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BROUILLON DE LA MODIFICATION DE L'ARTICLE : SUPERMARINE SEAFIRE


Seafire
Vue de l'avion.
Un Seafire XV en service dans la Royal Canadian Navy

Constructeur Supermarine
Rôle Chasseur embarqué
Mise en service
Nombre construits 2 234
Équipage
1
Motorisation
Moteur Rolls-Royce Merlin 55M
Nombre 1
Type V-12 à refroidissement liquide
Puissance unitaire 1 585 ch
Dimensions
vue en plan de l’avion
Envergure 11,23 m
Longueur 9,21 m
Hauteur 3,86 m
Surface alaire 22,5 m2
Masses
À vide 2 814 kg
Maximale 3 565 kg
Performances
Vitesse de croisière 350 km/h
Vitesse maximale 578 km/h
Plafond 9 753 m
Vitesse ascensionnelle 800 m/min
Rayon d'action 825 km

Le Supermarine Seafire est une version navale du Supermarine Spitfire spécialement adaptée à des opérations menées depuis un porte-avions. Le nom Seafire vient de la contraction du nom Sea Spitfire.

À RÉPARTIR ENTRE LE RI ET LE PREMIER CHAPITRE

Au début de la Seconde Guerre mondiale, la Royal Navy ne dispose d'aucun chasseur monoplace embarqué capable de d'affronter avec succès les avions de l'Axe. En effet, ses chasseurs bi-places multi-mission, plus lourds, sont forcément moins performants en combat aérien. Aussi, pour la durée du conflit, l'obtention de chasseurs monoplaces se fera soit par navalisation de modèles terrestres britanniques existants comme le Sea Gladiator, le Sea Hurricane puis le Seafire, soit par l'achat d'avions américains qui, eux ont été développés pour la marine. Le développement du Seafire est quant à lui retardé tant que la défense de l'Angleterre exige de donner la priorité à la production du Spitfire pour la RAF. Le Seafire n'entre finalement en service qu'en 1942.

Les modèles en service pendant le conflit sont des dérivés du Spitfire Mk V, équipés de moteurs Rolls-Royce Merlin. Une deuxième génération, équipée de moteurs Griffon, n'entrera en service qu'après la fin de la guerre. Cette deuxième génération ne connaîtra le combat que très brièvement, au début de la Guerre de Corée.

Deux grandes sous-familles : les modèles à moteurs Merlin, en service pendant la 2e GM et les modèles à moteurs Griffon, en service après la guerre.

Utilisateur unique pendant la guerre : la Royal Navy. Après-guerre; UK, Canada, France, Irlande etc.

Au combat en Europe et en Asie pendant la 2e GM, en Indochine (France) et en Corée.

Production totale : environ 2500 modèles dont environ 1800 (1758) pendant la guerre. Bilan : une demi-réussite : les performances du Spitfire mais de très nombreux handicaps pour un avion embarqué (moteur en ligne, robustesse générale et en particulier fragilité du fuselage et surtout du train d'atterrissage, autonomie réduite, capacité d'emport d'armement limitée). Ces défauts seront en grande partie corrigés sur les versions produites après-guerre.

Le contexte[modifier | modifier le code]

Dans le domaine aérien, la Royal Navy aborde la Seconde Guerre mondiale en position de faiblesse car elle n'a repris que très récemment le contrôle de son aviation embarquée. En effet, entre 1918 - date de la création de la Royal Air Force - et 1939, c'est cette dernière qui avait la responsabilité de l'aviation navale, rôle confirmé le 1er avril 1924 par la formation en son sein de la Fleet Air Arm of the Royal Air Force. L'inadéquation de ce système est dénoncé dès 1937 par le rapport Inskip (du nom de Sir Thomas Inskip, le ministre de la Coordination de la Défense) mais il faut attendre le 24 mai 1939 pour que la Fleet Air Arm soit rebaptisée 'Naval Air Branch of the Royal Navy revienne dans le giron de la marine [N 1]. Ce changement d'organisation - avec les transferts importants de personnel qui en résultent - précède de peu l'entrée en guerre de la Grande Bretagne et laisse donc peu de temps à la Navy pour s'y préparer [1]. Selon la doctrine alors en vigueur, la supériorité aérienne au dessus de la flotte et des territoires ennemis relève de la responsabilité de la RAF et il est assumé que cette dernière a les moyens de l'assurer - et la volonté d'y consacrer des ressources. Dans cette répartition des rôles, la marine compte surtout sur l'artillerie anti-aérienne de ses navires et sur une force de chasseurs embarqués bi-places multi-missions peu capables de rivaliser en performance avec les monoplaces ennemis. La Campagne de Norvège (avril-juin 1940) montre brutalement le besoin de chasseurs monoplaces modernes embarqués. Dans l'urgence, la Grande-Bretagne doit adapter certains de ses chasseurs terrestres [N 2]. Mais en 1940, la RAF est prioritaire pour la fourniture de chasseurs monoplaces et la marine devra se tourner vers les États-Unis pour la fourniture de chasseurs embarqués performants.


Les origines du Seafire[modifier | modifier le code]

Un Seafire F XVII à moteur Griffon avec ses ailes repliées.

L'Amirauté britannique montre pour la première fois un intérêt pour un Spitfire embarqué en , durant une réunion avec Richard Fairey de Fairey Aviation. Il propose alors que son entreprise dessine et construise un tel appareil. Mais la réponse est négative, et le projet est abandonné. La FAA doit alors se contenter de commander des Blackburn Roc et des Gloster Sea Gladiators, qui se révèleront tous deux inadéquats[2].

Le besoin d'un Spitfire embarqué est remis sur la table en novembre 1939 lorsque l'Air Ministry permet au commander Ermen de voler sur un Spitfire I. Après ce premier vol dans le R6718, Ermen apprend que Joseph Smith, concepteur en chef chez Supermarine, a eu pour instruction d'adapter une crosse d'appontage montée sur un cadre en forme de A ("A frame") [3] sur un Spitfire ayant volé le ; un croquis de cet avion est montré à la Fleet Air Arm le [4]. Après de nombreuses discussions, Supermarine soumet un dessin d'un Spitfire avec ailes repliables et crosse d'appontage. Les ailes se plient alors au niveau du train d'atterrissage; les extrémité des ailes pivotent et se rangent vers l'arrière, parallèlement au fuselage. Le l'Amirauté demande au Air Ministry de lancer la production de 50 Spitfire à ailes repliables, avec les premières livraisons prévues en juillet. Cependant, pour diverses raisons, Winston Churchill, alors Premier Lord de l'Amirauté, annule la commande, écrivant à Lord Beaverbrook[5]:

« Je pense qu'il est d'une importance capitale que la production des Fulmar continue[6]. »

Il faudra alors attendre plus de 18 mois avant que les premiers Seafire soient construits. En effet, au moment où l'on a tant besoin de Spitfire terrestres, le détournement de ressources pour la construction d'une variante navale aurait réduit la production. Pour couvrir les besoins jusqu'à l'entrée en service du remplaçant du Fulmar (Spécification N.5/40 - qui sera le Fairey Firefly), la FAA commande à Grumman des Wildcat. Ceux-ci entrent en service vers fin 1940 sous le nom de Martlet[7].

Du Seafire au Spitfire[modifier | modifier le code]

La première version du Seafire est basée sur la version Mk V du Spitfire équipée de différentes variantes du moteur Merlin. Les versions développées vers la fin de la guerre (qui n'entreront en service qu'après la fin du conflit) sont basées sur des versions ultérieures du Spitfire (MK 21 et 22 notamment) équipées de moteurs Griffon plus puissants.

Le "Hooked Spitfire[modifier | modifier le code]

Pour permettre aux pilotes de la Navy de s'entraîner rapidement, un certain nombre de Spitfires sont transférés de la RAF. Certains d'entre eux sont modifiés dans des centres de maintenance, recevant notamment une crosse d'appontage montée sur un cadre en A ("A" frame) et sont connus sous l'appellation de Hooked Spitfires (Spitfires à crosse)

Principales différences entre le Seafire et le Spitfire[modifier | modifier le code]

Navalisation[modifier | modifier le code]

La "navalisation" du Spitfire implique plusieurs modifications dont certaines ne concernent pas les premiers modèle car elles sont conduites progressivement :

  • ajout d'une crosse d'appontage. Fixée sous le fuselage sur un cadre en forme de A [3] pour les versions à moteur Merlin. Les dernières versions à moteur Griffon recevront une crosse améliorée de type "dard" (sting) montée à l'arrière, qui améliore les performances et la sûreté à l'appontage.
  • addition de points de fixation pour l'élingage (pour transférer les avions à bord à partir d'un quai ou d'une barge).
  • addition de crocs pour lancement par catapulte - à partir du Seafire II
  • renforcements de la structure pour mieux supporter les contraintes de l'appontage.
  • renforcement du train d'atterrissage. Plusieurs améliorations seront apportées lors de l'apparition de modèles ultérieurs. La voie (distance entre les roues) sera même augmentée sur les derniers modèles.
  • ailes repliables en 3 segments à partir de la version Seafire III. Les derniers Seafire Griffon (Mk 47) recevront une aile repliable en deux segments.
  • Installation d'un poste radio compatible avec les fréquences HF de la marine. Équipement IFF.
  • récepteur modèle 72 pour l'émetteur de radio-localisation des porte-avions (pour aider le pilote à retrouver son navire au retour de mission).
  • instruments de bord calibrés en milles nautiques et en nœuds au lieu de miles et de miles par heure sur les avions de la RAF
  • divers dispositifs propres aux appareils de la Royal Navy, manipulateur Morse, dégivrage sur les antennes radio etc.

Les Seafire avec moteur Merlin[modifier | modifier le code]

Seafire I[modifier | modifier le code]

Les premiers "vrais" Seafire sont des Spitfire Mk Vb convertis. Dotés d'ailes de type B (2 canons de 20 mm et 4 mitrailleuses de calibre .303 (7,7 mm), ils sont désignés Seafire Mk IB.

Seafire II[modifier | modifier le code]

La version suivante est en fait produite quasi-simultanément. Toujours basée sur le Spitfire Mk VC, cette série est par contre produite directement en usine. Dotée d'ailes de type C, elle comporte le modèle de base (Mk IIC), motorisé par un Merlin 45, 46 ou 50A avec une hélice tripale, suivi par le modèle Mk LIIC, avec moteur Merlin 32 optimisé pour l'interception et la chasse à basse altitude. Une version Mk LRIIC équipée de deux caméras F.24 est également produite. Les modèles LIIC et LR IIC sont dotés d'une hélice quadripale afin d'exploiter pleinement la puissance supérieure du Merlin 32 à basse altitude.

Seafire III[modifier | modifier le code]

C'est la version finale du Seafire à moteur Merlin, entièrement navalisée car équipée d'ailes repliables manuellement en trois segments (à cause de la hauteur limitée sous plafond dans les hangars des porte-avions britanniques). Elle est également déclinée en une version "chasse" de base Mk FIII motorisée par une Merlin 55 et deux versions "basse altitude" Mk LIII et Mk FRIII dotées d'un moteur Merlin 55M, avec deux caméras F.24 pour le dernier modèle.

Les Seafire avec moteur Griffon[modifier | modifier le code]

Développées pendant la guerre mais arrivant en flottille après la fin des hostilités, les Spitfire à moteur Griffon - de 37 litres de cylindrée contre 27 pour le moteur Merlin - sont des machines plus puissantes, ce qui ne facilite pas forcément leur usage sur porte-avions. De plus, sur le Rolls-Royce Griffon, l'hélice tourne dans le sens anti-horaire (vu du cockpit), et ce déporte la machine vers la droite (donc vers l'îlot du porte-avions) au décollage. L'adoption d'une hélice à cinq pales, nécessaire pour absorber le supplément de puissance à partir du modèle Mk 45, aggrave encore le problème, notamment lors d'une remise de gaz à l'appontage ou l'avion peut carrément passer sur le dos si la puissance est appliquée de manière trop brutale. L'adoption de deux hélices contra-rotatives sur les dernières versions (Mk 47) résoudra finalement - mais un peu tard - ce problème.

Les Seafire Mk XV et Mk VII[modifier | modifier le code]

Machines équipées d'un Griffon VI avec un compresseur à un étage et deux vitesses.

Les Seafire Mk 45, 46 et 47[modifier | modifier le code]

Initialement planifiées comme les phases 1, 2 et 3 de la version Mk 45, ces machines recevront en fait des numéros différents. Elles sont équipées de moteurs Griffon avec compresseur à deux étages (avec intercooler) et deux vitesse.

Tableau des versions[modifier | modifier le code]

Modèle Version Moteur Puissance Hélice Ailes Crosse Verrière Armement Remarques
Modèles avec moteur Merlin - compresseur 1 étage/1 vitesse
Seafire I Mk IB Merlin 45 ou 46 1415 ch à 11,000 ft
(1055 kW à 3400 m) [N 3]
tripale fixes ventrale
(en "A")
classique 2 x 20 mm
et
4 x 7,7 mm
version "navalisée" du Spitfire VB mais sans points d'attache pour catapulte
Seafire II Mk FIIC Merlin 45, 46
ou 50A
Spitfire VC avec aile type C - modifiés en usine. Points d'attache pour catapulte de porte-avions et train renforcé
Mk LIIC Merlin 32 1640 ch à 1,750 ft
(1220 kW à 500 m)
quadripale Version optimisée pour la basse altitude (L=Low) du Mk FIIC
Mk LRIIC Version chasse et reconnaissance (R) du précédent, embarque 2 caméras F.24 (1 verticale et 1 oblique)
Seafire III Mk FIII Merlin 55 1470 ch à 9,250 ft
(1096 kW à 2800 m)
repliables
(3 segments)
Mk LIII Merlin 55M
ou Merlin 32
1 600 ch à 2750 ft
(1 200 kW à 800 m)
Version optimisée pour la basse altitude (L=Low) du Mk FIII
Mk FRIII Version chasse et reconnaissance (R) du précédent, embarque 2 caméras F.24
Modèles avec moteur Griffon VI - compresseur 1 étage/2 vitesses
Seafire XV Mk XV Griffon VI 1 850 ch à 2800 ft
(1 380 kW @ 600 m)
quadripale repliables
(3 segments)
ventrale
(en "A")
classique 2 x 20 mm
et
4 x 7,7 mm
radiateurs asymétriques du Spitfire XII ; 384 premiers exemplaires avec crosse type A frame, le reste avec crosse type "sting" ; dernières séries avec verrière en goutte d'eau
Seafire XVII
(ou 17)
Mk 17 caudale
(dard)
bulle dérivé du Seafire XV (232 exemplaires), tous les exemplaires ayant une verrière en bulle (goutte d'eau), les modèles FR embarquent 2 caméras F.24
Modèles avec moteur Griffon 61, 87 ou 88 - compresseur 2 étages/2 vitesses
Seafire 45 Mk 45 Griffon 61 2,035 ch at 7,000 ft
(1,520 kW @ 2,100 m)
cinq pales fixes caudale
(dard)
classique 4 x 20 mm
cellule et ailes basées sur celles du Spitfire 21. 2 modèles équipés d'hélices contrarotatives avec moteur Griffon 85
Seafire 46 Mk 46 Griffon 87 2 400 ch (1 800 kW) six pales
(contrarotative)
bulle dérivé du Spitfire 22 ; verrière en goutte d'eau, les modèles FR embarquent 2 caméras F.24
Seafire 47 Mk 47 Griffon 87
ou 88
2 400 ch (1 800 kW) repliables
(2 segments)
ailes repliables (généralement par système hydraulique) ; capacité en carburant augmentée ; les modèles FR embarquent 2 caméras F.24


Production des Seafire
Modèle Total Notes ou remarques
Seafire 1B 166 48 par Air Service Training (AST) et 118 par AST, Supermarine et Phillips & Powis
Seafire IIC 372 262 par Supermarine et 110 par Westland, au moins 30 avions ultérieurement transformés en LR IIC
Seafire III 1250 Dont 900 construits par Westland et 350 par Cunliffe-Owen
Seafire F XV 390 au moins 50 équipés de crosse ventrale, le reste avec crosse caudale
Seafire F/FR 17 232 213 par Westland et 20 par Cunliffe-Owen
Seafire F 45 51 construits par Supermarine (Vickers Armstrong)
Seafire F/FR 46 24 construits par Supermarine (Vickers Armstrong)
Seafire F/FR 47 90 construits par Supermarine (Vickers Armstrong)
Total 2577 [8]

En service étranger[modifier | modifier le code]

Canada et Irlande[modifier | modifier le code]

Des français dans la Fleet Air Arm[modifier | modifier le code]

Dans l'aéronavale[modifier | modifier le code]

Le bilan[modifier | modifier le code]

Le Seafire dans la Royal Navy[modifier | modifier le code]

Le Seafire comparé aux chasseurs US[modifier | modifier le code]

Livraison de chasseurs pour la Royal Navy pendant la guerre[modifier | modifier le code]

Le Seafire a représenté 44% du total de la production britannique de chasseurs embarqués pour la Fleet Air Arm au cours de la Seconde Guerre mondiale, soit 21 % du total des chasseurs produits pour la Royal Navy si l'on tient compte des modèles produits aux USA.

Livraison de chasseurs pour la Royal Navy pendant la guerre
Modèle Total part de la production
nationale totale
Blackburn Skua 192 5% 2%
Blackburn Roc 136 3% 2%
Gloster Sea Gladiator 96 2% 1%
Fairey Fulmar 600 15% 7%
Hawker Sea Hurricane 1190 30% 14%
Supermarine Seafire 1758 44% 21%
Total chasseurs britanniques 3972 100% 48%
Grumman ou Eastern Wildcat/Martlet (MK I à VI) 1192 28% 14%
Vought, Goodyear ou Brewster Corsair (Mk I à IV) 1892 44% 23%
Grumman Hellcat Mk I à III) 1182 [9] 28% 14%
Total chasseurs US 4266 100% 52%
Total général chasseurs 8238 100%


Utilisateurs[modifier | modifier le code]

Drapeau du Canada Canada
Drapeau de la France France
Drapeau de l'Irlande Irlande
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Développement lié

Aéronefs comparables

Articles connexes

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. En fait le nom Fleet Air Arm continuera a être utilisé en parallèle avec celui d'Air Branch pendant toute la guerre et redeviendra le nom officiel en 1952 - https://www.fleetairarmoa.org/Content/sites/FAAOA/pages/178/20081120-cjj-final-decades50s.PDF
  2. Si la Fleet Air Arm entre dans le conflit avec des appareils démodés, c'est aussi parce que, du fait de sa taille, il lui difficile de justifier des développements coûteux nécessaires aux avions modernes. Voir notamment les commentaires de E. Brown (Wings of the Navy)
  3. Puissances sensiblement égales pour les Merlin 45 et 50A, un peu supérieure pour le Merlin 46 (1415 ch @ 14,000 ft soit 1055 kW @ 4300 m)

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mark Barber, The British Fleet Air Arm in World War II p 6-7
  2. Morgan et Shacklady 2000, p. 505-506
  3. a et b ou en V; certains auteurs préférant cette deuxième expression
  4. Morgan et Shacklady 2000, p. 506
  5. Morgan et Shacklady 2000, p. 506-507
  6. Morgan et Shacklady 2000, p. 507
  7. Buttler 2004, p. 175
  8. Jon Freeman : Supermarine Seafire Mk.Ib - Mk.47, p 44, Profiles 5, collection "On Target", The Aviation Workshop publications Ltd, janvier 2004. D'autres sources divergent (notamment David Brown, 1989 qui indique un total de 1163 Seafire III).
  9. Jim Sullivan et Charles Scrivner - F6F Hellcat in Action Squadron Signal 1216 Carollton Texas, USA 2009 (ISBN 978-0-89747-576-1) p 55

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Bibliographie utilisée pour cet article[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Len Bachelor, Supermarine Seafires (Merlins), Windsor, Berkshire, Royaume-Uni, Profile Publications Ltd., . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Mark Barber, The British Fleet Air Arm in World War II, Oxford, Royaume-Uni, Osprey Publishing Ltd., (ISBN 978-1-84603-283-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) David Brown, The Seafire : The Spitfire That Went to Sea, Londres, Greenhill Books, (ISBN 1-85367-039-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Eric Brown, Wings of the Navy : Testing British and US Carrier Aircraft, Manchester, Royaume-Uni, Crécy Publishing Ltd., (ISBN 9781902109329). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) R. "Mike" Crosley, they Gave Me A Seafire, Shrewsbury, Airlife Publishing Ltd, , 271 p. (ISBN 1-84037-245-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Kev Darling, The Supermarine Seafire, Marlborough, The Crowood Press Ltd, (ISBN 978-1-86126-990-4). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Eric B Morgan et Edward Shacklady, Spitfire : The History, Stamford, Key Books Ltd, , 650 p. (ISBN 0-946219-48-6). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Matthew Willis, Supermarine Seafire, Horncastle, Tempest Books, coll. « Fleet Air Arm Legends », (ISBN 978-1-91165-829-0). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Jon Freeman, Supermarine Seafire Mk.Ib - Mk.47, Wantage, Oxforshire, The Aviation Workshop publications Ltd, coll. « On Target », . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean Frélaut et Claude Pierquet, Les « Seafire » dans l'Aéronautique Navale française, Ouest France, (ISBN 2-8588-2549-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Autres ouvrages cités dans la bibliographie de l'article en anglais[modifier | modifier le code]

  • Enzo Angelucci et Paolo Matricardi, Les avions, t. 3 : La Seconde Guerre mondiale - France, Allemagne, Angleterre, etc..., Elsevier Sequoia, coll. « Multiguide aviation », (ISBN 2-8003-0387-5), p. 48-81.
  • (en) Eric Brown, « Spitfires with Sea Legs part one », Air International, vol. 15, no 3,‎
  • (en) Eric Brown, « Spitfires with Sea Legs part two », Air International, vol. 15, no 4,‎
  • (en) Geoffrey Bussy, « Supermarine Seafire, Griffon-engined variants - Mks.F.XV, F.XVII, F.45, F.46 and FR.47 », Warpaint series, Milton Keynes, Buckinghamshire, Royaume-Uni, Hall Park Books Ltd., no 20,‎ (ISSN 1363-0369)
  • (en) Tony Buttler, British Secret Projects : Fighters & Bombers 1935-1950, Leicester, Midland, , 192 p. (ISBN 978-1-85780-179-8)
  • (en) Jon Freeman, Supermarine Seafire Mk.Ib - Mk.47, Wantage, Oxfordshire, Royaume-Uni, The Aviation Workshop Publications Ltd., (ISBN 1-904643-07-8)
  • (en) Alfred Price, Supermarine Spitfire (Griffon-engined variants and Seafire), vol. 16, Londres, Aerospace, coll. « Wings of Fame », (ISBN 1-86184-037-3), p. 30-85
  • (en) Bruce Robertson, Spitfire : The Story of a Famous Fighter, Hemel Hempstead, Hertfordshire, Royaume-Uni, Model & Allied Publications Ltd., , 3e éd. (1re éd. 1960) (ISBN 0-900435-11-9)
  • (en) Ray Sturtivant et Theo Balance, The Squadrons of the Fleet Air Arm, Tonbridge, Kent, Royaume-Uni, Air-Britain (Historians) Ltd., , 2e éd., 480 p. (ISBN 0-85130-223-8)
  • (en) Ray Sturtivant et Mick Burrow, Fleet Air Arm Aircraft 1939 to 1945, Tonbridge, Kent, Royaume-Uni, Air-Britain (Historians) Ltd., , 512 p. (ISBN 0-85130-232-7)

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

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