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La supervision libre[modifier | modifier le code]

Le développement des logiciels open-source s'est réalisé dans de nombreux domaines comme le traitement de texte, traitement d'images, etc. Ce type de produit se créé également pour la supervision. De nombreuses communautés se sont constituées pour développer ces logiciels qui sont de plus en plus nombreux.

Histoire[modifier | modifier le code]

Après le développement des premiers logiciels open source dans les années 1980[2], cette technologie s’est agrandie dans différents domaines comme par exemple les systèmes d'exploitations (Debian, Linux, etc,...), les logiciels de traitement de texte (libreoffice, OpenOffice, etc) ; et également dans la supervision. L'un des premiers logiciels de ce type utilisé par les industriels est Proview[3]. Il est installé depuis 1976 dans les aciéries Steel Manufacturing SSAB à Oxelösund en Suède[4].


Définitions[modifier | modifier le code]

Contrairement aux logiciels de supervision avec une licence payante, un logiciel de supervision open source est disponible gratuitement et téléchargeable par tous. La différence entre les deux technologies est la même qu'entre un logiciel open source [5] et logiciel payant.

Tous les logiciels de supervision open source ne fonctionnent pas sur tous les systèmes d’exploitations, que ce soit Linux, Mac OS ou windows[6]

Il y a deux types de logiciel de supervision : un pour l'informatique et l'autre pour le génie industriel. Les logiciels pour l'informatique sont destinés pour la surveillance des réseaux informatiques[7] ; tandis que les applications pour l'industrie permettent de surveiller un procédé[8].

Au début, la supervision "libre" n'était pas appréciée par les entreprises. En effet, cette sorte de technologie avait peu de documentation et son utilisation était difficile pour les techniciens. De plus, les responsables de ces logiciels n'offraient pas de garantie en cas de problèmes. [4]. Cependant, des communautés comme NAGIOS se sont créées autour de ce type de projet, ce qui a permis d'améliorer la supervision libre, ainsi que sa stabilité. Les membres de ces groupes ont également pu échanger et partager leurs savoirs pour aider les débutants.

Aujourd'hui, la supervision libre est un outil utilisé par les entreprises pour une question de budget. En effet, le coût d'une licence peut être assez importante pour un logiciel commercial.

Le principe d’une supervision libre est basé sur le même principe que pour des logiciels d’open source. En effet, le code de programmation du logiciel est accessible par tous et modifiable selon son utilisation. Ce qui fait la force d’un logiciel est le nombre de programmeurs qui travaillent sur ce dernier. Le cas est le même pour le logiciel de supervision. Ce dernier est laissé à disposition de tous pour que chacun s’entraide et améliore le logiciel . Ce type de logiciel peut paraître moins sécurisé du fait qu’il soit accessible par tous.

Liste des logiciels de supervision open source[modifier | modifier le code]

Il existe à présent plusieurs logiciels de supervision open source développés par différentes communautés. Ces derniers sont accessibles par tous et gratuits. De plus, ils sont facilement téléchargeables sur internet en ce rendant sur les sites officiels ou sur les supports de téléchargement. Comme dis précédemment, il y a deux sortes de logiciel ; un pour la supervision informatique et l'autre pour la supervision industrielle. Vous pourrez découvrir une partie de ces applications ci-dessous, triées par type d'utilisation. Tous les logiciels ne sont pas représentés car il en existe une multitude et d'autres sont en cours de développement.

SUPERVISION INFORMATIQUE [9].[modifier | modifier le code]

NAGIOS[modifier | modifier le code]

Créé en 1999 par Ethan Galstad, Nagios[10] est un logiciel qui permet de superviser un système d'information. Il est considéré comme étant la référence des solutions de supervision open source. Il dispose de nombreuses fonctions telles que l'héritage multiple, les dépendances, l'escalade de notifications, les Template de services et d'hôtes, le support des surveillances actives et passives, etc. L'interface web est la partie graphique, via un serveur web tel que Apache, et qui va permettre à l'administrateur d'avoir une vue d'ensemble de son réseau, de visualiser la supervision des équipements et de produire des rapports d'activités[11].

Avantages[modifier | modifier le code]

Assez connu, le logiciel est constitué de plusieurs ressources tels les blocs et plugins. Très extensible également, il peut notamment contenir une surcouche graphique appelée Centreon qui permet la gestion des graphiques[12].

Inconvénients[modifier | modifier le code]

En plus de la difficulté de son installation et de configuration, le logiciel n’apporte pas de hosts via Web et ne présente pas de graphs en natif. Il affiche également une interface assez sobre et n’est pas dynamique[13].

CENTREON[modifier | modifier le code]

Anciennement appelé Oreon1, Centreon[14] est un logiciel de supervision des applications, systèmes et réseaux, basé sur les concepts de Nagios. C’est une solution complète destinée aux administrateurs et exploitants du service de supervision. Il apporte de nombreuses fonctions telles que la consultation de l'état des services et des machines supervisées, la métrologie, le reporting, l'accès aux événements de supervision, la gestion avancée des utilisateurs via des listes de contrôle d’accès (ACL), etc. Il s’appuie sur les technologies Apache et PHP pour l'interface web, MySQL pour le stockage des données de configuration et de supervision.

Avantages[modifier | modifier le code]

Très dynamique, il fournit une interface simplifiée pour rendre la consultation de l'état du système accessible à un plus grand nombre d'utilisateurs, y compris des non-techniciens à l'aide de graphiques de performance. Parmi ses ressources on retrouve notamment une bonne qualité de socle technique[15].


Inconvénients[modifier | modifier le code]

Disposant d’un périmètre fonctionnel assez limité et pas très extensible, les techniciens ont toujours accès aux informations techniques de l'ordonnanceur[16].

ZABBIX[modifier | modifier le code]

Zabbix[17] est un logiciel libre qui permet de surveiller l'état de divers services réseau, serveurs et autres matériels réseau et produisant des graphiques dynamiques de consommation des ressources. Le « serveur ZABBIX » peut être décomposé en trois parties séparées : Le serveur de données, l'interface de gestion et le serveur de traitement. Chacune d'elles peut être disposée sur une machine différente pour répartir la charge et optimiser les performances. Il repose sur du C/C++, PHP pour la partie front end et MySQL/PostgreSQL/Oracle pour la partie BDD.

Avantages[modifier | modifier le code]

En plus de son socle technique avancé, il est facile à installer et permet de générer aisément des graphs. Assez dynamique, son autre grand atout est l’affichage clair des erreurs sur le Dashboard[18].

Inconvénients[modifier | modifier le code]

Pas très connu ni extensible, chaque machine à superviser doit disposer du client Zabbix. Il est également limité au ping sans le client.

ZENOSS[modifier | modifier le code]

Tout comme Nagios, Zenoss[19] est un outil qui se base sur une application Web qui va surveiller les nœuds de votre réseau et générer des rapports importants pour des décideurs informatiques. Publié sous la licence GNU General Public License (GPL) version 2, Zenoss fournit une interface Web qui permet aux administrateurs système de la surveillance de la disponibilité, de l'inventaire, de la configuration, des performances et des événements.

Avantages[modifier | modifier le code]

Facile à installer et à configurer, il propose une création automatique des graphs et une importante MIB de base. On peut également avoir des tables de routage et une vue rapide des alertes[20].

Inconvénients[modifier | modifier le code]

Son grand inconvénient est qu’il soit très gourmand en ressources machine.

GANGLIA[modifier | modifier le code]

Ganglia[21] est beaucoup plus spécifique, c’est réellement un outil de supervision complémentaire destiné à la supervision d’un système en cluster. Il est basé sur une conception hiérarchique ciblée à des fédérations de grappes. Il exploite des technologies largement utilisées telles que XML pour la représentation des données, XDR pour compact, le transport de données portable et RRDtool pour le stockage des données et la visualisation. Il utilise des structures de données et d'algorithmes soigneusement conçues pour atteindre de très faibles frais généraux par nœud et haute concurrence.

Avantages[modifier | modifier le code]

Une page avec la liste des fermes (clusters) avec : nombre de nœuds, nombre de CPUs, charge moyenne, nombre de processus. Pour chaque ferme ; une vue de synthèse, une vue de chaque nœud avec ses caractéristiques mais aussi, une vue physique du cluster avec l’emplacement des nœuds. Pour chaque nœud : un résumé avec le nombre de CPUs, la mémoire, l’espace disque ; ainsi qu’un graphique pour chaque élément[22].

Inconvénients[modifier | modifier le code]

Besoin d’adaptation et de configuration pour certains services tels gmond qu’il faut adapter en fonction du système d’exploitation présent sur le nœud puis gmetad[23] où il faut interroger chaque nœud. Le service Web nécessite quant à lui une configuration de l’emplacement des données.

OPENNMS[modifier | modifier le code]

OpenNMS[24] est une plate-forme libre et open-source de surveillance du réseau et de la gestion du réseau. Il est développé en Java et s’appuie sur le moteur applicatif Jetty et la base de données PostgreSQL pour fonctionner. L’objectif de OpenNMS est de devenir une véritable plate-forme distribuée et évolutive de gestion de réseau en appliquant toutes les consignes de la FCAPS et en restant 100% gratuite et open source[25].

SHINKEN[modifier | modifier le code]

Shinken[26] est une application de surveillance open source écrite en Python sous les termes de la licence GNU Affero. Elle est complètement compatible avec le logiciel Nagios et elle a pour but d'apporter une supervision distribuée et hautement disponible facile à mettre en place. Depuis la version 2.0 (Avril 2014), Shinken est décrit comme un cadre de surveillance en raison de son grand nombre de modules. Pour la même raison, les modules sont maintenant dans des dépôts séparés.

CACTI[modifier | modifier le code]

Cacti[27] est un logiciel libre de mesure de performances réseau et serveur basé RRDTool dédié à la métrologie. Il ne fait pas de supervision en tant que tel. Il ne fait pas de corrélation d'incidents ni d'alertes en cas d'incident (bien que des plugins existent, ce n'est pas son but premier. Les possibilités de configuration très avancées font que celui-ci est souvent utilisé en complément de solutions de supervision tel que Nagios, notamment, pour assurer la partie métrologie lorsque les exigences sont fortes. Il permet de représenter sous forme de graphiques n'importe quelle donnée quantifiable collectée soit par le biais de protocoles réseaux tels que SNMP ou soit par des scripts personnalisés par l'utilisateur.

MUNIN[modifier | modifier le code]

Munin[28] est un outil de surveillance système et réseau open source qui s'appuie sur l'outil RRDTool. Il présente ses résultats sous forme de graphiques disponibles via une interface web. Il possède une structure de plugins particulièrement simple qui permet d'enrichir rapidement l'outil. Des plugins sont actuellement disponibles pour les systèmes d'exploitations suivants: GNU/Linux, FreeBSD, NetBSD, Solaris et AIX. L'architecture du système Munin est constituée d'un serveur principal appelé Munin-master, récupérant les informations à intervalle régulier et de plusieurs nœuds appelés Munin-node. Le nœud doit être installé sur le(s) serveur(s) à surveiller.


SUPERVISION INDUSTRIELLE [29].[modifier | modifier le code]

PROVIEW[modifier | modifier le code]

Proview[30] est probablement le premier système Open Source pour le contrôle de processus et l'automatisation dans le monde. Initialement développé en Suède par Mandant et SSAB Oxelösund [31] comme un système de contrôle de processus basé sur des ordinateurs standard, le système est devenu une solution à part entière, intégré et à faible coût qui fonctionne sur PC standard avec Linux comme système d'exploitation. Proview fonctionne avec la licence GNU / GPL[32].

Proview n’est pas seulement un logiciel de supervision, il est aussi un logiciel automate dans lequel on peut connecter des appareils comme des Arduinos et qui va traiter ensuite les variables pour activer des sorties selon son programme interne édité par l’utilisateur. La communication utilisée par ce logiciel est du modus TCP ou UDP par un câble Ethernet[33].


PVBROWSER[modifier | modifier le code]

Développé sous Linux, Pvbrowser[34] est un logiciel qui permet la création confortable et souple des applications SCADA pour les clients individuels. La création d'une application SCADA avec Bvbrowser peut être comparée à la création d'une page web pour les clients individuels. Il utilise intensivement des composants open source étrangers[35].

L'utilisateur peut mettre en place des widgets, modifier leurs tailles et leurs utilisations. A travers ce dernier, on peut contrôler les droits d'entrer des utilisateurs[36].

LINTOUCH[modifier | modifier le code]

Lintouch est un logiciel open source développé par l’entreprise allemande « SWAC ». C’est un logiciel léger (il faut 32 MB de libre pour son installation), qui tourne dans la plus part des systèmes d’exploitations comme linux et windows. L’application fonctionne sur une architecture client/serveur dans lequel le protocol de communication est du modbus TCP/IP.

Il est composé de trois modules qui sont : - Lintouch Editor qui permet de développer la partie IHM de la supervision. Il accepte des images traitées auparavant pour des logiciels d’éditeurs d’images. - Lintouch Runtime est le module qui contrôle les états des registres connectés sur le logiciel. Selon l’état de ces dernières, il modifiera la forme de l’IHM. - Lintouch Server est le module qui gère la communication entre la supervision et les équipements extérieurs[37].

ENERGOSCADA[modifier | modifier le code]

EnergoSCADA[38] est un logiciel russe développé par l’entreprise « Oleg Ivanov ». C’est une supervision open-source qui est spécialisée dans la supervision énergétique d’un bâtiment. Pour contrôler cela, l’utilisateur met le plan de la structure sur l’IHM et met on place pour chaque partie des leds selon ce qu’il veut mettre en avant. Le logiciel open source donne la possibilité de programmer des histogrammes pour avoir un historique de la consommation. Ces données sont stockées dans une base de données Mysql. De plus, l’utilisateur peut installer des alarmes qui vont s’activer automatiquement selon le niveau d’une variable.

Le développement de la supervision se fait seulement sur le système d’exploitation linux. La supervision se fait via une page Web avec une accessibilité contrôlé par une identification d’utilisateur. Les appareils sont connectés à la supervision avec une connexion modbus[39].

IGNITION[modifier | modifier le code]

Ignition[40] est un logiciel qui est destiné à la supervision industrielle. C’est une application complète car elle gère la supervision et le MES. Elle a été développée par l’entreprise américaine « Inductive Automation » entièrement en Java. Ignition peut être utilisé par tous les systèmes d’exploitations que ce soit Linux, Windows et Mac. On peut programmer sur l’IHM des alarmes, des histogrammes, des vues des machines, des boutons de commandes, … En résumé, il offre une bibliothèque importante pour créer une supervision optimale selon l’installation. De plus, le logiciel offre la possibilité de créer des rapports pour avoir une évolution des variables. L’IHM est accessible facilement car la supervision se fait sur une page Web. ref>http://linuxscada.info/ignition.htm</ref>

MYSCADA[modifier | modifier le code]

Développé par "mySCADA technologies", mySCADA[41] est une application complète SCADA avec une IHM avancée. Il est adapté pour les directeurs d'usine et les opérateurs, les superviseurs, les ingénieurs logiciels et le personnel. L'application communique directement avec les automates et / ou PACs et affiche graphiquement les données de processus. les directeurs d'usine et les opérateurs, les superviseurs, les ingénieurs logiciels et le personnel d'entretien.

L'application communique directement avec les automates ou les PACs et affiche graphiquement les données de processus. Il peut être utilisé pour contrôler, surveiller et afficher les processus technologiques, les infrastructures, les systèmes industriels et les installations.

mySCADA dispose tendance de base pour contrôler les variables en ligne dans un XY chronogramme organisée, alarmes en ligne pour le suivi des états critiques, et il y a des options pour la priorité et le filtrage de texte dans la fenêtre d'alarme. Il est conçu pour communiquer avec des dispositifs Rockwell Automation en utilisant le protocole Ethernet / IP, ainsi que le protocole Modbus TCP RTU, donc mySCADA peut contrôler des dispositifs fabriqués par des sociétés comme Schneider Electric, Siemens, Advantech et Beckhoff. L'utilisateur peut développer des applications avancées avec un éditeur gratuit : mySCADA project.

SCADABR[modifier | modifier le code]

ScadaBR[42] est utilisé pour développer des applications automatisées dans tout environnement, Industries, laboratoires, les bâtiments, les systèmes d'énergie et bien plus encore. Avec plusieurs cas d'utilisation dans les domaines de l'automatisation des processus industriels, des réseaux de distribution (eau et électricité), de l'automatisation de la construction résidentielle et diverses applications de détection. ScadaBR a le soutien de plus de 20 protocoles de communication et est compatible avec le matériel d’une centaine de fabricants à travers le monde.

SCADA AGGREGATE[modifier | modifier le code]

SCADA AggreGate[43] / HMI est un système de visualisation et d'exploitation des processus, des flux de production, machines et installations. Il s’agit d’un outil hautement fiable, multi-utilisateurs distribué qui permet un contrôle de surveillance et de suivi pour de nombreux secteurs : • Contrôle de processus • L'automatisation industrielle • Automatisation de la maison • Télémétrie • Le contrôle et la surveillance à distance • Test et mesure • Machine-to-Machine (M2M Communications) SCADA AggreGate / HMI a un système d’acquisition très développé mais aussi un traitement des données hérité de la plate-forme de gestion de périphérique agrégé, comme la cartographie en temps réel, alertes / rapports et opérations discontinues. Il est livré avec un ensemble complet de pilotes de périphériques pour l'accès et le contrôle des différents automates, capteurs et autres dispositifs industriels. La plupart des protocoles standard de l'industrie, tels que OLE for Process Control (OPC), Modbus (TCP, UDP, série RTU / ASCII / BIN), BACnet IP et SNMP, sont pris en charge directement.

ICSCADA[modifier | modifier le code]

ISCADA[44] est un logiciel SCADA sur base [45] mis en place pour toutes les industries, il dispose d’une liste de pilotes natifs vaste mais aussi runtime illimité / licence de développement. Basé sur un client Web, il est construit en base de données pour l'historien. Fiable et doté d’un appareil mobile convivial, ICScada possède également une tendance puissante et flexible et une possibilité d'accès des clients multiples illimitée. Logiciel extensible et ayant une connexion web sécurisée, il dispose de langages de script Open Source pour une flexibilité inégalée du développeur.

Avantages[modifier | modifier le code]

Les logiciels de supervision open source industriel ont tous les avantages qui a gratuité de leur utilisation ; la mise à jour assez fréquente par les communautés des développeurs ; la possibilité de modifier le code pour avoir une utilisation correspondant au mieux aux attentes de l'utilisateur.


Inconvénients[modifier | modifier le code]

Malgré les nombreux avantages qu'apportent ce type de logiciel, les parts de marché sont faibles par rapport aux logiciels commerciaux[46]. En effet, les entreprises sont méfiantes sur l'utilisation de ces derniers à cause de leur sécurité. Un autre défaut est le manque de documentations ; de plus, la plus part sont en anglais. Également, la majorité de ces logiciels tournent sur Linux.

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Une MIB se présente comme une base de données normalisée, qui permettra de lire et d'écrire sur les équipements distants, de façon également normalisée : http://irp.nain-t.net/doku.php/215snmp:40_les_mibs
  2. ↑ Une première ébauche de définition du logiciel libre est ainsi proposée en 1986 par la FS [[1]]
  3. ↑ .Proview est probablement le premier système Open Source pour le contrôle des processus dans le monde. En savoir plus sur http://www.automation-sense.com/blog/automatisme/proview-logiciel-open-source-de-supervision-scada-soft-plc-et-sncc-1.html#rDguM7KKxLsb6pxa.99
  4. ↑ ,il réalise les fonctions d'automate programmable industriel, de SNCC et de supervision HMI. En savoir plus sur http://www.automation-sense.com/blog/automatisme/proview-logiciel-open-source-de-supervision-scada-soft-plc-et-sncc-1.html#rDguM7KKxLsb6pxa.99http://www.automation-sense.com/blog/automatisme/proview-logiciel-open-source-de-supervision-scada-soft-plc-et-sncc-1.html
  5. ↑ Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement. Ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus.Logiciel libre
  6. ↑ Comme par exemple Proview qui ne tourne que sur Linux[2], alors que d'autres comme Eclipse SCADA [3] fonctionne sur tous les ordinateurs.
  7. ↑ La supervision est la « surveillance du bon fonctionnement d’un système ou d’une activité »Supervision.
  8. ↑ La supervision des procédés peut être une application de surveillance, de contrôle-commande évolué, de diagnostic.Supervision
  9. ↑ http://www.benjamin-forte.fr/wiki/linux/comparatif-doutils-de-supervison/
  10. ↑ Site officiel : https://www.nagios.org/
  11. ↑ http://igm.univ-mlv.fr
  12. ↑ http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Nagios
  13. ↑ http://www.benjamin-forte.fr/wiki/linux/comparatif-doutils-de-supervison/
  14. ↑ Site officiel : https://www.centreon.com/fr/
  15. ↑ http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Centreon
  16. ↑ L'ordonnanceur est la manière de lancé une commande (BATCH) sous windows
  17. ↑ Site officiel : http://www.zabbix.com/
  18. ↑ http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Zabbix
  19. ↑ Site officiel : http://www.zenoss.org/
  20. ↑ http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Zenoss
  21. ↑ Site officiel : http://ganglia.sourceforge.net/
  22. ↑ http://www.benjamin-forte.fr/wiki/linux/comparatif-doutils-de-supervison/
  23. ↑ http://linux.die.net/man/1/gmetad
  24. ↑ Site officiel : http://www.opennms.org/
  25. ↑ http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Opennms
  26. ↑ Site officiel : http://www.open-source-guide.com/Solutions/Infrastructure/Supervision-et-la-metrologie/Shinken
  27. ↑ Site officiel : http://www.cacti.net/
  28. ↑ Site officiel : http://munin-monitoring.org/
  29. ↑ http://linuxscada.info/
  30. ↑ Site officiel : http://www.proview.se/v3/
  31. ↑ http://www.ssab.com/
  32. ↑ http://www.linux-france.org/article/these/gpl.html
  33. ↑ http://linuxscada.info/proview.htm
  34. ↑ Site officiel : http://pvbrowser.de/pvbrowser/index.php
  35. ↑ http://linuxscada.info/pvbrowser.htm
  36. ↑ http://linuxscada.info/pvbrowser.htm
  37. ↑ http://linuxscada.info/lintouch.htm
  38. ↑ Site officiel : http://rpk-su.info/
  39. ↑ http://linuxscada.info/energoscada.htm
  40. ↑ Site offciel : https://inductiveautomation.com/
  41. ↑ Site officiel : http://www.myscadatechnologies.com/
  42. ↑ Site officiel : http://www.scadabr.com.br/
  43. ↑ Site officiel : http://aggregate.tibbo.com/solutions/scada-hmi.html
  44. ↑ Site officiel : https://www.icscada.ca/home/
  45. ↑ Linux
  46. ↑ Les logiciels open source représentent 14% du marché. http://www.open-source-guide.com/Actualites/L-open-source-un-marche-a-6-milliards-d-euros-en-france-d-ici-2020
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