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Discussion Wikipédia:Médiation/Benoit Monfort - Michel Louis Lévy\commentaires et propositions Benoit Montfort

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[proposition de rédaction Montfort]J'ai expurgé la thèse personnelle de MLL ce qui évite les comemntaires désagréables sur cette thèseL’ouvrage de Bernard Dubourg porte sur les origines du Nouveau Testament. Il appartient au genre de thèses mythistes dont il présente les caractéristiques classiques :

  1. L'auteur lutte contre "l'Eglise" (pageXX*** ). A l'absolu et en français, il s'agit toujours de l'église catholique,
  2. L'auteur lutte contre les grécistes (pageXX***). Selon lui, tous les chercheurs travaillant sur les origines du Nouveau Testament et ayant montré depuis une conquantaine d'années, que celui-ci fut écrit en grec persistent dans leur aveuglement (page XX) et sont remplis d'idées préconçues (page XX) par méconnaissance de l'hébreu (page XX***). Selon lui, les textes grecs sont issus d'un orignal hébreu, dont le manuscrit de selon Matthieu est bien attesté
  3. Si les autres originaux hébreu n'ont pas été retrouvés, c'est parce que le christianisme officiel les a détruits (page XXX)
  4. Jésus fut fabriqué par le christianisme à partir de Constantin
  5. il croit fermement être le premier à le dire (page XX)

Ces 5 items, la lutte contre l'église catholique (en Europe car aux Amériques, c'est contre le Southern Baptist ou les églises évangélicalistes du Bible Belt qu'on lutte), l'aspect seul contre tous, la théorie du complot sur la destruction des manuscrits, l'affirmation que Jésus n'a pas eu d'existence historique sont les critères de toute thèse mythiste amateure.

exposé de la thèse[modifier le code]

L'originalité de la thèse de Dubourg concerne les éléments suivants :

  • Il vise à ruiner l’idée que celui-ci contient la moindre trace d’un témoignage ou d’un reportage sur des faits historiques
  • tous les éléments du NT ont été produits par midrash (c'est à dire par commentaire) de l'AT. Ce mode de production est uniforme quel que soit le genre littéraire de l'élément de NT, que ce soit lettre (épître, forme caractristique du petit traité philosophique durant la période hellenistique) ou arétalogie (vie de héros)
  • Il appuie ses affirmations (car il ne démontre rien) sur des rétroversions en hébreu d’expressions ou phrases du Nouveau Testament, celles auxquelles l'église romaine attache une valeur doctrinale particulière. En quelque sorte, il entend réfuter le catholicisme dans un premier temps et secondairement les autres christianismes car, de temps à autres il ajoute les Eglises à l'expression l'Eglise qui est la plus fréquente (n/N emplois)
  • Paul de Tarse est aussi un personnage de fiction (page XXX***)
  • Il vise à ruiner l’idée que celui-ci contient la moindre trace d’un témoignage ou d’un reportage sur des faits historiques et, selon son auteur, est propre à heurter de front les commentateurs chrétiens[1]. Dans le texte l'hébreu du Nouveau Testament, il affirme être le premier à présenter la thèse que le Nouveau Testament est issu d’une traduction en grec de textes hébraïques, originaux hébreux des évangiles. Il précise même l'existence "bien attestée"un manuscrit original de Matthieu en hébreu.
  • Chemin faisant, il conteste l'odre consensuel scientifique de composition, sans être capable de le donner et critique le fait que Jean soit réputé le dernier mais les raisons de ce classement qu'il énnonce, supposées être celles du consensus savant, ne sont pas les bonnes.
  • Les évangiles seraient produits par midrash à partir de textes antérieurs de l’Ancien Testament..[2] Ses démonstrations sont fondées sur des « rétroversions » en hébreu d’expressions ou phrases du Nouveau Testament yant une charge doctrinale dans l'interprétation du catéchisme catholique de Saint-Pie-X. Sa thèse conteste l'interprétation doctrinale catholique.
  • Jésus et ses qualifications de Messie, Fils de l’Homme, Fils de Dieu, Crucifié, Ressuscité
  • Paul, supposé persécuteur des premiers Chrétiens qui serait devenu, après la Révélation sur le ‘’chemin de Damas’’ « apôtre des Gentils », [3]
  • ainsi que sur quelques extraits du Nouveau Testament, dont le Prologue de l'évangile selon Jean et plusieurs passages des Actes des Apôtres.[4]


méthodologie[modifier le code]

Dans un premier temps, on peut rappeler que la thèse de Dubourg rassemble des articles préalablement paru dans des revues de littérature d'avant garde (Tel Quel, Poésie) et non dans des revues scientifiques de validation. Quand on publie un article à prétention scientifique dans une revue de validation, on le dote de divers appareils critiques :

  1. des bas de page (surtout quand on réfute)
  2. un index (qui permet de recherher les occurences d'un mot dans le livre)
  3. une bibliographie pour montrer qu'on n'a pas pensé en solitaire,
  4. souvent, une liste des abbréviations usuelles concernant le corpus des ouvrages classiques (autres revues, corpus manuscrits, s'il y a lieu, ouvrages de référence et traités, etc...)
  5. une biographie de l'auteur qui montre a formation, ses labos de recherche, ses publications autres.

Les articles de Dubourg sont dépourvus de tout cela. Les bas de page contiennent des appréciations personnelles mais pas la référence attendue et pourtant nécessaire. Le recueil n'en donne pas plus, ce qui montre que les articles n'ont pas été retravaillés pour être rassemblés. Un lexique donne des définitions [5]quelques unes sont si personnelles qu'elles montrent que l'auteur ne connaît pas le problème qu'il évoque.

[développer le hebrew dropping, les questions relatives à l'origine de la Temura... du notarikon, la guematrie, la date prétendue à laquelle il fait commencer l'hébreu tardif, les lacunes sur la Kabbale, la méconnaissance de la grammaire hébraïque et le mande de réflexion sur la relation entre temps et aspects du verbe]

Réception de la thèse de Dubourg[modifier le code]

L'ouvrage de Dubourg est conçu pour heurter de front les commentateurs chrétiens auxquel Dubourg déclare s’adresser. Le caractère faussement érudit des affirmations fait que les érudits ne s'y sont pas trompés. L'ouvrage de Dubourg est certes polémique sans jamais atteindre à l'élégance du pamphlet.

Par exemple, Dubourg suppose que certaines connaissances de l’hébreu, du grec, voire de l’araméen, et des techniques du midrash, font défaut aux chercheurs écclésiastiques. Dans ce cas, il met dans le même sac toutes les églises sans se souvenir que la restauration des études grecques et hébraîques est l'une des causes de la Réforme et que l'Orientalisme fut le fleuron de la philologie allemande.

Sa méconnaissance des diverses catégories de midrash, mot qui revient dans le smêmes circonstance où un commentateur doctrinal dirait mystère et son incapacité à fournir des références précises dans le Midrash Rabba [6], son usage immodéré de la guematrie sur le texte grec, ses conception succintes concernant la Kabbale fit classer l’ouvrage dans la catégorie de la fiction mythiste. Il n’a eu à sa parution et jusqu’au décès de l’auteur qu’une audience limitée, n’étant ni traduit, ni réédité. Il ne dispose à ce jour d'aucune reconnaissance éditoriale à caractère académique.

aucun écho dans le monde savant[modifier le code]

Dans le monde savant et même ailleurs, on a considéré que la thèse de Dubourg est de celle qui ne vaut pas la peine de la réfuter Dubourg ne fait l'objet d'aucune citation dans les grandes bibliographies [7] comme dans les ouvrages de vulgarisation les plus courrus[8]. Les raisons en sont simples :

Sur quelques points, Dubourg croit innover alors qu'il débat sur des sujets étudiés (parfois acquis) par la recherche critique depuis 100 ans, par exemple :

  • le fait que les évangiles ne racontent pas des faits historiques au sens où l'on entend le mot histoire depuis le XIXe siècle
  • sa thématique mythiste passa pour une innovation révolutionaire lors de la parution alors que Bruno Bauer dès le milieu du XIXe siècle avait ouvert une voie mythiste à partir des textes évangéliques.

la thèse de l'original hébreu[modifier le code]

La thèse de l'original hébreu mérite qu'on s'y arrête un instant. Elle repose sur la rétroversion d'un texte dans une langue ancienne. Tresmontant avait déjà fait cet exercice pour acclimater la nouvelle thèse de John R Robinson. Que prouve cet exercice ?


Traduire Bossuet en latin ne prouve pas que Bossuet soit un orateur latin, non plus que ses textes ont un original latin ; cela prouve juste que sa formation intègre une suffisante connaissance de la langue latine pour que des traces réhtoriques et/ou lexicales en demeurent dans son expression française.

Il en est de même pour des rédacteurs anonymes dont la langue véhiculaire était le grec [5] tandis que la langue vernaculaire était toute autre et par exemple, l'araméen de l'ouest. En quelque sorte, le grec des évangiles a la même qualité linguistique que le globish ou airport english qui est la lingua franca du monde contemporain et n'atteint pas la qualité de la langue de Shakespeare ou de Dickens.

Surtout la thèse d'un original hébreu des textes du Nouveau Testament fut dynamitée par les travaux de Martin Hengel sur l'héllénisation de la Syrie et de la Palestine depuis la guerre des Macchabées. Dès les premiers travaux Judaïsme et Héllénisme, publiés en anglais en 1974, on savait que la civilisation héllenistique, malgré l'indépendance relative conquise par les Hasmonéens, avait fait sont oeuvre. C'est pourquoi la thèse de Robinson était déjà abandonnée quand Tresmontant voulut la localiser. Pourtant, cet argument est contestable puisque...

la thèse du midrash[modifier le code]

La thèse d'une composition par inflation textuelle par l'effet du commentaire sur le commentaire comme dans le midrash haggadique ou pesharique a un certain impact dans une partie du monde juif (grand public) chez lequel l'idée que le monde chrétien récuserait les sources juives des évangiles fait encore recette .

L'hypothèse midrashique n'est qu'une nouvelle façon de développer une théorie mythiste. Toutefois, les deux objections suivantes, parmi quantité d'autres, ne trouvent jamais de réponse chez ses partisans :

  • S'appuyer sur un genre littéraire (encore que le midrash soit plus qu'un genre littéraire) est incertain pour prouver quoique ce soit en histoire. La thèse de Dubourg revient à dire que si Shakespeare, dans la Tempête reprend pour la décrire les motifs de Virgile dans Tristes, on peut conclure qu'aucune tempête ne s'est déroulée, effectivement et météologiquement, durant la période historique entre la vie de Virgile et celle du grand William. Cette théorie passe à côté de la généalogie des textes sans atteindre la pertinence de l'analyse des formes du conte de Vladimir Propp.
  • La démonstration théorique de l'inexistence d'un personnage d'un point de vue historique est encore plus délicate que la confirmation de son existence. A cette dernière, suffisent l'apport de preuves documentaires qu'il est souhaitable de prolonger par un dialogue avec la recherche archéologique, sans lesquelles elle demeure mal étayée.

Le fait que Bernard Dubourg affirme être le premier à remettre en cause l'existence historique des personnages du NT, le conduit à des revendications analogues à celles de Cascioli :

  • d'abord à une exploration systématique des liens entre le Nouveau Testament et le Midrash qui est faite depuis longtemps mais Dubourg ignore la Bibliographie classique [9] sur la question
  • enfin à remettre en question toute la conception occidentale de l’Histoire, héritée d’Hérodote et de Thomas d’Aquin. Celle-ci croit à la vérité historique des dates, des personnages et des événements. On voit ici que Bernard Dubourg expose une théorie de la contestation de l'histoire qui le classe parmi les révisionnistes. L'option seul contre tous le conduit à ignorer l'évolution de la conception de l'histoire depuis l'école des Annales car l'histoire occidentale naît au 19ème sièle (la théorie d'Hérodote père de l'histoire est un sujet classique de lcence d'histoire) et ne trouve sa vitesse de croisière qu'au retor de la seconde guerre mondiale.
  • Ce paradigme remonterait au temps où les livres « intertestamentaires » firent de la Loi écrite, traduite en grec, une simple « Histoire sainte » et négligèrent la Loi orale, trop liée à la pratique de l'hébreu biblique (sic). L'oeuvre de Flavius Josèphe symbolise ce "raccord" de l'histoire du peuple d'Israël, telle que rapportée par la Bible grecque des Septante, à celle de la monarchie hasmonéenne et de la chute du Temple de Jérusalem. L'usage que Dubourg fait de Flavieus Josephe est assez spécieux en cela qu'il le lit sans aucune distance critique, exactement comme un fondamentaliste américain lit l'évangile. [ajouter le commentaire de la page 52 où Dubourg montre qu'il ne connaît rien au contexte historique de Flavius Josèphe]]


On comprend donc que l'hypothèse midrachique relève de l'interprétation, du commentaire, de la confession de foi et non du travail scientifique comme certains de ses partisans le prétendent.


quelques amateurs dans le gand public[modifier le code]

Une hypothèse vaut plus par les recherches qu'elle provoque que par sa validité intrinsèque : L'hypothèse de Dubourg n'a connu aucune filiation

Le fait est que le livre de Dubourg fonctionne comme les habits neufs de l'empereur en sorte qu'avoir un regard critique sur le bouquin ou fréquenter les auteurs grécistes revient à déroger. On trouve donc quelques émules qui à sa suite demandent une modification du sens dans lequel va la recherche historique (élargissant le caadre de la lutte, entre autre, sur le pentateuque) et demandent qu'elle porte sur une autre conception impliquerait que la recherche et l’enseignement de l'histoire portent plutôt sur les pratiques rituelles et calendaires des diverses sociétés :

   * adoption du rythme hebdomadaire de la semaine
   * choix (ou coexistence) du samedi, du dimanche, du vendredi comme jour de rassemblement communautaire,
   * rites alimentaires et identitaires
   * pratique des sacrifices et des pélerinages
   * célébrations des naissances, mariages, funérailles
   * et des fêtes agricoles annuelles (semailles, moissons, vendanges …)

Ce type de revendication montre que pour adhérer à la thèse de Dubourg, il faut et il suffit de ne rien savoir des recherches actuelles sur le Pentateuque et plus généralement des sciences religieuses telles qu'elles se pratiquent (en France) depuis Albert Réville, en Allemagne depuis 1830.

L'influence hébraïque sur le texte grec du Nouveau Testament, qui est établie par les passages de l'Ancien Testament qu'il cite et les nombreux "sémitismes" qu'il contient est connue et étudiée depuis longtemps . Les spécialistes de cette filiation, qu’ils soient chrétiens (comme Etienne Nodet o.p.) ou juifs comme Joseph Klausner [10], Simon-Claude Mimouni ou plus généralement l'école juive du Nouveau Testament, ne se réfèrent jamais à Dubourg. Ils s’intéressent au texte du NT non à l’existence historique de ses personnages.


Selon Stéphane Zagdanski, romancier, "Dubourg montre et démontre indubitablement (il faut posséder au moins quelques rudiments d’hébreu pour comprendre sa démonstration)

On peut regretter que Stéphane Zagdanski n'ait à offrir que l'argument d'autorité à l'appui de son enthousiasme. On attend encore, sous sa plume, le livre qui montrera une connaissance des problématiques autour du Nouveau Testament, notamment des évangiles, équivalente à celles des problématiques du judaïsme contemporain [11]. A l'instigation de Schopenhauer, on peut, dans cette attente, observer comment fonctionne l'adresse au lecteur contenu dans la citation de ce romancier-philosophe :

  • Avant d'avoir exposé quoique ce soit de la thèse de Dubourg, Zagdanski nous annonce que c'est chose faite et qu'il est, désormais, interdit de douter des dires de Dubourg.
  • Pour prévenir toute contestation de cette annonce, Zagdanski restreint les possibilités de contestation aux seuls hébraïsants. En quelque sorte, si le lecteur n'adhère pas à la thèse de Dubourg, c'est par ignorance de l'hébreu.

Zagdanski joue sur du velours dans un pays où les humanités classiques fichent le camp parce que non-productives : l'hébreu ne peut être choisi comme langue ancienne sauf dans quelques écoles privées confessionnelles. Enfin, rares sont les jeunes préparant la barmitsvah qui lisent effectivement la parasha le jour de la cérémonie ; la plupart du temps, elle est apprise par coeur. Suite à quoi, les liturgies s'adaptent : l'adulte appelé à la Torah ne lit plus la parasha mais se contente de prononcer la bénédiction qui précède la lecture. En sorte que Zagdanski, comme Trissotin, réserve la critique à celui qui sait du grec, un public qu'il a peu de risques de rencontrer, au moment même où l'adoption sans distance de la thèse de l'original hébreu montre qu'il ne sait rien des débats des 40 dernières années sur la question. Il s'agit donc de croire sur parole une doctrine.

L'indubitabilité de la thèse de Dubourg présente autant de légitimité que l'adjectif définitif quand il qualifie les conciles christologiques. Elle peut être discutée par n'importe quel hébraïsant, a fortiori par n'importe quel historien ayant quelque connaissances de l'histoire du judaïsme du second temple depuis les guerres macchabéenes.

un soutien inattendu[modifier le code]

Certains cercles islamistes, parmi les plus extrémistes, ont exhumé les deux livres de Dubourg qui deviennent un outil dans la lutte contre les croisés. L'appui est doctrinal : le travail de Dubourg est utilisé pour soutenir la doctrine que chrétiens et juifs ont corrompu leurs écritures.

De ce soutien, on peut espérer une nouvelle vie pour les deux tomes de Dubourg si l'on se fonde sur la pérennité de la publication et de la diffusion du Protocole des sages de Sion organisé par les mêmes cercles ou des cercles voisins.


un soutien de toujours[modifier le code]

L'athéisme radical, (Bruno Courcelle, Raoul Vaneighem) dans son courant qui promeut l'éradication des religions, en fait un ouvrage de base. Il reçoit très bien la thèse mythiste sans bien percevoir l'environnement religieux de la démonstration ; il s'appuie donc sur cette thèse comme la dernière thèse mythiste en cours et invoque volontiers le complot des églises pour en interdire la diffusion.

Toutefois, Michel Onfray, dans son Précis d'athéologie ne retient pas l'ouvrage de Dubourg alors même que son livre prêche une éradication des monothéismes. Pour Onfray, la dernière thèse mythiste francphone qui mérite attention est celle de Paul-Louis Couchoud. Onfray s'est toutefois fait le rééditeur de Prosper Alfaric que les historiens des religions trouveront peut-être plus pertinent tandis que les philosophes préféreront Couchoud.

--- notes

  1. Dubourg en connaît très peu, si l'on reconsttitue sa bibliographie de travail. Il confond systématiquement commentateurs doctrinaux, exégètes, c'est à dire chercheurs. Il ne peut donc savoir qu'il enfonce donc des portes ouvertes depuis 1942, Rudolph Bultmann au plus tard.
  2. Le midrash n'est pas une traduction mais un commentaire ou un recueil de commentaires. Auquel cas, chaque commentaire est sourcé. voir traité (ref à choisir et préciser) C'est un fait que le NT cite l'AT, ce qui fait qu'on ne peut rien comprendre au NT si on ne conaît pas l'AT
  3. Il ne réfléchit même pas sur le prétendu concile de Jérusalem et ne se demande pas un instant si ce yalta du christinsime ne serait pas plutôt un herem pour avoir perdu l'argent de la collecte. Si le mot herem est rouge, voir Baruch Spinoza
  4. Où on se rend compte que Dubourg ne sait pas vraiment ce qu'est un midrash dans la façon dont il conteste le fait que ce prologue soit un midrash pêsher de Genèse 1. Il faut dire que Dubourg renvoie toujours au midrash ou au Talmud(s) (sans préciser s'il se réfère au bali ou Ierushalmi) de façon vague sans donner le traité ou la page
  5. [donner ici l'exemple de interpolation, page XX comparée aux critères de reconnaisance d'une itnerpolation]
  6. qui est la règle dans la critique biblique et la pratique en est attestée chez les chercheurs spécialistes dans le domaine du judaïsme du 2nd Temple au 1er siècle, comme Etienne Nodet o.p. et Justin Taylor Essai sur les origines du christianisme CERF [date] (Dubourg est absent de la bibliographie)
  7. ici je donnerais des infos sur le département de réthorique sémitique de université ??, possiblement Louvain et sur Roland Meney s.j. qui ne cite pas Dubourg dans des ouvrages 2002-2005
  8. ici je donnerais des informations bibliographiques sur Jésus nouveau visage d'une énigme de Marguerat et allii et sur l'invention du Christ de Sachot
  9. la donner
  10. qui ne connaissait pas l'hébreu
  11. Zagdanski avoue n'avoir hérité que du premier tome du Talmud e son grand père

Voir aussi[modifier le code]