Portail:Histoire militaire de la Belgique/Bac à sable

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Histoire militaire de Bruxelles[modifier le code]

L’Histoire militaire de Buxelles est l'ensemble des faits de l'histoire militaire européenne qui se déroulèrent sur le territoire ou impliquèrent Bruxelles, la capitale de la Belgique de sa fondation à la Seconde Guerre mondiale en passant par les temps historiques qui précédèrent l'indépendance de la nation belge (1830).

Généralités[modifier le code]

Avant 1914[modifier le code]

Avant 1830[modifier le code]

Bombardement de Bruxelles de 1695

Indépendance belge[modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier le code]

1940 et l'occupation allemande[modifier le code]

Libération (septembre 1944)[modifier le code]

Communes périphériques de Bruxelles Ville[modifier le code]

Etterbeek[modifier le code]

Evere[modifier le code]

Schaerbeek[modifier le code]

Patrimoine militaire[modifier le code]

Bruxelles est devenue dépositaire de l'histoire militaire de la Belgique avec la fondation du Musée royal de l'armée et de l'histoire militaire.

Notes et références[modifier le code]

Notes[modifier le code]

Références[modifier le code]

Voir aussi[modifier le code]

Articles connexes[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

Militaires hollando-belges dans les guerres de la Révolution française et du Premier Empire[modifier le code]

Les « Pays-Bas » à la fin du XVIIIème siècle[modifier le code]













Annexion française des Pays-Bas belgiques[note 1] autrichiens et de la Principauté de Liège et proclamation de la République batave[modifier le code]










Sous l'Empire[modifier le code]

Au service de la France[modifier le code]

L'armée du Royaume de Hollande.
Grande Armée
  • Gardes d'honneur de la Garde impériale
  • 112e régiment d'infanterie de ligne

1803 : 112e demi-brigade reformée en septembre, elle est constituée de troupes belges (volontaires et conscrits flamands, wallons et bruxellois) sous l'appellation de 112e régiment d'infanterie de ligne de l'Empire. Le régiment se couvre de gloire durant les différentes campagnes napoléoniennes : 1793: Nerwinden, Hondschoote, and Wattignies 1794: Maubeuge, Le Quesnoy, Valenciennes, Conde, Sprimont, and Aldenhoven 1807: Volona and Col de Tarvis 1808: La Fluvia, Cardedeu, and Molins-del-Rey 1809: Valls, Raab, and Wagram 1813: Mersebourg, Lutzen, Bautzen, Loewenberg, Goldberg, Katzbach, Leipzig, and Hanau 1814: Fere-Champenoise

Jacques Boudin de Tromelin

  • Chevau-légers d'Arenberg

27e régiment de chasseurs à cheval





Au service des Alliés[modifier le code]

Autriche










La situation en 1814 après l'abdication de Napoléon Ier[modifier le code]







Les Cent-Jours[modifier le code]

Les Hollandos-belges dans l'armée alliée en 1815[modifier le code]

Les Hussards de Croy

Personnalités militaires belgo-hollandaises pendant les guerres de la Révolution et de l'Empire[modifier le code]

Au service des Alliés[modifier le code]

Au service de la France[modifier le code]

La création de l'armée belge (1830)[modifier le code]







Bibliographie[modifier le code]




Articles connexes[modifier le code]




Liens externes[modifier le code]

Les Hollando-belges dans les armées françaises[modifier le code]

Planche uniformologique

Les Hollando-belges dans les armées alliées[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

Notes[modifier le code]

Références[modifier le code]

Docu et matos[modifier le code]

Belges au service de la France
Varia

Histoire des fortifications et places-fortes de Belgique[modifier le code]

Histoire des fortifications en Belgique[modifier le code]

Les « Lignes de Brabant » au siècle de Louis XIV[modifier le code]

Les fortifications hollandaises (1815-1830)[modifier le code]

Les forts de la Belgique indépendante (1830-1914)[modifier le code]

Les leçons de la guerre franco-allemande de 1870.

Liège[modifier le code]

Citadelle[modifier le code]

Forts du XIXème siècle[modifier le code]

Huy[modifier le code]

Namur[modifier le code]

Citadelle[modifier le code]

Forts[modifier le code]

Dinant[modifier le code]

Anvers[modifier le code]

Vue de la citadelle d'Anvers après le bombardement de 1832 (Musées royaux des beaux-arts de Belgique)

Citadelle[modifier le code]

Forts[modifier le code]

Fortifications dans les conflits du XXème siècle[modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier le code]

La chute des forts belges en 1914
Fortifications et batteries côtières allemandes

Les Allemands vont puissamment fortifier le littoral belge entre Lombardsijde et Knokke et installer de nombreuses batteries d'artillerie côtières dans le secteur.

Fortifications de campagne allemandes

Fort d'Eben-Emael[modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier le code]

La ligne KW
Prise du fort d'Eben-Emael
Brûly-de-Pesche
Camp de concentration du Fort de Breendonk
Fortifications côtières allemandes

Articles connexes[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

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Notes[modifier le code]

Références[modifier le code]

Docu et MATOS[modifier le code]

Campagnes et batailles de Belgique avant 1830[modifier le code]

« La Belgique est l'une des « terres de batailles » de la vieille Europe. Placée à la charnière de deux mondes et à un carrefour géographique important, elle a vu, tout au long de son histoire s'affronter, les armées étrangères »

— Note de l'Éditeur, Belgique des champs de bataille[note 1]

  1. Joseph Delmelle : Belgique des champs de bataille, Nouveaux Guides Rossel, Bruxelles 1976 (ISBN 9782801100998)