Utilisateur:Ruyblas13/Cratérotope bicolore

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Le cratérope bicolore — nom binominal, Turdoides bicolor, synonyme taxinomique, Cratopus bicolor[1] — est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Leiothrichidae. Cette espèce niche dans les savanes sèches de l'Afrique du Sud, du Bostwana, de la Namibie du Zimbabwe[4].

Dénomination, systématique et taxinomie[modifier | modifier le code]

Dénomination[modifier | modifier le code]

En langue Setswana, langue batoue parlée en Afrique du Sud, au Bostwana, en Namibie et au Zimbabwe, le Cratérope bicolore est connu sous les noms de le.tshêganôga — terme générique pour l'ensemble appartenant au genre des Turdoides et signfiant laugher at Snakes —, de le.tshoganôga et de le.nkutshwêu[5].

En anglais, cette espèce est connue sous les variantes vernaculaires de Southern Pied Babbler, Southern Pied-babbler et Southern Pied-Babbler[3].

Taxinomie[modifier | modifier le code]

Le naturaliste William Jardine.

L'espèce a été décrite pour la première fois en 1831 par le naturaliste écossais William Jardine sous le nom de Cratopus bicolor[1]. La description de cette espèce a été complétée par des planches d'illustration de l'ornithologue britannique P. J. Selby[1]. À l'époque, la description et les illustrations du Cratérotope bicolore ont été publiées dans le périodique The Edinburgh Journal of Natural and Geographical Sciences[6].

Le terme "bicolor" renvoie aux deux couleurs de type pie composant son plumage[7].

En langue Setswana, langue batoue parlée en Afrique du Sud, au Bostwana, en Namibie et au Zimbabwe, le Cratérope bicolore est connu sous les noms de le.tshêganôga, de le.tshoganôga et de le.nkutshwêu.

Classification[modifier | modifier le code]

Le Cratérotope bicolore appartient au genre des Turdoides, rang taxinomique faisant partie de la famille des Leiothrichidae.

Le Cratérotope bicolore est classé ainsi[8],[9] :

└─o classe, Aves
 └─o ordre Passeriformes, Linné 1758
  └─o famille Leiothrichidae Swainson, 1832[10],[11] 
   └─o genre Turdoides -  Cretzschmar, 1826[12],[13]
     └─o espèce Turdoides bicolor Jardine, 1831.

Habitat et répartion géographique[modifier | modifier le code]

Le parc national de Marakele, province du Limpopo, nord-est de l'Afrique du Sud.
Écorégion du Bushveld, province du Limpopo.

Les aires de distribution du Cratérotope bicolore se concentrent ses niches écologiques au sein des savanes sèches de l'Afrique du Sud — pays dans lequel il est une espèce endémique —, dans la province du Limpopo (ancienne partie nord du Transvaal) ; dans la partie orientale du Bostwana, dans le nord de la Namibie ; et dans la partie occidentale du Zimbabwe[4],[14],[5],[15]. Il peut également nicher, bien que de manière sporadique et moins fréquente dans la partie sud de l'Angola[15].

Des groupes et des spécimens de Cratérotope bicolore ont été inventoriés et répertoriés au sein de miombos, ainsi que dans des biomes forestiers se trouvant à proximité du fleuve de l'Okavango et de son delta[15].

L'habitat du Cratérotope bicolore se trouve essentiellement au sein d'un genre d'acacia du Bushveld, caractéristique du Kalahari et du Bushveld. Il peut également nicher dans les mopanes. Cet oiseau fourrage dans les buissons, les arbrisseaux et directement sur le sol[5],[15].

Description[modifier | modifier le code]

Cratérotope bicolore de taille adulte : la tête est blanche et son corps est partie couvert de pennes (rectrices et rémiges) brun foncés[16],[17],[18].
Oisillon Cratérotope bicolore n'ayant pas effectué son envol.

Le chatouilleur du pied sud Émoticône. Bref. Le cratérope bicolore est un oiseau dont le poids moyen, lors de sa taille adulte varie de 75 à 95 g (soit 2,6 à 3,4 onces) et qui se reproduit de manière communautaire (ou coopérative)[19]. Sa taille moyenne, à l'âge adulte, varie entre 22 et 24 cm[20].

À sa naissance, et lorsqu'il est jeune, le Cratérotope bicolore possède un plumage de couleur brune et ses yeux sont de couleur sombre. En grandissant, des tâches blanches apparaissent progressivement sur son ventre et sa tête. À l'âge adulte, seules les pennes des ailes et de la partie caudale du Cratérotope (respectivement les rémiges et les rectrices) sont noires, le reste de ses autres plumes étant devenues blanches. En outre, ses yeux deviennent rouge-rubis[5],[16],[18].

Plusieurs sortes de cris de cette espèce ont été enregistrées et répertoriées[21]. Le cri de contact entre oiseaux consiste en une sorte de roulement aigu : « skerr-skerr-skerr-kikikikikikerrk-errkerr [...] »[16]. Le cri d'alarme de cet oiseau consiste en un son aigu : « kwee kwee kwee kweer »[18]. Selon le contexte, le Cratérotope bicolore peut vocaliser des sons tonaux, atonaux, ascendants, modulés, roulés ou encore ronronnés[21]. Des études récentes, effectuées sur une population nichant au sein de la réserve de la rivière de Kuruman, ont mis en évidence que le Cratérotope bicolore peut émettre 9 cris qu'il soient de type intraspécifique (au sein de la même espèce) ou interspécifique (avec d'autres espèces)[21]. La fréquence de ces sons vocalisés varie entre 20 et 48 kHz pour une intensité oscillant entre environ 0,5 et 2,5 dB)[21].

Les groupes varient en taille de 2 à 16 adultes, mais les couples sont rares. L'espèce est sexuellement dimorphique, avec des mâles et des femelles physiquement indiscernables en regard de leurs caractères sexuels secondaires[19]. Chaque groupe comprend un couple reproducteur dominant qui monopolise l'accès aux opportunités de reproduction des autres couples[19]. Des recherches génétiques récentes ont confirmé que ces paires dominantes sont responsables de plus de 95% des jeunes éclos[19]. Une parenté mixte occasionnelle a été observée, mais elle est prévisible dans la plupart des cas : les couples subordonnés gagnent principalement la filiation lorsqu'un nouvel immigrant (non lié) se disperse dans le groupe ou qu'un nouveau groupe est fondé[19]. Tous les membres du groupe coopèrent pour aider à élever les jeunes éclos d'une seule couvée. La taille de la couvée varie entre deux et cinq, avec une taille de couvée moyenne de trois[22].

Cratérotope bicolore ayant un comportement coopératif de sentinelle : l'individu alerte les autres membres du groupe lors de l'approche d'un prédateur.
Cratérotope bicolore en plein vol.

Les comportements coopératifs comprennent : l'approvisionnement des jeunes (naissance, nid et post-envol), le comportement sentinelle, la défense des frontières du territoire, le comportement d'apprentissage et le comportement de couvée (où les oisillons semi-indépendants suivent les adultes entre les sites d'alimentation et loin des prédateurs). La saison de reproduction s'étend de la fin septembre au début avril, bien que cela varie d'une année à l'autre et dépend fortement de la pluie. Les groupes peuvent élever jusqu'à trois couvées réussies par saison de reproduction. La durée moyenne de couvaison est de 14 jours, et le délai moyen entre l'éclosion et l'envol est de 16 jours. Le temps d'incubation varie en fonction de la taille du groupe : les petits groupes ont tendance à quitter leurs petits plus tôt que les grands groupes[23]. Après la phase de jeune à l'envol, les oisillons sont peu mobiles, incapables de voler et doivent compter entièrement sur autres membres du groupe adulte pour se nourrir. L'efficacité de la quête de nourriture commence à se développer lentement, et les adultes peuvent continuer à fournir des oisillons jusqu'à quatre mois après l'envol. La quantité de soins que les jeunes reçoivent au cours de cette étape a des effets à long terme : les jeunes qui reçoivent des soins pendant les plus longues périodes ont tendance à être plus lourds et de meilleure qualité que leurs homologues. En outre, ils sont plus susceptibles de se disperser avec succès de leur groupe natal et, par conséquent, de commencer à se reproduire plus tôt que leurs homologues « défaillants-disperseurs »[24].

Reproduction[modifier | modifier le code]

Chaque groupe comprend un couple reproducteur dominant qui monopolise l'accès aux opportunités de reproduction des autres couples[19]. Des recherches génétiques récentes ont confirmé que ces paires dominantes sont responsables de plus de 95% des jeunes éclos[19]. Une parenté mixte occasionnelle a été observée, mais elle est prévisible dans la plupart des cas : les couples subordonnés gagnent principalement la filiation lorsqu'un nouvel immigrant (non lié) se disperse dans le groupe ou qu'un nouveau groupe est fondé[19]. Tous les membres du groupe coopèrent pour aider à élever les jeunes éclos d'une seule couvée. La taille de la couvée varie entre deux et cinq, avec une taille de couvée moyenne de trois[22].

Cratérotope bicolore ayant un comportement coopératif de sentinelle : l'individu alerte les autres membres du groupe lors de l'approche d'un prédateur.
Cratérotope bicolore en plein vol.

Les comportements coopératifs comprennent : l'approvisionnement des jeunes (naissance, nid et post-envol), le comportement sentinelle, la défense des frontières du territoire, le comportement d'apprentissage et le comportement de couvée (où les oisillons semi-indépendants suivent les adultes entre les sites d'alimentation et loin des prédateurs). La saison de reproduction s'étend de la fin septembre au début avril, bien que cela varie d'une année à l'autre et dépend fortement de la pluie. Les groupes peuvent élever jusqu'à trois couvées réussies par saison de reproduction. La durée moyenne de couvaison est de 14 jours, et le délai moyen entre l'éclosion et l'envol est de 16 jours. Le temps d'incubation varie en fonction de la taille du groupe : les petits groupes ont tendance à quitter leurs petits plus tôt que les grands groupes[23]. Après la phase de jeune à l'envol, les oisillons sont peu mobiles, incapables de voler et doivent compter entièrement sur autres membres du groupe adulte pour se nourrir. L'efficacité de la quête de nourriture commence à se développer lentement, et les adultes peuvent continuer à fournir des oisillons jusqu'à quatre mois après l'envol. La quantité de soins que les jeunes reçoivent au cours de cette étape a des effets à long terme : les jeunes qui reçoivent des soins pendant les plus longues périodes ont tendance à être plus lourds et de meilleure qualité que leurs homologues. En outre, ils sont plus susceptibles de se disperser avec succès de leur groupe natal et, par conséquent, de commencer à se reproduire plus tôt que leurs homologues « défaillants-disperseurs »[24].

Comportement[modifier | modifier le code]

Chaque groupe comprend un couple reproducteur dominant qui monopolise l'accès aux opportunités de reproduction des autres couples[19]. Des recherches génétiques récentes ont confirmé que ces paires dominantes sont responsables de plus de 95% des jeunes éclos[19]. Une parenté mixte occasionnelle a été observée, mais elle est prévisible dans la plupart des cas : les couples subordonnés gagnent principalement la filiation lorsqu'un nouvel immigrant (non lié) se disperse dans le groupe ou qu'un nouveau groupe est fondé[19]. Tous les membres du groupe coopèrent pour aider à élever les jeunes éclos d'une seule couvée. La taille de la couvée varie entre deux et cinq, avec une taille de couvée moyenne de trois[22].

Cratérotope bicolore ayant un comportement coopératif de sentinelle : l'individu alerte les autres membres du groupe lors de l'approche d'un prédateur.
Cratérotope bicolore en plein vol.

Les comportements coopératifs comprennent : l'approvisionnement des jeunes (naissance, nid et post-envol), le comportement sentinelle, la défense des frontières du territoire, le comportement d'apprentissage et le comportement de couvée (où les oisillons semi-indépendants suivent les adultes entre les sites d'alimentation et loin des prédateurs)[23].

Comportement[modifier | modifier le code]

Le Cratérotope bicolore est un oiseau de type grégaire[5].

L'agression envers les oisillons est le plus souvent observée lorsque la paire dominante a commencé à incuber une autre couvée. Pendant cette période, les oisillons quêtant leur nourriture seront punis par les parents qui adoptent un comportement agressif, par exemple en sautant sur le jeune[23]. Dans tous les cas, les oisillons cessent de mendier immédiatement après l'attaque. Le chevauchement des couvées entraîne une division du travail distincte, les adultes subalternes continuant à prendre soin des oisillons alors que les couples dominants concentrent leurs efforts sur la nouvelle couvée. En raison de la longue période de soins post-envol chez cette espèce, les jeunes dépendants de plusieurs couvées peuvent être élevés simultanément[22].

Les cratéropes bicolores sont fortement territoriaux et défendent leurs frontières en utilisant des signaux visuels, au moyen de leurs ailes, et vocaux sur une base quasi quotidienne. Ces défenses territoriales mènent rarement à une agression physique et les blessures causées par ce type de comportement sont très rares. Les groupes défendent le même territoire tout au long de l'année et de petits groupes ont tendance à perdre des portions de leur territoire face à des groupes voisins plus importants[22].

Les recherches effectuées sur les cratérotopes bicolores ont permis de fournir la première preuve d'un comportement d'apprentissage chez une espèce aviaire. Les cratérotopes bicolores enseignent à leurs petits en émettant un chant ronronnant chaque fois qu'ils viennent à leurs délivrer de la nourriture. Les jeunes apprennent à associer cet appel à la nourriture et à sortir du nid chaque fois qu'ils l'entendent. Les adultes exploitent cette association pour encourager les jeunes à effectuer leur envol en donnant l'appel de ronronnement à distance du nid, incitant les jeunes à les suivre[25]. Après l'envol, les adultes continuent d'utiliser l'appel pour encourager les jeunes à se déplacer entre les aires d'alimentation ou à l'écart des prédateurs. Cet appel est également utilisé pour recruter des oisillons indépendants au sein d'un site riche en alimentation, et peut ainsi fournir aux jeunes des informations sur les endroits où trouver des sources de nourriture abondantes[26].

Les études entreprises sur les cratérotopes bicolores ont également permis de mettre en évidence un comportement de partitionnement (répartition) des tâches[27]. Au sein de cette espèce, les couples dominants sont capables de laisser leurs jeunes dépendants aux soins des aidants (ou assistants) et d'initier une nouvelle couvée. Cela permet le chevauchement des couvées : plusieurs couvées de jeunes dépendants peuvent être élevées en même temps. Un tel comportement met en évidence les avantages de l'élevage coopératif : de nombreux aidants permettent alors aux éleveurs de s'investir dans plus de couvées. Les parents entreprennent cette partition des tâches en punissant agressivement leur progéniture qui leur demande de la nourriture[28]. Cette punition répétée fait que les jeunes oisillons sollicitent de la nourriture auprès des aidants plutôt que de leurs parents : ils libèrent alors leurs parents afin qu'ils se reproduisent de nouveau[28].

Interactions interspécifiques (interespèces)[modifier | modifier le code]

à wikif

Les cratérotopes bicolores ont une relation d'interaction mutualiste commensaliste interspécifique complexe avec le Drongo brillant (Dicrurus adsimilis). Le Drongo brillant perche au-dessus et suivez les groupes de cratérotopes entre les sites de recherche de nourriture et de donner des appels d'alarme chaque fois qu'un prédateur est vu. Lorsque les drongos sont présents, les babouins investissent moins de temps dans le comportement sentinelle. Cependant, les drongos émettent parfois de fausses alarmes puis volent pour voler les aliments que les buveurs de nourriture ont lâchés en entendant un appel d'alarme. Pour éviter le coût du cleptoparasitisme, les grands groupes de cratérotopes, qui ont suffisamment de membres du groupe pour participer au comportement sentinelle, ne tolèrent pas les Drongos et les chassent agressivement du groupe. En conséquence, ils subissent très peu de pertes lors d'une attaque de cleptoparasites. Cependant, les petits groupes n'ont pas assez de membres du groupe pour fournir un comportement sentinelle sans affecter le temps investi dans d'autres comportements tels que la recherche de nourriture ou l'approvisionnement des jeunes. Ces groupes tolèrent donc des attaques cleptoparasitaires occasionnelles en échange des tâches sentinelles que les drongos fournissent[29].

Les jeunes Cratérotopes bicolores ont de la difficulté à manipuler des aliments plus gros comme les scorpions, les scinques et les solifuges, et mettent beaucoup plus de temps à briser ces aliments que les adultes[30]. Cela en fait des victimes idéales pour les attaques de drongos à queue fourchue la recherche a révélé que les drongos ciblent spécifiquement les jeunes bavards pour les attaques cleptoparasitiques et qu'ils obtiennent ainsi un plus grand succès de recherche de nourriture[30].

Statut[modifier | modifier le code]

Cette espèce d'oiseau n'est pas rare (moins de 10 000 individus adultes recensés). Cependant, en raison d'une diminution de sa population d'environ 30% par an, le Cratérotope bicolore a fait l'objet d'un classement par l'UICN en catégorie LC (Préoccupation mineure) en 2012[31].

Programme de recherches sur le Cratérotope bicolore[modifier | modifier le code]

à wikif

Le projet de recherche Pied Babbler a été établi par le Dr Amanda Ridley en 2003 dans le but d'étudier de nombreux aspects du comportement de reproduction coopérative à long terme[30]. La population comprend des groupes entièrement habitués de bavards sauvages. Le nombre moyen de groupes dans la population varie entre 10-18 chaque année. Les recherches sont menées par des scientifiques et des étudiants de troisième cycle et portent sur la dynamique des populations, les causes et les conséquences du comportement aidant, la sélection sexuelle, l'écologie alimentaire, les interactions interspécifiques, la communication vocale, les conflits parents-rejetons, la maternité, la physiologie et les conflits de reproduction[32],[33],[22].

Évitement de consanguinité[modifier | modifier le code]

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Les individus apparaissent éviter la consanguinité de deux manières (mécanismes). Le premier est la dispersion, et le second consiste à éviter les membres du groupe familiers comme compagnons[34]. Bien que les mâles et les femelles se dispersent localement, ils se déplacent en dehors de la plage dans laquelle les individus génétiquement liés sont susceptibles d'être rencontrés. Au sein de leur groupe, les individus n'acquièrent des positions (ou statuts) d'élevage que lorsque l'éleveur de sexe opposé n'est pas apparenté. En général, la consanguinité est évitée car elle conduit à une réduction de la valeur sélective de la progéniture (dépression endogamique) due en grande partie à l'expression homozygote d'allèles récessifs délétères.[35],[36].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

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  3. a et b (en) Référence UICN : espèce Turdoides bicolor (Jardine, 1831) (consulté le ).
  4. a et b (en) « Turdoides bicolor », sur le site de la Liste rouge de l'UICN, IUCN (consulté le ).
  5. a b c d et e (en) Peter Hancock et Ingrid Weiersbye, « Southern pied blabber Turbidoes bicolor », dans Peter Hancock et Ingrid Weiersbye, Birds of Botswana, Princeton University Press, , 400 p. (lire en ligne), page 302.
  6. (en) H. Colburn, The London Literary Gazette and Journal of Belles Lettres, Arts, Sciences, (lire en ligne), page 94.
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  10. (en) « Leiothrichidae Swainson, 1832 », sur le site de l'ITIS (consulté le ).
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  12. (en) « Turdoides Cretzschmar, 1826 », sur le site de l'ITIS (consulté le ).
  13. (fr + en) Référence ITIS : Turdoides Cretzschmar, 1826 (consulté le ).
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  17. https://books.google.fr/books?id=_6X10o1QrR4C&pg=PA194&lpg=PA194&dq=Turdoides+bicolor+Feather&source=bl&ots=RxxG-ZyWxo&sig=bqJ-aKe1e6Cf5pqV6lwE1uhwjPA&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjhlK_5ptDYAhVJZVAKHZt7CMgQ6AEIIDAH#v=onepage&q=Turdoides%20bicolor%20Feather&f=false
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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