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Utilisateur:NOEL-GUITELMAN/Brouillon

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Thierry Noël-Guitelman[modifier | modifier le code]

Thierry Noel-Guitelman est un journaliste français né à Paris, le 30 mars 1953. Il vit à Toulouse (Haute-Garonne).

Carrière[modifier | modifier le code]

Thierry Noel-Guitelman a fait ses études l'ENCPB de Paris, jusqu'au baccalauréat, puis de 1971 à 1974 à l'université Paris VII où il obtient la licence en sciences de l'information. Bernard Cuau, son professeur d'études cinématographiques, lui conseille de s'orienter vers le journalisme.

En 1973, il effectue un stage à Inter TV, rédaction de l'ORTF liée à la Direction des Affaires Extérieures et de la Coopération du ministère des Affaires Etrangères.

En 1974-1975, il collabore aux desks de France Culture et France Inter à la Maison de la Radio, et les desks d'Inf 2 et de la première chaîne, rue Cognacq-Jay. Parallèlement, il participe à la revue "Interférences", fondée par Antoine Lefébure, à l'initiative en 1977 de l'association pour la Libération des ondes qui permettra, en 1981, l'émergence des radios libres.

En septembre 1975, il intègre le bi-hebdomadaire L'Action Républicaine, à Dreux (Eure-et-Loir), propriété de la Socpresse de Robert Hersant. Henry Morny, directeur du développement au quotidien "Le Figaro", et ancien directeur de "L'Action" de 1960 à 1972, lui demande de tester les premiers ordinateurs portables ramenés des Etats-Unis.

Journaliste titulaire en 1976 (carte de presse n° 38013), il devient responsable de la rédaction drouaise en 1980, puis en juillet 1982, rédacteur en chef adjoint sous la responsabilité de Michel Langlois, directeur-rédacteur en chef.

Il rejoint ce dernier, nommé directeur de La Liberté du Morbihan, à Lorient (Morbihan), en novembre 1982 au poste de secrétaire général de la rédaction, pour restructurer ce quotidien du groupe Hersant. Le journal du soir fondé en 1944 [1], publié le matin depuis 1981, abandonne sa fabrication au plomb pour le montage off-set et son impression est transféré à Nantes, sur la rotative du quotidien Presse-Océan.

En avril 1983, il participe à l'informatisation du secrétariat de rédaction de l'édition vendéenne de "Presse-Océan" à La Roche-sur-Yon (Vendée), développée par la société Datox.[2]

En octobre 1983, il accepte une mission comparable au bi-hebdomadaire Le Pays d'Auge(Calvados).

En avril 1984, il revient en Eure-et-Loir, à L'écho républicain, quotidien du Groupe Lagardère dont le rédacteur en chef est Alain Genestar, et Alain Bouzy, son adjoint. En 1988, ill devient chef de centre de la rédaction de Chartres.

En mai 1990, on lui confie le projet de mise en page informatisée, avec le système Crosfield 2330, alors adopté par plusieurs titres ("Today" à Londres, "L'Unita" en Italie, "Saaba" en Turquie, et l'hebdomadaire "Le Figaro magazine" en France).

En septembre 1991, il quitte le groupe Lagardère, pour rejoindre le groupe La Nouvelle République du Centre-Ouest (NRCO), dont le siège est à Tours (Indre-et-Loire).

Directeur départemental de la rédaction des Deux-Sèvres, cette édition sera, en 1993, pilote pour l'informatisation des rédactions du quotidien régional.

Nommé en 2001 à Tours, il est chargé de la rubrique éducation, la rédaction des informations générales. Jusqu'en 2009, il est délégué de l'ARPEJ[3] (Association Région Presse Education Jeunesse), émanation du SPQR (Syndicat de la Presse Quotidienne Régionale) pour promouvoir la presse à l'école.

En septembre 2002, responsable adjoint de la rédaction locale de Tours, il initie à partir de 2003 un partenariat avec l'université François-Rabelais de Tours autour de la rubrique hebdomadaire "Campus", consacrée à la vie étudiante et à l'institution universitaire. Une formule développée par la suite à Blois, et avec l'université de Poitiers.

En 2010, il quitte la NRCO. De février 2011 à août 2012, il assure les fonctions de directeur de la communication de l'université François-Rabelais de Tours et est chargé de cours à l'EPJT (Ecole publique de journalisme de Tours) en économie de la presse et à l'UFR de sciences et techniques, en communication de crise pour le master Droit et biotechnologies.

Membre de l'association "Médias et diversité" [4], présidée par Dominique Gerbaud, président de Reporters sans Frontières de 2009 à 2013, il anime en 2010-2011 l'émission "On refait l'actu" de la radio RCF à Tours, avec les étudiants de l'EPJT.

A la retraite depuis 2013, il vit à Toulouse où il intervient bénévolement au sein de l'association "La Chance aux concours" [5]qui aide des étudiants boursiers à préparer les concours d'entrée aux écoles de journalisme.

  1. « L'histoire de La Liberté du Morbihan : site de la Société Archéologique du Pays de Lorient »
  2. Datox, société française fondée en 2001 par cinq ingénieurs, deviendra Wedia en 2005. Pendant 20 ans, la société s'est développée sur le marché de la presse quotidienne. En 2004 Datox s'est rapprochée d’Eurocortex, principale référence dans la gestion de contenus pour la presse. Les deux sociétés complètent leur offre et deviennent le premier groupe français spécialisé dans la mise en œuvre de solutions logicielles dédiées aux professionnels de la presse. Wedia a développé Open, une solution globale et modulaire pour la presse et les médias : gestion de contenus, gestion éditoriale , gestion de la publicité, gestion de la collecte des contenus, traitement métier des contenus, gestion des sujets, back office, business intelligence.
  3. « Site de l'ARPEJ : La presse à l'école »
  4. « Médias et diversité »
  5. « Site de La Chance aux concours »