Rue Viète
17e arrt Rue Viète
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Situation | |||
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Arrondissement | 17e | ||
Quartier | Plaine-de-Monceau | ||
Début | Boulevard Malesherbes | ||
Fin | Avenue de Villiers | ||
Morphologie | |||
Longueur | 159 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Création | 1879 | ||
Dénomination | 16 août 1879 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 9782 | ||
DGI | 9789 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Viète est une voie située dans le 17e arrondissement de Paris de Paris, en France.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Située dans le quartier de la plaine Monceau, la rue Viète relie le boulevard Malesherbes, au no 45, à l'avenue de Villiers, au no 56. Elle longe le lycée Carnot sur 159 mètres et une largeur de 12 mètres. Elle se prolonge par la rue Édouard-Detaille et abrite l'ambassade d'Arménie en France.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
La rue Viète prend son nom du mathématicien François Viète (1540-1603), initiateur de l'algèbre spécieuse et a été nommée ainsi sur proposition de l'érudit Aristide Marre en raison du voisinage du lycée Carnot (ancienne école Monge).
Historique[modifier | modifier le code]
Cette voie est ouverte en 1879 sous sa dénomination actuelle. Son alignement a été décidé par décret le et son numérotage a été effectué par arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- No 3 et 3 bis : cet hôtel fut construit en 1880 pour le peintre Giuseppe De Nittis[1].
- No 3 : ici demeurait lors de son séjour à Paris en 1885 le peintre brésilien Rodolfo Amoedo (1857-1941)[2] ;
- le sculpteur russe Antoine Pevsner vécut ici ;
- Edmond Loutil habita cette maison jusqu'à sa mort en 1959.
- no 9 : ambassade de la République d'Arménie en France.
Autres rues Viète[modifier | modifier le code]
On compte des rues Viète à Tours, à Niort, à Perpignan, La Rochelle, Foussais-Payré, Lagord et Valence ; une rue Viette à Montbéliard, Audincourt, à Valentigney et à Exincourt ainsi qu'une place Viète à Fontenay-le-Comte et un centre à Nantes[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Moscatiello Manuela, Le Japonisme de Giuseppe De Nittis. Un peintre italien en France à la fin du XIXe siècle, Bern/New York, Peter Lang, , 441 p. (ISBN 978-3-03911-796-3, OCLC 811387793, lire en ligne).
- Catalogue de la 27e Exposition d'Amiens, p. 2.
- Centre François-Viète, www.cfv.univ-nantes.fr.