Discussion:Han Suyin/Archive 1

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Présence de copie ci-après: « Han Suyin a accédé à la notoriété internationale en écrivant des livres en anglais, en français et en chinois, consacrés pour la plupart à la Chine et en conquérant des millions de lecteurs. Dans ces différents romans, elle parle du choc des civilisations asiatiques et anglo-saxonnes, confrontation qu'elle vivait en permanence, elle, la métisse, doublée de sa condition de femme. Elle décrit la société chinoise, celle des traditions, la confrontation de ce monde suranné, si élégant, envoûtant mais injuste envers les plus humbles. C'est peut-être pour cette raison, et pour avoir rencontré Zhou Enlai, qu’elle a suffisamment apprécié pour lui consacrer un livre, que l’Occident lui reprocha de s’être laissé entraîner dans un maoïsme à tout crin[1]. »

  1. Biographie de Han Suyin L'Express Culture

Langladure (d) 6 octobre 2012 à 04:15 (CEST)[répondre]

En fait, il se pourrait très bien que la recopie se soit faite dans le sens inverse de celui que vous subodorez. Autant virer ce paragraphe douteux qui traîne dans l'article depuis avant mon intervention. --Elnon (d) 6 octobre 2012 à 04:28 (CEST)[répondre]
Je ne subodore rien, je constate. Il n'est pas question de « virer » son supposé engagement politique vers le maoisme. Langladure (d) 6 octobre 2012 à 04:32 (CEST)[répondre]
Vous êtes bien rapide à supprimer toute référence à ce passage Émoticône. Langladure (d) 6 octobre 2012 à 04:35 (CEST)[répondre]
On n'est jamais trop prudent en matière de copyvio (si c'en est un). Cette fiche de L'Express est anonyme et non datée, elle a pu être fabriquée à partir de la page de WP.
Han Suyin « maoïste », bien sûr, et doublée d'une « nationaliste » (par son premier mari)... Peut-être même un des 20 000 gardes-rouges accourus au Tibet depuis Pékin. --Elnon (d) 6 octobre 2012 à 04:54 (CEST)[répondre]
Vous vous spécialisez dans les écrivains défenseurs de la Révolution culturelle. Ah nostalgie... Langladure (d) 6 octobre 2012 à 05:09 (CEST)[répondre]
Encore une interprétation personnelle et hilarante de votre part... --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 10:24 (CET)[répondre]
L'analyse de l'historique montre qu'il ne s'agit pas d'un copyvio (par contre, ce n'est pas sourcé). Par ailleurs, le site de l'express est visiblement écrit par des contributeurs inscrit sur le site de l'express, un fonctionnement qui doit en inciter certains à reprendre les pages de WP. --Rédacteur Tibet (d) 8 octobre 2012 à 19:23 (CEST)[répondre]

Qualité des sources[modifier le code]

Elnon, puisque vous évoquez ci-dessus la qualité des sources, ne pensez vous pas que celle-ci pose problème, il est indiqué que c'est Michel qui l'a rédigé, je doute de sa valeur encyclopédique :

« Ascendance maternelle de Han Suyin (Rosalie Tchau) et de Yvonne Paquet, sur le site myheritageimages.com, juin 2009 ». Langladure (d) 6 octobre 2012 à 05:22 (CEST)[répondre]

Non adhésion au parti communiste chinois[modifier le code]

Elnon, de nombreuses sources indiquent que Han n'a pas adhéré au parti communiste chinois. Malgré celles ci, vous vous acharnez à supprimer ces passages, je ne sais pour quelles raisons, Votre décision, de supprimer cette mention pose un problème de neutralité. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 01:34 (CET)[répondre]

Vous semblez croire que Han Suyin a vécu toute sa vie en Chine, or elle la quitte en 1944 pour aller à Londres y poursuivre ses études de médecine, puis en 1949, elle gagne la colonie britannique de Hong Kong. En 1952, elle épouse le Britannique Leon Comber et le suit en Malaisie. En 1956, elle obtient un visa pour retourner en Chine voir sa famille. En d'autres termes, elle n'a plus la nationalité chinoise (plusieurs sources lui donnent en fait la nationalité britannique). Alors comment pourrait-elle adhérer au parti communiste chinois alors que de 1944 à sa mort en 2012, elle vit à l'étranger ?
Autre point : vous avez ajouté « Ses œuvres ne seront jamais publiées en Chine », affirmation pour le moins vague qui semble procéder du même raisonnement concernant sa nationalité. Voulez-vous dire par là que depuis Destination Tchoungking en 1942 jusquà nos jours, aucune maison d'édition chinoise n'a voulu publier Han Suyin ? Certaines sources journalistiques peuvent contenir des affirmatons douteuses, il est préférable de les vérifier avant de les reprendre (ou non). --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 08:35 (CET)[répondre]
Concernant sa non adhésion au parti communiste, vos explications relèvent d'interprétation personnelle. Vous mélangez beaucoup de chose, le parti communiste n'a pas été créé en 1944. Évitez ces spéculations personnelles, appuyez vous sur les sources.Langladure (d) 6 novembre 2012 à 08:58 (CET)[répondre]
Après avoir supprimer ce passage, vous venez de le signaler en code problème. Je vous invite à venir en discuter ici, et ne pas engager une guerre d'édition. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:36 (CET)[répondre]
Bien sûr, avec « son mari qui est un des disciples de Sun Yat Sen et sert en tant qu'officier puis général dans l'armée nationaliste », elle aurait pu adhérer au parti communiste chinois ! Un beau sujet de roman ! --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 09:38 (CET)[répondre]
Mais soyez sérieux, que vient faire ici son mari, vraiment vous êtes désespérant. Il existe des multitudes de sources indiquant que Han n'a pas adhéré au PC chnois, pourquoi vous voulez supprimer ce passage? Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:41 (CET)[répondre]
Vous ne changez pas ! Indiquez donc « vos multitudes de sources » (« une multitude de sources » c'est beaucoup, mais « des multitudes de sources », ça doit être une avalanche. --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 10:15 (CET)[répondre]

Suppression d'une critique[modifier le code]

Elnon, vous inscrivez le passage, ci-après en code problème, en quoi celui-ci devrait être supprimé (si c'est bien votre objectif) ? :

«  Patrick French écrit que dans les années 1960 et 70, les sympathisants communistes venaient visiter le Tibet en se félicitant de la politique qu'y menait Pékin. Jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Cette situation a conduit à la publication[Passage problématique] d’ouvrages, que Patrick French qualifie de honteux tellement ils sont mensongers, dont l'ouvrage Lhassa étoile fleur de Han Suyin publié en 1976[1],[2]. »
  1. Patrick French : Tibet, Tibet Une histoire personnelle d'un pays perdu, traduit de l'anglais par William Oliver Desmond, Albin Michel, 2005, pp. 83 et 294.
  2. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte » (traduit en français sous le titre Lhassa étoile-fleur).
  3. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 02:46 (CET)[répondre]

    Pourquoi parlez-vous de suppression ? Rien dans mes remarques dans la boîte de résumé ne le laisse penser. Il s'agit simplement d'adapter à la présente page ce copié-collé déjà présent dans trois autres pages (ici, et encore là), ce qui donnerait :
    « Pour l'écrivain britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, Lhassa étoile- fleur, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait (jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin). » --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 07:46 (CET)[répondre]
    Votre rédaction modifie le sens de la phrase. Je vérifierais à l'occasion les dires exacts de French. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:02 (CET)[répondre]
    J'ai remis en ordre l'avis de French sur Han et complété la citation :
    « L'historien britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, indique que jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Lhassa ville ouverte, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait[1]. »
    1. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte. Les « amis étrangers » se voyait accablés de statistiques douteuses et escortés pour une brève excursion potemkisée par des responsables du Parti qui les conduisaient dans une ferme modèle, un hopital modèle. D'anciens « serfs » étaient toujours là, disposés à raconter des histoires terribles sur les maux qu'ils avaient soufferts sous l'ancien régime » (Lhassa, ville ouverte traduit en français sous le titre de Lhassa étoile-fleur).
    2. . Langladure (d) 6 novembre 2012 à 13:08 (CET)[répondre]

      Bel effort. Mais c'est accorder trop d'importance à l'avis de ce polémiste peu notoire.--Elnon (d) 6 novembre 2012 à 13:26 (CET)[répondre]
      Merci. Par contre votre qualificatif de polémiste vous est personnel. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 14:55 (CET)[répondre]
      French étant un historien, son avis est notoire. La lecture de son ouvrage montre une certaine neutralité dans ses écrits. Cela n’exclut pas des erreurs de jugement de sa part. En l’occurrence, il n'est pas le seul à exprimer cet avis critique, et sauf erreur, cette critique n'a pas été réfutée. Par contre, laisser dans l'intro "Elle sera critiquée, selon l'AFP par les adversaires du régime chinois" est discutable... --Rédacteur Tibet (d) 7 novembre 2012 à 12:31 (CET)[répondre]

      Publication en Chine ?[modifier le code]

      Autre point : vous avez ajouté « Ses œuvres ne seront jamais publiées en Chine », affirmation pour le moins vague qui semble procéder du même raisonnement concernant sa nationalité. Voulez-vous dire par là que depuis Destination Tchoungking en 1942 jusquà nos jours, aucune maison d'édition chinoise n'a voulu publier Han Suyin ? Certaines sources journalistiques peuvent contenir des affirmations douteuses, il est préférable de les vérifier avant de les reprendre (ou non). --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 08:35 (CET)[répondre]

      Je suis aussi trés étonné de cette non publication en Chine. Mais la censure en Chine a sa propre logique. Si vous avez des sources mentionnant une publication, il faut la présenter. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:13 (CET)[répondre]
      L'article de l'AFP dit :
      « Dès lors, vivant le plus souvent à HongKong et mariée -une troisième fois- avec un ingénieur indien, Vincent Ruthnaswany, ayant renoncé à la médecine, elle s'attache, tant dans ses écrits que ses prises de parole, à montrer les progrès "éclatants", à son sens, de la Chine populaire, où elle vit quatre mois par an. Mais ses oeuvres n'y sont jamais publiées. »
      D'après le contexte, « Mais ses oeuvres n'y sont jamais publiées » renvoie à une période précise. Or vous avez sorti la phrase de son contexte temporel (en plus de mettre le verbe au futur), ce qui fait que l'on risque de comprendre que Han Suyin est aujourd'hui interdite en Chine (vous parlez d'ailleurs de « censure » ci-dessus). Je vous laisse le soin de trouver une solution. --Elnon (d) 9 novembre 2012 à 11:10 (CET)[répondre]

      Introduction neutralité[modifier le code]

      Laisser dans l'intro "Elle sera critiquée, selon l'AFP par les adversaires du régime chinois" est discutable... --Rédacteur Tibet (d) 7 novembre 2012 à 12:31 (CET)

      Je reprend ci dessus la remarque concernant l'intro. Cette rédaction laisse penser que les auteurs des critiques se limitent aux opposants, ce qui ne correspond pas aux sources. Langladure (d) 9 novembre 2012 à 10:45 (CET)[répondre]
      Je m'en tiens à ce que dit la source (l'article de l'AFP) :
      « Si pour beaucoup, elle fut un "pont nécessaire", une "ambassadrice de charme", Han Suyin fut très critiquée par les adversaires du régime pour avoir tenté de justifier le "Grand Bond en avant", terriblement meurtrier, à la fin des années 50, et la "révolution culturelle" des années 60. »
      J'ai cependant ajouté « notamment » afin qu'éventuellement vous puissiez mentionner des critiques ne venant pas d'adversaires du régime. --Elnon (d) 9 novembre 2012 à 11:00 (CET)[répondre]
      Je complèterai donc l'introduction. Langladure (d) 9 novembre 2012 à 11:57 (CET)[répondre]

      Suppression de critiques[modifier le code]

      Elnon, vous inscrivez le passage, ci-après en code problème, en quoi celui-ci devrait être supprimé (si c'est bien votre objectif) ? :

      «  Patrick French écrit que dans les années 1960 et 70, les sympathisants communistes venaient visiter le Tibet en se félicitant de la politique qu'y menait Pékin. Jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Cette situation a conduit à la publication[Passage problématique] d’ouvrages, que Patrick French qualifie de honteux tellement ils sont mensongers, dont l'ouvrage Lhassa étoile fleur de Han Suyin publié en 1976[1],[2]. »
      1. Patrick French : Tibet, Tibet Une histoire personnelle d'un pays perdu, traduit de l'anglais par William Oliver Desmond, Albin Michel, 2005, pp. 83 et 294.
      2. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte » (traduit en français sous le titre Lhassa étoile-fleur).
      3. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 02:46 (CET)[répondre]

        Pourquoi parlez-vous de suppression ? Rien dans mes remarques dans la boîte de résumé ne le laisse penser. Il s'agit simplement d'adapter à la présente page ce copié-collé déjà présent dans trois autres pages (ici, et encore là), ce qui donnerait :
        « Pour l'écrivain britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, Lhassa étoile- fleur, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait (jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin). » --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 07:46 (CET)[répondre]
        Votre rédaction modifie le sens de la phrase. Je vérifierais à l'occasion les dires exacts de French. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:02 (CET)[répondre]
        J'ai remis en ordre l'avis de French sur Han et complété la citation :
        « L'historien britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, indique que jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Lhassa ville ouverte, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait[1]. »
        1. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte. Les « amis étrangers » se voyait accablés de statistiques douteuses et escortés pour une brève excursion potemkisée par des responsables du Parti qui les conduisaient dans une ferme modèle, un hopital modèle. D'anciens « serfs » étaient toujours là, disposés à raconter des histoires terribles sur les maux qu'ils avaient soufferts sous l'ancien régime » (Lhassa, ville ouverte traduit en français sous le titre de Lhassa étoile-fleur).
        2. . Langladure (d) 6 novembre 2012 à 13:08 (CET)[répondre]

          Bel effort. Mais c'est accorder trop d'importance à l'avis de ce polémiste peu notoire.--Elnon (d) 6 novembre 2012 à 13:26 (CET)[répondre]
          Merci. Par contre votre qualificatif de polémiste vous est personnel. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 14:55 (CET)[répondre]
          French étant un historien, son avis est notoire. La lecture de son ouvrage montre une certaine neutralité dans ses écrits. Cela n’exclut pas des erreurs de jugement de sa part. En l’occurrence, il n'est pas le seul à exprimer cet avis critique, et sauf erreur, cette critique n'a pas été réfutée. Par contre, laisser dans l'intro "Elle sera critiquée, selon l'AFP par les adversaires du régime chinois" est discutable... --Rédacteur Tibet (d) 7 novembre 2012 à 12:31 (CET)[répondre]
          Elnon, après avoir décidé ci dessus de modifier le point de vue de Patrick French sur Han Suyin, vous supprimez maintenant trois autres points de vue parfaitement sourcés ici, puis un autre point de vue ici. A ce rythme, il ne va plus rien rester d'ici quelques années ? Émoticône. Langladure (discuter) 26 novembre 2014 à 21:08 (CET)[répondre]
          Ces « points de vue » sont en fait une liste d'appellations redondantes :
          • « sympathisante du communisme chinois »,
          • « défenseur de la Chine rouge »,
          • « propagandiste notoire... de la Chine maoïste »,
          • « flagorneuse démodée »,
          • « voix de la Chine »,
          liste qui ne vise qu'à fustiger encore et encore l'auteur là où une mention neutre, non redondante, de son engagement pour la Chine de l'époque suffirait. J'ai du mal à imaginer une encyclopédie traditionnelle qui gâcherait du papier pour mettre une telle litanie répétitive de commentaires dénigrants voire insultants confinant au règlement de compte et pour tout dire relevant d'un manque de discernement encyclopédique déplorable. On peut certainement faire mieux, n'est-ce pas, Langladure ? --Elnon (discuter) 27 novembre 2014 à 10:15 (CET)[répondre]
          Effectivement les engagements politiques de cette écrivaine ont provoqué des commentaires critiques de nombreux auteurs de tout horizon. Il est certainement possible de synthétiser ces critiques mais delà à les supprimer d'autorité. Langladure (discuter) 27 novembre 2014 à 13:39 (CET)[répondre]
          Je vous remercie de votre remarque constructive. Si vous voulez vous charger, quand vous aurez le temps ou l'occasion, de neutraliser et d'améliorer cette section, je n'y vois aucun inconvénient. --Elnon (discuter) 27 novembre 2014 à 13:52 (CET)[répondre]

          « Han Suyin est non pas historienne mais militante politique »[modifier le code]

          Notification Langladure : - Vous affirmez que Han Suyin est non pas historienne mais militante politique. Je ne sais pas où vous avez lu cela mais plusieurs sources anglophones et non des moindres (des encyclopédies) la qualifient d'« historienne », ainsi la référence suivante :

          • (en) Encyclopedia of Post-Colonial Literatures in English (ss la dir. de Eugene Benson, L.W. Conolly), Routledge, 2004, 1730 pages, p. 1126 : « Han Suyin (1917- ) / Hong Kong novelist, historian. [...] ».

          Pour rabaisser cette grande dame, il vous faudra donc repasser. --Elnon (discuter) 22 juillet 2016 à 02:20 (CEST)[répondre]

          Bonjour Elnon, il n'existe pas, à ma connaissance, de comptes rendus d'ouvrages d'Han Suyin publiés dans des revues savantes à comité de lecture. Mais vous avez raison l'usage et les sources, permettent de lui décerner ce titre. Et libre à vous de qualifier de « grande dame », cette personnalité qui a soutenu une dictature avec ses millions de morts. Langladure (discuter) 22 juillet 2016 à 04:44 (CEST)[répondre]
          « Grande dame », qui plus est en français dans le texte, est le qualificatif qu'emploie le journaliste britannique John Gittings dans la notice nécrologique qu'il consacre à Han Suyin dans The Guardian. Je ne vois donc pas pourquoi je devrais m'abstenir d'en faire usage. --Elnon (discuter) 23 juillet 2016 à 16:17 (CEST)[répondre]
          Oui, on se demande pourquoi. Émoticône Langladure (discuter) 23 juillet 2016 à 17:09 (CEST)[répondre]

          Liens entre Simon Leys et Han Suyin[modifier le code]

          Elnon vous avez inséré ici, un commentaire sur les liens entre Simon Leys et Han Suyin, indiquant :

          « L'écrivain et sinologue Simon Leys, qui, grâce à Han Suyin, avait pu étudier et enseigner en chinois à l'université de Nanyang à Singapour, écrivait à son propos : «  Jamais autorité plus durable n'a été fondée sur un propos plus changeant ; la seule constante de cette œuvre tient dans la constance avec laquelle les événements ont à chaque tournant démenti ses analyses et pronostics[1]. »

          Ce signalement laisse suggérer une ingratitude de la part de Simon Leys à l'égard de Han Suyin. Or le revirement de Leys est lié selon lui à l'attitude de Han Suyin qui insulta un ami de Leys en la personne de Jean Pasqualini. J'ai donc insérer ce point de vue de Leys, à la suite d'ailleurs du texte d'Harry Wu concernant le laogai :

          « Simon Leys rapporte que lors d'une émission de télévision, Han Suyin insulta Jean Pasqualini, auteur de Prisonnier de Mao. Sept ans dans un camp de travail en Chine, en indiquant qu'il avait mérité ces années de laogai. Simon Leys qui, grâce à Han Suyin, avait pu étudier et enseigner en chinois à l'université de Nanyang à Singapour, considéra cet incident comme un casus belli entre eux et décida de ne plus ménager ses critiques à son égard[2],[3]. »

          Je n'ai donc pas supprimé votre ajout, comme vous l'indiquez ici, mais je l'ai complété avec les explications de Leys sur sa conduite à l'égard de Han Suyin. Et j'ai conservé votre choix de source avec le sinologue Philippe Paquet. Langladure (discuter) 22 juillet 2016 à 11:45 (CEST)[répondre]

          1. Simon Leys, « Han Suyin : l'art de naviguer », dans Essais sur la Chine, Robert Laffont, « Bouquins », 1998, p. 703-704.
          2. Philippe Paquet, Le sinologue belge Simon Leys est décédé, La Libre.be, 11 août 2014 : « Il étudia et enseigna en chinois à Singapour grâce à Han Suyin ».
          3. Philippe Paquet Simon Leys : navigateur entre les mondes février 2016
          J'ai bien vu, merci.--Elnon (discuter) 22 juillet 2016 à 12:55 (CEST)[répondre]

          Son interview sur Apostrophes[modifier le code]

          Le passage sur Apostrophes me semble pertinent pour la page. Je le replace en pdd pour discuter d'un paragraphe à créer :

          Le 12 décembre 1975, un débat opposa Han Suyin à Lucien Bodard dans l'émission Apostrophes de Bernard Pivot. Han Suyin dénonça la fascination « schizophrène » de Bodard pour l'ancienne Chine, tout en louant le modèle économique du Grand Bond en avant créé, selon elle, par de « vrais économistes » pour un pays sous-développé. Ils s'opposent également sur la personnalité de Mao Zedong, celle de l'empereur Puyi, le communisme et ses méthodes, la dictature du prolétariat[1].

          Peut-être "Son interview sur Apostrophes" ? ou ses invitations télévisuelles “Han Suyin.” L'invité du dimanche, Channel 2, 5 January 1969--Rédacteur Tibet (discuter) 22 juillet 2016 à 16:31 (CEST)[répondre]

          Vous voulez rallumer de vieilles querelles sur cette page ? De plus, comme le reconnaît Langladure, la vidéo de l'INA est une source primaire, elle n'est pas exploitable en tant que telle, sauf à trouver un commentaire qu'en aurait fait un sinologue ou un autre spécialiste notoire. Serait-ce la situation dans laquelle vous vous êtes enferré à la page Sonam Gyatso (et pour laquelle j'essaie de trouver une solution) qui vous incite à allumer un contrefeu ici ? --Elnon (discuter) 22 juillet 2016 à 17:10 (CEST)[répondre]
          Où y-a-t-il eu querelle sur ce point ? L'invitation d'Han Suyin dans Apostrophes est notable. Pourquoi le passer sous silence ? (j'ai introduit ce point sur la page [1], il n'y a eu aucune remarque à ma connaissance. Quand à vos procès d'intention ... ce n'est pas le premier que vous me faites ... j'ai appris à ne pas y répondre. ). Remarquez que l'INA n'est pas une source primaire. Cet épisode n'a pas empêcher Han Suyin de revenir dans l'émission où elle est notamment intervenue en 1979, voire en 1986. --Rédacteur Tibet (discuter) 22 juillet 2016 à 17:44 (CEST)[répondre]

          Suppression de critiques[modifier le code]

          Elnon, vous inscrivez le passage, ci-après en code problème, en quoi celui-ci devrait être supprimé (si c'est bien votre objectif) ? :

          «  Patrick French écrit que dans les années 1960 et 70, les sympathisants communistes venaient visiter le Tibet en se félicitant de la politique qu'y menait Pékin. Jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Cette situation a conduit à la publication[Passage problématique] d’ouvrages, que Patrick French qualifie de honteux tellement ils sont mensongers, dont l'ouvrage Lhassa étoile fleur de Han Suyin publié en 1976[2],[3]. »
          1. La Chine d'hier et d'aujourd'hui, INA.
          2. Patrick French : Tibet, Tibet Une histoire personnelle d'un pays perdu, traduit de l'anglais par William Oliver Desmond, Albin Michel, 2005, pp. 83 et 294.
          3. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte » (traduit en français sous le titre Lhassa étoile-fleur).
          4. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 02:46 (CET)[répondre]

            Pourquoi parlez-vous de suppression ? Rien dans mes remarques dans la boîte de résumé ne le laisse penser. Il s'agit simplement d'adapter à la présente page ce copié-collé déjà présent dans trois autres pages (ici, et encore là), ce qui donnerait :
            « Pour l'écrivain britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, Lhassa étoile- fleur, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait (jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin). » --Elnon (d) 6 novembre 2012 à 07:46 (CET)[répondre]
            Votre rédaction modifie le sens de la phrase. Je vérifierais à l'occasion les dires exacts de French. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 09:02 (CET)[répondre]
            J'ai remis en ordre l'avis de French sur Han et complété la citation :
            « L'historien britannique Patrick French, ancien président de l'association Free Tibet Campaign, indique que jusqu’au début des années 1980, personne ne pouvait se rendre au Tibet sans un visa spécial de Pékin. Lhassa ville ouverte, publié en 1976, fait partie de ces ouvrages « honteux tant ils sont mensongers » qu'écrivaient dans les années 1960 et 70 les sympathisants de la Chine communiste qui s'étaient rendus au Tibet et se félicitaient de la politique qu'elle y menait[1]. »
            1. Patrick French, op. cit., p. 294, « ...la publication d’ouvrages aussi honteux tant ils sont mensongers que Tibet transformed de Israel Epstein, When Serfs Stood Up in Tibet de Anna Louise Strong ou au livre au titre carrément ridicule de Han Suyin, Lhassa, ville ouverte. Les « amis étrangers » se voyait accablés de statistiques douteuses et escortés pour une brève excursion potemkisée par des responsables du Parti qui les conduisaient dans une ferme modèle, un hopital modèle. D'anciens « serfs » étaient toujours là, disposés à raconter des histoires terribles sur les maux qu'ils avaient soufferts sous l'ancien régime » (Lhassa, ville ouverte traduit en français sous le titre de Lhassa étoile-fleur).
            2. . Langladure (d) 6 novembre 2012 à 13:08 (CET)[répondre]

              Bel effort. Mais c'est accorder trop d'importance à l'avis de ce polémiste peu notoire.--Elnon (d) 6 novembre 2012 à 13:26 (CET)[répondre]
              Merci. Par contre votre qualificatif de polémiste vous est personnel. Langladure (d) 6 novembre 2012 à 14:55 (CET)[répondre]
              French étant un historien, son avis est notoire. La lecture de son ouvrage montre une certaine neutralité dans ses écrits. Cela n’exclut pas des erreurs de jugement de sa part. En l’occurrence, il n'est pas le seul à exprimer cet avis critique, et sauf erreur, cette critique n'a pas été réfutée. Par contre, laisser dans l'intro "Elle sera critiquée, selon l'AFP par les adversaires du régime chinois" est discutable... --Rédacteur Tibet (d) 7 novembre 2012 à 12:31 (CET)[répondre]
              Elnon, après avoir décidé ci dessus de modifier le point de vue de Patrick French sur Han Suyin, vous supprimez maintenant trois autres points de vue parfaitement sourcés ici, puis un autre point de vue ici. A ce rythme, il ne va plus rien rester d'ici quelques années ? Émoticône. Langladure (discuter) 26 novembre 2014 à 21:08 (CET)[répondre]
              Ces « points de vue » sont en fait une liste d'appellations redondantes :
              • « sympathisante du communisme chinois »,
              • « défenseur de la Chine rouge »,
              • « propagandiste notoire... de la Chine maoïste »,
              • « flagorneuse démodée »,
              • « voix de la Chine »,
              liste qui ne vise qu'à fustiger encore et encore l'auteur là où une mention neutre, non redondante, de son engagement pour la Chine de l'époque suffirait. J'ai du mal à imaginer une encyclopédie traditionnelle qui gâcherait du papier pour mettre une telle litanie répétitive de commentaires dénigrants voire insultants confinant au règlement de compte et pour tout dire relevant d'un manque de discernement encyclopédique déplorable. On peut certainement faire mieux, n'est-ce pas, Langladure ? --Elnon (discuter) 27 novembre 2014 à 10:15 (CET)[répondre]
              Effectivement les engagements politiques de cette écrivaine ont provoqué des commentaires critiques de nombreux auteurs de tout horizon. Il est certainement possible de synthétiser ces critiques mais delà à les supprimer d'autorité. Langladure (discuter) 27 novembre 2014 à 13:39 (CET)[répondre]
              Je vous remercie de votre remarque constructive. Si vous voulez vous charger, quand vous aurez le temps ou l'occasion, de neutraliser et d'améliorer cette section, je n'y vois aucun inconvénient. --Elnon (discuter) 27 novembre 2014 à 13:52 (CET)[répondre]

              Bonjour Elnon, je regrette qu’une nouvelle fois vous supprimiez des analyses et points de vue sur cette écrivaine malgré les multiples échanges effectués sur cette page de discussion. Langladure (discuter) 25 avril 2020 à 11:40 (CEST)[répondre]