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Eugène Pébellier (homme politique, 1897-1968)

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Eugène Pébellier
Illustration.
Eugène Pébellier en 1937
Fonctions
Député français

(5 ans et 20 jours)
Élection 17 juin 1951
Réélection 2 janvier 1956
Circonscription Haute-Loire
Législature IIe et IIIe (Quatrième République)
Groupe politique RI (1953-1956)
IPAS (1956-1958)

(5 ans, 11 mois et 30 jours)
Élection 3 mai 1936
Circonscription Haute-Loire
Législature XVIe (Troisième République)
Groupe politique RIAS
Prédécesseur Joseph Archer
Successeur Circonscription supprimée
Maire du Puy-en-Velay

(30 ans)
Prédécesseur Léon Coudeyrette
Successeur Célestin Quincieu
Conseiller général de la Haute-Loire

(16 ans)
Circonscription Canton du Puy-Nord-Ouest
Prédécesseur André Soulier
Successeur Célestin Quincieu
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Le Puy-en-Velay (France)
Date de décès (à 70 ans)
Lieu de décès Le Puy-en-Velay (France)
Nationalité Drapeau de la France Français
Père Eugène Pébellier

Eugène-Gaston Pébellier, né le au Puy (Haute-Loire) et mort le à Nice (Alpes-Maritimes), est un homme politique français.

Ingénieur des Mines, il revient s'installer comme commerçant à la suite de son père, au Puy. Élu maire du Puy en 1935 et député de la Haute-Loire en 1936. Le , il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, qu'il reçoit en grande pompe dans sa ville en 1941. Déclaré inéligible à la Libération, il tente de conserver sa mairie, où il est très largement réélu en 1945. Déchu de son mandat, il doit attendre l'amnistie de 1953 pour retrouver son poste de maire du Puy-en-Velay, qu'il conserve jusqu'en 1965, son poste de conseiller général, qu'il conserve jusqu'en 1967, et son poste de député, qu'il garde jusqu'en 1958[1].

Dans l'intervalle, il dirige la ville par personnes interposées, et fait occuper la place de député par son père, Eugène Pébellier, puis par son frère Jean Pébellier.

Eugène-Gaston Pébellier meurt le à l'âge de 70 ans[2].

  • « Eugène Pébellier (homme politique, 1897-1968) », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]

Notes et références

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Articles connexes

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Liens externes

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