Utilisateur:L' empereur Charles/travaux 2

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56e régiment d’infanterie
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Insigne régimentaire du 56e Régiment d’Infanterie.

Création 1635
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'Infanterie
Rôle Infanterie
Devise Dignes de nos aînés
Inscriptions
sur l’emblème
Valmy 1792
Caldiéro 1805
Essling 1809
Solférino 1859
La Mortagne 1914
Verdun 1916
Picardie 1918
La Somme 1940
Anniversaire Saint Maurice
Fête le 22 mai (1809, Essling).
Guerres Guerres sous l'ancien régime
Guerre de Sept Ans
Guerres napoléoniennes
Guerre franco-allemande de 1870
Première Guerre mondiale
bataille de France
Fourragères aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918
Décorations croix de Guerre 1914-1918
deux palmes
médaille d'or de la Ville de Milan

Das 56e régiment d'infanterie (56e RI) war ein Infanterieregiment der französischen Armee.

Ordonanzfahne bis 1791

Aufstellung und Umbenennungen[modifier | modifier le code]

  • 1635 : Aufgestellt als Régiment d'Enghien.
  • 1686 : Umbenennung in Régiment de Bourbon.
  • 1791 : Umbenennung in 56e régiment d'Infanterie.
  • 1794 : Umbenennung in 56e demi-brigade de bataille.
  • 1796 : Umbenennung in 56e demi-brigade de ligne.
  • 1803 : Umbenennung in 56e régiment d'infanterie de ligne.
  • 1815 : Légion de la Seine-et-Marne.
  • 1820 : Umbenennung in 56e régiment d'infanterie de ligne.
  • 1870 : Umbenennung in 56e régiment d'infanterie.
  • 1870 : Umbenennung in 56e régiment provisoire d'infanterie. (Provisorisches Infanterieregiment)
  • 1882 : Umbenennung in 56e régiment d'infanterie.
  • 1914 : Bei der Mobilisation wurde aus dem Bestand das 256e régiment d'infanterie als Reserveregiment aufgestellt
  • 1923 : Auflösung (Die Tradition wurde vom 134e régiment d'infanterie de ligne fortgeführt.)
  • 1939 : Wiederaufstellung als 56e régiment d'infanterie.
  • 1940 : Nach dem Waffenstillstand demobilisiert

Colonels/Chef de brigade[modifier | modifier le code]

Historique des garnisons, combats et batailles du 56e RI[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Kriege der Revolution und des Empire[modifier | modifier le code]

« Ce n'est point ici, c'est dans la redoute qu'il faut nous arrêter. » Lieutenant Piat, 1793.

« On doit des éloges à la 56e demi-brigade. » Général Moreau, 1796.

1815 à 1848[modifier | modifier le code]

« Le duc de Reggio se loue beaucoup de la conduite du 56e de Ligne. » Napoléon, 1812.

  • Espagne 1826-1828
  • Conquête de l'Algérie 1841-1848

Second Empire[modifier | modifier le code]

Au 1er août 1870, le 56e régiment d'infanterie fait partie de l'Armée du Rhin.

Avec le 1er bataillon de chasseurs du commandant Bureau et le 3e régiment de zouaves du colonel Bocher, le 56e forme la 1re brigade aux ordres du général Fraboulet de Kerléadec. Cette 1re brigade avec la 2e brigade du général Lacretelle, deux batteries de 4 et une de mitrailleuses, une compagnie du génie constituent la 4e division d’infanterie commandée par le général de division De Lartigue. Cette division d'infanterie évolue au sein du 1er corps d'armée ayant pour commandant en chef le Maréchal de Mac-Mahon, duc de Magenta.

  • 3 août 1870 : En place à Strasbourg.
  • 5 août 1870 : 4e division, en avant d'Eberbach, et couronnant les crêtes depuis le saillant nord-est du Niederwald jusqu'en face du Bruck-Mühle.
  • 6 août1870 : Bataille de Frœschwiller-Wœrth.
  • 7 au 14 août 1870 : Retraite sur Châlons.

Au 17 août 1870, le 56e régiment d'infanterie fait partie de l'armée de Châlons.

Avec le 1er bataillon de chasseurs du capitaine Briatte et le 3e régiment de zouaves du colonel Bocher, le 56e forme la 1re brigade aux ordres du général Fraboulet de Kerléadec. Cette 1re brigade avec la 2e brigade du général Carray de Bellemare, deux batteries de 4 et une de mitrailleuses, une compagnie du génie constituent la 4e division d’infanterie commandée par le général de division De Lartigue. Cette division d'infanterie évolue au sein du 1er corps d’armée ayant pour commandant en chef le général de division Ducrot.

1870 à 1914[modifier | modifier le code]

  • Décembre 1870 : Création à Langres du 2e bataillon du 56e régiment provisoire d'infanterie.
  • 16 décembre 1870 : Combat de Longeau
  • 1900 : casernement à Chalon-sur-Saône

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

  • 1918 : Champagne, Picardie, Bataille de Saint Quentin.

"Régiment d'élite." Citation, 1918.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

insigne de béret d'infanterie

Formé le 7 septembre 1939 par le CMI n°82 à Macon (Centre Mobilisateur d’Infanterie) sous les ordres du lieutenant-colonel Bourquin puis le 10 juin 1940 sous les ordres du commandant Chauveau de Quercise. Il appartient à la 16e division d'infanterie, 8e région militaire de Dijon, il est composé de trois bataillons puis de la 13e compagnie de pionniers.

De février à mai 1940, il est sur le secteur fortifié d'Haguenau.

Du 24 mai au 9 juin 1940, la 16e division d’infanterie participe à la Bataille au sud d'Amiens en tenant le village de Saint Fuscien. La partie du secteur tenue par le 56e RI s'étend entre la grande route d'Amiens à Paris incluse et celle d'Amiens à Mondidier exclue. Pendant la bataille, la division détruit plus de 136 panzers III et IV sur les 196 chars.

Le 26 juin 1940, les éléments restants de la division sont rassemblés dans la région de Beaumont-du-Périgord, puis démobilisés.


Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918

Regimentsfahne des 56e RI[modifier | modifier le code]

Vereinfacht dargestellte Regimentsfahne mit den aufgeführten Schlachten, an denen das Regiment seit der Revolution teilgenommen hat. [1][2]

Auszeichnungen[modifier | modifier le code]

Das Fahnenband ist mit dem Croix de Guerre 1914-1918 mit zwei Palmenzweigen und der Goldmedaille der Stadt Mailand dekoriert. 20px.

Die Angehörigen des Regiments haben das Recht, die Fourragère in den Farben des Croix de Guerre 1914-1918 zu tragen.[3]

Devise[modifier | modifier le code]

Dignes de nos aînés
Unserer Ahnen würdig

Uniformierung[modifier | modifier le code]

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française, Général Andolenko, Eurimprim 1969.
  • Histoire générale de la guerre franco-allemande (1870-1871), Commandant Rousset, tomes 1 et 2, L'Armée Impériale

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Bestimmung n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT vom 14. September 2007 über das Aussehen der Inschriften auf den Fahnen und Standarten der Truppenkörper des Heeres, des Sanitätsdienstes und der Treibstoffversorgungsbranche. Veröffentlicht mit dem offiziellen Armeebulletin Nr. 27 vom 9. November 2007
  2. Auftrag AFN 1952–1962 über die Zuweisung der Inschriften auf den Fahnen und Standarten der Formationen der Armee und der Dienste vom 19. November 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
  3. Gemäß den französischen Gepflogenheiten ist eine Wiederaufstellung der Einheit zu jeder Zeit möglich.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]