Discussion:Dialectes du breton

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Je voulais faire un transfert d'une partie ardue de l'article breton ici, mais en fait le contenu est déjà ici, et en + clair. Filip Phloppe 18 octobre 2006 à 16:42 (CEST)[répondre]

Je donne ce texte ici : Filip Phloppe 19 octobre 2006 à 21:25 (CEST)[répondre]

« «Ce découpage doit cependant être relativisé. En pratique, le domaine bretonnant est constitué de deux centres de prestige archaïsant (Saint-Pol-de-Léon et le vannetais), une troisième zone archaïsante autour de Quimperlé et une vaste zone centrale ou un breton « moyen » s'est formé. Il est fortement probable que ce sont les carrefours de route et les échanges économiques qui ont conduit à cette évolution. Ce breton est parfois appelé « breton de Carhaix ». Ce breton moyen s'est progressivement étendu, isolant le breton du Goëlo (qui par certains traits est proche des archaïsmes léonais), mordant dans le domaine du vannetais en s'infiltrant par les routes.

La très grande majorité des innovations linguistiques se sont opérés dans cette zone centrale.

Le découpage du breton en quatre dialectes, une division religieuse et politique jusqu'à la Révolution, est contestée du point de vue linguistique. On peut en effet considérer que le breton se présente sous deux formes parlées principales, celle du nord-ouest (NO) et celle du sud-est (SE) :

*NO : Cet ensemble se situe au nord-ouest de l'isoglosse séparant la région à accent pénultième quasi-exclusif, de la zone à « accent variable ».

*SE : Zone où l'accent "initial" se manifeste. L'isoglosse mentionnée ci-dessus passe à quelques kilomètres au sud-est de Guingamp (Bourbriac connaît dans certains mots l'accent antépénultième), entre les cantons de Saint-Nicolas-du-Pélem et de Callac, par Rostrenen (laissant Glomel au NO, malgré des exceptions), puis par Gourin vers Scaër et Concarneau.

Cette ligne de fracture se confond presque avec l'autre isoglosse majeure, celle qui sépare les parlers NO, où la palatalisation n'affecte les plosives qu'après les voyelles i et e, de ceux du SE, où la palatalisation est générale en présence de toutes les voyelles d'avant, le chuintement de - s systématique dans st et sk, etc. .»''  »


J'ai lu le texte nouvellement fait sur les dialectes et je ne vois pas du tout la deuxième explication (NO et SE), est-ce un oubli ? De + cette explication faisait partie je crois de la thèse de Jean-Yves Plouris sur le breton de Saint Servais et de Langonnet, qu'il a d'ailleurs ré-expliqué (de façon succinte) dans sa collecte "Tammoù Gwaskin" chez Armeline. (Je commence à me demander si il n'y a pas ici un parti pris pour l'explication de Erwan Valeri). Je préfère poser la question avant d'entreprendre une modification. 89.86.191.147 19 décembre 2006 à 00:56 (CET)[répondre]

Cornouaillais ?[modifier le code]

Le breton de l'île de Sein est parfaitement à part (http://www.radiokerne.bzh/fr/ile-de-sein-12/). Il faudrait préciser que le breton du Cap se différencie assez nettement du cornouaillais plus "standart". La côte de l'Hôpital à Plougastell est très influencée par le léonard. L'Aven est un dialecte complètement à part ! Trop générique tout ça !