Casimir Pajot

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Casimir Pajot
Fonctions
Président
Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand
-
Georges Salvy (d)
Auguste Audollent
Bâtonnier
Ordre des avocats de Clermont-Ferrand
-
Eugène L 'Ebraly
Henri Tallon
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
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Père
Jean Pajot (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Anne Louis Joseph Casimir Pajot est un avocat et homme politique français, né le à Clermont-Ferrand et mort le 18 décembre 1943 à Clermont-Ferrand.

Biographie[modifier | modifier le code]

Fils de Jean Marie Victor Abel Pajot (1815-1882), directeur de l'enregistrement des domaines et du timbre, chevalier de la Légion d'Honneur[1], et de Anne Joséphine Théolina Faure, Anne Louis Joseph Casimir Pajot nait le 27 janvier 1867, à 1 heure, au domicile de ses parents situé à Clermont-Ferrand, canton nord, au 14 rue Fontgièvre[2].

Il épouse, le 18 janvier 1892, à Clermont-Ferrand, Marie Louise Paret (1869-1936[3])[4], fille de Auguste Emmanuel Paret (1824-1903), docteur en médecine et chevalier de la Légion d'Honneur[5], et de Anne Antoinette Virginie Jouvet (...-1880) avec laquelle il aura :

  • Marie Emmanuelle Germaine (1894-...), qui épousera Raymond Marie Louis Tézenas[6],
  • Emmanuel Marie Georges (1896-1983)[7],
  • Madeleine Marie Thérèse (1899-1983)[8],
  • Albert Maurice Raymond (1901-1906)[9],
  • Madeleine qui épousera, en 1913, Louis Tézenas, attaché au contentieux de La Paternelle[10].

Il décède le 18 décembre 1943 en son domicile situé à Clermont-Ferrand, 42 place de Jaude[11]. Au jour de son décès, il est président du conseil des directeurs de la caisse d'épargne de Clermont-Ferrand, vice-président des caisses d'épargne du Centre-Est, membre du conseil général des caisses d'épargne de France, président à vie de la société de secours mutuels La Fraternelle, secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand qu'il a présidé, à diverses reprises, ancien professeur à la faculté de droit de Clermont-Ferrand et ancien bâtonnier de l'ordre des avocats de la cour d'appel de Riom[12].

Carrière juridique[modifier | modifier le code]

Après des études secondaires à l’Institution Massillon de Clermont-Ferrand et l’obtention d’un baccalauréat ès-lettre et d’un ès-sciences, il obtient un doctorat en droit à la Faculté de Paris en 1892[13]. De 1893 à 1915, il exerce comme avocat au barreau de Clermont-Ferrand.

Élu membre du conseil de l'ordre des avocats inscrits au barreau de Clermont-Ferrand, le 14 novembre 1904, il est désigné pour remplir les fonctions de secrétaire de l'ordre[14]. Il sera renouvelé dans ses fonctions, le 3 novembre 1905[15].

Le 14 octobre 1910, à nouveau élu membre du conseil de l'ordre, il est délégué au bureau de l'assistance judiciaire[16].

Il en est élu bâtonnier, le 6 novembre 1908[17] et sera réélu en 1909.

Il est professeur de droit civil à la Faculté libre de droit de Clermont de 1913 à 1934.

Les anciens frères sécularisés[modifier | modifier le code]

En août 1903, il assure, avec ses confrères, Maîtres Eugène L'Ebraly, Langlais et Joseph Vignancour, la défense des anciens frères sécularisés de Clermont-Ferrand, de Bourg-Lastic, de Messeix, du Mont-Dore et de Chanonat, poursuivis devant le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand. Parvenant à démontrer l'inanité des poursuites, toutes les affaires sont mises en délibéré[18].

Le 10 décembre suivant, il représente les intérêts des anciens frères de Saint-Gabriel d'Escoutoux, devant le Tribunal de Thiers, poursuivis pour infraction aux dispositions de la loi du 1er juillet 1901. Maître Eugène L'Ebraly assure quant à lui la défense de leur propriétaire[19].

L'Abbé Tixier[modifier | modifier le code]

En 1909, il assure la défense de l'Abbé Tixier, curé de Médeyrolles, comparaissant devant le Tribunal d'Ambert, comme étant accusé d'avoir, au cours d'un discours prononcé le 24 janvier précédent, dans des lieux où s'exerce le culte, provoqué les citoyens à résister aux lois et d'avoir incité ces derniers au soulèvement, délit puni de trois mois à deux d'emprisonnement, en application des dispositions de l'article 35 de la loi du 9 décembre 1905 portant séparation des Églises et de l'État[20].

Renvoyé en appel devant la cour de Riom, il obtient, le 16 mars 1910, la relaxe de l'ecclésiastique[21].

Les unions de la Paix sociale[modifier | modifier le code]

Convaincu par les thèses développées par Frédéric Le Play et investi dans les unions de la paix sociale, il accepte, en 1897, les fonctions de correspondant des unions en région, afin d'assurer notamment la propagande. Il signe d'ailleurs, cette même année, l'un des cinq tracts distribués par le comité de défense et de progrès social, intitulé Socialistes... pourquoi pas ?[22] et donne une conférence consacrée à l'Utopie socialiste, à Clermont-Ferrand[23].

En 1898, il est renouvelé dans ses fonctions de correspondant, qu'il assure avec Joseph Vignancour, pour les unions d'Auvergne et du Velay[24]. Ils sont tous deux reconduits dans leurs fonctions, annuellement, jusqu'en 1914[25]. À compter de 1915, il en assume seul la charge.

Il présente, en 1899, avec Joseph Vignancour, la candidature de Monsieur Coiffier, ancien juge au tribunal de commerce de Clermont-Ferrand[26].

Distinctions et nominations[modifier | modifier le code]

L'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand[modifier | modifier le code]

En séance du 7 janvier 1892 de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, Félix Chaudessolle et Joseph Vignancour présentent sa candidature pour la correspondance[27]. Il est élu, dès le premier tour de scrutin, membre titulaire, en séance du 19 janvier 1893[28]. Il est élu, en séance du 18 janvier, trésorier de l'académie pour l'année 1894[29]. Félicité pour sa gestion économe et prudente, il sera renouvelé dans ses fonctions durant de nombreuses années[30],[31],[32],[33],[34],[35],[36].

En séance du 6 mai 1897, l'Académie émettant, à la grande majorité, un avis favorable quant à l'opportunité de créer une Faculté de Droit à Clermont-Ferrand, il est décidé qu'une commission se chargera d'en faire part aux personnes concernées. Il est ainsi désigné, avec Félix Chaudessolle, Monsieur Julien et Joseph Vignancour, pour composer cette dernière[37].

Son Rapport sur les opérations de la Caisse d'Épargne de Clermont-Ferrand pendant l'exercice 1901 reçoit les hommages de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, en séance du 3 juillet 1902[35].

Le 18 janvier 1912, il est élu vice-président de l'académie[38]. Il en sera président de 1914 à 1918.

En sa qualité de président de l'académie, apprenant la destruction de la bibliothèque de l'université catholique de Louvain, il décide de rompre toutes relations avec les sociétés allemandes et d'offrir à l'institution, afin qu'elle puisse renaitre de ses cendres, la collection complète des volumes de ses Annales, de ses Mémoires et de son Bulletin. Par circulaire en date du 5 octobre 1914, il enjoint l'ensemble des sociétés savantes françaises et étrangères, et notamment l'Académie de Nîmes, à suivre son exemple et de s'associer à ce don[39],[40].

Le 3 février 1931, il est à nouveau élu président de l'académie, fonctions qu'il occupera jusqu'en 1932[41].

Engagements politiques et religieux[modifier | modifier le code]

En 1905, Le pape Pie X le fait chevalier de l'Ordre de Saint-Grégoire le Grand pour son rôle dans la défense des congrégations devant la cour d'appel de Riom[42]. Il sera élevé, en 1922, au rang de commandeur de l'Ordre de Saint-Grégoire le Grand[43].

Fervent catholique et républicain convaincu, il occupera des fonctions dirigeantes au sein de l'Action Libérale Populaire dont il sera, avec maître Laroche, responsable de la commission du contentieux[44].

Président du conseil des conférences de Saint-Vincent-de-Paul, il est membre, en 1920, du conseil d'administration de l'office central d'hygiène sociale et de préservation antituberculeuse du Puy-de-Dôme[45].

Président de l'union diocésaine des catholiques, il participe à l'assemblée générale des catholiques du Puy-de-Dôme, organisée le 24 mai 1925, à l'appel de Monseigneur Marnas, évêque de Clermont-Ferrand, dans le pensionnat Godefroy de Bouillon. Il y prononce un discours, invitant les 15 000 personnes présentes à se fortifier et à étendre leur organisation afin d'assurer leurs libertés[46]. Il préside également, en cette même qualité, celle du 3 juin 1928[47].

En 1929, il est nommé au conseil d'administration de la caisse autonome mutualiste de la toute jeune société fédérative de secours mutuels, créée le 20 février précédent, à l'initiative de la Fédération nationale catholique[48].

Il participe au 14e congrès de la fédération des amicales de l'enseignement catholique de France qui se tient, à Clermont-Ferrand, du 4 au 7 septembre 1936[49].

Divers[modifier | modifier le code]

Il est désigné trésorier du 62e congrès archéologique qui se tient, à Clermont-Ferrand, du 5 au 13 juin 1895[50].

En janvier 1899, il adhère à la toute jeune Ligue de la Patrie française, fondée en réaction à la Ligue des droits de l'homme qui milite pour la reconnaissance de l'innocence d'Alfred Dreyfus[51].

En 1928, il est membre du comité d'arrondissement de Clermont-Ferrand de l’œuvre antituberculeuse[52].

Publications et discours[modifier | modifier le code]

  • Droit romain : Essai sur la nature juridique de la procuratio in rem suam ; droit français : la clause sauf encaissement en matière de compte courant, thèse pour le doctorat (1891)[53],[27],
  • Socialistes... pourquoi pas ?, tract de propagande pour le comité de défense et de progrès social (1897)[22],
  • Rapport sur les opérations de la Caisse d'Épargne de Clermont-Ferrand pendant l'exercice 1901 (1902)[35],
  • Pourquoi nous ne sommes pas Socialistes, article publié dans le Bulletin mensuel d'études sociales & d'action catholique (1904)[54],
  • Notice biographique de Maurice Chalus (1846-1930) (1934)[55],
  • L'utopie socialiste, conférence donnée à Clermont-Ferrand (1897)[23].
  • Comment sont traités les catholiques, discours prononcé à l'Assemblée générale des catholiques du Puy-de-Dôme (1925)[55],

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Base Léonore - PAJOT Jean Marie Victor Abel - LH/2038/21 (http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH175/PG/FRDAFAN83_OL2038021V001.htm)
  2. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1867 - Cote 6 E 113/103 - p. 19/220 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta99bf8e6d82e06980/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_e07eb4a0ebe4978c10cf28be274e8ec9#id:95369236?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=2896.355,-346.888&zoom=9&rotation=0.000)
  3. ↑ « Nécrologie », La Croix,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  4. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des mariages de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1892 - Cote 6 E 113/350 - p. 12/252 et suivantes (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta2f2fea82a94cf92b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_95affbffee6e0aa57efc3328950a8db9#id:1758368039?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00)
  5. ↑ Base Léonore - PARET Auguste Emmanuel - LH/2051/24 (http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH175/PG/FRDAFAN83_OL2051024V001.htm)
  6. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1894 - Cote 6E 945 - p. 68/231 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta018f10c00a322943/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_3fa9c5bbf3a8abbb1eeaad2d2429aed8#id:52571925?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=278.110,-1463.761&zoom=9&rotation=0.000)
  7. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1896 - Cote 6 E 1428 - p. 103/218 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vtab395f5eaca5545a2/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_3fa9c5bbf3a8abbb1eeaad2d2429aed8#id:1525615817?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1822.781,-954.469&zoom=8&rotation=0.000)
  8. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1899 - Cote 6 E 1961 - p. 73/181 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta173a768a8a0bfebe/daogrp/0#id:1220653327?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1693.235,-1410.790&zoom=10&rotation=0.000)
  9. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand - Année 1901 - Cote 6 E 2325 - p. 61/177 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vtad9fa0cefc9f89fdc/daogrp/0#id:1347797170?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=2258.349,-382.496&zoom=10&rotation=0.000)
  10. ↑ « Le Monde & la Ville - Mariages », Le Figaro,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  11. ↑ État-civil de la ville de Clermont-Ferrand - Acte de décès n°1530 de l'année 1943
  12. ↑ « Dans le monde - Deuils », Journal des débats politiques et littéraires,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  13. ↑ Louis Jalenques, Casimir Pajot, 1867-1944, Clermont-Ferrand, Imprimerie générale, , 20 p. (lire en ligne)
  14. ↑ « Ordre des Avocats de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  15. ↑ « Chronique locale - Ordre des avocats de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  16. ↑ « Ordre des Avocats de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  17. ↑ « Conseil de l'Ordre des Avocats », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  18. ↑ « Les sécularisés - À Clermont-Ferrand », La Croix,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  19. ↑ « Les religieux devant les juges - Les anciens frères », La Croix,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  20. ↑ « Le Curé de Médeyrolles devant le tribunal d'Ambert », La Croix,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  21. ↑ « 3210 Manuel scolaire interdit par un prêtre. Conseil adressé aux fidèles, par un curé en chaire, de ne pas permettre à leurs enfants, élèves d'une école publique, l'usage de certains livres scolaires. Poursuites en vertu de l'art. 35 L. 9 déc. 1905. Le choix des livres par l'instituteur ne constitue pas un acte légal de l'autorité publique. Relaxe. », Recueil Phily : Sommaires de la jurisprudence française - Année 1910 - Tome XVII,‎ , p. 609 et 610 (lire en ligne)
  22. ↑ a et b Société d'Économie sociale, La Réforme sociale : Bulletin de la Société d'Économie sociale et des Unions de la Paix sociale - juillet-décembre 1897, Paris, Secrétariat de la Société d'Économie sociale, (lire en ligne), p. 466 et 937
  23. ↑ a et b Société d'Économie sociale, La Réforme sociale : Bulletin de la Société d'Économie sociale et des Unions de la Paix sociale - janvier-juin 1897, Paris, Secrétariat de la Société d'Économie sociale, (lire en ligne), p. 411
  24. ↑ Société d'Économie sociale, La Réforme sociale : Bulletin de la Société d'Économie sociale et des Unions de la Paix sociale - janvier-juin 1898, Paris, Secrétariat de la Société d'Économie sociale, (lire en ligne), p. 9
  25. ↑ Société d'Économie sociale, La Réforme sociale : Bulletin de la Société d'Économie Sociale et des Unions de la Paix sociale, Paris, Secrétariat de la Société d'Économie sociale, (lire en ligne), p. 9
  26. ↑ Société d'Économie sociale, La Réforme sociale : bulletin de la Société d'Économie sociale et des Unions de la Paix sociale, Paris, Secrétariat de la Société d'Économie sociale, (lire en ligne), p. 724
  27. ↑ a et b Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne - 2ème série, Clermont-Ferrand, M. Bellet et fils, imprimeurs-libraires, (lire en ligne), p. 6
  28. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne - Procès-verbaux - Séance du 19 janvier 1893, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 8
  29. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, , https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k229296b/f305.image.r=%22casimir%20pajot%22, p. 7 et 301
  30. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5 et 20
  31. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5
  32. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5 et 17
  33. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5
  34. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5
  35. ↑ a b et c Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5 et 225 et suivantes
  36. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 5
  37. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 109
  38. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Clermont-Ferrand, Louis Bellet, imprimeur-libraire, (lire en ligne), p. 19
  39. ↑ Académie de Nîmes, Bulletin des séances de l'Académie de Nîmes - Année 1914, Nîmes, Imprimerie Clavel et Chastanier - A. Chastanier, successeur, (lire en ligne), p. 113 et 114
  40. ↑ « Académies, Universités, Écoles », Le Temps,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  41. ↑ « Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand - Une longue histoire », sur acad.sbla.clermont.monsite-orange.fr (consulté le ).
  42. ↑ « Çà et Là - Distinctions pontificales », La Croix,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  43. ↑ « Saint-Office : Nominations », La Croix,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  44. ↑ Cahiers du centre d'histoire 'espaces et cultures' : Engagements politiques, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, , 130 p. (ISBN 9782845161412, lire en ligne), p. 122 et 124
  45. ↑ Office central d'hygiène sociale et de préservation antituberculeuse du Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Imprimerie lithographique et typographique G. Mont-Louis, (lire en ligne), p. V
  46. ↑ « 15 000 hommes à Clermont-Ferrand », La Croix,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  47. ↑ « Nos grandes manifestations catholiques - À Clermont-Ferrand - 16 000 catholiques contre le laïcisme cruel pour l'homme, néfaste pour la France », La Croix,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  48. ↑ « Questions économiques et sociales - La Société fédérale de secours mutuels et sa caisse autonome - Siège social, 36, rue du Montparnasse, Paris, VI° - Fonctionnement de la caisse autonome mutualiste », La Croix,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  49. ↑ Gabriel Piguet, « Lettre de S. Exc. Mgr l'évêque de Clermont relative au XIV° Congrès des Amicales de l'enseignement libre », La Croix,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  50. ↑ Bulletin monumental, Paris, Alphonse Picard et fils, libraires, (lire en ligne), p. 549
  51. ↑ « La Ligue de la Patrie française - Deuxième liste - Magistrature et barreau », Le Gaulois,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  52. ↑ « L'oeuvre antituberculeuse - Le comité d'arrondissement de Clermont-Ferrand », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  53. ↑ Journal général de l'imprimerie et de la librairie. Table alphabétique de la bibliographie de la France - Année 1893, Paris, Cercle de la librairie, de l'imprimerie, de la papeterie, du commerce de la musique, des estampes etc, (lire en ligne), p. 579
  54. ↑ Casimir Pajot, « Pourquoi nous ne sommes pas Socialistes. », Bulletin mensuel d'études sociales & d'action catholique,‎ , p. 20 et suivantes (lire en ligne)
  55. ↑ a et b Catalogue BnF - Casimir Pajot (https://catalogue.bnf.fr/changerPage.do?motRecherche=casimir+pajot&index=&numNotice=&listeAffinages=&nbResultParPage=10&afficheRegroup=false&affinageActif=false&pageEnCours=2&nbPage=2&trouveDansFiltre=NoticePUB&triResultParPage=5&typeNotice=&critereRecherche=0)

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