Utilisateur:Phil49260/Brouillon1HG

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Henri Gautreau
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Henri Gautreau lors de la mise au point d'un nouveau modèle de réchaud 1901
Biographie
Naissance

Paris 10e
Décès
(à 88 ans)
Paris 20e
Nationalité
Français
Activité
Inventeur, industriel-ferblantier
Autres informations
Domaine
Invention, fabrication

Henri Gautreau, né à Paris 10e arr. le 23 mars 1859, décédé à Paris 20e arr. le 3 novembre 1947 est un inventeur, chaudronnier, industriel-ferblantier.

Neveu du rosiériste-obtenteur Victor Etienne Gautreau 1817-1887

Inventeur-fabricant avec plus de 60 brevets, de réchauds, fourneaux, lampes et calorifères à gaz d'alcool[1] (de 1889 à 1907) puis d'ustensiles de cuisine et ménage (de 1907 à 1947) estampillés des initiales H.G.

Les implantations successives sur Paris : 3 rue Hérold 1er arr., 30 rue des Amandiers 20ème arr., 45 avenue de la Porte de Bagnolet 20ème arr. Après 1945 au 54 rue Ramus 20ème arr., pour finir dès 1958 à Montreuil-sous-Bois, 28 rue de Villiers.

Après son décès en 1947 ses fils et petit-fils maintiendront la fabrique jusqu'en janvier 1968, soit une production familiale qui s'étalera sur quatre-vingt années.

Période des réchauds : 1889-1906[modifier | modifier le code]

Jeune marié en janvier 1886, à Marie Raynal, Henri Gautreau débuta modestement à Paris rue Hérold où il tenait une petite boutique en location, vendant des articles de ménage et des irrigateurs dont il effectuait les petites réparations en changeant le cuir des pompes.

1889 : Créateur du 'Réchaud transparent à alcool' [2][modifier | modifier le code]

D'un aspect esthétique certain et avec des variantes déclinées en deux formes, quatre tailles et sept couleurs, le récipient en verre H.G permettait de faciliter l'entretien et la fonction du réchaud, mais surtout de pouvoir surveiller le niveau de l'alcool dans le récipient - corps de chauffe habituellement composé de cuivre, de laiton ou de fer-blanc -.

Les verres étaient fabriqués chez un verrier de la banlieue et leur qualité testée à haute température pour assurer une chauffe sécurisée dans son utilisation quotidienne. Un verre qui se devait donc d'être plus performant que ceux utilisés pour les lampes à pétrole

Une annotation mettant en avant cette qualité apparaissait sur la page de couverture de son catalogue 1906 : "La Maison H. Gautreau offre Dix Mille Francs à la personne qui par un usage normal fera exploser un de ses réchauds à alcool muni du Réflecteur-Ecran[3]".

Les moules des verres laissaient ressortir en relief au cul des réchauds l'inscription H.G PARIS Breveté S.G.D.G. Henri Gautreau poussa même l'inspiration jusqu'à concevoir pour ses réchauds des verres carrés[4] et triangles[5] devant permettre un rangement optimisé.

Pour comprendre le choix du verre comme matériau pour le corps de ses réchauds : Ce choix se fit suite à un évènement traumatisant, quand un début d'incendie se déclara le 22 novembre 1886 dans son petit appartement, au sixième étage sous les toits. Un réchaud en fer-blanc rouillé tomba, se perça et mis le feu au grand rideau de la chambre, pièce où se trouvait son épouse Marie alors enceinte. Ce drame provoqua le soir même la naissance prématurée de leur fils aîné. Henri Gautreau se promis que cela ne devait pas recommencer, fini le fer-blanc comme contenant à combustible pour les réchauds. Il faudra à Henri Gautreau plus de deux années pour mettre au point son réchaud à corps de verre[6].
 

Plusieurs prix dont deux médailles d'or obtenues à Paris en 1897 et 1905 vont encourager Henri Gautreau à élaborer de multiples modèles et variantes de ses modèles. Activité grandissante dans la petite entreprise pour la fabrication puis la vente par les quincailleries[7] et les grands-magasins[8] parisiens et provinciaux[9], d'où l'embauche jusqu'à vingt-trois employés (soudeurs, représentants, etc..) avec un apogée de 1904 à 1912. Des modèles en verre de concurrents parisiens ne tardant pas à apparaître aussi sur le marché, dès 1903 Henri Gautreau joignit alors dans ses catalogues un feuillet avec la mention suivante :

Réchaud 'De Table' H.G

"AVIS - J'ai l'honneur d'appeler l'attention de tous mes clients sur les qualités remarquables de mes RÉCHAUDS TRANSPARENTS à modérateur de flamme avec bec muni du Réflecteur-écran breveté S.G.D.G. en se mettant en même temps en garde contre les imitations nombreuses qui se sont produites depuis quelques années. Mes réchauds à alcool sont reconnaissables principalement à la forme du corps de verre moulé dans un moule dont le modèle est ma propriété. Ensuite, ils sont munis d'une marque de fabrique régulièrement déposée, laquelle est placée en un point très apparent de la monture métallique du réchaud. Des imitations plus ou moins rapprochées de mon système sont offertes par des concurrents peu scrupuleux. elles seront poursuivies partout où elles seront rencontrées. Plusieurs de mes imitateurs, déférés à la juridiction correctionnelle ont été successivement condamnés aux dommages-intérêts à fixer par état avec frais et dépens. A vos ordres, recevez, M. ....., mes salutations empressées. H.GAUTREAU. Pour éviter les contrefaçons exiger la marque H.G PARIS, breveté S.G.D.G. DÉPOSÉE."

1906 : Georges Bénard, ingénieur, successeur de la fabrique de réchauds H.G [10][modifier | modifier le code]

Pour des raisons de santé[11] H.Gautreau céda sa fabrique alors en plein essor à G.Bénard, jeune ingénieur de l'Ecole de Commerce qu'il épaulera pendant deux années selon les conventions en vigueur. Cette période fut couronnée par un succès à l'exposition de Londres en 1908[12], une médaille d'or, "seule récompense accordée à cette industrie". Avec G. Bénard la marque H.G pour les réchauds va ainsi perdurer jusque vers la fin des années 1920. La dernière trace connue dans les catalogues date de 1927[13], l'électricité et le gaz prenant le pas sur l'alcool d'autant que la fabrique n'a plus vraiment fait évoluer ses modèles dans ses locaux au 30 rue des Amandiers.

Les modèles et créations H. Gautreau de 1889 à 1906[modifier | modifier le code]

  1. Réchauds : Le Soigné, Le Démontable, Le Riche, de Table, L'Intermédiaire, L'Intermédiaire Riche, L'Unique, Le Réclame, L'Ordinaire, Le-Cent-Pareil, Les Inséparables, Le Parfait Démontable, de Voyage, Le Cuirassé, Le Soigné Triangulaire, Le Soigné Carré, L'intermédiaire Triangulaire, L'Intermédiaire Carré, Chauffe-assiette à alcool.
  2. Fourneaux : Le Volcan, Le Champion, Le Champion-Jumelle, L'Auxiliaire, L'Auxiliaire-Jumelle.
  3. Lampe : Lampe d'éclairage à l'alcool 'La Favorite' en suspension ou sur pied, Manchon 'Le Favori', Bec pour lampe à alcool.
  4. Calorifère : Calorifère mobile à l'alcool 'L'Equateur'.
  5. Poêlons : Poêlon condensateur, Poêlon 'Riche', Poêlon embouti 'Unique'
  6. Divers : Allumoir spécial, Support pour fer à friser, Bidon de sureté.

Période des ustensiles de cuisine : 1907-1968[modifier | modifier le code]

S'étant fait dérober une bonne partie de ses économies et père de cinq fils encore mineurs (deux autres fils étant décédés en bas-âge), Henri Gautreau se voit contraint de se relancer rapidement, poursuivant sur Bagnolet dans le domaine du fer-blanc avec des ustensiles pratiques pour la ménagère et à des prix abordables. .

1909 : Membre de la 'Société des Petits Fabricants et Inventeurs Français' (SPFIF)[modifier | modifier le code]

La SPFIF était la société organisatrice du Concours Lépine auquel Henri Gautreau participa cette année-là. Il y présenta ses dernières petites inventions[14] parmi lesquelles sa 'Marmite ou Casserole-Jardinière à compartiments'[15] ressortait du lot. Mise en valeur par les médias,[16] puis acceptée à la vente dans les grands magasins[17] elle restera son produit phare pendant quelques années.

La revue scientifique OMNIA[18] en consacra un article soigné et élogieux avec photo à l'appui, une telle attention dans cette revue pour un ustensile de cuisine pouvant paraître surprenant. L'accent de l'article fut mis sur sa fonction permettant une cuisson séparée des différents légumes afin de ne pas mélanger les saveurs dans une même eau contrairement à la Julienne, puis de conclure : "C'est pourquoi la marmite-jardinière, en venant à son aide, gagne ses lettres de noblesse, et mérite son titre d'invention utile".

C'est principalement à cet ustensile que la Maison Gautreau doit ses trois Grands Prix et ses deux médailles d'or obtenus à Paris, Tulle et Châteauroux de 1910 à 1913[19]. Elle sera fabriquée jusqu'en 1939.

1923 : Premier Salon des Arts Ménagers, auquel était intégré le deuxième concours Jean-Barès [20][modifier | modifier le code]

De ce premier Salon Henri Gautreau remporta le septième prix[21] sur les huit en lice ; ainsi que le quatrième prix du concours Jean-Barès[22], ce dernier étant un "concours réservé au inventeurs français pères d'au moins trois enfants, qui auront fait les découvertes les plus utiles à l'industrie française".

En janvier 1924 la revue Recherches et Inventions chargée de rapporter l'évènement des deux concours consacra un numéro spécial du premier Salon où figurent dix appareils de H. Gautreau[23] dont on retiendra l'Eplucheur-laveur[24] à manivelle et surtout le panier à salade bi-coque à barrettes métalliques, surnommé 'Le Restreint'[25], de fabrication entièrement mécanique qui perdurera en une seule taille dans les années 1960 au lieu des trois tailles à l'origine.

Fichier:Les deux paniers a salade catalogue H. Gautreau 1948.jpg
Paniers a salade dont 'Le Restreint' catalogue H.G 1948

Puis en juin de cette année 1924 la revue décrira plus en détail les ustensiles de H. Gautreau[26], cette fois-ci en rapport au concours Jean-Barès, mettant en évidence les nombreux avantages du panier bi-coque par rapport à la méthode traditionnelle de fabrication  : " (...) le travail de la carcasse se trouve simplifié par le moyen d'un nouvel outillage créé entièrement par l'inventeur. Une armature, bande de tôle cambrée et perforée d'un fabrication entièrement mécanique et rapide supporte le fil de fer et n'exige que six branches de tôle au lieu de huit en fil de fer donnant la même solidité. Il suffit d'enrouler le fil dans les encoches et pour ce travail la main d'oeuvre ne demande aucune connaissance spéciale. On évite enfin que l'ouvrière ne se déforme les doigts en ajustant et serrant les fils comme dans l'ancienne fabrication. L'outillage créé permet de faire l'enrobage du fil automatiquement et le rabattage des petites agrafes très rapidement. La moyenne de fabrication est de 150 paniers par jour par ouvrière, au lieu de 15 à 20 au plus à l'ancienne méthode. Enfin, pour faire les expéditions en province ou à l'étranger, les trois modèles de grandeurs de paniers se rentrent les uns dans les autres ; le poids est de 70 à 100 grammes moins lourd et moins volumineux, tout en étant aussi solide que les anciens modèles".

1935 : Création du premier panier à salade souple et pliant[27].[modifier | modifier le code]

La vente du panier à salade bi-coque 'Le Restreint' breveté en 1923 marchait bien mais Henri Gautreau et son fils Maurice n'en restèrent pas sur ce modèle avec la conception d'un second d'une toute autre allure qu'ils surnommèrent 'Le Champion' ou 'L'Extra-Souple', panier métallique pour usages multiples[28]. Il se fabriquera en deux tailles jusque dans les années 1960. Ce panier souple avait la nouvelle particularité d'accompagner le mouvement de la salade pour en accentuer l'essorage lors du balancement du bras.

Le fil de tissage, très fin, fut copié sur les éponges métalliques. Bien coopératif le fabriquant suisse de ces modèles d'éponges accepta de fournir le cylindre de fabrication, comprenant qu'il ne serait pas utilisé pour du tissage d'éponge. Cependant la mise au point de cette fabrication durera deux années. Pour être adaptable à sa nouvelle fonction Le cylindre d'occasion demanda rénovation et transformation. Le plus long fut de concevoir une filature de fil de fer assez résistante et souple à la fois afin que la maille ne casse pas au montage autour des cames en acier trempé. On utilisa du fil électrique galvanisé.

Enfin le 23 janvier 1936 Henri Gautreau surnomma 'Le Tabarin' le nouvel outil à fabriquer les paniers 'Extra-Souples'. Autour de cette délicate machine à tricoter un travail à la chaîne devait être prévu pour assurer chacune des quinze passes. Pour être rentable une seconde machine sera nécessaire après la guerre, avec une douzaine de sertisseuses, des outils à percer, couper, mettre en forme, cercler[29].

1947 : L'après Henri Gautreau[modifier | modifier le code]

Le panier pliant H.G agrandi en bourriche 'La Parisienne', modèle 1950

Ses fils poursuivront les perfectionnements de l'existant, avec pour le panier souple l'élaboration en 1950 d'une machine à les agrandir permettant la création d'une bourriche à poissons pliante à doubles gonflages, modèle 'La Parisienne'[30]. Une première dans le genre.

Les deux versions de paniers à salade H.G figurèrent dans les catalogues[31], dictionnaires[32]et revues[33] en rapport aux arts ménagers, avec une forte activité de vente dans les années 1950. C'est à ce moment là qu'apparurent les nouveaux paniers souples à mailles dites Fouineteau (du nom du concepteur), maillage plus solide à fil inoxydable et d'un étamage plus facile à réaliser car non tissé en 'spirales' comme H.G, ce sont les fabrications que l'on retrouve encore de nos jours.

Vers 1952 à l'initiative d'un fabricant de matière plastique de l'Ain, Guillemin, deux modèles du bi-coque 'version plastique'[34] verront le jour sous licence. Ils étaient reconnaissables à leur forme conique d'origine et à leur marquage H.G breveté, made in France.

Des versions tout en arrondies leur succédèrent rapidement. Celles-ci, créées par d'autres fabricants y compris des copies asiatiques illégales de basse qualité, ralentiront énormément les ventes de la marque H.G[35], avant l'extinction de la fabrique quelques années plus tard.

Les modèles et créations H. Gautreau et fils de 1907 à 1962[modifier | modifier le code]

- Avant 1920 : Porte-allumettes à sonnerie - Porte-allumettes perfectionné - Salière-double à sonnerie - Anse démontable pour bouteilles - Guide-mêches anti-fumée - Bac-égouttoir pour vaisselle - Lessiveur à tube injecteur mobile 'Le Lessiveur' - Vaporisateur à parfum - Pince à lavette - Appareil coupe-légumes - Accroche-serviettes - Accroche-balai - Essuie-mains - Brûloir à café pour réchaud - Bassine à friture avec égouttoir - Couvercle spécial pour bassine à friture - Poêle à frire 'Coupe-Lyonnaise' - Boîte à ordure 'La Wagonnette' - Piège à mouches - Casserole-Légumière à grille double - Passoire-légumière vapeur avec grille - Casserole-Jardinière à compartiments - Marmite 'Culina' - Casserole à légumes avec passoire - Essuyeur rallonge-plumeau - Panier salade le Restreint en toile - Dessous de bouteille de table - Pulvérisateur médical - Arrache-bouchon.

- Après 1920 : Appareil rotatif pour épluchage rapide 'L'Eplucheur-Laveur' - Panier à salade bi-coque 'Le Restreint' - Nettoie-couteau - Polissoir à fourneau - Lavette-époussette - Panier à cuire les asperges 'Le Cuiseur' - Grill à pain-réchauffe-plat - Égouttoir à friture avec poignées supports - Tendeurs à chaussures - Manche pour éponge métallique 'Spiro' - Protecteur souple pour éponge et tampon métallique - Presse-purée à grille métallique 'Pilon-tamiseur' - Panier à salade pliant et souple à usages multiples dit Le Champion', 'Extra' et 'Inox' - Dispositif protecteur pour supporter les fers à repasser les plats ou analogues - Bourriche à poissons 'La Parisienne', Bourrichette 'Jutobu', Panier à salade Le Restreint version plastique.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • La Revue française de Généalogie, numéro 127 d'avril/mai 2000, pages 28-29, "Le roman vrai d'un bienfaiteur de l'humanité", par Pierre-Gabriel Gonzalez.
  • d'Hier à Demain, Étude des modes de vie à travers les objets domestiques, numéro 18, 4ème trimestre 1997, J. & JP Guélon, Juvisy. Vie des constructeurs : "Henri Gautreau et sa première fabrique (1886-1906)", pages 55 à 60, par Philippe Gautreau.
  • 60 ans d'Arts Ménagers, tome 1 (1923-1939), Jacques Rouaud, Syros éditions, Paris, 1989, page 16 pour Gautreau.
  • Fil de fer, Objets domestiques, Abbeville Press, 1995, page 48 panier à salade bi-coque 'Le Restreint'.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Avant 1895 les réchauds à alcool étaient dits à 'esprit de vin', alcool non dénaturé qui ne contenait pas encore un amérisant non toxique (méthylène) le rendant impropre à la consommation.
  2. Brevet numéro 202 012 du 18 novembre 1889
  3. Brevet numéro 383 789 du 7 décembre 1898, additif du 22 mars 1902
  4. Almanach de la Quincaillerie et des Industries qui s'y rattachent, Paris, , p. 116 (dessin), rubrique 'Réchauds à alcool'
  5. Brevet numéro 329 498 du 18-02-1903 (forme carrée), puis additif du 05-03-1903 (forme triangulaire) http://bases-brevets.inpi.fr/fr/document/FR1564E/publications.html?p=5&s=1478954543934&cHash=0345fec6392de3f9da64e1f1b8d78869 (erreur sur la planche du dessin qui n'est pas en rapport au brevet, vu le 12 novembre 2016))
  6. Guillaume Gautreau dit Pierre (1902-1988), sixième fils de Henri Gautreau., Cahiers de mémoires, archives familiales., Viry-Chatillon, 1980-1984
  7. 1) Goulart, Quincaillerie, Fabrique d'ustensiles de ménage - Album, Paris, rue de la Roquette, 35 & 37, 1893, 102 p., p. 92 --- 2) Rebattet & Cie, Comptoir Français de Quincaillerie - Catalogue général, Paris, Boulevard Richard-Lenoir, 72-74, 1904, 764 p., p. 551 et 574 -16 modèles H.G dont 8 en dessins --- 3) E. Leroux, Quincaillerie et Articles de Paris en Gros - Catalogue, Paris, rue Froissard, 6, 1909, p. 22 - 23 modèles H.G dont 14 en dessins --- 4) E. Eeckhout, Ustensiles de ménage - Catalogue, Paris X, 68-70 Quai de Jemmapes et 1-3-5-7 rue Alibert, 1912, 170 p., p. 74, 123, 124 et 126 - 6 modèles H.G en dessins : le 'Volcan', le 'Triangulaire', les 'Inséparables, le 'Facile', 'L'Intermédiaire', le 'Transparent'-
  8. 1) Aux Galeries Lafayette, Porcelaine, Orfèvrerie, Ménage - Catalogue, Paris, 1906, 70 p., p. 37 - deux modèles H.G dont le Volcan --- 2) Au Bon marché, Maison A. Boucicaut, Articles de ménage - Catalogue, Paris, 1908, 58 p., p. 15 et 48 - deux modèles H.G dont le Volcan --- 3) Le Louvre, Ustensiles de Ménage - Catalogue général, Paris, 1910, p. 38
  9. Maison Universelle, Crédit Moderne, Ustensiles de Ménage et Articles de Paris - Catalogue général, Tarn, Albi, place du Vigan, 7, vers 1910, p. 35 (modèle H.G dit 'L'Ordinaire')
  10. H.Gautreau, successeur G. Bénard, Fabrique spéciale de réchauds transparents, lampes d'éclairage et calorifères à alcool. Extrait du catalogue, Paris, , 6 p.
  11. Guillaume Gautreau dit Pierre (1902-1988), sixième fils de Henri Gautreau., Cahiers de mémoires, archives familiales, Viry-Chatillon, 1980-1984
  12. Annuaire du commerce pour Paris, Paris, DIDOT-BOTTIN, , p. 2933 (avec dessin)
  13. Laurence frères, succ. de L. Robert, Quincaillerie en gros et Articles de Paris, Paris X, 4 avenue Richerand, , p. 55
  14. Le Petit Fabricant, catalogue de la SPFIF, 1909, page 49 : Casserole-jardinière. Essuyeur-rallonge plumeau. Salière à sonnerie. Réveil tirelire. Anse porte-bouteille, Accroche-balai. Accroche-serviette.
  15. Brevet du 31 mai 1910, numéro 416 576 http://bases-brevets.inpi.fr/fr/document/FR416576/publications.html?p=5&s=1478768601711&cHash=428bc754e42112383d2ef64cf5fb55ec
  16. Journal L'ILLUSTRATION, Paris, n°3538, rubrique 'Nouvelles inventions', 1910 le 17 décembre, dos de couverture.
  17. 1) Grand Bazar de l'Hôtel de Ville - Ménage, chauffage, éclairage, Paris, rue de Rivoli, p. 12 (Casserole à légumes à 3, 4 ou 5 compartiments --- 2) Aux Galeries Lafayette, Catalogue spécial de Ménage, Paris, rue Lafayette, Boulev. Haussemann, 1914, 46 p., p. 12 Casserole-Jardinière à 3, 4, 5 ou 6 compartiments
  18. Revue Pratique des Sciences OMNIA, Paris, n° 263, rubrique 'Inventions nouvelles', 1911 le 14 janvier, p. 7 de la seconde partie
  19. Encadré sur catalogue Henri Gautreau & Fils, Fabrique d'articles pour ménage et cuisine, année 1937, 4 p.
  20. Il n'y eu pas de troisième édition du concours Jean Barès qui s'effacera devant le Salon des Arts Ménagers désormais plus prisé.
  21. Revue Recherches et Inventions, n°8 du 1er février 1924, page 369 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5779838m/f27.item.r=recherches+inventions
  22. Revue Recherches et Inventions, n°14 du 1er mai 1924 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5779926r/f22.item.r=recherches+inventions
  23. Revue Recherches et Inventions, numéro spécial du 15 janvier 1924, pages 326 et 327 : Eplucheur-laveur, accroche-serviettes, accroche-balai, brûloir à café, casserole-jardinière, lessiveuse ménagère, grill-pain, bac-égouttoir, pince à lavette, panier à salade bi-coque.http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57790613/f130.image.r=recherches%20inventions
  24. 1) Brevet n°552 660 du 8 juin 1922 http://bases-brevets.inpi.fr/fr/document/FR552660/publications.html? p=5&s=1478756651678&cHash=6f8db30bf6e022a8acb12d8246d53a52 --- 2) Au Bon marché, Maison A. Boucicaut, Ménage - Service de table, Orfèvrerie - Catalogue -, Paris, avec l'Eplucheur- Laveur HG, de 1923 à 1933 --- 3) Grand Bazar de Lyon - Catalogue Général, Lyon, rue de la République, avec l'Eplucheur-Laveur HG, de 1930 à 1936
  25. 1) Brevet n° 564 909 du 6 avril 1923 http://bases-brevets.inpi.fr/fr/document/FR564909/publications.html? p=5&s=1478954259490&cHash=ef159dd118698efddd6cfd6313699e10 --- 2) Camille Rousset, Annuaire de la Quincaillerie et des Métaux, Paris, panier à salade Le Restreint page 981
  26. Revue Recherches et Inventions, n°16 du 1er juin 1924, pages 571, 572 et 573. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5779976n/f22.item.r=recherches+inventions
  27. Paul Breton, L'Art Ménager Français - Dictionnaire, Paris, Flammarion, , 1304 p., p. 697 (photo, modèle de droite)
  28. Brevet n° 791 353 du 17 juin 1935 http://bases-brevets.inpi.fr/fr/document/FR791353/publications.html?p=5&s=1478768601711&cHash=7d0b17c9a80aab4e3842a654ed24accf
  29. Guillaume Gautreau dit Pierre (1902-1988), sixième fils de Henri Gautreau., Cahiers de mémoires, archives familiales, Viry-Châtillon, 1980-1984
  30. Catalogue Ménage & Cuisine, H. Gautreau, 1952, Paris, rue Ramus
  31. 1) Comptoir Général de la Bimbeloterie - Articles de Ménage, Paris III, mars 1935, 70 p., p. 13 ('Le Restreint' et six autres articles H.G --- 2) Etablissements Blondel - Catalogue, Paris XIX, rue des Flandre, 47, 1954, 170 p., p. 49 n°6755 panier à salade pliant --- 3) Comptoir Général de la Bimbeloterie - Articles de Ménage, Paris III, rue des Haudriettes, 4 à 8, janvier 1961, 125 p., p. 27, 28 et 31 panier super Inox pliant et Le Restreint
  32. 1) Paul Breton, L'Art Ménager Français - Dictionnaire, Paris, Flammarion, 1952, 1304 p., p. 697 photo, modèle de droite --- 2) Nouveau Larousse Ménager - Dictionnaire, Paris, Librairie Larousse, 1955, 1170 p., p. 820 photo, numéros 5 et 7
  33. 1) Arts Ménagers, Paris, Arts Ménagers Éditions, avril 1953, n°40, 142 p., p. 64-65 Le Restreint et le panier pliant --- 2) Arts Ménagers, Paris, Arts Ménagers Éditions, mai 1958, n°101, 208 p., p. 105, 107 et 192 Le Champion - pliant et Le Restreint
  34. Arts Ménagers, Paris, Arts Ménagers Éditions, mai 1958, n° 101, 208 p., p. 106-107 La Matière Plastique et Le Restreint version plastique
  35. Guillaume Gautreau dit Pierre (1902-1988), sixième fils de Henri Gautreau., Cahiers de mémoires, archives familiales, Viry-Châtillon, 1980-1984