Utilisateur:Mathilde30121993/Brouillon

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Koralie
Informations générales
Site web
Collections
Genre
Artiste plasticienne
Localisation
Pays
France
Commune
Biarritz

Koralie, artiste plasticienne et urbaine, née à Nîmes en 1977,  est originaire de Montpellier. Elle travaille aujourd’hui à Biarritz et vit à Bayonne avec son mari l’artiste SupaKitch et leurs 2 enfants.

Koralie puise son inspiration de ses nombreux voyages, des différentes cultures et traditions des pays du monde : des costumes folkloriques aux monuments emblématiques, qui offrent une richesse esthétique, une variété de symboles propres à chacun. Elle abat les frontières en mélangeant des éléments de ces différentes origines, traditionnels et contemporains, et crée une harmonie multiculturelle onirique.

Son travail se traduit par une recherche d’équilibre graphique et ethnique entre géométrie architecturale (symétrie, répétition) et organique (tressage, tissage).


Biographie[modifier | modifier le code]

Une enfance artistique :

Peindre, dessiner et maquetter, sont ses activités quotidiennes et sa passion depuis son enfance. Petite, elle  passe plus de temps à faire des habits pour ses poupées qu’à jouer avec. Fascinée par les plans de maisons que trace son père dessinateur-projeteur et par les cours de peinture sur soie, macramé et poterie où l’emmène sa mère, infirmière en psychologie, c’est donc en toute évidence qu’elle se lance dans des études artistiques .

Des études d’art :

En 1995, après son bac économie et social option « arts appliqués », elle commence en même temps des études d’ Arts Plastiques à la Faculté de Lettre Paul Valérie à Montpellier et entre à l’école d’architecture Languedoc Roussillon ( EALR ) . Acceptée en deuxième année dans les 2 cursus, elle choisie de poursuivre les études d’architecture qu’elle trouve passionnantes et où l’ambiance est stimulante. En parallèle  elle expose ses premiers travaux personnels : des toiles à l’acrylique inspirées de l’art urbain et ethnique.

La découverte du graffiti :

En 1999, c’est à Toulouse,  où elle vit à ce moment là,  qu’elle fait la rencontre de la Truskool (Tilt, Der & Ceet), Fafi, Lus, Plume et Mademoiselle Kat, acteurs très actifs dans le milieu du graffiti. Ils l’entrainent à  faire ses premières peintures sur les murs, chose qu’elle  aspirait depuis longtemps. C’est une révélation.[1]

Peu de temps après elle retourne habiter à Montpellier et va peindre régulièrement les murs de sa cité,  seule et en toute illégalité mais dans le souci de ne pas dégrader et de ne pas agresser les passants. Puis elle fait la connaissance des TDM ( Zest … ) et de Noé2 avec qui elle retrouvera le plaisir de peindre en groupe.

Bangkok, Thaïlde

Entrée dans la vie active :

En 2001, elle termine ses 6 années d’études sans embuches, mais ne passera jamais son diplôme, beaucoup trop occupée par son désir de faire de sa passion son métier. Elle expérimente quand même quelques temps le travail en agences d’architecture, puis travaille en tant qu’assistante décoratrice en publicités télé. C’est en 2002, de plus en plus sollicité par son art qu’elle décide de se consacrer entièrement à sa vocation.

Rencontre d’amour et de passion :

Entre temps, en 2001 elle fait la connaissance de SupaKitch, à l’époque Directeur Artistique le jour, et graffeur prolifère la nuit, ils ne se quitteront plus.[2]

Aujourd’hui, ils partagent leur passion commune pour l’art et travaillent quelques fois ensemble sur des projets ( illustrations,  toiles, fresques, livres, expositions … ).

Après avoir quittés Montpellier, ils ont vécu 4 ans à Brooklyn NYC et 4 ans à Bagnolet (93) [3]

Parcours artistique[modifier | modifier le code]

Les débuts d’une reconnaissance :

A partir de 2000, en peignant très régulièrement sur les murs de Montpellier, elle se fait remarquer car son travail est différent des graffitis que l’on peut déjà voir dans la rue. Elle ne peint pas à la bombe mais à l’acrylique et au pinceau, elle ne fait pas de lettrages mais des personnages très féminins, elle est la première et seule fille activiste dans cette ville et une rare en France.  

Elle s’inscrit dans le mouvement « street art » et « post-graffiti » sans le savoir, car ces termes ne sont pas encore utilisés à l’époque, très peu reconnu dans le milieu de l’art et plutôt dénigré en général. Mais depuis quelques années, ce mouvement se démocratise, il suscite un plus grand intérêt des passants,  des collectionneurs et des commanditaires.

Hikkaduwa, Sri-Lanka

Les fresques :

Elle est invité par des institutions pour peindre des fresques : au Museum of world culture à Göteborg en Suède en  2010, au MUJAM (musée du jouet ) à Mexico City en 2011, à Pierrevives ( archives départementales ) à Montpellier en 2013 ou au Ministère de la Culture à Paris en 2015.

Elle est également sollicitée par des marques pour des évènements. Elle peint des fresques seules comme en 2013 pour l’ouverture du magasin Rougier & Plé de Saint Germain des Près à Paris. Mais la plus part du temps elle réalise ses peintures murales avec SupaKitch. En 2006, la marque Carhartt leur propose avec 2 autres artistes (Brendan Monroe et Wayne Horse ) une tournée Européenne sur 15 jours pour peindre dans plusieurs de leurs enseignes ( Düsseldorf, Copenhague, Paris, Saint-Sébastien et Lisbonne ). En 2011, ils peignent un Dunny de 48P pour Kidrobot au Cosmopolitan Hôtel à Las Vegas aux USA, en 2013 Volvo leur propose la performance « Art Session » à Zürich en Suisse et en 2014, ils peignent également pour les 30 ans de Posca à Frankfort en Allemagne.  

Elle est régulièrement invitée à des festivals de culture urbaine allant du FISE à Montpellier en 2004 à l’Artscape à Göteborg en 2016 en passant par Modern Atlanta ( MA-ology Paris & Care Fundra ) à Atlanta en 2010.

Engagements :

Elle tient à s’impliquer régulièrement dans des causes humanitaires en participant à des expositions caritatives comme  the WPA ( Washington Project of Art ) en 2006, « The Auction for Haiti » à l’Anonymous Gallery à NYC en 2010,  ou « Venus Project » organisé par la galerie Space Junk à Bayonne, mais aussi en intervenant sur les murs : en 2015 pour l’ONG CARE elle réalise une tapisserie sur la totalité du pavillon des canaux à Paris, et en 2016 elle intervient (avec SupaKitch et Little Madi) dans un orphelinat des township à Cape Town en Afrique du Sud  Fikelela children center pour l'association Kanako.

Création d’un label :

En 2005 , avec SupaKitch elle crée METROPLASTIQUE : une ligne de t-shirt illustrée par leur univers.  Dés la première année de la création ils gagnent  le « Prix du jeune entrepreneur de mode » organisé par « Who's next » à Paris et récompensés par le  « Ministère de la Jeunesse et des Sports ».[4]

Aujourd’hui le label a évolué, et Metroplastique est devenue une boutique en ligne de produits dérivés de leur art: papeterie, sérigraphies, accessoires, livres, déco …[5]

Reebok X Koralie

Les collaborations :

Des marques de renoms font appellent à elle pour collaborer sur des projets.

Entre 2008 et 2009, elle illustre plusieurs Dunny pour Kidrobot. En 2009, avec SupaKitch ils réalisent la pochette d’album « The Big Machine » de leur amie Emilie Simon pour Universal Music. En 2011, elle réinterprète un modèle de montre Triwa.  En 2014, leau de Colognes 4711 lui propose d’illustrer le packaging pour les 200 ans de la marque. En 2015, elle réinterprète le modèle Ventilator de Reebok signée de son nom, sort un tapis chez Chevalier Edition et participe à une exposition d'affiches dans tous les Ikea du monde ( SupaKitch et Koralie représentent la France sur les 12 artistes internationaux ) . En 2016, elle illustre 6 bouteilles de whisky écossais ( de 5 à 35 ans d’âge) pour la Maison du Whisky. En 2017, elle crée avec Sessùn [6]une collection capsule de 18 pièces et accessoires.

Elle a également illustrée les couvertures de magazines comme Modart UK / 2006, Redux FR / 2007, Graffiti art FR / 2009, Kingbrown AU / 2007, Féfé IT. / 2008, Cutout MAL / 2011 …

Les vidéos :

Des vidéos retraçant le processus de création de SupaKitch & Koralie, rencontrent un grand succès sur internet et totalisent des millions de vues ( 500000 vues pour « Euphorie », 100000 vues pour « Tandem » … ).   Ainsi la vidéo réalisée par Damien Vignaux, au Museum of World Culture à Göteborg en 2010 en Suède, a cumulé près de 2 millions de vues à elle seule en peu de temps.

Leur film d’animation racontant la rencontre de leurs personnages «  Romance in plastic minor » réalisée par Alexandre Brakha à été élue « plus belle vidéo de l’année » aux awards 2011 du magazine Graffiti Art.

Inspiration et univers artistique[modifier | modifier le code]

Naissance de son personnage emblématique[7] :

Sapa, Vietnam

Ses premières influences sont pour le Japon. Enfant des années 80, elle est bercée par les mangas et est fascinée par leur esthétique et leurs héroïnes excentriques aux cheveux longs et colorés. Puis elle découvre l’univers des Geishas, ses femmes qui excellent dans les arts et perpétuent des traditions ancestrales dans de sublimes tenues. Elle décide de juxtaposer ces deux mondes qui s’opposent côte à côte.  Elle crée ainsi un personnage hybride entre extravagance et pudeur en mélangeant des codes traditionnels et contemporains. Petit à petit elle intègre des inspirations d’autres continents et époques (une chevelure à la Marie-Antoinette, des parures de Cléopatre, des accessoires de la comedia del arte …. ) .

Elle appelle son personnage : la " Geishka " , amalgame de geisha et matriochka, qu’elle ballade de toile en mur.

«  Partant du principe que le monde réel n’existe qu’à travers notre perception, j’adhère à la citation de Victor Hugo qui dit que « nos chimères sont ce qui nous ressemble le mieux »

Photomontage SVOMAM Project

Cheveux, tressage et tissage :

Elle façonne, tresse, structure et mets en scène des cheveux ou du tissus sur ces personnages, ou de façon plus abstraite dans ses architectures ou ses paysages, mais aussi sous forme de tissage géant sur des grillages dans la rue ou dans les arbres sous forme d'installation.

Illustration de Notre Dame des Demoiselles de Burano

L’architecture et la géométrie :

« J’utilise l’architecture uniquement pour sa forme et sa symbolique, je n’ai plus à me soucier de ses propriétés d’usages, de matériaux, de solidité, faisabilité structurelle ou économique, je n’en retire que le plus épanouissant ».

Koralie imagine de nouveaux horizons urbains dans un esprit art déco avec ses architectures reprenant les codes des palais vénitiens aux haciendas californiennes[8], du tipi indien aux édifices religieux, des châteaux de la Loire aux buildings new-yorkais.

L’animisme :

Koralie s’inspire de plus en plus du rapport entre l’homme et la nature. Elle interprète et se réapproprie graphiquement des notions telles que l’animisme, la spiritualité et l’occultisme

“ Je ne veux pas tomber dans un mysticisme engagé, mais  je souhaite utiliser ces notions comme prétexte de fond, pour créer des œuvres qui s’en inspirent, et un nouvel univers avec mon propre langage.”

Illustration de la Villa Hacienda

Elle traduit ses notions par :

. Le palmier : Il occupe une place importante dans l’idéologie des civilisations anciennes, il évoque le soleil, les tropiques et il se décline en une grande variété que Koralie interprète graphiquement en totem ou en palmeraie imaginaire. Elle les pare de kokochnik et de lustre à pampilles art déco.

. Une flore chimérique : Elle invente des rosaces et des mandalas aux origines diverses, des motifs moucharabiehs qu’elle intègre à ses compositions. Koralie dessine des napperons de dentelles.

. Les “ Kochikas ” : Elle crée des statuettes inspirées des Kashinas Amérindiennes, mais elle intègre l’esthétique de poupées folkloriques de différents pays : les Matriochkas[9] Russes, les Kokeshis[10] Japonaises … Elles sont réalisées en matière naturelle : bois, céramique, métal , tissus …

. Les talismans : Koralie invente un lexique de symboles qui représentent des notions, des valeurs, des éléments, des saisons et les associe pour créer des illustrations découpées dans le bois auquel elle ajoute des pompons et des rubans pour les installer dans les arbres.

Support et techniques[modifier | modifier le code]

Dessins et toiles :

Koralie utilise des techniques mixtes sur papier et sur toile. Elle dessine à l’encre, peint à l’acrylique, à l’huile, à l’aquarelle, elle découpe et colle des papiers chinés, utilise ses pochoirs et la bombe de peinture.

Vietnam, Eglise

Ordinateur :

Très attachée au travail « à la main » elle s’intéresse sur le tard à l’ordinateur. Autodidacte de cet outil (elle apprend Illustrator en regardant ses amis graphistes travailler) , il est aujourd’hui indissociable de son travail. Elle comprend que ça va lui permettre d’améliorer et de compléter son univers mais surtout de satisfaire son souci de la symétrie et son intérêt pour la répétition et les détails. Ainsi grâce cette technique elle construits des architectures très détaillées, réalise des pochoirs

Bavaria, Illustration

Street-art et fresques :

«  Peindre sur les murs des villes du monde entier, comme un échange entre le fait de laisser son empreinte et de repartir avec l’inspiration que m’a apporté le lieu »

D’abord directement aux pinceaux sur les murs, elle a préféré par la suite réaliser ces personnages à l’ordinateur pour assouvir son désir de symétrie, qu’elle imprimait en noir et blanc et colorait à l’acrylique pour les coller sur les murs.

Aujourd’hui, elle crée des éléments graphiques en pochoirs, ce qui lui permet d’allier création à l’ordinateur et réalisation à la peinture,  qu’elle va accoler, multiplier, juxtaposer, assemblée, bref agencer harmonieusement et selon son humeur au moment d’agir sur le mur, ainsi elle retrouve une spontanéité de création. Cette technique est différente du pochoir traditionnel des pochoiristes qui créent le visuel final en amont.

Elle est intervenue sur les murs des quatre coins du monde, commandité ou de façon illégale : Tokyo, New York, Berlin, Barcelone, Lisbonne, Florence, Rome, Copenhague, Paris, Philadelphie, San Francisco, Saïgon, Los Angeles, Big Sure, Hikkaduwa, Anglet, Amsterdam, Bangkok, Montpellier, Bordeaux, Isle de Sky, Londres, Cape Town

Photomontage :

Elle explore également le domaine de la photographie. En 2007, une première série de photos particulièrement sensuelles d’inspiration Shibari[11]. En 2012, elle présente son “SMOVAM project”, photos de chevelures tressées et entrelacées au rendu organique / géométrique. Puis à partir de 2012, elle s’intéresse à la reconstitution de paysages et d’architectures quelle photographie lors de ses voyages, pour en faire des univers surréalistes.

Sculptures et installations :

En 2009, elle présente ses “Imagomyous” (Insectes en dentelle de papier, métal et bois) à la façon d’un cabinet de curiosité. Chaque œuvre est accompagnée d’une fiole enfermant l’odeur du Lépidoptère afin de rendre l’installation interactive faisant appel à notre sens le moins utilisé surtout lors d’une visite en galerie.

En 2012 , elle réalise une série d’architectures sous cloches , assemblages d’éléments en bois, métal et verres aux noms d’inspiration géométrique et antinomiques : « Edifice du Théorème de la Nomenclature”, “Building de la Surface Analytique”, “Belvédère des Angles Parallèles” , “Palais de l’Hyperbole Triangulaire”, “Rotonde du Diamètre Isométrique”, “Tour de l’Equation Orthogonale”

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

2006, France, Paris, Galerie Serge Laurent : exposition « Koralie »[12]

2008, Etats-Unis, NYC, Joshua Liner Gallery  : exposition « Après la pluie … »

2008, Etats-Unis, San Francisco, Fifty gallery 24 : exposition « Haïku »

2009, Etats-Unis, Portland, Fifty gallery 24 : exposition « Haïku »

2009, Etats-Unis, Denver, Andenken Gallery : exposition « Portraits et collection »

2007, France, Paris, Galerie LJ [13]: exposition « Jardin Public –Jardin secret »

2009, France, Paris, Galerie LJ : exposition « Emanessence »

2012, France, Paris, Galerie LJ : exposition " Tandem, intimité géométrique " avec SupaKitch[14][15][16]

2014, France, Nantes, Espace LVL : exposition « Crussiform Travel »

2015, France, Paris, Sergeant Paper : exposition « Koralie Color »  

Expositions collectives[modifier | modifier le code]

2004, France, Montpellier, Corum : exposition «Graff’Artitude »

2005, France, Toulouse, Galerie L'Abstrait : exposition «SupaKitch & Koralie»

2005, France, Nice, Galerie Dojo : exposition «Graffiti en sous-sol»

2005, Etats-Unis, Miami, Saba Gallery : exposition «Group Show»

2006, France, Paris, Espace Beaurepaire : exposition «Etoiles Urbaines»

2006, Etats-Unis, Washington DC, WPA (Washington Project of the Art) : Auction sale par WoosterCollective

2006, France, Nancy, Galerie Neuf : exposition  «Girls on parade»

2006, France, Nancy, MyMonkey Art Space : exposition «Indigo girls»

2007, France, Paris, Espace Beaurepaire - «Forward »

2007, France, Paris, Galerie L.J Beaubourg : exposition «Une Estivale 2007»

2007, Sardaigne, Porto Cervo, Louise Alexander Gallery : exposition «Summer Show»

2007, Etats-Unis, San Diego, Subtext : exposition «Kokeshi Dolls»

2007, Etats-Unis,  Miami Beach, Art Basel - «Fame Collective» - Joshua Liner Gallery

2008, Italie, Rome, Dorothy cirucus Gallery : exposition «City Slang»

2008, Etats-Unis, NYC, Joshua Liner Gallery exposition  «Inaugurational Group Show»

2008, France, Paris, Galerie LaBank : exposition «Forward 2»

2008, France, Paris, Galerie LJ Beaubourg : exposition «Une Estivale 2008»

2008, Etats-Unis, Denver, Musée RMCA (Rocky Mountain College of Art) : exposition «Paralleled»

2008, Etats-Unis, Denver, Andenken Gallery : exposition «The group show»

2008, Grande - Bretagne, Londres, Philips de Pury & Co : Vente aux enchères

2008, France, Paris, Galerie ISSUE: exposition «XXXmas Serigraphie Show»

2009, Etats-Unis NYC et Paris,  Agnès b. Gallery : exposition «Forward 3»

2009, Etats-Unis, Los Angeles,  Lebasse Project Gallery : exposition «Vous avez été juste servi»

2009, Etats-Unis NYC, Bridge Art Fair NYC accueilli par la Galerie LJ Beaubourg

2009, Etats-Unis NYC, Mc Caig Welles Gallery : exposition «Queens Arrive»

2009, Brésil, Sao Polo, Choque Cultural : exposition «Avant Goût »

2009, Etats-UnisNYC, The Eloquent Delinquent Gallery : exposition «MunnyWorld»

2010, Etats-Unis NYC, Anonymous Gallery exposition « Auction for Haiti »

2010, France, Paris, Galerie-Salon Bleu Noir : exposition « Burning Ink »

2010, Juillet 2010, Grand Hôtel Tribecca : exposition «Spacer One »

2010, Etats-Unis, Los Angeles, Crewest Gallery : expostion «Sweet Things»

2010, Etats-Unis NYC, TT Underground Gallery : exposition « Artefacts »

2010, Etats-Unis, Los Angeles, Nucleus Gallery : exposition «Sweet Street 2»

2011, Etats-Unis NYC, Myplasticheart : exposition «New Moon»

2011, Grande - Bretagne, Londres, Miles Gallery, Miles Gallery : exposition «Literal Eyes »

2012, France, Paris, Galerie LJ : exposition« 40 x 30 »

2013, Autriche, Vienne, Inoperable Gallery

2013, France, Paris, Galerie du pont neuf : exposition «Advertising is not a crime»

2013, France, Paris, Galerie Hélène Bailly : exposition «  Lyrics »

2013, Autriche, Innsbruck, Kunstraum Innsbruck Museum : exposition «Urban Folklore»

2013, Australie, Adélaïde, Espionnage Gallery : exposition «Athena Nochua»

2013, Etats-Unis NYC, Melissa Mc Welles Gallery : exposition «The futur is now »

2013, Espagne, Madrid, La casa encienda : exposition « White noise »

2013, France, Montpellier, Pierre Vives Archives départementales : exposition « 3P2A »

2014, Allemagne, Berlin, The Federal Cultural Foundation : exposition «Pictoplasma portrait gallery»

2014, Mexique, Monterrey, Museum of Contemporary Art : exposition «Pictoplasma portrait gallery»

2014, France, Paris, Galerie l’attrape - rêve : exposition «Midnight Boom»

2015, Suisse, Genève, Kolly Gallery (curateur) : exposition «Fifty fifty»

2015, Italie, Rome, Centre culturel Français de Rome : exposition «Chimera»

2016, France, Paris, Japon, Tokyo et Etats – Unis, Portland, Hellion Gallery : exposition «Ema show»

2016, France, Lille, Art Up : Foire d’art contemporain

2016, France, Paris, Galerie Ozenne Prazowski : Salon du Dessin

2016, France, Nantes, l’Espace LVL : exposition « Les 5 ans de la Galerie»

2016, France, Paris, Galerie LJ : exposition « Urbanopolis»

Bibliographie[modifier | modifier le code]

2003, Rétroactif 2, de C. Bouchaba - éd. Populaires

2004, L’instant du conte - éd. Occizen

2004, Art de rue, de Kanardo - éd. édition Artifacts

2005, C215, de C. Guémy

2005, Graffiti, de S. Pereira - éd. Fitway

2005, Street Art, de L. Bou - éd. Collins Design

2006, The Art of rebellion 2, de C. Hundertmark (C100) - éd. Ginko Press

2006, Planète graffiti, version filles, de N. Ganz - éd. Pyramyd

2006, Pictoplasma, de P. Thaler, L. Denicke - éd. Pictoplasma

2008, Lettre à Mami, de M.Fortems - éd. My Monkey

2009, The garden of eye candy, de Sijuan - éd. Gingko Press

2009, The Ark project, de DGPH - éd. IDN

2009, T-shirt graphics, 10 years, de Evan Pricco / Upperplayground - éd. Gingko Press

2011, Graffiti 365, de J.Edlin and A. «Zephyr» Witten - éd. Abrams Books

2011, Graffiti and Street Art, de A. Waclawek - éd. Thames & Hudson

2011, Juxtapoz illustration 2, de E. Pricco - éd. Gingko Press

2011, 100 artistes du Street Art, de P. Ardenne - éd. De la Martinnière

2012, Pictoplasma the character compendium, de P. Thaler & L. Denicke - éd. Pictoplasma

2012, 15 minutes, de Ilk & Keno - éd. Pyramyd

2012, Artitude, de F. Claquin - éd. Herscher

2013, Behind illustrations 2, de M. Cooley - éd. Indexbook

2014, Pictoplasma character portraits, de P. Thaler & L. Denicke - éd. Pictoplasma

2014, Artes 1 / 2°semestre, Livre d’enseignement d’art au Brésil – éd. Poliedro

2015, I said hip #5, de Florent Auray - éd. I said hip

2016, The tall trees of Paris, de Matt Wagner - éd. Overcup Press

2016, Surf artwork, de J. Roulland - éd. Surf session

2016, The art of rebellion IV, de C. Hundertmark (C100) - éd. Publikat

Monographie

2014, Black color book «  Koralie & SupaKitch » d’Anne Gauthier et Sarah Mattera - éd. Pyramyd

2015, Le carnet de dessins à colorier ( ou non ) de Koralie - éd. Pyramyd

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « L'artiste KORALIE Maquis-Art The Graffiti and Street Art Shop, Urban art - », sur www.maquis-art.com (consulté le )
  2. « Supakitch & Koralie, le couple parfait du street art », sur blog.digitives.com (consulté le )
  3. « SupaKitch & Koralie, nouvelle exposition "Tandem" », Les Confettis,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Supakitch and Koralie – Metroplastique », sur Fubiz Media (consulté le )
  5. « Metroplastique », sur www.metroplastique.com (consulté le )
  6. « Sessùn - Koralie », sur sessun.com (consulté le )
  7. « Koralie », sur cargocollective.com (consulté le )
  8. « Hacienda », Wikipédia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Poupée russe », Wikipédia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Kokeshi », Wikipédia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Bondage japonais », Wikipédia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Koralie », SergeantPaper,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. (en-US) « KORALIE - Galerie L.J. », Galerie L.J., {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  14. « Supakitch & Koralie // Expo TANDEM @ Galerie LJ | AMALGAME », sur amalgame-magazine.com (consulté le )
  15. « Koralie : EmanEssence », sur www.tribords.com (consulté le )
  16. Eric SIMON, « SUPAKITCH & KORALIE: " Tandem " - ACTUART by Eric SIMON », ACTUART by Eric SIMON, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )

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