Aller au contenu

Discussion:Politique profonde/Admissibilité

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

L'admissibilité de la page « Politique profonde » est débattue.

Consignes quant à cette procédure :

Qui peut participer ?
Le créateur de la page et les contributeurs ayant un compte ayant fait au moins cinquante contributions aux articles (espace principal) de fr.wikipedia.org au lancement de cette procédure peuvent exprimer leur avis.
Les avis des personnes n’ayant pas de compte ou un compte ayant moins de 50 contributions sont déplacés dans « Avis non décomptés » et ne sont en principe pas pris en considération. Lors de la clôture, les avis sans argumentaire sont également déplacés et ne sont pas pris en compte.
Durée de la consultation
Si un consensus clair s'est dégagé le 17 février après l'expiration de sept jours pleins de débat (168 heures), un contributeur ayant réalisé au moins 500 modifications et ayant 3 mois d'ancienneté (utilisateur autopatrolled) qui n'aura pas pris part au débat peut clore la proposition et indiquer si la page est conservée ou supprimée (la suppression devant être demandée à un administrateur). Dans le cas contraire, la discussion se poursuit et peut être close à partir du 24 février.


Important

  • Copiez le lien *{{L|Politique profonde}} et collez-le dans la section du jour de la page principale « Débat d'admissibilité ». Attention, un décalage d'un jour est possible en fonction de la mise en page.
  • Avertissez le créateur, les principaux contributeurs de l’article et, si possible, les projets associés en apposant le message {{subst:Avertissement débat d'admissibilité|Politique profonde}} sur leur page de discussion.

Conclusion

Le débat a abouti à la suppression de cette page.

Suppression traitée par --En passant (d) 17 février 2011 à 16:40 (CET)

Raison : consensus Proposé par : Jean-Jacques Georges (d) 9 février 2011 à 21:33 (CET)[répondre]

Après quelques recherches, je ne suis pas vraiment convaincu du caractère encyclopédique du sujet de l'article : il s'agit d'un concept créé par un auteur, utilisé essentiellement par lui, et non repris ailleurs (résultats google books peu concluants, y compris en anglais, même si le côté générique du nom n'aide pas à chercher). Cela me semble du même tonneau que coordonnateurisme. A mon avis, c'est destiné à donner de la visibilité à l'article Peter Dale Scott, dont je me suis efforcé tout à l'heure de neutraliser le style publicitaire (il en reste sans doute à faire).

Discussions

[modifier le code]

Toutes les discussions vont ci-dessous.

Il faut impérativement conserver cette page, qui a été créée récemment, mais que je n'ai eu le temps d'améliorer du fait que mon temps libre a été accaparé par des problèmes aujourd'hui réglés de copyvio, et aujourd'hui par la censure opérée par un personnage ne connaissant pas Peter Dale Scott, mais affichant ouvertement son hostilité - pour ne pas dire sa haine - contre toute personne ayant un regard critique envers certains aspects de la politique des Etats-Unis. Si ce comportement est digne d'une encyclopédie, alors j'ai dû me tromper de lieu... La Politique profonde, développée par un docteur en sciences politiques aujourd'hui professeur émérite au sien de la deuxième université mondiale (ayant plusieurs ouvrages publiés dans des maisons d'éditions universitaires) n'a donc pas de caractère académique? Pour mémoire :

"En mars 2010, un séminaire de 4 jours a été organisé en l'honneur de Peter Dale Scott et de son oeuvre (politique et poétique) au New York Open Center. Pour ses 80 ans, ce séminaire constitua une consécration pour cet auteur prolifique, qui a publié son premier ouvrage en 1965. A cette occasion, son livre La Route vers le Nouveau Désordre Mondial ainsi que son concept de Politique profonde furent appuyés par les personnalités académiques, journalistiques et politiques suivantes :

Paul Almond : réalisateur et producteur qui créa l'important documentaire "7 UP" pour Granada TV au Royaume Uni. Il a remporté de nombreuses récompenses en tant que réalisateur, incluant une nomination aux Golden Globe dans la catégorie "Meilleur Film Etranger". Sa trilogie, "Isabel, Act of the Heart and Journey", est considérée comme faisant partie des classiques du cinéma canadien.

Russ Baker : journaliste d'investigation qui a écrit pour le New York Times, le Washington Post et Vanity Fair. Il est le fondateur de WhoWhatWhy/The Real News Project. Son premier livre, Family of Secrets: The Bush Family, the Powerful Forces That Put It in the White House, fut publié en 2009.

Mary Baine Campbell : poète, universitaire et professeur américaine. Elle enseigne la littérature du Moyen Age et de la Renaissance, et elle est également professeur de Creative Writing à l'Université de Brandeis. Son livre le plus récent s'intitule Trouble.

Ron Dart : professeur des universités, alpiniste et auteur. Il enseigne au Département de Sciences Politiques, de Philosophie et de Théologie à l'Université de Fraser Valley, en Colombie Britannique. Il est l'un des principaux garants public de la tradition des Red Tories dans le Canada de l'ouest. Ses livres incluent Thomas Merton et North Cascade Beat Poets. Il est un contributeur régulier pour Vive le Canada.

Daniel Ellsberg : ancien analyste de l'Armée des Etats-Unis employé par la RAND Corporation qui engendra un scandale politique national en 1971 lorsqu'il fit parvenir les Pentagon Papers - une étude top-secrète du Pentagone au sujet du processus décisionnel du gouvernement des Etats-Unis concernant la guerre du Vietnam - au New York Times ainsi qu'à d'autres journaux.

Richard Falk, titulaire d'un Doctorat : professeur émérite de Droit international à l'Université de Princeton. Il est également Rapporteur spécial des Nations Unies pour les Territoires Occupés. Il est l'auteur de nombreux ouvrages incluant The Costs of War: International Law, the UN and World Order After Iraq.

James K. Galbraith, titulaire d'un Doctorat : titulaire de la Chaire Lloyd M. Bentsen sur les Relations entre le Gouvernement et les Affaires à l'Université du Texas. Il est maître de conférences au Levy Economics Institute et il est titulaire de la Chaire Board of Economists for Peace and Security. Ses livres incluent : Balancing Acts: Technology, Finance and The American Future et Created Unequal: The Crisis in American Pay.

Ron Graham : auteur et journaliste dont l'oeuvre littéraire inclut One-Eyed Kings, God’s Dominion et All the King’s Horses. Il a été un producteur de télévision et un contributeur pour le Saturday Night Magazine, le Globe and Mail et le New York Times. Il a été le président de PEN Canada et il est actuellement titulaire de la Chaire Institute of Contemporary Culture à Toronto.

Ronna Kabatznick, titulaire d'un Doctorat : épouse de Peter Dale Scott et psychologue sociale qui a pratiqué la méditation depuis 1985. Elle a passé près de deux ans dans une retraite de méditation Vipassana sous la direction de deux des plus grands Maîtres de la Forêt de Thaïlande. Elle est professeur clinique associée au Département de Psychiatrie à l'Université de Californie (San Francisco).

David MacGregor, titulaire d'un Doctorat : professeur de Théorie politique au King's College, Université de Western Ontario, Canada. Ses publications incluent : Hegel and Marx After the Fall of Communism ; Hegel, Marx and the English State ; The Communist Ideal in Hegel and Marx. Son prochain ouvrage s'intitule Deep Politics of the New Millenium: September 11 and US Imperialism.

Askold Melnyczuk : directeur du département de Creative Writing à l'Université de Massachusetts, Boston. Il est l'auteur de Ambassador of the Dead ; What Is Told et The House of Windows. Il enseigne également aux Graduate Writing Seminars du Bennington College.

Roger Morris, titulaire d'un Doctorat : ancien assistant du secrétaire d'Etat des Etats-Unis Dean Acheson, et ancien membre du Conseil de sécurité nationale (Etats-Unis) sous Lyndon B. Johnson et sous [[Richard Nixon]). Son oeuvre littéraire inclut : Uncertain Greatness: Henry Kissinger and American Foreign Policy ; Richard Milhous Nixon: The Rise of an American Politician ; Partners in Power: The Clintons and Their America ; The Money and the Power: the Making of Las Vegas (avec Sally Denton).

James Schamus : producteur de films et scénariste, remarqué pour son travail dans des films salués par la critique tels que Brokeback Mountain, qui a remporté trois récompenses aux Academy Awards. Il a également coécrit et produit "Eat Drink Man Woman" et "Crouching Tiger, Hidden Dragon" avec le réalisateur Ang Lee. Il est titulaire d'un doctorat à l'Université de Californie (Berkeley), et il est un historien du cinéma reconnu et publié disposant d'un poste à l'Université de Columbia.

Norman Rush : écrivain dont les récits sont apparus dans The New Yorker, The Paris Review et Best American Short Stories. Whites, un recueil de récits, fut publié en 1986, et son premier roman, Mating, récipiendaire du National Book Award, fut publié en 1991. Mortals est son second roman.

Mark Selden, titulaire d'un Doctorat : professeur chercheur associé dans le Programme Asie de l'Est à l'Université Cornell et coordinateur de The Asia-Pacific Journal. Il est un spécialiste de géopolitique moderne, d'économie politique et de l'Histoire de la Chine, du Japon et de l'Asie Pacifique. Ses livres incluent : China in Revolution et War and State Terrorism.

Bryan Sentes : professeur au Dawson College et à l'Université de Concordia (Montreal). Il a lu sa poésie à travers l'Amérique du Nord et l'Europe. Il a publié des revues, des traductions et des études universitaires dans les domaines de la sociologie de la religion, la mythologie, et la culture populaire. Son oeuvre littéraire inclut : Ladonian Magnitudes et Grand Gnostic Central ainsi que d'autres poèmes.

Eric Wilson, titulaire d'un Doctorat : maître de conférences en Droit public international à l’Université de Monash (Melbourne, Australie). Ses ouvrages incluent : Government of the Shadows : Parapolitics and Criminal Sovereignty.

Tracy Ware, titulaire d'un Doctorat : un professeur de Littérature à l'Université de Queen’s, Toronto. Il a été publié à Wordsworth, Byron, Shelley, Poe, Trilling et Naipaul. Il a édité A Northern Romanticism: Poets of the Confederation ainsi que les ouvrages de Susan Fracis Harrison intitulés Crowded Out! et Other Sketches."

Il faudrait être intellectuellement malhonnête, au vu de la liste de personnages prestigieux ci-dessus, pour ne pas reconnaître le caractère indiscutablement universitaire de la Politique profonde ! J'ajouterais la vidéo suivante, dans laquelle l'auteur parle longuement de son oeuvre et de ses concepts avec Harry Kreisler, le responsable du département des études internationales de l'Université de Berkeley, classée au deuxième rang mondial! http://www.youtube.com/watch?v=4YFBzjlFuFQ C'est éloquent...

Ensuite, je tiens à rappeler la carrière universitaire de Peter Dale Scott, docteur en sciences politiques et auteur expert en politique reconnu par des personnalités au rayonnement international :

"Bercé dès son plus jeune âge par les arts, la politique et la poésie au sein du foyer familial, Peter Dale Scott obtiendra un doctorat en sciences politiques à l'université McGill de Montréal. L'objet de sa thèse était d'analyser les idées politiques et sociales de l'écrivain et poète T. S. Eliot[1], ceci laissant présager sa double carrière d'homme de lettres et poète d'une part, et d'analyste politique et historien d'autre part. Après une année passée à enseigner les sciences politiques à l'université McGill, Peter Dale Scott passa avec succès l'examen du Foreign Office, le ministère des Affaires étrangères canadien. Il décidera quatre ans plus tard de quitter le corps diplomatique et de réintégrer le corps enseignant à l'université de Californie à Berkeley, où il enseigna pendant 35 ans [2]."

L'enseignement à l'Université de Californie (Berkeley)
[modifier le code]

"Peter Dale Scott a enseigné la Littérature anglaise de 1966 à 1994 à l'Université de Californie à Berkeley, classée en deuxième position en 2010 dans le classement académique des universités mondiales. Avant d'entamer une longue carrière dans cette université prestigieuse, Peter Dale Scott a été enseignant entre 1952 et 1953 à la Sedbergh School de Montebello (Québec). Il a ensuite été Maître de conférences au Département de Sciences politiques de l'Université McGill. A Berkeley, de 1961 à 1966, Peter Dale Scott fut d'abord Maître de conférences en 1961, puis Maître assistant vacataire en 1962, avant de devenir Professeur adjoint en 1963. Il devint Professeur associé en 1968, fonction qu'il occupa jusqu'en 1980, lorsqu'il fut nommé Professeur des universités jusqu'à sa retraite en 1994. Peter Dale Scott demeure impliqué dans cette université du fait de son statut de Professeur émérite."

Ensuite, je rappelle les faits suivant, pour démontrer que la crédibilité de l'auteur ainsi que le caractère académique des recherches de Peter Dale Scott à l'Université de Berkeley ne font aucun doute :

"Écrit en 5 ans par Peter Dale Scott, La Route vers le Nouveau Désordre Mondial fut initialement publié en 2008 aux en: University of California Press sous le titre The Road to 9/11 (Littéralement La Route vers le 11-Septembre). Cette publication ne fut possible qu'après une vérification factuelle par un comité de lecture de l'Université de Californie à Berkeley[3] dirigé par Lisa Wong Macabasco[4], donnant une légitimité intellectuelle certaine à cet ouvrage malgré son regard critique sur certaines des principales conclusions du Rapport final de la commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis."

Il est clair que Jean-Jacques semble assimiler les écrits politiques et les méthodes universitaires d'analyse de Peter Dale Scott développées littérairement depuis 1972 comme relevant du conspirationnisme. Sa neutralité semble inexistante, comme en témoignent ses écrits sur sa propre page de présentation. Enfin, ce n'est pas parce que la Politique profonde, ou en: Deep politics n'a pas une grande visibilité sur le web que son caractère universitaire doit être mis en doute. Une omniprésence sur Internet (ou même dans les médias, d'ailleurs) ne donne pas une légitimité à tout ce qui existe sur cette planète. Sinon, les idioties conspirationnistes auxquelles Jean-Jacques semble assimiler Peter Dale Scott - idioties contre lesquelles je me bats quotidiennement - ne seraient pas aussi diffusées sur la toile. Malheureusement, c'est en grande partie du fait d'une censure (ou auto-censure) omniprésente et d'un ultraconformisme prévalent dans la sphère médiatique hexagonale que des thèses douteuses et dangereuses se développent. Que Jean-Jacques veuille bien avoir la gentillesse et l'obligeance de s'intéresser aux véritables élucubrations sur Wikipedia, qu'il me laisse le temps d'appronfir la page Politique profonde au lieu d'effacer plus de la moitié de mes écrits sans me consulter (ce qui me fait perdre un temps phénoménal), qu'il respecte mon travail bénévole autant que je respecte le sien lorsque celui-ci me parait justifié, et qu'il respecte le fait que, dans un cadre démocratique, il existe une pluralité d'opinion et de modes de penser, ainsi qu'une nécessité de consultation avant de détruire hâtivement le travail des autres.

Au vu de ses obsessions affichées, la démarche de Jean-Jacques relève du harcèlement intellectuel : il ne semble pas supporter que l'on puisse critiquer les Etats-Unis, et il semble encore moins supporter encore la remise en cause universitaire - par Peter Dale Scott - de la version officielle du 11-Septembre. Mais Jean-Jacques n'est pas le directeur de Wikipedia, et Jean-Jacques se doit de respecter le travail des autres autant que la liberté d'avoir des perceptions ainsi que des opinions contraires aux siennes.

Si contradicteur déterminé à détruire arbitrairement mon travail il y a, j'attends au moins des arguments crédibles et pertinents, pas une argumentation laissant entendre la conviction que tout ce qui est sous-représenté sur le web n'existe pas.

81.220.162.165 (d) 10 février 2011 à 00:04 (CET)[répondre]

Que la critique contre les Etats-Unis soit tout à fait légitime, c'est indéniable. Que la vieillesse, y compris celle de Peter Dale Scott, soit un naufrage, cela l'est également. Balancer un pavé de texte interminable pour défendre un concept sans aucune notoriété ne rend pas la page plus légitime, pas plus que de multiplier des citations de nom dont une bonne partie n'ont rien à voir avec la politologie (un cinéaste, un romancier, une poétesse... et pourquoi pas un trapéziste ?) et dont l'adhésion à l'ensemble des thèses de ce M. Scott reste à prouver et à sourcer. Quand bien même ce serait le cas, cela ne prouve en rien la notoriété de ce concept de soi-disant "politique profonde". Nul n'a jamais nié que Peter Dale Scott mérite un article encyclopédique consacré à sa personne (en tout cas pas moi). Qu'il se déshonore en fin de vie en laissant publier ses textes par des sites ou des maisons d'édition affiliées au réseau Voltaire, c'est son problème. Ce dont il est ici question, c'est le caractère encyclopédique du concept de "politique profonde" (deep politics), dont j'ai cherché en vain un quelconque impact sur la pensée politique, aux États-Unis, au Canada ou ailleurs. Les accusations sur mon manque de neutralité relèvent de la paille et de la poutre : je revendique tout à fait mon opposition à la propagande, que je ne pratique pas moi-même. Libre à chacun d'y voir un manque de neutralité. Si le "Maxime Chaix" qui contribue ici est bien le même que le traducteur homonyme, il s'agit donc d'une tentative de faire de la publicité à un auteur dont il a lui-même traduit l'ouvrage : en matière de "neutralité" (dont ses propres contributions sont assez dépourvues, me semble-t-il), c'est moyen. Quant au soi-disant mépris pour le travail d'autrui : bien vu, j'ai en effet un assez violent mépris pour les articles POV et publicitaires, quel que soit le nombre d'heures de "travail" qu'ils demandent à leurs rédacteurs. Quant à la digression sur la "version officielle des attentats du 11 septembre", elle ne sert à mon avis qu'à montrer "d'où parle" son auteur.Jean-Jacques Georges (d) 10 février 2011 à 06:58 (CET)[répondre]
« qu'il respecte mon travail bénévole autant que je respecte le sien lorsque celui-ci me parait justifié ». Il me semble indélicat de demander aux autres plus qu'à nous-même. Donc soit il faudra respecter le travail de JJG même lorsque celui-ci ne vous parait pas justifié (par exemple quand il supprime des passages), soit demandez lui simplement de respecter le votre quand il lui parait justifier, ce qui est manifestement rare. Puce Survitaminée (d) 10 février 2011 à 11:44 (CET) PS : Pour votre information, ce genre de long pavé perlé de menaces et d'attaques personnelles ainsi que cette tendance à répondre à côté du sujet (le concept et non l'auteur sont ici en débat) peuvent avoir tendance à énerver.[répondre]

Conserver

[modifier le code]
  1.  Conserver MaximeChaix (d) 9 février 2011 à 23:38 (CET)[répondre]

Supprimer

[modifier le code]
  1.  Supprimer proposant. Jean-Jacques Georges (d) 9 février 2011 à 21:33 (CET)[répondre]
  2.  Supprimer La notoriété du suejt est loin d'être établie. Google n'est pas toujours la référence, mais en l'occurrence, le résultat de la recherche interpelle. --Lebob (d) 10 février 2011 à 09:25 (CET)[répondre]
    Il y a davantage de résultats en anglais, mais pour la plupart ce sont soit des citations de l'ouvrage de Peter Dale Scott qui porte ce titre, soit des citations qui indiquent que cet auteur utilise ce terme pour qualifier un certain type de situation politique, qu'il n'est par ailleurs pas le seul à analyser ni à définir (donc qu'il est l'auteur d'un néologisme). Donc rien de concluant non plus. Jean-Jacques Georges (d) 10 février 2011 à 12:11 (CET)[répondre]
  3.  Supprimer En un mot : Néologisme. --Nouill (d) 10 février 2011 à 12:23 (CET)[répondre]
    Néologisme? La "Politique profonde", ou "Deep politics", est une expression qui a une visibilité publique depuis 1972 (suite à la sortie du premier ouvrage de l'auteur dans lequel il définit ce concept). Elle n'avait pas de traduction en France, car jamais cet auteur n'a été traduit avant 2010. Bref, supprimez la page si vous le désirez. Bonne soirée.
    Cet auteur a écrit un livre qui porte ce titre. Donc, les sources qui rendent compte de l'existence le mentionnent, et mentionnent le fait qu'il utilise le terme, ce qui est normal. Mais cette expression et l'ensemble de ce concept ne semblent pas avoir fait école en tant que tels. Jean-Jacques Georges (d) 11 février 2011 à 12:59 (CET)[répondre]
  4.  Supprimer L'article équivalent anglophone est assorti de l'avertissement This article needs references that appear in reliable third-party publications., en l'état il semble bien que le sujet ne peut etre développé qu'à partir de sources interne au sujet, et que l'absence de source secondaire sanctionne une synthèse inédite. Donc néologisme et TI sur le développement qui en est fait Kirtapmémé sage 11 février 2011 à 12:44 (CET)[répondre]
  5.  Supprimer Idem Kirtap. Addacat (d) 11 février 2011 à 16:18 (CET)[répondre]
  6.  Supprimer. Travail inédit. SM ** ようこそ ** 11 février 2011 à 16:54 (CET)[répondre]
  7.  Supprimer À traiter dans Peter Dale Scott… Néologisme dont la notoriété n’est pas suffisamment établie pour un article à part. schlum =^.^= 12 février 2011 à 04:46 (CET)[répondre]

Avis non décomptés

[modifier le code]

Exception étant faite pour le créateur de l’article, les avis d’utilisateurs récemment inscrits (moins de cinquante contributions...) ou non identifiables (IP, opinions non signées...) ne sont en principe pas pris en compte. Si vous êtes dans ce cas, vous pouvez toutefois participer aux discussions ou vous exprimer ci-dessous pour information :

Références

[modifier le code]
  1. (en) [1] Interview de l'auteur avec Harry Kreisler, du Département des Etudes Internationales de l'Université de Californie (Berkeley), dans son émission « Conversations With History » (2min34s)
  2. (en)[2] CV officiel de Peter Dale Scott
  3. Remerciements et acronymes La Route vers le Nouveau Désordre Mondial, p. 13, Editions Demi-Lune, 2010 (ISBN 978-2-9171-1216-8)
  4. Biographie officielle de Lisa Wong Macabasco