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Tizmarines
Tizmarines ⵜⵉⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ du village d'Ibdassen, Kabylie

Tizemmarin (singulier : tazemmart) est un instrument à vent utilisé dans la région de kabylie en Algérie. Il s'agit d'une clarinette double à six trous utilisée dans la musique traditionnelle kabyle.

Fabrication[modifier | modifier le code]

Fabrication des tizmatines
Perforation des orifices des tizmarines à l'aide d'une tige chauffée
sifflet kabyle
Dzerwah tzmarines ⴷⵣⴻⵔⵡⴰⵀ ⵜⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ (sifflets de tizmarines)

Les tizmarines kabyles sont une sorte de petite trompette confectionnée à partir de deux segments de cannes de Provence (Arundo donax L.). Les segments sont soudés entre eux par de la colle, du goudron, du fil, ou plus simplement avec du scotch. Ils sont percés de six trous disposés en paires, comme c'est le cas habituellement pour les clarinettes doubles d'Afrique du Nord[1]. Les trous peuvent être réalisés à l'aide d'un fil de métal chauffé.

joueur de thizmarines
Hamid Slimi, joueur de tizmarines ⵟⵉⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ au village d'Aït Hamad, Kabylie

Sur l'extrémité inférieure des segments, deux sifflets (dzerwah tzmarines ⴷⵣⴻⵔⵡⴰⵀ ⵜⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ) sont insérés. Les sifflets sont constitués de fins segments de cannes de Provence dont l'un des segments est coupé latéralement. Dans la fente, un cheveux ou un fil permet de faire vibrer le sifflet. Le fil permet d'ajuster la note afin que les sons des deux sifflets soient consonants. Sur la partie opposée, le pavillon est composé d'une corne de bœuf ou de gazelle insérée sur les embouchures des segments de cannes.

Il existe de nombreuses variantes des tizmarines, elles dépendent souvent des cultures et habitudes locales.

Jeu[modifier | modifier le code]

Contrairement au Lghidha[2], dont la poche permet de s'affranchir du souffle continu, il faut que le joueur de tazemmart maîtrise cette technique complexe afin de jouer plusieurs heures d'affilées lors des cérémonies. Les deux sifflets jouent en même temps, ce qui permet de doubler la note. Contrairement à la flûte, chaque doigt repose sur deux orifices à la fois, c'est à dire sur les deux segments en même temps[1].

Les tizmarines émettent un son analogue à celui de la cornemuse ou du biniou breton[3].

flutes kabyle
Tizmarines ⵟⵉⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ (Slimi©) du village d'Aït Hamad, Kabylie (Hamidi©)

Il faut souvent des heures de préparation au musicien afin de chauffer, humidifier et ajuster le fil des sifflets pour pouvoir jouer une note stable et juste. En effet, comme tous les instruments à vent, les matières naturelles qui les composent sont sensibles aux conditions abiotiques de l'environnement, ce qui rend le jeu complexe à maîtriser par la suite.

Lors des célébrations, le joueur de tazemmart soliste peut être accompagné de chants issus du sacré de la mythologie berbère dans un style parfois Achewiq, ainsi que des percussions de bendir. À l'origine, l'instrument est uniquement joué par les hommes mais tant à se démocratiser.

La musique traditionnelle kabyle, un temps délaissée au profit des musiques modernes, devient de plus en plus en vogue lors des cérémonies et célébrations.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :0
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées La chanson kabyle d’immigration en France : éléments d’une problématique:
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]





Le tazemmart[1],[2](tizmarine ou thizemmarine au pluriel) (en berbère: ⵟⵉⵣⵎⴰⵔⵉⵏⴻⵙ) est un instrument à vent d'origine kabyle présent dans la région de kabylie (Algérie). Il s'agit d'une clarinette double utilisée dans la musique traditionnelle, notamment lors des rituels de célébrations (fêtes de mariage, naissances, baptêmes...)[3],[4]. Il ne faut pas les confondre avec le Lghidha[2], la Zamar[5], le Mizmar (Zurna) ou la Gasba.




Télécommunications[modifier | modifier le code]

Logo d'Algérie Télécom.

En 2000, l'Algérie entame un processus de réforme et de libéralisation du secteur des télécommunications, avec la mise en place de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications, la création d'Algérie Télécom et sa filiale Mobilis, et l'entrée des operateurs privés Djezzy et Ooredoo sur le marché.

En septembre 2023, le marché de la téléphonie mobile compte plus de 50,57 millions d’abonnés, reparties entre les trois opérateurs du secteur : Mobilis (22,11 millions d'abonnés), Djezzy (15,55 millions) et Ooredoo (12,91 millions). Quant à la téléphonie fixe on dénombre 6,14 millions d’abonnés.

AAPI

Tributs et présents obligatoires[modifier | modifier le code]

La régence d'Alger imposait des tributs aux pays occidentaux en échange de la liberté de navigation dans le bassin occidental méditerranéen. Ces tributs étaient payées en numéraire ou en nature, généralement tous les deux ans, et on en distinguait deux sortes :

  • la lezma,
  • les aoauïds,


texte

explanation of tribute (en) (fr) translation]


En outre, ces pays devaient périodiquement offrir au dey des présents obligatoires à chaque changement de consul, qui devait s'effectuer tous les deux ans à partir de 1764.


Tunis paie tribut 1756 - 1807 TUNIS TRIBUTE DATE

VALEUR MONNAIE SEQUINS VALEURS MONNAIE

comme le montre le tableau suivant[6],[7] : ADD THIS "tribut"+"régence+d'alger"&pg=RA2-PA5&printsec=frontcover ADD THIS THIS NEW ESPAGNE AUTRICHE ENGLAND :

valeurs tribut

présents obligatoires

MORE ABOUT PRESENTS

deux ans consul

1764 chaque deux ans presents

LOTS OF DATA Values, Lemza, types of tribute, etc.

venise sequins presents

Tributs et présents obligatoires imposés par la régence d'Alger au XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle
État Valeur
Empire espagnol Il paie 180 000 francs (14 000 000 réaux[8]) pour conclure la paix en 1785. Il contribue à hauteur de 12 000 piastres en 1807.
Royaume de Portugal Tribut annuel de 24 000 doubles piastres (240 000 francs), et des présents consulaires annuels de la valaur de 20 000 doubles piastres (200 000 francs). [9] 1807 Tribut de 40,000 piastes/200,000 francs ?

Paix conclu 1810, 1 470 000 francs, et présents annuels de 50 400 fr [10]

Grand-duché de Toscane En vertu d'un traité conclu en 1823, elle n'est sujette à aucun tribut ; mais son consul est obligé de faire en arrivant un présent de 25 000 doubles piastres (l'équivalent de 250 000 francs).
Royaume des Deux-Siciles Tribut annuel de 24 000 doubles piastres (240 000 francs), et des présents consulaires annuels de la valaur de 20 000 doubles piastres (200 000 francs).[11]
République de Venise Elle paie 40 000 sequins barbaresques pour conclure la paix en 1763, en plus d'un tribut annuel de 10 000 sequins. [12]
Royaume de Sardaigne Suite à un traité de 1746, elle est contrainte de payer 216 000 francs jusqu'en 1822.
Royaume de France Avant 1790, elle payait 37 000 livres, et après 1790, elle s'est engagée à payer 27 000 piastres (108 000 francs). Et en 1816, elle s'est engagée à payer 200 000 francs.

160 000 francs en présents obligatoires en 1811.

Royaume-Uni Il s'engage à verser 100 000 piastres (267 500 francs) en échange de certains privilèges.??
600 livres sterlings (150 000 francs) chaque mutation consulaire
États-Unis d'Amérique Elle a payé en 1795 la valeur de 1 000 000 de dollars, dont 21 600 dollars sous forme d'équipements en échange de privilèges spéciaux. En 1822, elle s'engage à payer 22 000 dollars.
Provinces-Unies Suit à un traité conclu en 1726 ils paient un tribut annuel en matériel de guerre (planches, poudre, boulets, cordages, etc.) d'une valeur d'environ 50 000 florins, ainsi que des présents consulaires de plus de 30,000 livres. Ils arrêtent de payer le tribut suite au bombardement d'Alger de 1816.
Empire d'Autriche La valeur des redevances payées au cours de l'année 1807 est estimée à 200 000 francs. ?? Tribut 40 000 piastres / 20 000 francs
Royaume de Danemark
Royaume de Suède réduit à 108000 francs en 1791
Royaume de Norvège
Régence de Tunis Tribut annuel ... 150 000 francs ou 50 000 écus [13]


In spring 1726 the Dutch indeed had their greatest success of the entire war against Algiers when the Algerians lost three fully equipped battleships and were only able to capture five small Dutch merchant ships with few sailors. Faced with the eventuality of Britain and France entering into war – the closing of British harbors to their ships may have been regarded as a first step in this direction – and with the evident improvement of the Dutch means of warfare, the Algerians decided to settle with the Dutch. The French consul hints that the Dutch blockade of the Strait of Gibraltar had also been very harmful to the Algerians.67 In September 1726 the Dutch agreed to pay an annual tribute of war materials worth roughly 50,000 guilders in exchange for peace.68 Peace was ratified, and the Dutch duly paid their tribute for the rest of the century. LINK


  • (ar) Nasreddine Saidouni, ورقات جزائرية: دراسات وأبحاث في تاريخ الجزائر في العهد العثماني [« Cahiers algériens : études et recherches sur l'histoire de l'Algérie à l'époque ottomane »], Alger, Dar el-Bassair,‎ , 2e éd. (1re éd. 2000), 534 p. (lire en ligne)
  • Thomas Shaw (trad. de l'anglais par Jacques Mac Carthy), Voyage dans la régence d'Alger : ou description géographique, physique, philologique, etc., de cet état, Paris, Chez Marlin, , 405 p. (lire en ligne)
  • Eugène Plantet, Correspondance des deys d'Alger avec la Cour de France, 1579-1833, Paris, Félix Alcan, , 619 p. (lire en ligne)




Rachid Tabti (en arabe : رشيد تابتي), parfois orthographié Rachid Thabti, né le 17 mai 1930 à Constantine et mort le en juillet 2009 à Alger, est un espion, boxeur, avocat et acteur algérien.

Il est connu pour avoir contribué a la nationalisation des hydrocarbures en Algérie en infiltrant des institutions souveraines françaises et en obtenant des documents secrets qui ont aidé la partie algérienne dans ses efforts.

Biographie[modifier | modifier le code]

Rachid Tabti et né le 17 mai 1930 à Constantine au sein d'une famille aisée. Adolescent, il part poursuivre ses études secondaires en France chez son oncle Hussein Belaloufi. Une fois son baccalauréat décroché, il s’inscrit à la faculté de droit de l’université de Paris.



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Le minaret d'Agadir est un minaret historique à Tlemcen, Algérie.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le minaret a été érigé par le sultan zianide Yaghmoracen Ibn Ziane vers l'an 1280, à l'emplacement de l'ancienne Grande Mosquée d'Agadir construite par Idris Ier en 790. De cette mosquée, il ne reste que quelques vestiges archéologiques, ainsi que le minaret.

Architecture[modifier | modifier le code]

De forme quadrangulaire, haut de 26,60 m, il est composé d'un soubassement constitué de pierres de taille de six mètres de haut empruntées aux édifices romains de l'ancienne Pomaria. Des inscriptions latines sont encore visibles sur certaines de ces pierres. Au-dessus se dresse une tour en briques dont les quatre façades se voient rythmées de faibles défoncements garnis d'arcatures et de réseaux. On y distingue les petites ouvertures destinées à éclairer l'escalier. Sur la plate-forme d'où le muezzin lançait l'appel à la prière, les quatre faces du lanternon qui couronne l'ensemble présentent un décor de réseau losangé. Des arcs à festons et un encadrement de zellige vert terminent le tout.








Farid Ali (singer)


https://books.google.dz/books?id=eUUhBQAAQBAJ&pg=PT137&dq=azzaba&hl=en&sa=X&ved=2ahUKEwiozvm4pdP7AhWdTaQEHc8XAesQ6AF6BAgJEAI#v=onepage&q=azzaba&f=false

https://www.atmzab.net/index.php?option=com_content&view=article&id=1299&Itemid=586

https://www.asjp.cerist.dz/en/downArticle/90/25/1/143832

https://www.persee.fr/doc/rfsp_0035-2950_2003_num_53_1_395688

=====[modifier | modifier le code]
Expédition d'Alger
en 1516

Informations générales
Date 30 septembre 1516
Lieu Alger
Issue Victoire de la régence d'Alger
Belligérants
Régence d'Alger Espagne
Commandants
Arudj Barberousse Diego de Vera
Forces en présence
1 500 hommes entre 7 000 et 15 000 hommes
Pertes
aucunes 3 000 morts ou blessés
400 capturé

L'expédition d'Alger de 1516, est une opération de débarquement menée par l'Empire espagnol pour renverser la présence ottomane à Alger.

L'émir d'Alger, Salim at-Toumi, est assassiné en 1516 par Arudj Barberousse qui s'empare du pouvoir. Les Espagnols craignent la montée en puissance des Barberousse et veulent les chasser d'Alger et les remplacer par le fils de l'émir assassiné, qui avait pris refuge chez eux.

L'expédition comprend 10 000 ou 15 000 troupes, tant que les forces d'Arudj ne comprennent que 1 500 hommes.

En 1516, la flotte d'invasion met le cap sur Alger. Cependant, une tempête fait échouer la flotte en cours de route. Lorsque les survivants atteignent Alger, ils sont facilement mis en déroute par les forces de Barberousse.

Les Espagnols subissent des pertes de 3 000 tués ou blessés et 400 capturés.

==[modifier | modifier le code]

Eugène Daumas et Georges Yver, Les correspondances du Capitaine Daumas, consul de france à Mascara: 1837-1839, Alger, Editions el Maarifa (réimpr. 2008) (1re éd. 1912), 640 p. (ISBN 978-2013423021, lire en ligne), p. 102


Expedition to Mostaganem (1547)

  1. DUGAS Guy, « Pour la Kabylie. L’action de Marie-Louise Taos Amrouche en faveur de la tradition orale berbère », Études et Documents Berbères », Revue études et documents berberes,‎ , p. 2007/1-2 (N° 25-26), p. 287-293 (URL : https://www.cairn.info/revue-etudes-et-documents-berberes-2007-1-page-287.htm Accès libre)
  2. a et b Ahsène Zehraoui, « La chanson kabyle d’immigration en France : éléments d’une problématique: », Études et Documents Berbères, vol. N° 32, no 1,‎ , p. 13–19 (ISSN 0295-5245, DOI 10.3917/edb.032.0013, lire en ligne, consulté le )
  3. N. Si Yani, « Béjaïa : Colloque international sur le patrimoine musical de la Kabylie La musique kabyle passée à la loupe », (consulté le )
  4. « Dastum. La cornemuse, on s'en amuse », sur Le Télégramme, (consulté le )
  5. « Clarinette double "Zamr" », sur philharmoniedeparis.fr
  6. Saidouni 2009, p. 140-141
  7. Shaw 1830, p. 210-212
  8. [1]
  9. https://www.google.dz/books/edition/Apercu_historique_statistique_et_topogra/g59Vx9nPpyAC?hl=en&gbpv=1&dq=%22portugal%22+%22alger%22+%22tribut%22&pg=PA223&printsec=frontcover source]
  10. [2]
  11. https://www.google.dz/books/edition/Apercu_historique_statistique_et_topogra/g59Vx9nPpyAC?hl=en&gbpv=1&dq=%22portugal%22+%22alger%22+%22tribut%22&pg=PA223&printsec=frontcover source]
  12. [3]
  13. [4]