Utilisateur:EtienneRP/Brouillon
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Jean Ferdinand Léon Etienne Léon Etienne | |
Naissance | Rives |
---|---|
Décès | (à 69 ans) Paris |
Arme | Artillerie |
Grade | Chef d'Escadron |
Années de service | 1876 – 1913 |
Conflits | Première Guerre mondiale |
Distinctions | Légion d'honneur[1] |
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Léon Etienne ( Rives (Isère), Isère, France - Paris, France) a été chef d'escadron d'artillerie, et termina sa carrière militaire comme attaché à la personne du Grand Chancelier de la Légion d'Honneur, de 1905 à 1912. Ancien élève de l'École d'application de l'artillerie et du génie qui est une école militaire et une école d’application de l’École polytechnique, (promo 1879) et affecté successivement comme officier en plusieurs régiments d'artillerie, il occupa aussi les postes de directeur-adjoint de la Manufacture d'armes de Saint-Étienne en 1889, Inspecteur d'armes à l'école d'artillerie d'Angoulême, puis celle de Versailles. En 1895, il fut affecté à l’état-major de l’École supérieure de guerre en 1895, puis à l’état-major du Gouverneur militaire de Paris en 1901. Rayé du tableau d'avancement de 1901 par le ministre de la Guerre Louis André, en raison de ses opinions cléricales bien connues, il reçoit fin 1903 le commandement d'une compagnie dans le Bataillon du 17° corps d'armée commandé par le général Pétain, et fin 1904, est affecté comme chef d’état-major du 6°corps d'armée à Chalon s/Marne.
Biographie familiale
[modifier | modifier le code]Il est issu d'une ancienne famille Estienne-Rossignol originaire de la vallée de la Vallouise et dont une branche s'établit dans le Dauphiné vers 1650, à Saint-Lattier), dont son grand-père, Jean Etienne, fut maire pendant quarante ans. Son père était notaire à Rives, et du coté de sa mère il connut tout une famille de militaires, les Mathieu de Virieu. Il épousa en 1888 Clotilde Salviany, fille d'un gantier de Grenoble ; il eurent deux filles et un garçon. Ce dernier, Maurice Etienne, fut mobilisé comme Sous-Lieutenant au 367ème Régiment d'Infanterie et trouva la mort au champ de bataille le 28 juin 1917 lors de l'assaut donné à la fameuse cote 304 à l'est d'Avocourt près d'Esnes. Le récit de ce père meurtri est raconté dans ses mémoires en 1921. [2] Sa fille ainée, Magdeleine, épousera le futur général Pierre Hanoteau, Polytechnique promo 1910 et Ingénieur en Chef Fabrique d'Armement et sa cadette, Simone, épouse Henry Crepey, le fils du général Albert Crepey. Léon Etienne s'éteint à Paris en 1927 après avoir rédigé La vie et la mort de Maurice Etienne 1890-1917, en mémoire à son fils Maurice.
Décorations
[modifier | modifier le code]Références
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