Zevs

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Zevs
Zevs (cropped).jpg
Zevs en septembre 2014.
Naissance
Nom de naissance
Aguirre Schwarz[1]
Nationalité
Activité
Mouvement
Œuvres principales
Urban Shadows, Visual Attacks, Visual Kidnapping, Liquidated Logos, Le choc de Vénus

Zevs, né Aguirre Schwarz le à Saverne, est un artiste contemporain de street art français, connu depuis les années 1990. Il vit et travaille entre Paris et Berlin.

Biographie[modifier | modifier le code]

Aghirre Schwarz nait le 17 novembre 1977 à Saverne. Il est le fils de Robert Schwarz et de Nadia Schwarz, tous deux artistes peintres, et le petit fils de Marcel Schwarz décorateur de théâtre.

Zevs débute comme graffeur à Paris dans les années 90, il se fait alors passer pour The Shadow Flasher et The Serial Ad Killer. Son imitation la plus récente et la plus connue, est celle d’Aguirre Schwarz, l’homme derrière les bas en peau de léopard.[Quoi ?] Il doit son prénom au conquérant espagnol joué par Klaus Kinski dans Aguirre, la colère de Dieu.

Le pseudonyme de Zevs - prononcer Zeus - doit son nom à un train qui manque de l’écraser alors qu’il réalisait un tag dans un tunnel du RER A ZEUS, en 1992[2]. Une interprétation complémentaire fait du pseudonyme un acronyme : Zone d'Expérimentation Visuelle et Sonore. En 1998, âgé de vingt ans, Aguirre Schwarz, téléphone à toute une série de galeries d’art parisiennes pour leur poser une seule et même question : « Comment deviens t’on artiste ? ». Les conversations sont enregistrées à l’insu des galeristes et donneront lieu à la première installation sonore de l’artiste sur le questionnement de l’artiste, son identité et sa pratique artistique.

À partir de l’année 1997, Zevs crée ombres électriques. Pour cette série, l’artiste utilise une peinture réfléchissante industrielle conçue pour le balisage routier. Travaillant la nuit, il dessine les ombres portées par le mobilier urbain. Il fige la scène comme une nature morte. En raison de la qualité́ phosphorescente de la peinture, les ombres semblent plus profondes, comme si elles étaient peintes. De jour, seulement le contour demeure. Cette période est documentée dans le film de Banksy Faites le mur ![réf. nécessaire]

À la fin des années 1990, il forme avec Space Invader, un mini collectif : les @nonymous. Duo réalisant de petites vidéos, vandalisant ensemble la ville de Montpellier en août 1999. Alors que son partenaire appose des mosaïques, Zevs surligne les ombres de l'éclairage publique dont l’ensemble des emplacements une fois reliée entre eux dessine une manière de blason-monogramme sur la ville (un nuage orageux dont deux éclairs jaillissent où se lisent le Z, le E, le V et le S). Une présentation du film @nonymous, au cinéma la Clé pour les vingt ans du collectif aura lieu en décembre 2019, à Paris.[Quand ?]

Dès 2001, l’artiste travaille sur ce qu'il appel des « Visual Attacks ». Il vide des bombes de peinture rouge entre les yeux des personnes figurant sur les panneaux publicitaires de différentes villes, afin de donner l’impression qu'ils ont été « liquidés ». Ce travail prendra une nouvelle forme en 2015, sur un buste en bronze de Louis XIV, grâce aux techniques du four solaire du laboratoire Français du CNRS, qui par une concentration de rayons solaires, liquideront le Roi Soleil. Cette œuvre sera notamment présentée lors de sa grande exposition Noir Éclair au Château de Vincennes en 2016[3].

A Berlin, en 2002, Il « prend en otage » l’égérie des cafés Lavazza en enlevant l’affiche de 10 mètres de haut qui trône sur l’hotel Alexander Plaza. « L’otage » sera libéré en 2005, donnant lieu à une remise de rançon au Palais de Tokyo à Paris. Cette œuvre est le point de départ d’une des séries les plus connues de l’artiste : les « Liquidated Logos ». Pour ce faire, l’artiste liquide des logos dans l’espace public, puis peu à peu sur des supports plus traditionnels (toiles, caissons en bois, plaques de métal). L’excès de peinture s’égoutte de chaque lettre en coulure. Graphiquement, ces gouttes produisent un effet « saignant » qui fait écho au jeu de mots « je t’ai liquidé ». Chaque « liquidation » crée ainsi un récit spécifique, lié au contexte associé, à la marque ainsi qu’a la forme originale du logo. Plus tard ces Liquidated Logos seront déclinés en sculptures de bronze ou d’acier.

Zevs est également connu depuis les années 2000 pour ses œuvres dites « Proper Graffiti » réalisées sur les murs sales de différentes villes. Il peint au karcher des messages en nettoyant les surfaces polluées. Il réaliste nottament deux œuvres in situ au Château de Vincennes (2016)[3] et au musée de Ny Glypotheck (2008).

En 2003, Zevs photographie des portraits célèbres à l’aide d’un puissant flash. Bien que surexposés, les sujets restent reconnaissables. En surexposant l’image de la personne, l’artiste vise à interroger ce qui est et ce qui reste en mémoire.

En 2006, Zevs travaille sur une série d’interventions dans l’espace public et en intérieur, à partir d’un pigment luminescent, invisible à la lumière du jour mais dont le graffiti se révèle à la lumière noir, peignant à contre-courant du traditionnel frénétique graffiti crée pour être vu par tous et de loin. Si les œuvres sont multiples, les premières œuvres s’attachent à remplir de pigment les fissures des bâtiments. Une fois allumée, la scène dystopique révèle une ville de science-fiction.

À partir de 2007, débute un travail sur la question de l’original et la copie. Avec sa Joconde et son sac à main, Zevs cherche à recréer les conditions de monstration de l’œuvre originale, au musée du Louvre, tout en nous proposant une réflexion sur la notion de reproduction. Conçue comme une installation, dans une vitrine tendue de velours rouge, renvoyant à la muséographie du XIXe siècle, cette Joconde, peinte par un copiste à l’échelle 1 et pourvue d’un cadre ancien, est présentée avec une sculpture, le moulage en bronze doré d’un sac à main de la marque Vuitton. A la fois unique, par la copie manuelle du tableau, mais multiple, par son tirage en bronze, l’œuvre se présente comme un oxymore. Poussant plus loin sa réflexion sur l’authenticité, l’artiste urbain, qui aime à liquéfier dans la rue les logos des marques de luxe pour dénoncer notre dépendance à leur égard, vient nous révéler l’origine du fameux monogramme de Louis Vuitton. Car celui qui s’affiche sur le sac est, en réalité, forgé d’après le monogramme créé par Léonard de Vinci en 1478 : « LDV ».

Parallèlement, Zevs, toujours présents dans les rues, crée un pinceau « arc en ciel ». Un outil spécifique lui permettant d’utiliser sept bombes de peintures à la fois afin de réaliser une peinture dans un geste rapide directement sur les panneaux d’affichages électriques des Abribus parisiens.

En 2008, il est invité à réaliser sa première exposition personnelle dans un musée : « Electroshock », au Ny Carlsberg Glypotheck de Copenhague.

En 2009, à Hong Kong Aguirre Schwarz est emprisonné, à la suite du vandalisme de la façade de l’immeuble Armani[4].

En 2012 il s’attache à se ré approprier la peinture ancienne dans une série intitulée « Old Masters ». Usant de la sculpture, la peinture et la performance, Zevs revient sur les notions du droit d’auteur et de la paternité d’une œuvre d’art. Une performance au Cabaret Voltaire de Zürich sera le point d’orgue de cette monstration. Les Liquidated Logos et les éclairs dorés s’inscrivent sur ces nus d’Ingres, Rubens … A la fois Hommage et détournement, en jouant avec les notions de la mythologie et son éclair de Zevs en signature.

Parallèlement, il construit une nouvelle entité picturale : « Les Hockney Paintings ». Présentées en 2015, notamment au centre d’art contemporain de Majorque, et à la galerie Rive Gauche, Marcel Strouk à Paris, ces œuvres déclinent le fameux Bigger Splash de David Hockney. Zevs introduit les logos liquidés des compagnies pétrolières sur les villas. La peinture coule et les piscines paradisiaques se substituent à des marées noires. Plus tard, l’équation des Nénuphars apparaitra dans ses eaux usées évoquant l’inextricable croissance exponentielle de l’être sur Terre.

En 2014, sort sa première monographie écrite par Toke Lykkeberg, Zevs : L'exécution d'une image aux éditions Gallimard dans la collection Alternatives.

En 2016, il est invité par le Château de Vincennes à exposer. « Noir Eclair » est la plus importante exposition de l'artiste en France qui a eu carte blanche pour installer ses œuvres dans la forteresse[3]. La même année, il devient le deuxième sponsor artistique de l'AS Velasca[5].

En 2018, dans le cadre de la Nuit Blanche, Zeus investit la Tour Eiffel avec une œuvre originale, Eiffel Phœnix. En s’accaparant le chef d’œuvre de Gustave Eiffel ainsi que son système d’éclairage, ZEVS dans son projet Eiffel Phœnix redistribue le temps, la lumière électrique de la Tour Eiffel et détourne, à dessein, la fonction spectaculaire.[réf. nécessaire]

En 2019, l’artiste est invité à exposer à la Cité Radieuse de Marseille. L’exposition prend la forme d’une réflexion sur l’homme et son habitat propre : Oikos logos. Tout en travaillant in situ avec l’œuvre de Le Corbusier, l’artiste crée une exposition multiforme ou sculpture et peintures s’entrecroisent. Deux ans de travail seront nécessaires à la réalisation de cette exposition qui débutera fin 2021.[réf. nécessaire]

En Février 2020, en plein confinement la galerie Collaborations à Copenhague présente « The Last Cowboy is Dead ». Au travers d’un nuage de fumée dans l’enceinte de la galerie, les œuvres uniquement visibles de l’extérieur donnent à voir la mise en bière du Last Malboro Cowboy. Ce corpus artistique débute à Berlin le 24 décembre 200 par un tir de paintball sur le personnage publicitaire qui surplombe l’usine de Philips Morris. Début 2021, à Majorque, l’artiste crée la chambre funéraire dans l’enceinte du CCA, destinée à accueillir le défunt cowboy. La clé d’entrée de l’exposition, sous la forme d’un QR code sera dévoilée le soir du vernissage. La performance sera retransmise simultanément par les vitrines de la galerie Collaborations et en direct dans le monde entier via Instagram, le neuf février 2021, en dix-sept épisodes. Comme autant de mini-séries qui composent la mise à mort du cowboy sacré, l’entité artistique est dévoilée, laissant le spectateur face à une réflexion sur son propre espace-temps, dans une société mondialement confinée.

Principales œuvres[modifier | modifier le code]

  • Urban Shadows[6] (2000) : où Zevs peint sur le sol, à la manière des silhouettes de cadavres, l'ombre portée par les réverbères du mobilier urbain[7].
  • Visual Attacks (2001) : Zevs exécute des icônes d'affiches publicitaires en bombant un point rouge dégoulinant au milieu du front de ses victimes[8].
  • Visual Kidnapping 2004. Le résultat de ses attaques visuelles étant rapidement détruit par les annonceurs, Zevs décide d'aller plus loin en prenant en otage l'image de l'égérie des cafés Lavazza, qu'il découpe d'une affiche 15 × 15 m sur la Alexanderplatz à Berlin, en y laissant le message « VISUAL KIDNAPPING PAY NOW!!! »[9]. Il présente alors pendant trois semaines la vidéo de l'enlèvement à la Rebell Minds Gallery de Berlin, de laquelle l'affiche découpée est visible. Pendant plusieurs mois, il va tantôt cacher, tantôt exhiber l'otage visuelle, menaçant de l'exécuter. Il va finalement lui couper un doigt qu'il envoie enveloppé de coton au PDG de la société, lui demandant une rançon symbolique de 500 000 euros, du coût approximatif de la campagne publicitaire. Une mise en scène de l'artiste a pu faire croire que Lavazza accepta de la payer sous forme de mécénat auprès du Palais de Tokyo, permettant ainsi à Zevs d'y présenter son œuvre. La cérémonie a eu lieu un premier avril[10].
  • Liquidated Logos[11] (depuis 2006), où il fait fondre ou couler les logotypes de marques omniprésentes en milieu urbain[12]. Cette série d´œuvres est assimilable à du culture jamming. Il est incarcéré à Hong-Kong le pour avoir peint un liquidated logo Chanel sur une boutique Armani[13]. Après une première audience le , il est jugé pour dégradation de propriété le , et condamné à deux semaines de prison avec sursis après avoir nettoyé le mur de la boutique[14],[2].
  • Le choc de Vénus. En 2010, consécutivement au renversement accidentel de la copie de la Vénus d'Arles, une statue située place Zeus à Montpellier, l'auteur s'est emparé de l'évènement pour une mise en scène fluorescente sur les lieux mêmes de l'accident[15].
  • Invisible graffiti 2012. Peintures invisibles à l’œil nu et que seul la lumière noire[16] (ultraviolette) est capable de révéler.
  • Eiffel Phœnix, Nuit Blanche 2018 Détournement du système d’éclairage de la structure dans le but de « redistribuer le temps, la lumière électrique de la tour Eiffel »[17].

Expositions Personnelles[modifier | modifier le code]

  • 2021
    • OIKOS LOGOS, Centre d'art de la Cité Radieuse Le Corbusier, MAMO, Marseille
    • Still Life Locked Room, CCA Andratx Mallorca, Îles Baleares
    • The Last Cowboy Is Dead, Collaboration, Copenhagen
  • 2019
    • Post Contemporary, Museum of Contemporary art, Shanghai
    • Aguirre Schwarz savoure le rouge, New Galerie, Paris
    • Biennale de Lyon (group show)
  • 2018
    • Art From The Streets, Artscience Museum, Singapore , Collective: Curated by Magda Danysz
    • Supreme même, OTI Gallery, Hong Kong
    • Eiffel Phoenix, Tour Eiffel, Paris
  • 2017
    • What's up doc?, New Galerie[18], Collective: Curated by Pierre-Alexandre Mateos and Charles Teyssou, Paris
  • 2016
    • Noir Eclair Château de Vincennes[3]
    • OIL, Lazarides gallery, London
    • Raimbows and shadows, LG Art Center, Séoul, South Korea
  • 2015
    • CCA Andratx[19], Mallorca, Espagne
    • Aguirre Schwarz au pays de l'or noir, Galerie Marcel Strouk[20], Paris
    • ELLE, DeBuck Gallery, New York
  • 2014
    • Zevs, De Buck Gallery, NY, USA
    • Retrovizers, La Vitrine am[21], Paris
  • 2013 :
  • 2012 :
    • Down on Mainstream, Mechelen Cultural Center[23], Belgium
    • YES Liquidated, Opening Performance at Art Fair Miami, Florida, USA
    • Détournement, Levine Gallery, NY, USA
    • Nature Digital, French Institute, Tokyo, Japan
  • 2011 :
    • Renaissance, Art Statements, Tokyo
    • Liquidated Version, De Buck Gallery[22], New York
    • Le Musee en Herbe, Paris
    • Invisible Poison, performance at Uplink Factory, Tokyo, Japan
  • 2010 :
  • 2009 :
    • LVX, Lazarides Gallery[26], New Castle, United Kingdom
    • Art Total, University of Leuphana, Germany
    • Liquidated Logos, Art Statements[27], Hong Kong
    • Outsiders, Lazarides Gallery[26], New York
    • Euro Liquidated, Palais de Tokyo, Paris
    • Visual Attack, De Pury Luxembourg Gallery, Zurich
  • 2008 :
    • Electroshock, Ny Carlsberg Glypothek, Copenhagen[28]
    • Postcapitalism Kidnapping, Art Statements, Hong Kong, Zevs
  • 2007 :
  • 2006 :
    • Swish - Lazarides gallery[26], London
    • Perpetual Ending - galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
  • 2005 :
    • Visual Kidnapping - Palais de Tokyo, Paris
  • 2003 :
    • Aux portes de l'enfer, NIM, Paris
    • Art Crime Scene - Le triptyque, Paris
  • 2002 :
    • Paris-Berlin - Rebell Minds gallery, Berlin
  • 2001 :
  • 1999 :

Exposition Collectives[modifier | modifier le code]

  • 2022 :
    • Capitales, Paris
  • 2021 :
    • Trouble Waters, Kunstraum Bethanien, Berlin
  • 2020 :
    • Platform, David Zwirner Gallery, Paris
    • Restons Unis, Emmanuel Perrotin, Paris
    • Atone Etoile, Confort Moderne, Poitiers
  • 2019 :
    • Ma mère et son double, Biennale de Lyon
  • 2018 :
    • MBC Culture and arts Center, Daegu, South Korea
  • 2017 :
    • What's Up Doc ?, New Galerie, Paris
    • Art From The Streets, Artcience Mueum, Singapour
  • 2016 :
    • Seoul Arts Center, South Korea
    • Decade, Lazarides Gallery, London, UK
    • Artistes à la Une, Palais de Tokyo, Paris
  • 2015 :
    • Summer in The City, Martin Asbaek Gallery, Copenhagen, Danemark
    • La Vague de St Paul, St Paul de Vence, France
    • A l'ombre d'Eros, Monastère Royal de Brou, France
  • 2014 :
    • #StreetArt, Espace Fondation Electra, Paris
    • Multiples, The Container, Tokyo, Japan
    • Art Miami, Art fair, Miami, USA
    • Summer Selections, DeBuck Gallery, NY, USA
  • 2013 :
    • Cultural Hijack, RIBA, London
    • Poesia, Ausstellunggen Museum, Delmenhorst, Germany
    • At Home I'm A Tourist, Contemporary Art Center, Malaga, Spain
    • 10 Years of Wooster Collective: 2003-2013 Jonathan Levine Gallery[30], New York
  • 2012 :
    • W Hotel, Paris
    • At Home I'm a tourist, Art & Toys, Collection Selim Varol[31], me Collectors Room, Berlin
    • Domination, Hegemony and The Panopticon,Traffic, Dubai
    • Scope Art Fair, Miami, USA
  • 2011 :
    • Le Musee en Herbe, Paris
    • Summer Selections, De Buck Gallery[22], New York
    • “Mummy, I’m scarred!,”Art Gig, Hatudai Hospital, Tokyo
    • Visual Rapes, OneStellarRays Gallery, NY, USA
    • Face Time, IMO Gallery, Copenhagen, Danemark
    • Art Miami, Miami Art Fair, USA
  • 2010 :
  • 2009 :
    • Original Copy,Cazrtoryskich Museum, Krakow
    • La Force de l’Art 02,Grand Palais, Paris
    • Urban Art,Weserburg Museum, Brême
    • From Style Writing to Art,18Gallery, Shanghai
    • The Core Marrow of Art,Art Statements, Hong Kong
    • Synthesie, The Wealth of Nation, Galerie Patricia Dorfmann, Paris
  • 2008 :
    • Tina B,Prague Contemporary Art Festival, Prague
    • Radical Advertising,NRW Forum, Düsseldorf Outsiders,
    • Lazarides Gallery[26], New York
    • Fresh Air Smell Funny,Centre d’art Domenikanerkirche, Osnabrue ck, German
  • 2007 :
    • The real style is invisible, quai de Seine, Paris
    • Libérez-moi - Le M.U.R., Paris
    • Glow Art Festival, MU, Eindhoven,Graffiti,
    • Graffitis,Galerie Magda Danysz, Paris
    • Still On and None the Wiser,Von der Heydt Museum, Wuppertal, Germany
    • Gezeichnet, Peter Borchardt Gallery, Hamburg
    • Invisible Shadow, Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
    • Shcontemporary,de Pury & Luxembourg Gallery, Shanghai
    • Backjumps Libe Issue 3, Kunstraum Kreuzberg[32]/Bethanian, Berlin
    • Wakin Up Nights, de Pury & Luxembourg Gallery, Zurich
    • 10 years of Wooster Collective, Jonathan Levine Gallery, NY, USA
  • 2006 :
    • Group Show - Lazarides gallery[26], Londres
    • Intersection des arts - Chapelle de la Salpetrière, Paris
    • Mon pays, C'est Paris - OFR / galerie Patricia Dorfmann[29], Paris (catalogue)
    • Ugly Winners - Galerie du jour, agnès b., Paris
    • Intersection des arts,Chapelle de la Pitié Salpetrière, Paris
  • 2005 :
    • Night City - Paris 8 University, Saint-Denis
    • Street Magic -  Inside Outside gallery, Cleveland USA
    • Diva Paris -  galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • Heimspiel - galerie Rebellminds, Berlin
    • The Live Issue II -  Kunstraum Kreuzberg/Bethanien, Berlin
    • FIAC - galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • La galerie fête ses 15 ans - galerie Patricia Dorfmann[29], Paris (livret)
    • Tag the system - Galerie Beaurepaire, Paris
    • Santa Ghetto- P.O.W., Londres
    • ARCO - Rebellminds Gallery
    • Street Magic, Inside Outside Gallery, Cleveland
    • Heimspiel, Galerie Rebellminds, Berlin
    • The Live Issue II,Kunstraum Kreuzberg/Bethanien, Berlin
    • La Galerie Fête ses Quinze Ans,Galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • Santa Ghetto, Lazarides Gallery[26], London
  • 2004 :
    • Show Room Imposture légitime - Galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • Biennale Art Grandeur Nature - Synesthésie, Paris
    • Scope Art Fair - Rebellminds Gallery, New York
    • Die Nacht ist meine Welt - Rebellminds Gallery, Berlin
    • Miart Fair - Rebellminds Gallery, Milan
    • Grand Master Graff - Point Éphémère, Paris
    • Outsieden - Röda Sten, Suède
    • La rue aux artistes - VIACOM-OUTDOOR
    • 9 points of the law - NGBK, Berlin
    • Art Forum - NGBK
    • FIAC - Galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • Production 2004 – Rebellminds Gallery, Saint-Tropez
    • Biennale Internationale d’Art Contemporain, Musée de Sharjah, Sharjah, United Arab Emirate
  • 2003 :
    • Visual rapes - Comité de Salut artistique, Paris
    • Le Printemps des rues, Paris
    • Broken Sunshine - Fire House, New York, USA
    • Artresting - Comité de Salut Artistique, Paris
    • L’Art Emmele - Mairie de Paris et Ambassade d’Australie
    • Art Forum - Berlin
    • FIAC - Galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
  • 2002 :
  • 2001 :
  • 2000 :
    • Ideal Room - A.P.A. (Artus Patricia & Associés) Galerie Patricia Dorfmann[29], Paris
    • Attack of Montpellier – Borealis, Montpellier
    • Libres ébats - Lyon
    • Web Art- Galerie des filles du Calvaire, Paris
  • 1999 :
  • 1996 :
    • 35 cartes d'Artistes[33] - édition APLA - Paris
  • 1995 :
    • Mural - 105 rue de Charonne - Paris
  • 1994 :
    • ESPOIR 94 - M.J.C. Les hauts de Belleville - Paris MURAL - 105 rue de Charonne, Paris

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Catalogues d'expositions
  • Biennale de Sharjah, 2003 catalogue (ISBN 9948-04-765-6)
  • L'Art Emmêlé catalogue éditeur : Au-delà du Sport, Paris & Liège, 2003
  • Outside-in, catalogue
  • (fr + en) Elisabeth Couturier, Judicaël Labrador, Alain Broders et Toke Lykkeberg, Aguirre Schwarz au pays de l'or noir, Paris, Galerie Rive Gauche, (OCLC 950996561, lire en ligne [PDF]).
  • Deparis-Yafil Marie, Zevs - Noir Eclair, Silvana Editoriale S.P.A, (présentation en ligne).
  • Oiko Logos, MAMO, 2021
Vidéos
  • (en + fr) [vidéo] Inside Outside sur Dailymotion, documentaire sur l'univers du graffiti réalisé en 2005 par Andreas Johnsen, avec Zevs (Paris), Swoon (New York), KR (New York), Ron English (Jersey City), Earsnot (New York), Os Gêmeos (São Paulo), Pigmeus (São Paulo), Adams & Itso (Stockholm et Copenhague)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.telerama.fr/sortir/comment-zevs-est-devenu-le-dieu-des-vandales,148184.php
  2. a et b Raphaël Malkin et Camille Polloni, « Rencontre avec Zevs, artiste français arrêté à Hong Kong », Les Inrockuptibles, (consulté le )
  3. a b c et d « Street art : ZEVS liquide le château de Vincennes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Comment Zevs est devenu le dieu des vandales », sur www.telerama.fr, (consulté le )
  5. [1]
  6. « https://www.galerie-doda.fr/zevs/255-1482-zevs-electric-shadow.html#/29-taille-petit_format_encadre »
  7. « Urban Shadows - poubelle, avenue Philippe Auguste, Paris 2000 », sur Galerie Patricia Dorfmann (consulté le )
  8. « Visual Attack », sur Galerie Patricia Dorfmann (consulté le )
  9. « VISUAL KIDNAPPING / BERLIN / ALEXANDER-PLATZ / 02-04-2002 / 05:37 », sur Galerie Patricia Dorfmann (consulté le )
  10. « Zevs », sur OC-TV.net (consulté le )
  11. « http://www.blog.stripart.com/art-urbain/street-art-zevs/ »
  12. « Liquidated MC Donald », sur Galerie Patricia Dorfmann (consulté le )
  13. « Le ciel tombe sur la tête de Zevs », sur Libération.fr (consulté le )
  14. « http://mobile.lesinrocks.com/2009/08/26/actualite/societe/rencontre-avec-zevs-artiste-francais-arrete-a-hong-kong-1138020/ »
  15. Le choc de la Vénus (za.montpellier.fr consulté le 29 juillet 2011)
  16. « http://www.coolhunting.com/culture/zevs-and-the-w-paris-opera »
  17. « https://sete.toureiffel.paris/fr/presse/communiques/nuit-blanche-2018-la-tour-eiffel-accueille-loeuvre-de-zevs-intitulee », sur Paris.fr, (consulté le )
  18. « http://www.newgalerie.com/?page=exhibitions&id=54 »
  19. « http://www.ccandratx.com »
  20. « http://www.galerie-strouk.fr/ »
  21. « http://www.lavitrine-am.com/portfolioitem/experience-n8-zevs-retrovizevrs/ »
  22. a b et c « https://www.debuckgallery.com/ »
  23. « http://www.cultuurcentrummechelen.be/ »
  24. « http://wow.sportmax.com/en/?p=2424 »
  25. a et b « http://www.hmkv.de/_en/ueber_uns.php »
  26. a b c d e f et g « https://www.lazinc.com/ »
  27. « http://www.lamjc.com/Zevs-Art-Statements-Show-Report »
  28. « https://www.glyptoteket.dk/ »
  29. a b c d e f g h i j k l et m « http://www.patriciadorfmann.com/ »
  30. « http://jonathanlevineprojects.com/ »
  31. « http://urbanartassociation.com/thread/118974/selim-varol-collection »
  32. « http://www.kunstraumkreuzberg.de/ »
  33. « http://www.apla.fr/blog/apla-lassociation/les-editions/ »