Utilisateur:Louis-garden/Reliques italiennes
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Sujets et symboles dans l'art[modifier | modifier le code]
- James Hall (1918-2007) et son ouvrage Dictionary of Subjects and Symbols in Art, Dictionnaire des sujets et des symboles dans l'art, (1974), (ISBN 978-0719541476)
- Andrea Mantegna, La Vestale Tuccia avec un tamis (symbole de chasteté),
Symboles religieux[modifier | modifier le code]
- Couronne de branches de palmiers : symbole du martyre. « Liste des représentations avec palme dans les musées français », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
Reliques italiennes religieuses (catholiques)[modifier | modifier le code]
Preziosissimo Sangue di Cristo, Saint-André de Mantoue[modifier | modifier le code]
Terre imprégnée du sang du Christ rapportée par Longin le centurion, reliquaire dans la crypte de la Basilique Saint-André de Mantoue
La chapelle du Corporal du Duomo d'Orvieto[modifier | modifier le code]
Dans le bras gauche du transept, s’ouvre la chapelle du Corporal (1350-1355) qui tire son nom du reliquaire du Corporal, réalisé par Ugolino di Vieri en argent recouvert d’émaux translucides, qui contenait la petite nappe d'autel du miracle de Bolsena. En 1263, un prêtre de Bohème disant la messe vit du sang suinter de l’hostie et tacher le corporal qui recouvrait l’autel. Le pape Urbain IV demanda qu’on transporte le corporal à Orvieto. En réalité, le linge sacré est désormais exposé dans le tabernacle en marbre (1358) placé sur l’autel. Le cycle de fresques d’Ugolino di Prete Ilario qui décore la chapelle raconte l’histoire du Corporal. On y trouve la Madonna dei Raccomandati le chef-d'œuvre de Lippo Memmi.
Le Saint Berceau de la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome[modifier | modifier le code]
Le Sacro Catino[modifier | modifier le code]
Ce serait l’assiette que, selon la tradition diffusée en Palestine, Jésus Christ avait utilisée pendant la Cène (pour y manger l’agneau de Pâques).
Il aurait été rapporté en la Duomo di San Lorenzo de Gênes (Italie) du temps des premières croisades, par Guglielmo Embriaco (dit "Tête de Maillet", envoyé par le pape Pascal II pour venir en aide à Baudouin de Boulogne), soit de Césarée de Palestine (mission de 1101), soit d'un temple construit par Hérode Ier le Grand en l'honneur d'Auguste à Jérusalem (mission de 1099).
Sacro Cingolo au Duomo de Prato[modifier | modifier le code]
La Santa Cintola ou Sacra Cintola ou le Sacro Cingolo est la Sainte-Ceinture, une relique de la Vierge Marie, conservée au Duomo de Prato, en Toscane.
Les fresques d'Agnolo Gaddi, de la la chapelle de la Sainte-Ceinture, relate l'histoire de la relique, qui, selon un texte apocryphe des Ve et VIe siècles, aurait été obtenue par saint Thomas apôtre, qui ne voulant pas croire à l'Assomption de la Vierge, aurait fait ouvrir son tombeau, le trouva plein de fleurs, et aperçu la vierge lui tendant sa ceinture en levant les yeux.
La relique aurait été rapportée de Jérusalem par le marchand de Prato Michele Dagomari en 1141 qui l'aurait reçue en dot (ou volée) du père de son épouse en Palestine.
Elle est conservée dans la chapelle du Duomo et présentée à la foule cinq fois par an (8 septembre, Noël , Paques, Ier mai, 15 août) depuis la chaire extérieure, située à l'angle droit du Duomo, sous un chapiteau en bronze de Michelozzo, la Pergamo del Santo Cingolo, recouverte des bas-reliefs de la Danse des Putti, de Donatello.
Outre la grande foule des fidèles, la Cintola est et a été vénérée par de nombreux personnages illustres comme saint François en 1212, le pape Alexandre V et le roi Louis d'Anjou en 1409, saint Bernard en 1424, le pape Eugène IV et l'empereur byzantin bizantino Jean VIII Paléologue en 1439, Jeanne d'Autriche en 1565 et Marie de Médicis en 1600, le pape Pie VII en 1804 et 1815, le pape Pie IX en 1857 et le pape Jean-Paul II en 1986.
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Chapelle de la Ceinture de la Vierge au Duomo
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Chaire extérieure du Duomo
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Ostentation de la relique depuis la chaire extérieure
Autre représentation de la Cintola[modifier | modifier le code]
- À Santa Fiora, un bas-relief en terracotta invetriata d'Andrea della Robbia représente la Vierge montant au ciel et laissant pendre sa ceinture.
Reliques italiennes profanes[modifier | modifier le code]
Galilée[modifier | modifier le code]
- La colonne vertébrale de Galilée à l'université de Padoue
- Est conservée à l'académie, l'épine dorsale de Galilée ; ce qui fait écrire à André Suarès, dans son Voyage du Condottière :
« Peuple à reliques : ils ont aussi l'épine dorsale de Galilée, à l'Académie, en rien différente d'une autre épine, un os à moelle pour le pot-au-feu du dimanche. Il faudrait mettre le tout dans un tronc à la Sainte Science ou à Saint Antoine. »
— page 119, éditions Émile-Paul
- Index de Galilée conservé au musée de l'Histoire de la science (Florence)
Au Musée de la Storia della Scienza (Histoire des Sciences) de Florence, près des Offices, dans une des vitrines consacrées à de nombreux instruments de Galilée, on trouve également la relique momifiée de l'index de Galilée, celui-là même ayant désigné les astres qu'il voyait avec sa lunette.
Sainte Catherine de Sienne[modifier | modifier le code]
Sa tête dans un reliquaire vitrée de sa chapelle à San Domenico de Sienne (le reliquaire de transport de sa tête et un de ses doigts dans une vitrine proche).