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=== Théâtre ===
=== Théâtre ===
En 2006, le réalisateur et acteur Damien Odoul met en espace et récite son monologue ''Méphistophélès, confessions d’un pauvre diable''<ref>(http://www.m-e-l.fr/ingrid-astier,ec,748).</ref>, dans la crypte de l’église Saint-Sulpice, lors du 4e Salon du théâtre et de l’édition théâtrale à Paris.
En 2006, le réalisateur et acteur Damien Odoul met en espace et récite son monologue ''Méphistophélès, confessions d’un pauvre diable''<ref>(http://www.m-e-l.fr/ingrid-astier,ec,748).</ref>, dans la crypte de l’église Saint-Sulpice, lors du 4e Salon du théâtre et de l’édition théâtrale à Paris.

== Œuvres ==

=== Ouvrages gastronomiques ===
==== Série ''Le Goût de'' ====
Dans la collection Petit Mercure, Éditions Mercure de France
* ''Le Goût du chocolat'', [[2007 en littérature|2007]], 176 p. {{ISBN|9782715226395}}
* ''Le Goût du thé'', [[2007 en littérature|2007]], 144 p. {{ISBN|9782715226401}}
* ''Le Goût de la rose'', [[2008 en littérature|2008]], 192 p. {{ISBN|9782715227934}}
* ''Le Goût des parfums'', [[2009 en littérature|2009]], 144 p. {{ISBN|9782715227941}}
* ''Le goût du champagne'', [[2011 en littérature|2011]], 128p. {{ISBN|9782715231993}}

==== Autres ouvrages gastronomiques ====

* ''Cuisine inspirée. L’audace française'', photos d’Hervé Nègre, Paris, Éditions Agnès Viénot, [[2007 en littérature|2007]], 376 p. {{ISBN|978-2-914645-93-5}}
* ''L'Amour : dix façons de le préparer'', avec Bruno Verjus, Paris, Éditions de l’Épure, [[2008 en littérature|2008]], 10 p. {{ISBN|978-2-35255-051-8}}


=== Romans policiers ===
=== Romans policiers ===
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''Cacao Vanille, L’Or Noir de Madagascar'', avec Laurence Cailler et François Pralus, photographies d’Hervé Nègre, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2008.
''Cacao Vanille, L’Or Noir de Madagascar'', avec Laurence Cailler et François Pralus, photographies d’Hervé Nègre, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2008.
''Le Safran, l’or de vos plats'', Paris, Agnès Viénot Éditions, 2007. Prix Guerlain 2008.
''Le Safran, l’or de vos plats'', Paris, Agnès Viénot Éditions, 2007. Prix Guerlain 2008.
''L’Amour, dix façons de le préparer'', avec Bruno Verjus, Paris, Éditions de l’Épure, 2008.
* ''L'Amour : dix façons de le préparer'', avec Bruno Verjus, Paris, Éditions de l’Épure, [[2008 en littérature|2008]], 10 p. {{ISBN|978-2-35255-051-8}}
''Cuisine inspirée, l’audace française'', photographies d’Hervé Nègre, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2007. Gourmand Awards du Livre de Cuisine Innovant.
* ''Cuisine inspirée. L’audace française'', photos d’Hervé Nègre, Paris, Éditions Agnès Viénot, [[2007 en littérature|2007]], 376 p. {{ISBN|978-2-914645-93-5}}
:: - Gourmand Awards du Livre de Cuisine Innovant.


=== Sens et littérature ===
=== Sens et littérature ===
==== Série ''Le Goût de'' ====
''Le Goût du champagne'', avec Bruno Verjus, Paris, Mercure de France, 2011.
''Le Goût des parfums'', Paris, Mercure de France, 2009.
Dans la collection Petit Mercure, Éditions Mercure de France
''Le Goût de la rose'', Paris, Mercure de France, 2008.
* ''Le Goût du chocolat'', [[2007 en littérature|2007]], 176 p. {{ISBN|9782715226395}}
''Le Goût du thé'', Paris, Mercure de France, 2007.
* ''Le Goût du thé'', [[2007 en littérature|2007]], 144 p. {{ISBN|9782715226401}}
''Le Goût du chocolat'', Paris, Mercure de France, 2007.
* ''Le Goût de la rose'', [[2008 en littérature|2008]], 192 p. {{ISBN|9782715227934}}
* ''Le Goût des parfums'', [[2009 en littérature|2009]], 144 p. {{ISBN|9782715227941}}
* ''Le goût du champagne'', [[2011 en littérature|2011]], 128p. {{ISBN|9782715231993}}


=== Dictionnaires (contributions) ===
=== Dictionnaires (contributions) ===
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Pierre Richard, Gwendal Le Bec, avec la collaboration d’Ingrid Astier, ''Le Petit Blond avec un mouton blanc'', Paris, Gallimard-Jeunesse Giboulées, 2010, (ISBN 978-2-07-062104-0)
Pierre Richard, Gwendal Le Bec, avec la collaboration d’Ingrid Astier, ''Le Petit Blond avec un mouton blanc'', Paris, Gallimard-Jeunesse Giboulées, 2010, (ISBN 978-2-07-062104-0)


== Bibliographie critique ==
=== Interviews ===
« ''Angle mort'' de Ingrid Astier », Courrier des auteurs du 14 mars 2013, ''20minutes'', 18 avril 2013 [lire en ligne (http://www.20minutes.fr/livres/1099671-20130418-angle-mort-ingrid-astier-chez-gallimard-paris-France) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.20minutes.fr
« ''Angle mort'' mène dans des endroits secrets et périlleux », ''Libération'', Tchat avec les lecteurs, cord. Annie Parise, 19 février 2013 [lire en ligne (http://next.liberation.fr/livres/2013/02/19/dialoguez-avec-la-romanciere-ingrid-astier_882847) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.next.liberation.fr
Artus, Hubert. « Un écrivain infiltré », ''Lire'' : le magazine des livres et des écrivains, Spécial polar, les 10 meilleurs, n° 424, avril 2014 (ISSN 0338-5019), rubr. « En couverture », p. 42-47. (Reportage intégrant des extraits d’interviews) [www.lire.fr].
Auray, Jean-Philippe. « Ingrid Astier, cordon-bleu des mots en conférence à Mâcon », ''Le Journal de Saône-et-Loire'', Mâcon, 2e cahier, n° 5528, vendredi 12 décembre 2008, p. 1.
Balle, Catherine. « Elle a infiltré le monde des flics… et celui des voyous », ''Le Parisien'', n° 4094, jeudi 24 janvier 2013, rubr. « Loisirs et spectacles », p. 31. [lire en ligne (http://www.leparisien.fr/espace-premium/culture-loisirs/elle-a-infiltre-le-monde-des-flics-et-celui-des-voyous-24-01-2013-2507371.php) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.leparisien.fr Article intégrant des extraits d’interview.
Barrais, Delphine. « Je vis pour bâtir des mondes », ''Le Journal du Salon Lire en Polynésie 2015'', 15e Salon du Livre, Sur le thème de La Nuit, 19-22 novembre 2015, p. 4. (‪http://www.tahiti-infos.com/file/173442/‬‬‬‬) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur
Benaïm, Stéphane. « Le goût du meurtre », ''Liaisons, les dossiers de la préfecture de police'', n° 107, septembre 2013 (ISBN 978-2-11-009375-2), trimestriel, numéro spécial « 100 ans de la police judiciaire parisienne, une histoire du « 36 quai des Orfèvres » », rubr. « Le « 36 », vitrine de la police judiciaire » », p. 153. [lire en ligne (http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/data/flippinBook/liaisons/107/index.html) (page consultée le samedi 26 décembre 2015)].
Bijaoui, Fanny (journaliste). « Ingrid Astier, Manger, c’est voyager », ''Le blog de Fanny Bijaoui, le cœur et la plume'', 11 septembre 2012 [lire en ligne (https://fannybijaoui.wordpress.com/2012/09/11/ingrid-astier-manger-cest-voyager/) (page consultée le jeudi 24 décembre 2015)].
« Bon-Encontre, l’écriture chirurgicale d’Ingrid Astier », ''Sud-Ouest'', 17 février 2013 [lire en ligne (http://www.sudouest.fr/2013/02/17/l-ecriture-chirurgicale-d-ingrid-astier-969127-790.php) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.sudouest.fr
Brocas, Alexis. « Ce baiser insensé entre le réel et l’imaginaire », ''Le Magazine littéraire'', Spécial Série noire, n° 556, juin 2015, p. 78-79, dans le cadre d’un dossier sur « La Série noire, 70 ans à l’ombre ».
Charvenet, Sylvie. « Du merisier de Bourbon-Lancy à la Série Noire », ''71 Le Mag'', n° 1, octobre-novembre 2015, rubr. « Rencontre », p. 31 [lire en ligne (http://magazine.saoneetloire71.fr/rencontre_copie/ingrid-astier_copie) (page consultée le 24 décembre 2015)] sur le site www.saoneetloire71.fr.
Contin, Richard. « Ingrid Astier : ''Angle mort'' », ''Le concierge masqué'', 24 juillet 2014 [lire en ligne (http://www.concierge-masque.com/2014/07/24/ingrid-astier-angle-mort/) (page consultée le 26 décembre 2015)].
Debot-Ducloyer Noémie. « En immersion dans l’imaginaire de l’écrivain », ''Tahiti infos'', n° 542, vendredi 20 novembre 2015, p. 26. [lire en ligne (http://www.tahiti-infos.com/Rencontre-avec-Ingrid-Astier-En-immersion-dans-l-imaginaire-de-l-ecrivain_a140677.html) en date du jeudi 19 novembre 2015 (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.tahiti-infos.com.
Debot-Ducloyer Noémie, ''Tahiti infos'', « Mieux comprendre le métier d’écrivain : « Bien écrire, c’est beaucoup lire », 30 novembre 2015. [lire en ligne (http://www.tahiti-infos.com/Mieux-comprendre-le-metier-d-ecrivain-Bien-ecrire-c-est-beaucoup-lire_a141185.html) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur tahiti-infos.com.
Fabre, Emmanuelle. « Ingrid Astier distinguée au festival Blues et Polar », ''La Provence'', dimanche 26 août 2012. (Article intégrant des extraits d’interview)
Faure, Sonya. « Gravir les marches du 36, c’est franchir des seuils, dénuder l’humanité », ''Libération'', samedi 2 et dimanche 3 août 2014, rubr. « France », n° 10330, p. 11. [lire en ligne (http://www.liberation.fr/societe/2014/08/01/gravir-les-marches-du-36-c-est-franchir-des-seuils-denuder-l-humanite_1074349) en date du 1er août 2014 (page consultée le 26 décembre 2015] www.liberation.fr.
Golhen, Gaël. « L’interview fissa d’Ingrid Astier », ''Technikart'', n° 138, décembre 2009-janvier 2010, rubr. « Selector livres », p. 101.
Strainchamps, Bernard. « De la carte postale au kaléidoscope », 4 janvier 2010 [lire en ligne (http://fr.feedbooks.com/interview/17/de-la-carte-postale-au-kaléidoscope)], sur fr.feedbooks.com.
Greusard, Laurent. « La drôle de mise en scène d’Ingrid Astier », ''k-libre'', dimanche 20 décembre 2009 [lire en ligne (http://www.k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=interview&id=51) (page consultée le 26 décembre 2015] sur le site de k-libre.fr.
''La Grande Librairie'', « Ingrid Astier – Les 20 livres qui ont changé votre vie – Cyrano de Bergerac », France 5, 20 octobre 2014, entretien vidéo, durée 03:54.
Larvor, Gilles(libraire). « ''Angle mort'' d’Ingrid Astier », mardi 22 janvier 2013, interview en 2e partie de l’article [lire en ligne (http://ranatoad.blogspot.fr/2013/01/angle-mort-dingrid-astier.html)] (page consultée le 3 janvier 2016).
Léauthier, Alain. « Ingrid Astier : « J’ai un imaginaire d’Ogre » », mardi 29 janvier 2013 [lire en ligne (http://www.marianne.net/blv-du-crime/Ingrid-Astier-J-ai-un-imaginaire-d-Ogre_a12.html)], sur le site marianne.net (page consultée le 3 janvier 2016).
''Libération'', « Ingrid Astier : ''Quai des enfers'' est une machine à faire résonner la vie », Tchat avec les lecteurs, cord. Anne Parise, 9 février 2010 [lire en ligne (http://next.liberation.fr/livres/2010/02/09/ingrid-astier-quai-des-enfers-est-une-machine-a-faire-resonner-la-vie_653302) (page consultée le 26 décembre 2015] sur www.next.liberation.fr
Lourdas, Laura. « Polar and Co. Un verre avec Ingrid Astier », ''Le Verre et la plume'', 17 décembre 2013, [lire en ligne (http://leverrelaplume.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/12/14/cognac-polar-un-verre-avec-ingrid-astier-516177.html)], (page consultée le 3 janvier 2016).
Mignat, Delphine. « Ingrid Astier ou l’écriture au féminin pluriel », ''La Renaissance'', vendredi 27 août-jeudi 2 septembre 2010, n° 3943, rubr. « Détente/Littérature », p. 40.
PFC, « Le délicieux ouvrage d’Ingrid Astier », ''La Renaissance'', rubr. Loisirs, spectacles, Livres, n° 3810, vendredi 28 décembre 2007, p. 19.
Monnet, Françoise. « Ingrid Astier, trois ans avec flics et voyous pour écrire ''Angle mort'' », ''Le Progrès'', lundi 20 mai 2013, p. 32.
Musquet, Caroline. « Ingrid Astier fait ses premiers pas au cinéma », ''Le Journal de Saône-et-Loire'', Pays charolais, mardi 22 février 2005, p. 1. [lire en ligne (http://archives.lejsl.com/cgi/jsl_handle?artid=/setl/20050222.JSA0271.html) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur archives.lejsl.com (Article intégrant des passages d’interviews).
Musquet, Caroline. « Ingrid Astier : le goût des mots », Le ''Journal de Saône-et-Loire'', Pays Charolais, n° 5302, jeudi 20 mars 2008, p. 1.
Papillaud, Karine. « La nouvelle papesse du crime à la française, interview d’Ingrid Astier », mardi 10 septembre 2013, [lire en ligne (http://www.lecteurs.com/article/interview-dingrid-astier/2441405)] sur le site de lecteurs.com (page consultée le 3 janvier 2016).
Pinos Rébecca, « Dans l’obscurité de l’angle mort », ''Bourgogne Culture Plus !'', n° 1, juillet-août 2013, rubr. « Littératures », p. 30.
Sotty, Jean-Charles. « Quelques questions à Ingrid Astier sur son premier roman en littérature jeunesse », ''Les Nouvelles de Saône-et-Loire et limitrophes'', 69e année, n° 3199, samedi 16 mai 2015 (ISSN 1144-5629), p. 6.
Sudre, Dominique. « Rencontre avec Ingrid Astier, « amoureuse de l’imaginaire », Rencontre animée par Karine Papillaud au Café littéraire d’Orange avec lecteurs.com, lundi 27 avril 2015, [lire en ligne (http://www.lecteurs.com/article/rencontre-avec-ingrid-astier-amoureuse-de-limaginaire/2442127)] sur le site de lecteurs.com (page consultée le 3 janvier 2016).
Voir aussi : « Ingrid Astier aime les armes à feu et les ponts de la Seine, Cioran et le chocolat », Transcription de l’entretien du 14 avril avec Karine Papillaud, ''Domi C Lire'', 15 avril 2015 [lire en ligne (https://domiclire.wordpress.com/2015/04/15/ingrid-astier-aime-les-armes-a-feu-et-les-ponts-de-la-seine-cioran-et-le-chocolat/)(page consultée le 26 décembre 2015)]


== Liens externes ==
== Liens externes ==

Version du 4 janvier 2016 à 01:42

Ingrid Astier
Description de l'image Ingrid_Astier_en_2005.jpg.
Naissance
Clermont-Ferrand, Puy-de-Dôme, Drapeau de la France France
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

  • Quai des enfers (2010)
  • Angle mort (2013)
  • Petit éloge de la nuit (2014)
  • Même pas peur (2015)

Ingrid Astier est un écrivain français née à Clermont-Ferrand le . Elle vit à Paris.

Biographie

Ingrid Astier a grandi en Bourgogne, près de Bourbon-Lancy [2] , [3]. Dans l’essai Petit éloge de la nuit, on découvre que « son désir de fiction et son goût pour les péripéties sont liés à son enfance au sein de la nature[4]» qu’elle définit ailleurs comme « la clef de tout[5] ».

« Je me sens très liée à ces paysages où le vert et l’eau se donnent la main. La quiétude des étangs me plaît, la liberté de la Loire m’inspire et la sensualité des collines me retient. Ma trame romanesque est née dans cette campagne où le temps s’égrenait lentement. Je dois à cette maison mon penchant pour l’action et la contemplation[6]. »

La Bourgogne est également le thème principal d’une nouvelle intitulée « Une leçon de légèreté », parue dans Le Figaro en 2015, où l’auteur imagine le vin de bourgogne dans cent ans[7].

Elle a étudié au lycée Jeanne-d’Arc à Clermont-Ferrand puis accompli une hypokhâgne et une khâgne au lycée Henri-IV à Paris, avant de réussir le concours d’entrée de l'École Normale Supérieure en candidate libre. En 2000, elle en sort agrégée de lettres modernes[2]. Un an avant, en 1999, Ingrid Astier avait reçu le prix du Jeune Écrivain pour une nouvelle, « Face-à-Faces », publiée au Mercure de France. Elle a enseigné à l’université Paris-VII et à Reid Hall Columbia University in Paris[8], ainsi qu’à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon (ENSATT) et géré le fonds Cioran à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. Ses travaux universitaires portent sur le fragment, Nietzsche et Cioran[9].

À cette époque, elle écrit des livres dédiés à l’hédonisme, aux sens et à la littérature et participe à plusieurs éditions[10]du guide du Fooding[11]. À partir de 2007, elle s’est tournée entièrement vers l’écriture romanesque, choix qu’elle retrace comme : « un saut dans le vide, sauf que je ne savais pas si j’avais un parachute[12]

En 2010, est publié Quai des enfers, dans la Série Noire de Gallimard, premier roman policier salué par plusieurs prix littéraires. Elle y affirme son attachement à la richesse du réel, notamment à ses dimensions humaine et olfactive[13]. En 2013, Angle mort, son deuxième roman policier, bénéficie de critiques positives[14] , [15] , [16]. Comme pour son précédent roman, l'écriture est nourrie par des enquêtes de terrain approfondies et longues[17]. Astier a choisi le roman policier « pour se pencher sans réserve sur l’être humain » et « se balader dans les arrière-cours des êtres[18] . » Ses romans sont marqués par une longue période d’immersion qui forge leur identité. Après l’avoir suivie durant trois jours, un journaliste du magazine "Lire" décrit cette phase comme « un intense travail de repérage ». Il résume ainsi cette plongée : « information, précision, compréhension, c’est le fondement du travail de terrain d’Ingrid Astier, qu’elle pousse très loin[19] . » Ce qui rejoint la formule du grand reporter de guerre Jean-Pierre Perrin, à propos d’Angle mort : « On retrouve ici la méthode Astier : trois années d’immersion afin d’écrire dans la vérité. Celle des situations, des dialogues et, d’abord, des lieux[20]. »

En 2014, sort le Petit éloge de la nuit, dans la collection populaire Folio/2 € chez Gallimard, puis en 2015, le roman d'aventures et d'éducation sentimentale Même pas peur chez Syros.

Après la sortie du roman Quai des enfers, elle est devenue, en 2011, marraine de la Brigade fluviale de Paris[21]. En 2010, les Roses anciennes André Ève l’avaient nommée marraine du rosier Jardin de Granville qui obtient le 1er prix au 103e Concours international de roses nouvelles de Bagatelle[22].

Attachée à la lecture[23], elle préside, en 2015, le Concours des bibliothèques de Saône-et-Loire[24].

Œuvre littéraire

Elle commence à écrire dès son jeune âge, « des contes et de la poésie[25]» puis débute, à dix ans, un roman policier, « à Noël, avec une machine à écrire pour cadeau[26]», l’esprit nourri de lectures d’Agatha Christie.

« J’aimais dessiner et, à partir du dessin, raconter une histoire. Puis je suis passée, au fil des années, à la poésie, aux aphorismes, ces petites phrases qui condensent les réflexions de l’adolescence, puis aux nouvelles, et maintenant au roman[27], dit-elle à Marie Claire en 2001.

On retrouve ce goût pour les formes brèves dans ses romans et dans le Petit éloge de la nuit, dont certains passages sont des aphorismes.

« Du lecteur idéal Comme certaines fleurs, le roman policier s’ouvre la nuit[28]. »

Dès 1989, elle est primée par l’Association des membres de l’ordre des palmes académiques et obtient le 1er prix national du concours pour la défense de la langue française[29]. Elle était alors en 4e au Collège Ferdinand-Sarrien de Bourbon-Lancy. En 1993, elle sera à nouveau primée[30]. La même année, elle reçoit le prix Strasbourg pour un essai sur Bertolt Brecht. Mais sa carrière débute véritablement, comme Antoine Bello, Marie Darrieussecq, Xabi Molia ou Arthur Dreyfus, avec le prix du Jeune Écrivain en langue française[31], qu’elle obtient en 1999. Par la suite, elle entre au jury du prix du Jeune Écrivain[32], aux côtés de Carole Martinez, Georges-Olivier Châteaureynaud, Alain Absire, Dominique Fabre, Ananda Devi ou Minh Tran Huy.

La Trilogie du fleuve

Quai des enfers est le premier tome de la Trilogie du fleuve[33], bâtie autour de Paris et de la Seine. Publié originellement en 2010, dans la Série Noire de Gallimard, ce premier roman a été très bien reçu par la critique. En 2013 sort le deuxième tome, Angle mort, toujours dans la Série Noire. Le troisième tome est en préparation[34].

Quai des enfers

Quai des enfers, « cathédrale baroque et sensualiste où se croisent des flics, des SDF, des hommes-grenouilles et un serial killer[35]», « joli cauchemar gothique » selon Nice-Matin[36], est un roman policier contemporain qui se déroule à Paris et dont la force tient, selon Sébastien Lapaque, à son « atmosphère[37] ».

« Je refuse de voir la Seine — fil parfait qui traverse la ville en liant le Paris romantique et celui de la misère — comme une belle endormie. J’ai voulu la tirer de cette narcose, montrer qu’elle aimante des lieux forts, de la Brigade fluviale au capharnaüm des SDF. Des lieux où se jouent des destins[38]. »

Il met en scène la brigade fluviale de Paris, un service de police que l’auteur a suivi pendant plusieurs années pour s’imprégner de leurs techniques et de leur langage[39] . Si cette brigade existe depuis 1900, c’est la première fois qu’une place majeure était accordée à ce service dans un roman. Il campe la Seine « à la fois comme décor et comme héroïne à part entière[40] » et en fait le cœur du roman, autour du quai des Orfèvres, du quai Saint-Bernard et du quai de la Râpée. Les personnages principaux de Quai des enfers sont Rémi Jullian, un jeune plongeur de la brigade fluviale et Jo Desprez, un commandant de la brigade criminelle du 36 quai des Orfèvres. On rencontre encore Michel Duchesne, également commandant à la Crime, et Camille Beaux, un parfumeur. Les descriptions des bureaux du quai des Orfèvres comme des pontons de la brigade fluviale sont inspirés des lieux existants et témoignent d’un souci réaliste, bien que l’auteur explique que ce réalisme serve toujours l’imaginaire.

« Tout est fabuleusement vrai dans un roman. Au fond, je crois le réalisme bien trop borné pour faire rêver et l’imaginaire trop fantasque pour ne pas tituber. C’est leur étreinte qui me retient. Ce baiser insensé où la frontière est gommée[41]. »

Si ces propos datent de 2015, elles tenaient sensiblement les mêmes en 2009 dans Technikart, ce qui témoigne d’une constante dans son univers littéraire :

« Le rêve, le fantasme, l’art ne sont pas contraires au réel (…) Et c’est la frontière entre réel et imaginaire que je cherche. C’est dans ces moments de friction que la littérature devient perturbante[42]. »

En 2010, Quai des enfers reçoit le grand prix Paul-Féval de littérature populaire de la Société des gens de lettres, le prix Lafayette, le prix Coup de cœur Sylvie-Turillon[43] et le prix Polar en plein cœur.

Il a été traduit en Italie chez Bompiani (Omicidi sulla Senna) et au Mexique, en 2015, chez Océano (El Muelle del infierno).


Angle mort

En 2013, les éditions Gallimard publient, toujours dans la Série Noire, son deuxième roman, Angle mort, un roman policier entre « western urbain et romantisme noir », salué par François Busnel comme « le nouveau souffle du polar français. » Il met en scène Diego, un braqueur d’Aubervilliers, son frère Archi et sa sœur Adriana, surnommée « la petite mésange », une trapéziste au cirque Diana Moreno. Face à eux, le commandant Michel Duchesne, ainsi que le commandant Jo Desprez et le lieutenant Marc Valparisis, que l’on trouvait déjà dans Quai des enfers. L’action se déroule entre scènes de braquage à Paris et courses-poursuites du port de l’Arsenal à une hacienda délabrée d’Aubervilliers « en évitant », selon Le Canard enchaîné, « toute facilité, tout cliché collé à ces villes en marge forcément sinistres et déprimantes[44] ». Loin de peindre la banlieue dans sa morosité habituelle, le roman s’attache à préserver une coloration humaine, avec des ambiances burlesques dans un restaurant chinois, des scènes de poulet boucané où des Haïtiens jouent au bézigue ou le décor de western d’une hacienda au cœur de la ville. Le maire d’Aubervilliers, Jacques Salvator, reconnut l’hommage que la littérature rendait à la ville, en dépit du thème du grand banditisme : « Nos anciens redoutaient un peu un livre qui mettait en avant l’aspect délictueux d’Aubervilliers. Mais ils ont compris que c’était aussi une manière de la mettre en valeur à travers le romantisme policier[45] . » Le thème principal du roman est le prix de la liberté et le roman est entièrement bâti autour d’un angle mort, qui, telle la pièce manquante d’un puzzle[46], donne sa justification au titre et ne se révèle qu’à la fin.

« Je ne suis du côté de personne. Angle mort n’est d’ailleurs en aucune façon un livre sur « la violence dans les cités » mais plutôt sur le prix que l’on est prêt à payer pour rester libre[47]. »

Selon Le Parisien, « trois ans d’enquête[48]», tant du côté des policiers que des voyous[49], ont nourri l’écriture détaillée de ces « trois semaines de « mano a mano » entre flics et voyous[50]. »

Sur le plan esthétique, Angle mort a été rapproché « des chefs-d’œuvre du cinéma américain noir des années quarante[51]».

Il obtient le prix Calibre 47 et a été livre-vedette du Grand Livre du Mois[52].

Roman jeunesse

Même pas peur

Le roman Même pas peur paraît aux éditions Syros en 2015 et connaît un bel accueil[53]. Il se déroule à l’île d’Yeu et « dépeint avec acuité les émois des adolescents au seuil du premier amour[54]. » En ce sens, il se rapproche des romans d’éducation sentimentale comme Le Grand Meaulnes d’Alain Fournier ou Le Diable au corps de Raymond Radiguet. L’univers aquatique reste l’inspiration majeure d’Ingrid Astier puisqu’après la Seine dans Quai des enfers, enrichie du canal Saint-Martin, du canal de l’Ourcq et du bassin de la Villette dans Angle mort, l’action se situe avec ce roman au bord de l’océan Atlantique. La genèse du roman est restituée comme telle par l’auteur :

« Au départ, pour Même pas peur, Natalie Beunat, la directrice de collection de Syros, m’a proposé un roman policier pour enfants ou adolescents. Au final, j’ai écrit un roman noir, à ma façon, et qui peut toucher un adolescent comme un adulte qui rêve de retrouver ses seize ans[55]. »


Elle revendique ce roman comme un hommage au Blé en herbe de Colette :

« J’ai toujours rêvé d’écrire un roman qui soit un écho contemporain au Blé en herbe, à sa beauté ambiguë, à sa fraîcheur cruelle. Un roman où l’on se découvre à l’aune de ses sentiments. Qui suis-je ? Le cœur détient une grande part de ce mystère[56]. »

Cet hommage paraît d’autant évident quand on rapproche les noms respectifs des héros : Phil et Vinca dans Le Blé en herbe, Phil et Mica dans Même pas peur.

Essai romancé

Petit éloge de la nuit

Le Petit éloge de la nuit sort en 2014 chez Gallimard, dans la collection Folio/2 €. « Cette autobiographie maquillée » est, selon François Busnel dans L’Express, « un magnifique hommage aux puissances de la nuit[57]. » Cet essai romancé prend la forme d’un abécédaire, d’Abîme à Zoom. L’auteur le définit comme un « vagabondage », un livre où elle « laisse au lecteur la main libre, au sens propre » pour « fureter et se perdre[58]. » On y croise des personnes aussi diverses que des policiers de la Mondaine (BRP), un sniper de l’antigang, des philosophes comme Vladimir Jankélévitch, Friedrich Nietzsche ou Cioran, un chirurgien-orthopédiste, Bartabas, ou l’homme de la nuit Tony Gomez. Les thèmes sont autant variés, faisant de cette diversité une esthétique, entre astronomie, musicologie, cinéma, botanique, littérature, philosophie, souvenirs et poésie. Dans M Le Magazine du Monde, Yann Plougastel résume cet éclectisme comme « un labyrinthe où le heavy metal d’AC/DC côtoie La Ronde de nuit de Rembrandt, le tout dans une atmosphère à la David Lynch. » Dans ce même esprit, le livre avait été lancé dans la chocolaterie parisienne Jacques Genin[59] , précédé d’un combat de boxe, avec une lecture par l’acteur Pierre Richard, accompagné à la guitare par Jb Hanak du groupe dDamage. Cette lecture musicale fut reprise[60], le 31 mai 2015, à l’Hôtel de Ville de Caen[61] où elle « attira les foules[62] ».

Nouvelles

Elle débute sa carrière littéraire avec la publication d’une nouvelle, « Face-à-Faces » dans le recueil du Prix du Jeune Écrivain La Descente des oies sauvages, paru au Mercure de France (1999). Cette nouvelle fut le point de départ d’une thématique qui marquera chacune des œuvres qui suivront, tout comme la nouvelle Neiges éternelles fut la matrice originelle du roman Angle mort :

« Cette nouvelle [Neiges éternelles] m’a servi de laboratoire, pour expérimenter l’écriture à la première personne. Je sentais que je rêvais de cette proximité sacrée avec le lecteur, par ce biais de la première personne. De cette voix-confidence d’un homme proche des grands fauves… En fait, je revenais à mes débuts, à mon goût des personnages en rupture, fortement intériorisés, comme dans « Face-à-Faces », ma première publication au Mercure de France, en 1999, pour le prix du Jeune écrivain[63] . »

Par la suite, elle continue à publier des nouvelles, dans Le Figaro, VSD, TGV Magazine ou la revue Faux Q.

Théâtre

En 2006, le réalisateur et acteur Damien Odoul met en espace et récite son monologue Méphistophélès, confessions d’un pauvre diable[64], dans la crypte de l’église Saint-Sulpice, lors du 4e Salon du théâtre et de l’édition théâtrale à Paris.

Romans policiers

- Grand prix Paul-Féval de littérature populaire 2010
- Prix Polar en plein cœur (2010)[65]
- Prix Lafayette (2010)
- Prix Sylvie Turillon 2012
- Prix Calibre 47 (2013)[67]
- Bourse du CNL

Traductions de Quai des enfers

  • Omicidi sulla Senna, traduit en italien par Sergio Arecco, Bompiani, RCS Libri S.p.A., 2014, (ISBN 978-88-452-7804-4)
  • Repris en édition club, Omicidi sulla Senna, Milano, Mondadori Direct S.p.A., 2014.
  • El Muelle del infierno, Traduit en espagnol par Glenn Gallardo Jordan, Océano, La Puerta Negra, México, 2015, (ISBN 978-607-735-066-8)

Roman jeunesse

Essai romancé

Petit éloge de la nuit, Paris, Folio/2 €, Gallimard, 2014, (ISBN 978-2-07-045933-9)

Essai (édition et postface)

E.-M. Cioran, Exercices négatifs, Paris, Gallimard, 2005, (ISBN 2-07-0775399) « Jamais sans mon corps, Éloge de l’appétit » dans Manifeste hédoniste de Michel Onfray, J’ai Lu, Paris, Éditions Autrement, 2011, n° 10280, (ISBN 978-2-290-05452-9)

Théâtre

Méphistophélès, confessions d’un pauvre diable, mise en espace le 25 juin 2006 par Damien Odoul à la Foire Saint-Germain, Paris, 4e édition du Salon du Théâtre.

Nouvelles et textes courts

« Une Leçon de légèreté », So/Figaro, rubr. « Paroles d’écrivain », supplément au Figaro n° 22 036 intitulé « Le futur du vin, les vins du futur », cahier n° 5, lundi 15 juin 2015, p. 41. « Les Portes du ciel », VSD, rubr. « Séries d’été », n° 1977, n° 1977, 16-22 juillet 2015, p. 58-60. « La Presqu’elle », TGV Magazine, décembre 2014-janvier 2015. Neiges éternelles, repris par France Abonnements Entreprises, Paris, Gallimard, 2015, avec une postface de l’auteur « De vous à moi » en date du mercredi 17 juillet 2015, p.45-57 « Deep Purple », avec des photographies de René Habermacher, Paris is dead, sur le site www.parisisdead.com (à lire sur (http://parisisdead.com/deep-purple/). « Contre-plongée », Le Figaro, Série d’été, 12 août 2014. « Breed » dans le recueil collectif Nevermind, Paris, Buchet-Chastel, 2014. « Lô » dans le recueil collectif Douze chercheurs en quête d’auteurs, Portet-sur-Garonne, Nouvelles Éditions Loubatières, 2011. « Neiges éternelles », dans le recueil collectif Paris Jour, Paris, Parigramme, 2011. « Face-à-Faces » dans La Descente des oies sauvages sur le sable et autres nouvelles, Paris, Mercure de France, 1999. PRIX DU JEUNE ÉCRIVAIN.

Dans la revue Faux Q

« Pêche à la ligne » dans Faux Q, Ligne, n° 10, 2015. « Nightshot », extrait de Quai des enfers dans Faux Q, Nuit, n° 6, automne 2010. « 666 », dans Faux Q, Chiffres, n° 5, 2009. « Fourches et fourchettes, dans Faux Q, Révolution, n° 3, été 2008. « Raz de radins » dans Faux Q, Argent, n° 4, 2009. « Dissection : le corps diplomatique à cœur ouvert », Faux Q, Le corps, n° 2, hiver 2007.


Beaux Livres

Cabanes d’exception, avec Alain Laurens, Daniel Dufour, Ghislain André, photographies de Jacques Delacroix, Paris, La Martinière, 2009 (ISBN 978-2-7324-3939-6). Traduit en anglais sous le titre Exceptional treehouses, trad. de Jack Hawkes, New York, Abrams, 2009 (ISBN 978-0-8109-8048-8). Traduit en allemand sous le titre Traumhafte Baumhäuser, Baden, AT Verlag, (ISBN 978-3-03800-480-6). La Cuisine du Maya Bay Monaco, avec Olivier Streiff, photographies Hervé Nègre, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2008. Cacao Vanille, L’Or Noir de Madagascar, avec Laurence Cailler et François Pralus, photographies d’Hervé Nègre, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2008. Le Safran, l’or de vos plats, Paris, Agnès Viénot Éditions, 2007. Prix Guerlain 2008.

  • L'Amour : dix façons de le préparer, avec Bruno Verjus, Paris, Éditions de l’Épure, 2008, 10 p. (ISBN 978-2-35255-051-8)
  • Cuisine inspirée. L’audace française, photos d’Hervé Nègre, Paris, Éditions Agnès Viénot, 2007, 376 p. (ISBN 978-2-914645-93-5)
- Gourmand Awards du Livre de Cuisine Innovant.

Sens et littérature

Série Le Goût de

Dans la collection Petit Mercure, Éditions Mercure de France

Dictionnaires (contributions)

Dictionnaire de la nuit, encadré « Éros », sous la direction de Alain Montandon, Genève, Champion, 2013. Dictionnaire culturel en langue française, sous la direction de Alain Rey, encadré « Fromages », Paris, Dictionnaires Le Robert, 2005.

Textes parus dans des recueils collectifs

« Un parfum de paradis terrestre » dans la Revue de la Bibliothèque nationale de France, La gastronomie, du sens aux sens, n° 49, 2015, p. 18-23. « Jamais sans mon corps, Éloge de l’appétit » dans le Manifeste hédoniste de Michel Onfray, Paris, Autrement, 2011. Paru également en poche. « Oignon » dans l’Abécédaire légumophile, Bibliothèques Gourmandes, Virgile, 2011. « Zanzibar » et « Bling-bling » dans le recueil Mots en bouche, mots sur la touche, Prix du Jeune Écrivain-Fondation BNP Paribas, Blagnac, 2009.

Préfaces

« Carte blanche à l’imaginaire », préface au recueil de nouvelles Sornettes ou vérité ?, Prix du Jeune Écrivain 2014, Paris, Buchet-Chastel Libella, 2014. « L’appel de la nuit », préface au recueil de nouvelles Prix Plumes noires 2013/2014, Rivière blanche.

Collaborations

Pierre Richard, Gwendal Le Bec, avec la collaboration d’Ingrid Astier, Le Petit Blond avec un mouton blanc, Paris, Gallimard-Jeunesse Giboulées, 2010, (ISBN 978-2-07-062104-0)

Bibliographie critique

Interviews

« Angle mort de Ingrid Astier », Courrier des auteurs du 14 mars 2013, 20minutes, 18 avril 2013 [lire en ligne (http://www.20minutes.fr/livres/1099671-20130418-angle-mort-ingrid-astier-chez-gallimard-paris-France) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.20minutes.fr « Angle mort mène dans des endroits secrets et périlleux », Libération, Tchat avec les lecteurs, cord. Annie Parise, 19 février 2013 [lire en ligne (http://next.liberation.fr/livres/2013/02/19/dialoguez-avec-la-romanciere-ingrid-astier_882847) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.next.liberation.fr Artus, Hubert. « Un écrivain infiltré », Lire : le magazine des livres et des écrivains, Spécial polar, les 10 meilleurs, n° 424, avril 2014 (ISSN 0338-5019), rubr. « En couverture », p. 42-47. (Reportage intégrant des extraits d’interviews) [www.lire.fr]. Auray, Jean-Philippe. « Ingrid Astier, cordon-bleu des mots en conférence à Mâcon », Le Journal de Saône-et-Loire, Mâcon, 2e cahier, n° 5528, vendredi 12 décembre 2008, p. 1. Balle, Catherine. « Elle a infiltré le monde des flics… et celui des voyous », Le Parisien, n° 4094, jeudi 24 janvier 2013, rubr. « Loisirs et spectacles », p. 31. [lire en ligne (http://www.leparisien.fr/espace-premium/culture-loisirs/elle-a-infiltre-le-monde-des-flics-et-celui-des-voyous-24-01-2013-2507371.php) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur www.leparisien.fr Article intégrant des extraits d’interview. Barrais, Delphine. « Je vis pour bâtir des mondes », Le Journal du Salon Lire en Polynésie 2015, 15e Salon du Livre, Sur le thème de La Nuit, 19-22 novembre 2015, p. 4. (‪http://www.tahiti-infos.com/file/173442/‬‬‬‬) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur Benaïm, Stéphane. « Le goût du meurtre », Liaisons, les dossiers de la préfecture de police, n° 107, septembre 2013 (ISBN 978-2-11-009375-2), trimestriel, numéro spécial « 100 ans de la police judiciaire parisienne, une histoire du « 36 quai des Orfèvres » », rubr. « Le « 36 », vitrine de la police judiciaire » », p. 153. [lire en ligne (http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/data/flippinBook/liaisons/107/index.html) (page consultée le samedi 26 décembre 2015)]. 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Debot-Ducloyer Noémie, Tahiti infos, « Mieux comprendre le métier d’écrivain : « Bien écrire, c’est beaucoup lire », 30 novembre 2015. [lire en ligne (http://www.tahiti-infos.com/Mieux-comprendre-le-metier-d-ecrivain-Bien-ecrire-c-est-beaucoup-lire_a141185.html) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur tahiti-infos.com. Fabre, Emmanuelle. « Ingrid Astier distinguée au festival Blues et Polar », La Provence, dimanche 26 août 2012. (Article intégrant des extraits d’interview) Faure, Sonya. « Gravir les marches du 36, c’est franchir des seuils, dénuder l’humanité », Libération, samedi 2 et dimanche 3 août 2014, rubr. « France », n° 10330, p. 11. [lire en ligne (http://www.liberation.fr/societe/2014/08/01/gravir-les-marches-du-36-c-est-franchir-des-seuils-denuder-l-humanite_1074349) en date du 1er août 2014 (page consultée le 26 décembre 2015] www.liberation.fr. Golhen, Gaël. « L’interview fissa d’Ingrid Astier », Technikart, n° 138, décembre 2009-janvier 2010, rubr. « Selector livres », p. 101. Strainchamps, Bernard. « De la carte postale au kaléidoscope », 4 janvier 2010 [lire en ligne (http://fr.feedbooks.com/interview/17/de-la-carte-postale-au-kaléidoscope)], sur fr.feedbooks.com. Greusard, Laurent. « La drôle de mise en scène d’Ingrid Astier », k-libre, dimanche 20 décembre 2009 [lire en ligne (http://www.k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=interview&id=51) (page consultée le 26 décembre 2015] sur le site de k-libre.fr. La Grande Librairie, « Ingrid Astier – Les 20 livres qui ont changé votre vie – Cyrano de Bergerac », France 5, 20 octobre 2014, entretien vidéo, durée 03:54. Larvor, Gilles(libraire). « Angle mort d’Ingrid Astier », mardi 22 janvier 2013, interview en 2e partie de l’article [lire en ligne (http://ranatoad.blogspot.fr/2013/01/angle-mort-dingrid-astier.html)] (page consultée le 3 janvier 2016). Léauthier, Alain. « Ingrid Astier : « J’ai un imaginaire d’Ogre » », mardi 29 janvier 2013 [lire en ligne (http://www.marianne.net/blv-du-crime/Ingrid-Astier-J-ai-un-imaginaire-d-Ogre_a12.html)], sur le site marianne.net (page consultée le 3 janvier 2016). Libération, « Ingrid Astier : Quai des enfers est une machine à faire résonner la vie », Tchat avec les lecteurs, cord. Anne Parise, 9 février 2010 [lire en ligne (http://next.liberation.fr/livres/2010/02/09/ingrid-astier-quai-des-enfers-est-une-machine-a-faire-resonner-la-vie_653302) (page consultée le 26 décembre 2015] sur www.next.liberation.fr Lourdas, Laura. « Polar and Co. Un verre avec Ingrid Astier », Le Verre et la plume, 17 décembre 2013, [lire en ligne (http://leverrelaplume.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/12/14/cognac-polar-un-verre-avec-ingrid-astier-516177.html)], (page consultée le 3 janvier 2016). Mignat, Delphine. « Ingrid Astier ou l’écriture au féminin pluriel », La Renaissance, vendredi 27 août-jeudi 2 septembre 2010, n° 3943, rubr. « Détente/Littérature », p. 40. PFC, « Le délicieux ouvrage d’Ingrid Astier », La Renaissance, rubr. Loisirs, spectacles, Livres, n° 3810, vendredi 28 décembre 2007, p. 19. Monnet, Françoise. « Ingrid Astier, trois ans avec flics et voyous pour écrire Angle mort », Le Progrès, lundi 20 mai 2013, p. 32. Musquet, Caroline. « Ingrid Astier fait ses premiers pas au cinéma », Le Journal de Saône-et-Loire, Pays charolais, mardi 22 février 2005, p. 1. [lire en ligne (http://archives.lejsl.com/cgi/jsl_handle?artid=/setl/20050222.JSA0271.html) (page consultée le 26 décembre 2015)] sur archives.lejsl.com (Article intégrant des passages d’interviews). Musquet, Caroline. « Ingrid Astier : le goût des mots », Le Journal de Saône-et-Loire, Pays Charolais, n° 5302, jeudi 20 mars 2008, p. 1. Papillaud, Karine. « La nouvelle papesse du crime à la française, interview d’Ingrid Astier », mardi 10 septembre 2013, [lire en ligne (http://www.lecteurs.com/article/interview-dingrid-astier/2441405)] sur le site de lecteurs.com (page consultée le 3 janvier 2016). Pinos Rébecca, « Dans l’obscurité de l’angle mort », Bourgogne Culture Plus !, n° 1, juillet-août 2013, rubr. « Littératures », p. 30. Sotty, Jean-Charles. « Quelques questions à Ingrid Astier sur son premier roman en littérature jeunesse », Les Nouvelles de Saône-et-Loire et limitrophes, 69e année, n° 3199, samedi 16 mai 2015 (ISSN 1144-5629), p. 6. Sudre, Dominique. « Rencontre avec Ingrid Astier, « amoureuse de l’imaginaire », Rencontre animée par Karine Papillaud au Café littéraire d’Orange avec lecteurs.com, lundi 27 avril 2015, [lire en ligne (http://www.lecteurs.com/article/rencontre-avec-ingrid-astier-amoureuse-de-limaginaire/2442127)] sur le site de lecteurs.com (page consultée le 3 janvier 2016). Voir aussi : « Ingrid Astier aime les armes à feu et les ponts de la Seine, Cioran et le chocolat », Transcription de l’entretien du 14 avril avec Karine Papillaud, Domi C Lire, 15 avril 2015 [lire en ligne (https://domiclire.wordpress.com/2015/04/15/ingrid-astier-aime-les-armes-a-feu-et-les-ponts-de-la-seine-cioran-et-le-chocolat/)(page consultée le 26 décembre 2015)]

Liens externes

Notes et références

  1. « Ingrid Astier, lauréate du prix Strasbourg 1993 », Les Nouvelles de Saône-et-Loire, n° 2182, samedi 25 septembre 1993, p. 4.
  2. a et b Delphine Peras, « Ingrid Astier », sur www.lexpress.fr, (consulté le )
  3. Alain Léauthier, « Ingrid Astier: « J’ai un imaginaire d’Ogre » », sur www.marianne.net (consulté le )
  4. Ingrid Astier, Petit éloge de la nuit, Éditions Gallimard, 2014, coll. Folio 2 €, n° 5819, p. 7.
  5. Portrait de Delphine Peras dans L’Express Styles, n° 2937, du 18-24 octobre 2007, Cahier n° 2, p. 24-28, (http://www.lexpress.fr/culture/livre/ingrid-astier_822375.html), sur le site de L’Express.
  6. Sylvie Charvenet, « Du merisier de Bourbon-Lancy à la Série Noire », 71 LE MAG, n° 1, (http://magazine.saoneetloire71.fr/rencontre_copie/ingrid-astier_copie), sur le site www.saoneetloire71.fr, octobre-novembre 2015.
  7. « — En 2075, j’ai reçu un message d’un homme. Il parlait en amoureux. Inoubliable. Il m’avait écrit : « Cela fait longtemps que je n’achète plus mes vins préférés. Ils finissent dans les mains de spéculateurs qui se soucient peu de la magie du cadastre bourguignon. J’avais une belle carte des vignes, des livres qui font rêver… Fini, le voyage féerique au sein des différents climats… Si la Bourgogne ne sera jamais dans l’ostentation ni le masquage ni la sucrosité, ce sont les bouteilles sur la table à qui je dis adieu. » Monsieur Lieser, nous voulons, à nouveau, travailler pour les amoureux. La mémoire est le bien le plus précieux. Les vins de garde sont notre mémoire. Je veux que nous ayons œuvré pour des gens sensibles, qui se souviennent. » SO/Figaro, n° 66, p. 41.
  8. « Un regard nouveau pour une cuisine centrée sur le « plaisir » », Le Journal de Saône-et-Loire, mercredi 30 mars 2005, p. 7 : « Pour cette universitaire de 29 ans qui enseigne à Paris-VII la littérature et la communication, enseigne aux étudiants américains de l’université de Columbia, poursuit des recherches documentaires à Jacques Doucet, participe à des colloques internationaux, la vie est faite de passions : enluminure, vitraux, grande cuisine… »
  9. Splendeurs et misères de l'ironie chez E.M. Cioran in L'ironie aujourd'hui: lectures d'un discours oblique, ed. Mustapha Trabelsi, Presses universitaires Blaise Pascal, 2006.
  10. Libération, Supplément Fooding de 72 pages, « Guide Fooding printemps-été 2006 », n° 7783, 1ère édition, jeudi 18 mai 2006. Libération, Supplément Fooding du 23 novembre 2006, « Guide Fooding automne-hiver 2006-2007 ».
  11. http://lefooding.com/en/news/polar-apres-cuisine-inspiree-la-chroniqueuse-food-ingrid sur le site lefooding.com (consulté le 25 décembre 2015).
  12. « Je vis pour bâtir des mondes », interview de Delphine Barrais, Le Journal du Salon Lire en Polynésie 2015, 15e Salon du Livre, La Nuit, 19-22 novembre 2015, p. 4.[(‪http://www.tahiti-infos.com/file/173442/‬‬‬‬) (page consultée le 26 décembre 2015)]
  13. a et b « Ingrid Astier: «Quai des enfers est une machine à faire résonner la vie» », sur www.liberation.fr, (consulté le )
  14. « "Angle mort" de Ingrid Astier chez Gallimard (Paris, France). - Le choix des libraires, en partenariat avec 20minutes.fr », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  15. « "Angle Mort", d'Ingrid Astier. France Info, le Livre du Jour. », sur www.franceinfo.fr, (consulté le )
  16. a et b Sebastien Lapaque, « Ingrid Astier : le son du Beretta 92 », sur Le Figaro, (consulté le )
  17. «"Angle mort" mène dans des endroits secrets et périlleux», sur www.liberation.fr, (consulté le )
  18. (http://next.liberation.fr/livres/2010/02/09/ingrid-astier-quai-des-enfers-est-une-machine-a-faire-resonner-la-vie_653302).
  19. « Un écrivain infiltré », par Hubert Artus, Lire, Spécial polar, n° 424, avril 2014, p. 43.
  20. Jean-Pierre Perrin, « Les armes de leur vie, Descente dans les cités, dans un face-à-face hardi entre braqueurs et policiers », Libération, jeudi 21 février 2013, cahier Livres, n° 9884, p. VIII.
  21. « 100 ans de la police judiciaire »,Liaisons, les dossiers de la préfecture de police, n° 107, septembre 2013, p. 153 et sur le site http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/data/flippinBook/liaisons/107/index.html (consulté le jeudi 24 décembre 2015)
  22. La Manche libre, (http://www.lamanchelibre.fr/actualite-22218-la-rose-jardin-granville-n-.html http://www.newsjardintv.com/agenda/98-la-plante-du-jour/524-jardin-de-granville-une-rose-tres-feminine-qui-embaume.html), sur le site, 11 décembre 2010.
  23. « Mieux comprendre le métier d’écrivain : « Bien écrire, c’est beaucoup lire » », propos recueillis par Noémie Debot-Ducloyer, (http://www.tahiti-infos.com/Mieux-comprendre-le-metier-d-ecrivain-Bien-ecrire-c-est-beaucoup-lire_a141185.html), sur le site de Tahiti Infos, (http://magazine.saoneetloire71.fr/rencontre_copie/ingrid-astier_copie).
  24. (http://magazine.saoneetloire71.fr/rencontre_copie/ingrid-astier_copie).
  25. « Je vis pour bâtir des mondes », interview de Delphine Barrais, Le Journal du Salon Lire en Polynésie 2015, 15e Salon du Livre, La Nuit, 19-22 novembre 2015, p. 4.
  26. « Angle mort mène dans des endroits secrets et périlleux, tchat avec les lecteurs de Libération, (http://next.liberation.fr/livres/2013/02/19/dialoguez-avec-la-romanciere-ingrid-astier_882847), sur le site de Libération, 19 février 2013.
  27. Amicie d’Arces, « Une jeune femme moderne », Marie Claire, édition Rhône-Alpes, n° 585, mai 2001, p. XIV.»
  28. Petit éloge de la nuit, p. 55.
  29. « Palmarès du concours 1989 pour la défense de la langue française », Revue de l’AMOPA, n° 105, 2e trimestre, 1989, p. 16-17.
  30. « De la graine d’écrivains à l’honneur », La Montagne, jeudi 17 juin 1993.
  31. http://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/le-blog-a-lire/2015/03/19/le-prix-du-jeune-ecrivain-a-30-ans-et-sinvite-a-paris-pour-loccasion.html
  32. sur le site du prix du Jeune écrivain : http://pje32.wix.com/pjef#!le-jury/c2yl
  33. L’expression « Trilogie du Fleuve » est de l’auteur, reprise dans de nombreuses interviews. Elle apparaît dès la sortie de Quai des enfers. Voir Alain Léauthier, « Ingrid Astier : « J’ai un imaginaire d’Ogre » », mardi 29 janvier 2013 [lire en ligne (http://www.marianne.net/blv-du-crime/Ingrid-Astier-J-ai-un-imaginaire-d-Ogre_a12.html)], sur le site marianne.net (page consultée le 3 janvier 2016) ou encore : Gilles Larvor (libraire), « Angle mort d’Ingrid Astier », mardi 22 janvier 2013, [lire en ligne (http://ranatoad.blogspot.fr/2013/01/angle-mort-dingrid-astier.html)] (page consultée le 3 janvier 2016).
  34. Voir la fin de l’interview du 27 avril 2015 : http://www.lecteurs.com/article/rencontre-avec-ingrid-astier-amoureuse-de-limaginaire/2442127 (page consultée le 3 janvier 2016).
  35. Gaël Golhen, « L’interview fissa Ingrid Astier », Technikart, n° 138, décembre 2009-janvier 2010, p. 101.
  36. Christophe Laurent, « Ingrid Astier : 1ère Seine de crime », Nice Matin, dimanche 21 février 2010. Plus loin, le journaliste écrit encore : « les détails l’obsèdent, chez un parfumeur comme chez un flic de la brigade fluviale ».
  37. Sébastien Lapaque, « La Seine de crime, Ingrid Astier, un premier roman noir nocturne, fluvial et parisien », Le Figaro littéraire, jeudi 14 janvier 2010.
  38. « J’éventre le réel », Entretien avec François Perrin, Standard, n° 26, janvier février mars 2010, p. 182.
  39. Cet aspect est longuement abordé dans le reportage d’Hubert Artus dans Lire : « À 70 km/h, l’Hélios ne glisse pas sur la Seine. En cette nuit froide et venteuse de février, il la pénètre, bondit et rebondit. Il est vingt-deux heure trente, et le Zodiac de « la Fluv » effectue sa première ronde de la nuit, entre les abords de Boulogne-Billancourt et ceux de Maisons-Alfort. Un parcours qu’Ingrid Astier connaît aussi bien que le brigadier-chef qui tient la barre : voilà des années qu’elle sillonne la Seine, sur ses berges en vélo d’abord, puis au côté de la Brigade fluviale de Paris, celle-là même qui œuvre dans ses premiers romans publiés dans la Série Noire. Elle a déjà rencontré chacun des douze hommes de garde cette nuit-là, au QG du quai Saint-Bernard — elle est d’ailleurs arrivée avec une galette des rois pour ce nouveau rendez-vous avec eux. Elle reconnaît le bruit et la puissance de toutes les embarcations, y compris celui de L’Île-de-France, ce remorqueur-pousseur à bord duquel s’effectue la deuxième ronde de nuit. » p. 43.
  40. « La Seine de crime, Ingrid Astier, Un premier roman noir, nocturne, fluvial et parisien », par Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire, jeudi 14 janvier 2010.
  41. « Ce baiser insensé entre le réel et l’imaginaire », Le Magazine littéraire, p. 79.
  42. Gaël Golhen, « L’interview fissa Ingrid Astier », Technikart, n° 138, décembre 2009-janvier 2010, p. 101.
  43. Emmanuelle Fabre, « Ingrid Astier distinguée au festival Blues et Polar », La Provence, dimanche 26 août 2012 : « Ingrid Astier a reçu le prix décerné par Blues & Polar et le club de la Presse Marseille Provence Alpes du Sud, des mains d’Isabelle Staes, journaliste de France 2. »
  44. « Le bon, la belle et le truand », par Didier Hassoux, Le Canard enchaîné, Lettres ou pas Lettres, 98e année, n° 4814, 30 janvier 2013, p. 6.
  45. « Trois ans d’enquête pour un polar », par Jean Morizot, Le Parisien, mardi 3 décembre 2013.(http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/trois-ans-d-enquete-pour-un-polar-03-12-2013-3371363.php)
  46. Rébecca Pinos dit que cette construction en trompe-l’œil est « un hommage à son frère (le livre lui est dédicacé) et à ses tours de magie qui ont bercé son enfance bourguignonne » dans l’article « Dans l’obscurité de l’Angle mort », Bourgognes cultures plus, n° 1, juillet-août 2013, p. 30.
  47. Alain Léauthier, « Ingrid Astier : « J’ai un imaginaire d’Ogre » », mardi 29 janvier 2013 [lire en ligne (http://www.marianne.net/blv-du-crime/Ingrid-Astier-J-ai-un-imaginaire-d-Ogre_a12.html)], sur le site marianne.net (page consultée le 3 janvier 2016).
  48. « Trois ans d’enquête pour un polar », par Jean Morizot, Le Parisien, mardi 3 décembre 2013.
  49. « Elle a infiltré le monde des flics… et celui des voyous », par Catherine Balle, Aujourd’hui en France, jeudi 24 janvier 2013, p. 31.
  50. « Le bon, la belle et le truand », par Didier Hassoux, Le Canard enchaîné, Lettres ou pas Lettres, 98e année, n° 4814, 30 janvier 2013, p. 6.
  51. Roger Martin, « Aubervilliers, côté crime : quand la casse se paie à prix de plomb », L’Humanité, n° 21147, jeudi 11 avril 2013, p. 14. « Ingrid Astier a trente-sept ans, elle est française. Son roman, magistral, évoque pourtant les chefs-d’œuvre du cinéma américain noir des années quarante… »
  52. Le Grand Livre du Mois, « Angle mort, La nouvelle magicienne du polar français », L’Actu littéraire, Actu suspense, décembre 2012, p. 36.
  53. Ondine Millot, dans le cahier Livres, Libération, n° 10546, jeudi 16 avril 2015, p. IV, écrit : « Ingrid Astier, auteur de deux remarquables polars, se lance avec grâce dans la littérature jeunesse et le roman des tourments amoureux adolescents. » Sandrine Mariette, dans « Des grands pour les petits », Elle, n° 3622, semaine du 29 mai 2015, p. 50, note : « Ingrid Astier, fine plume de la Série noire, flashe les émotions dans une prose à vif. Sensations fortes garanties. » M.R., dans « Bons et mauvais sentiments », Le Figaro Magazine, « Quartiers libres », n° 22040 et 22041 des 19 et 20 juin 2015, p. 102, décrète : « Tout en émotions bouillonnantes et suivant le rythme effréné d’une course à travers l’île, Ingrid Astier plonge le lecteur dans le méandre des sentiments adolescents. » François Julien, dans « En librairie, plus c’est grand, plus on aime ! » », VSD, n° 1989, du 8-14 octobre 2015, p. 69, écrit : « Après le noir et l’érotisme, la belle se lance avec brio dans le roman initiatique. »
  54. F.D., « Éducation sentimentale », Le Figaro littéraire, En vue littéraire, n° 22 003, Cahier n° 4, jeudi 7 mai 2015, p. 7.
  55. (http://www.lecteurs.com/article/rencontre-avec-ingrid-astier-amoureuse-de-limaginaire/2442127).
  56. « Quelques questions à Ingrid Astier », Les Nouvelles de Saône-et-Loire, n° 3199, samedi 16 mai 2015, p. 6.
  57. François Busnel, « Puissances de la nuit », L’Express, Le Livre, n° 3303, 22-28 octobre 2014, p. 110.
  58. Sophie Nauleau, Ça rime à quoi, France Culture, « Ingrid Astier pour Petit éloge de la nuit », 19 octobre 2014, http://www.franceculture.fr/emission-ca-rime-a-quoi-ingrid-astier-pour-%C2%AB-petit-eloge-de-la-nuit-%C2%BB-2014-10-19
  59. Le lancement eut lieu le jeudi 6 novembre 2014.
  60. (https://www.youtube.com/watch?v=rpFQYS4FVlE).
  61. (http://caen.fr/communiques/epoque-1ere-edition-salon-livre-2015-caen-demandez-programme sur le site caen.fr) (page consultée le 3 janvier 2016).
  62. Avec des photographies de la lecture (https://www.facebook.com/permalink.php?id=686310791474457&story_fbid=706233319482204).
  63. (http://ranatoad.blogspot.fr/2013/01/angle-mort-dingrid-astier.html).
  64. (http://www.m-e-l.fr/ingrid-astier,ec,748).
  65. « Prix polar en plein cœur 2010 », sur k-libre.fr (consulté le )
  66. Jean-Pierre Perrin, « Les armes de leur vie », sur www.liberation.fr, (consulté le )
  67. Maryan Charruau, « Bon-Encontre : Ingrid Astier prix 2013 Calibre 47 - Nicoby prix Polar-Encontre et Eloïse Varin prix "Plumes Noires" " Sud Ouest" », sur Sud Ouest, (consulté le )