Ceci est une version archivée de cette page, en date du 12 janvier 2022 à 00:16 et modifiée en dernier par Cadanais(discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Il est notamment responsable de Sud Ouest Dimanche de 1979 à 1989, puis rédacteur en chef de Sud Ouest jusqu’en 2000. Il participe également en 1979 au lancement des Cahiers de la corrida, une revue de tauromachie, sujet qui le passionne.
Membre du conseil d'administration de l'association depuis sa création, Pierre Veilletet a été président de Reporters sans frontières, réélu en 2007 pour un mandat de deux ans[4].
En 2008, il est un des signataires de l'« Appel en faveur d’une charte et d’une instance pour l’éthique et la qualité de l’information »[6].
Il est le premier dans la presse française à avoir employé l'expression "Fracture sociale" dans un article du 30 août 1981 consacré à Mitterrand:
Illustration de l'article de mai 1981
L’espérance de cet été-là était gigantesque, parce que la résistance avait été gigantesque et gigantesque aussi la fracture sociale qui, fatalement, s’ensuivrait[7].
Hommage
La bibliothèque du quartier de Caudéran à Bordeaux, inaugurée le , porte son nom[8].
Œuvres
1986 : La Pension des nonnes (prix François-Mauriac), Éditions Arléa, publié chez Arléa poche en 1996
1988 : Mari-Barbola (prix Jacques-Chardonne), Arléa. Publié chez Presses Pocket en 1992.
1989 : Bords d’eaux, 1989, prix Jean-Jacques-Rousseau, Arléa poche, 1999