique de l'Institut Pasteur (termes exacts ci-dessus). 2) Le rat ou la souris sont communément utilisés en médecine comme modèle pour la biologie humaine (nous sommes de la même lignée). L'avantage de cette étude c'est qu'elle éclaire sur des mécanisme biologiques qui sont un premier élément de compréhension de phénomènes qu'on aura l'occasion de cerner de plus en plus précisément dans les prochaines années. Mon objectif (vulgarisation scientifique) est que le lecteur intéressé puisse accéder aux dernières études sur le sujet. --A1AA1A (discuter) 5 août 2019 à 11:41 (CEST)[répondre]
Ce que j'a reverté, c'est ceci : La littérature scientifique suggère, grâce aux techniques d'imagerie médicale un dimorphisme structurel et fonctionnel du cerveau[3].Or Lenroot ne parle ni de dimorphisme fonctionnel, ni de dimorphisme culturel, mais d'un rythme de développement différent. Alonso évoque des dimorphismes structurels et fonctionnels, mais dans les deux exemples qu'elle cite, il y a une méta-revue déjà présente dans l'article (différences structurelles) et l'étude de Lenroot (différence de vitesses/rythme de développement). Elle n'évoque aucun cas d'une fonction qui connaitrait un dimorphisme.
Pour le rat, je maintiens que cela n'a rien faire ici. On est dans une section sur la structure du cerveau humain, sous-section "Différences (structurelles donc) entre le cerveau de la femme et celui de l'homme. Le comportement du rat et ce qu'on peut espérer en déduire pour l'homme d'ici quelques années n'est pas à sa place. Le rat et la souris sont peut-être utilisés comme pré-modèle en biologie mais le comportement n'est pas déterminé uniquement de façon biologique, et l'être humain présente de grandes différences avec le rat en raison de normes cuturelles présentes chez le premier et absente chez le dernier. --Pa2chant. (discuter) 5 août 2019 à 13:08 (CEST)[répondre]
En fait vous avez réverter un peu plus large. À corriger donc. Par ailleurs « fonctionnel » ne signifie pas « culturel » mais réfère simplement aux communications à l’intérieur du cerveau. Mariana Alonso en tant que spécialiste du sujet, publiée dans une revue scientifique, est une référence a part entière. Pour le rat ok je retire [notons en passant que cette étude n'était pas défavorable aux femmes]. --A1AA1A (discuter) 5 août 2019 à 13:44 (CEST)[répondre]
Bien sûr, j'ai aussi reverté votre étude sur le rat - que l'étude soit favorable aux femmes (je suppose que vous vouliez dire "favorable aux rates" ?) n'a aucune espèce d'importance. Où avez-vous été cherché que « fonctionnel » aurait voulu dire « culturel » ? Ce que je vous dis, c'est c'est qu'il n'y a pas de sources pour ces différences de fonctions entre le cerveau d'un homme et d'une femme, sinon, il faudrait préciser lesquelles. On a eu tout un débat avec Salsero35 dans la section précédente qui a abouti à un accord sur la qualité des sources à retenir. Je suis désolée que vous n'en teniez aucun compte, et que de plus, vous imposiez votre point de vue avec comme motif "suite discussion". --Pa2chant. (discuter) 5 août 2019 à 14:55 (CEST)[répondre]

quid du cerveau du coeur et du cerveau au niveau de l'estomac chez l'humain[modifier le code]

Je pense que cet article devrait être mis à jour pour indiquer l'existence des autres cerveaux du corps humains, à savoir le cerveau situé au niveau du cœur (*-40mil neurones) et celui situé au niveau de l'estomac/intestins qui compte environ 100mil neurones.

quelques sources :

- https://www.sciencesetavenir.fr/sante/coeur-et-cardio/le-coeur-a-son-propre-cerveau_146350 - https://www.alternativesante.fr/coeur/le-coeur-commande-au-cerveau-mais-personne-ne-vous-le-dira - https://www.axiopole.info/2014/07/12/trois-cerveaux/ - https://www.mindfulscience.es/la-fascinante-ciencia-de-la-inteligencia-del-corazon/ - https://www.cuerpomente.com/psicologia/cerebro/corazon-mas-listo-cerebro-neuronas_4465 - https://www.bbc.com/mundo/noticias/2012/07/120711_cerebro_estomago_ac — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Pigrosol (discuter), le 20 février 2021 à 16:03 (CET)[répondre]

informations essentielles manquantes[modifier le code]

Bonjour Serait il possible d'ajouter quelle est la constitution moléculaire du cerveau ? Proteine ? graisse ? visiblement sur interent c est le secret le mieux gardé.

Merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Saerdryl2 (discuter), le 8 août 2021 à 16:38 (CEST)[répondre]

  1. Sabine Casalonga, « Cerveau de Vénus, cerveau de Mars. Quelles différences ? », Le Monde de l'intelligence, no 35,‎ , p. 17.
  2. Mariana Alonso, Le sexe du cerveau in La Recherche juillet-aout 2019
  3. Lenroot et al., 2007 DOI 10.1016/j.neuroimage.2007.03.053