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Utilisateur:Stéphane Veyret

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Citations
Citation
74
Je suis né en 1974
Papa
Je vous aime
eo-2
en-3
Tu
Non aux anglicismes
Non au langage SMS
Généralités
bépo
Perfectionniste
Rire
Gentoo
Pieds nus
Non au tabac
Pas de frontières
ETC.
ETC.
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Localisation
Haute-Savoie
Métier
Bureau
Contributions

J'aime écrire sur le monde qui m'entoure, si possible en espérant pouvoir faire réfléchir les gens, et modifier la direction dans laquelle va l'humanité avant qu'il ne soit trop tard.

Un homme libre, pour un monde libre…

Pardonnez-moi de vouloir sauver le monde.

Je m'intéresse en général à tout ce qui peut faciliter la vie des gens, surtout si c'est peu connu. Étrangement, lorsque l'on propose aux gens d'adopter des solutions qui leur faciliteraient la vie, les réactions sont très conservatrices. J'ai souvent l'impression de me battre contre des moulins.

Dans ce domaine, en plus de l'espéranto, on peut citer mon combat pour la standardisation de la disposition de clavier bépo, ou encore, plus récemment, de mon engagement pour l'instauration d'un revenu de base ou la mise en place d'une monnaie complémentaire dans ma région.

Informatique

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Je suis passionné d'informatique depuis qu'un ordinateur est entré dans ma maison, lorsque j'avais 11 ans. Je sais, pour les jeunes d'aujourd'hui, qui côtoient les ordinateurs depuis qu'ils sont nés, cela peut paraitre ridicule… Mais pour moi, cela a été une révélation. Je me suis rapidement intéressé à la programmation.

Pour ne pas user cette passion, j'ai toujours décidé que je n'en ferai pas mon métier. J'ai donc fait des études d'électronicien, domaine que j'aime également beaucoup. Mais lors de mon arrivée sur le marché du travail, c'est un métier d'informaticien qui m'a tendu les bras. Tant pis, ce n'est que partie remise…

Je m'intéresse depuis toujours à la politique. Très idéaliste, j'aimerai pouvoir refaire le monde afin qu'il soit plus juste, plus simple, plus agréable pour tous. Je rêve d'un monde où les gens n'agissent plus par intérêt personnel, mais trouvent leur bonheur dans l'intérêt collectif… Oui, vraiment, je rêve…

J'ai été adhérent à un parti de gauche durant quelques années et suis encore membre actif d'un syndicat au sein de mon entreprise.

Lorsque j'étais au collège, un camarade m'a dit un jour que sa mère apprenait l'espéranto. Lorsque je lui ai demandé des précisions sur cette chose étrange, il m'a vaguement expliqué qu'il s'agissait d'une langue facile pour communiquer entre les peuples. J'ai trouvé l'idée formidable, mais en même temps, j'étais au collège. Lorsque je rentrais à la maison, le soir, j'avais déjà assez de devoirs comme ça pour ne pas encore m'ajouter une langue bizarre.

Au cours de mes études, j'ai eu très souvent l'occasion de pratiquer l'anglais. En plus de cela, mes parents se sont arrangés pour me faire faire plusieurs années de suite des séjours linguistiques en pays anglo-saxon. L'anglais est une langue que j'aime beaucoup. D'une part, sans doute, à cause du fait que c'est une langue que l'on voit partout aujourd'hui, mais aussi peut-être parce que je suis « tombé amoureux » de l'Australie, pays où je me suis d'ailleurs rendu par moi-même en 1998. Tout cela m'a donné un niveau d'anglais plutôt correct, et, à l'époque, je n'hésitais pas à le montrer avec fierté.

En 2006, j'ai commencé à ressentir une pression de plus en plus forte pour que je parle anglais au sein de mon entreprise. Il y avait parfois des situations ridicules où il fallait faire un document en anglais pour des roumains francophones, voire même pour des français ! Tout cela sous le prétexte que l'entreprise devenait internationale. La qualité de la communication au sein de l'entreprise s'est par le fait bien entendu dégradée, et j'ai commencé à chercher s'il n'y avait pas une meilleure solution. Cette recherche s'est déroulée en plusieurs étapes :

  • J'ai commencé par faire des recherches sur l'espéranto, me remémorant ce que mon camarade m'avait dit des années auparavant. Et là, j'ai découvert qu'il existait en fait de très nombreuses autres langues construites.
  • J'ai donc commencé à étudier et comparer un certain nombre de ces langues construites. Je n'ai gardé que celles qui avaient assez d'ancienneté, d'utilisateur et de produits culturels pour prouver que l'amélioration de la communication n'est pas que théorique.
  • Arrivé à ce stade, il ne me restait plus que l'espéranto et quelques dérivés, comme l'ido. Si l'espéranto ne me satisfaisait pas complètement (certains points ne me paraissaient pas très logiques ou semblaient inutilement compliqués), les dérivés, qui se voulaient être des améliorations, ajoutaient en fait des complications[1].
  • Je me suis donc dit que puisqu'aucune langue ne me satisfaisait pleinement, j'allais en créer une nouvelle, me basant sur l'espéranto, qui était, me semblait-il, la mieux placée. Mais en réfléchissant bien, j'ai pensé que je n'avais aucune raison de faire mieux que toutes les tentatives précédentes, et que, par conséquent, je risquais encore de faire quelque chose de pire que ce qui existait.
  • Finalement, en décembre 2006, je me suis décidé à apprendre l'espéranto. J'ai rapidement constaté que ce que je reprochais à la langue à première vue, étaient pour l'utilisation quotidienne, soit mineur (l'absence de tutoiement[2], par exemple), soit, contrairement à ma première impression, un avantage et non un inconvénient (l'accusatif, par exemple).

Depuis ce temps, je milite sans relâche pour l'utilisation de cette langue, à un point tel que j'en oublie de l'apprendre correctement, ce qui fait que mon niveau ne progresse que très lentement. Émoticône

Langues nationales

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Dans ce même état d'esprit qui consiste à refuser le fait qu'on nous impose l'anglais partout, tout le temps (combien de publicités aujourd'hui peuvent se vanter de ne pas utiliser de mots anglais, y compris dans le slogan des entreprises, même françaises), je milite pour le respect de toutes les diversités culturelles et surtout linguistiques. Ainsi, je souhaite que l'on fasse en sorte que chacun puisse quotidiennement aimer, travailler, consommer dans sa langue, et non dans la langue imposée par une super-puissance. En France, je milite donc pour que les gens sachent parler français, et n'utilisent plus bêtement des mots anglais quand un équivalent existe dans notre langue. Je milite pour que l'on respecte ceux qui osent dire « courriel » et qui savent qu'un « mail » en français se prononce comme « maille » et représente une allée, celle dans laquelle on jouait au jeu de mail. Je souhaite également que l'on ne se moque pas de ceux qui disent « septante », « octante » ou « nonante » qui est tout aussi français (même si moins usité) que « soixante-dix », « quatre-vingt » ou « quatre-vingt-dix » et ne sont ni belges ni suisses.

Mes autres pages

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  • Une page pour un débat sur l'utilisation de l'anglais.
  • Mon Bloc note pour marquer ce que j'ai à faire.
  • Une tentative de modèle pour les nouveaux qui ne connaissent pas encore très bien Wikipédia. S'utilise comme cela {{subst:Utilisateur:Stéphane Veyret/ErrNouv | page = page | cause = cause}}~~~~. Note : pour accueillir les nouveaux : {{Bienvenue nouveau}}~~~~

Notes et références

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  1. Par exemple, pour l'ido, la nécessité de combiner plusieurs lettres pour faire un son, ou le rapprochement des racines latines (matro pour mère qui ne dérive pas de patro, le père) au détriment de l'internationalisation.
  2. En fait, le tutoiement existe, mais il est très peu utilisé, et très peu connu des espérantophones eux-mêmes.