Discussion:Fondu

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Je pense que cet article devrait être fusionné avec l'article Fondu, plus général. Des avis ? Sylenius 29 avril 2007 à 21:19 (CEST)[répondre]

Plutôr favorable, vu l'état actuel de l'article. Si ça s'avère nécessaire, il faudra le recréer dans un futur très très lointain. Arnaudus 29 avril 2007 à 21:21 (CEST)[répondre]

intégration du contenu de l'article Fondu_enchaîné[modifier le code]

Bonjour,
J'ai intégré le contenu de Fondu_enchaîné qui n'a plus lieu d'être
Et rajouté des détails sur les fondus pour le son. Cet article peut encore être amélioré sans peine.
Cordialement wfplb (d) 3 mars 2009 à 21:33 (CET)[répondre]

Traduction des termes fade in et fade out[modifier le code]

Je suis celui qui a fourni la « localisation » française de Exact Audio Copy. Lors de ladite traduction, j'ai intuitivement traduits ces deux termes par « fondu en ouverture » et « fondu en fermeture ». Je ne remets aucunement en cause quoi que ce soit, mais l'utilisation de « de » – qui conduit aux formulations « fondu d'ouverture » et « fondu de fermeture » utilisées dans l'article – au lieu du « en » qui m'est spontanément venu est-elle standard parmi les professionnels du son ? Trouve-t-on par exemple d'autres formulations, comme « fondu à l'ouverture » ? Amenel (d) 28 décembre 2011 à 11:36 (CET)[répondre]

Quelques idées de sources pour améliorer l'article[modifier le code]

Concernant les aspects symboliques et artistiques du fondu, il me vient de mémoire :

  • Une interview, sans doute dans les Cahiers, de Scosese sur le film Casino, à propos des fondus enchaînés rapides dans les travellings avant.
  • Un texte de Serge Daney, à prpos du texte de Rivette De l'abjection sur le film Kapo, où il finissait en se disant que l'abjection, à l'époque où il écrit, serait le clip de la chanson We Are The World, où des images d'enfants mourant de faim s'enchaînent avec celle des chanteurs du « band aid », donnant ainsi l'idée qu'ils cherchent à les remplacer. (Oui, mais où ce texte ? Pas dans le Ciné-Journal, c'est sûr, mais peut-être dans Persévérance ?)
  • Un passage du livre de Philippe Arnaud sur Bresson où je suis persuadée qu'il explique que si Bresson fait moins de fondus enchaînés dans ses films en couleur qu'en NB c'est parce qu'en couleur les fondus passent beaucoup plus mal.

Si quelqu'un a cela sous la main...--Soboky (d) 3 avril 2013 à 18:58 (CEST)[répondre]

Fondu (h · j · ) : 61 révisions sur 9 ans
Fondu enchaîné (h · j · ) : 44 révisions sur 7 ans
La fusion des 2 historiques entraînera 28 changements d'articles (27%) sur 105 révisions (6 ignorées).
Méthode suggérée pour respecter la licence (en cas de transfert de contenu) : utiliser {{Crédit d'auteurs|interne|titre de la source}} sur l'article et optionnellement {{auteurs crédités après fusion}} sur la page de discussion.

Les deux articles concernent aussi bien le son que l'image, l'article sur fondu parle de l'enchaîné ainsi que des fondus au blanc, au noir et des « soft cut » pour l'image et des « fade out » et « fade in » sonores. Je recherche actuellement des sources et je n'ai pas l'impression qu'il y ait matière à garder un article détaillé pour l'enchaîné, même si on trouve un peu plus de choses sur lui que sur les autres.--Soboky (d) 21 mai 2013 à 19:43 (CEST)[répondre]

Suppression de paragraphes[modifier le code]

Je place ici trois paragraphes que j'ai supprimés aujourd'hui. Ils ne sont pas centrés sur le sujet, il n'en parlent même pas du tout.--Soboky [me répondre] 23 février 2014 à 18:47 (CET)[répondre]

Dans les premières années du cinéma, les premiers réalisateurs fabriquaient leurs films selon la conception qu’ils avaient du spectacle en général. Ainsi, William Kennedy Laurie Dickson, l’assistant de Thomas Edison, et premier réalisateur de l’histoire du cinéma, favorisa, à la demande de son célèbre employeur, les sujets de music-hall, de cirque et de foire[1]. Émile Reynaud, scientifique mais aussi habile dessinateur, chercha son inspiration dans les bandes dessinées, un art qui était déjà très développé avant l'arrivée du cinéma, et en appliqua les principes dans son Théâtre optique. Louis Lumière apporta au cinéma son expérience de l'art photographique. Georges Méliès, quant à lui, illusionniste de music-hall et "lanterniste" de talent, il ne jurait que par le music-hall, les effets de lanterne et les trucs de prestidigitation. Les orientations de chacun les conduisirent à développer la forme filmique dans le sens de leur conception personnelle du spectacle.

Ainsi, W.K. Dickson regroupa essentiellement des sujets basés sur la musique ; Edison, inventeur du Phonographe, étant obnubilé par l'idée de la photographie animée sonore. Dickson ne rechercha aucun effet technique, mais en revanche il sut rapprocher sa caméra de ses personnages pour mieux les montrer, en plan américain par exemple, ce que savaient déjà faire les peintres et les photographes. Le but d’Émile Reynaud était de raconter des histoires complètes, ses Pantomimes lumineuses durent plusieurs minutes voire le double et même le triple grâce aux caractéristiques de sa machine à qui l'on doit les premières projections sur grand écran. Louis Lumière savait d’avance, par expérience de la photographie de portrait (que son père, Antoine Lumière, pratiquait depuis longtemps), que la décence exigeait un éloignement respectueux du sujet, c’est pourquoi il restait toujours loin de ses personnages, mais il savait déjà qu’un sujet en déplacement nécessite une position à 45° de la caméra qui doit cadrer ce sujet mobile selon la diagonale du champ.

En revanche, Georges Méliès pratiquait depuis quelques années dans son théâtre la projection de vues photographiques ou de dessins grâce à un duo de lanternes magiques. Ces machines doubles sont apparues dès le milieu du XIXe siècle, et utilisaient divers systèmes mécaniques (peignes, fentes, verres colorés) qui permettaient de passer progressivement d’une vue à une autre, de la première lanterne à la seconde, et de faire se modifier « à vue » une scène dessinée ou photographique sur plaques de verre, à la manière d'un moderne diaporama[2].

  1. Marie-France Briselance et Jean-Claude Morin, Grammaire du cinéma, Paris, Nouveau Monde éditions, 2010, (ISBN 978-2-84736-458-3), 588 pages, page 26
  2. Laurent Mannoni et Donata Pesenti Campagnoni, Lanterne magique et film peint : 400 ans de Cinéma, Paris, La Martinière/Cinémathèque française,‎ 2009, (ISBN 978-2-73243-993-8), 336 pages, page 212

Modifications du 23 février[modifier le code]

J'ai aujourd'hui modifié l'article à la suite des grosses suppressions faites aujourd'hui (ce ne sont pas tant les ajouts qui me gênent, même si certains me semble un peu discutables, ce sont les suppressions).

  • Je ne suis pas certaine d'être arrivée à un point satisfaisant. Je ne comprends pas certains passages. J'ai mis un {{pas clair}}, mais le paragraphe au dessus de celui sur lequel je l'ai placé ne me parait pas clair non plus (celui sur la vision). Si je comprenais mieux ce que je lis, je comprendrais mieux comment le placer dans l'article.
  • Je rappelle aux contributeurs de cet article qu'il concerne aussi bien le fondu sonore que visuel. Donc il ne faut pas se débarrasser de l'aspect sonore dans le résumé introductif.
  • J'ai remis le passage sur Scorsese qui avait été supprimé. J'y tiens parce que c'est un rare exemple de fondu qui s'assume comme gratuit (les travellings étaient trop longs, on a mis des fondus). Sans aucune question de symbolique, en pure figure de style.
  • Les illustrations ne sont pas idéales mais ont le mérite d'exister. Il est peut-être possible de s'adresser aux wikigraphistes pour en avoir de meilleures. PODZO DI BORGO (d · c · b) peut peut-être s'en charger puisque c'est à lui que ces images posent problème.
  • Je pense qu'on peut séparer l'historique de sa symbolique (et j'emploie « symbolique » au sens large). Par contre il serait bon, à l'avenir, de voir si on peut trouver des sources sur l'utilisation des fondus dans les années 20 à 50. Il y avait dans une ancienne version de l'article des considérations sur le prix des fondus à cette époque (meilleur marché aux US qu'en France, donc plus utilisé là-bas) mais elle n'étaient pas sourcées. Ce serait intéressant pour améliorer l'article. (Ça rentre dans la catégorie « lettre au père Noël », mais on sait jamais)

Bien évidemment, tout ça peut être discuté et retravaillé. --Soboky [me répondre] 23 février 2014 à 19:25 (CET)[répondre]

Je suis en faveur d'une division en plusieurs articles :

  • transition video
  • fondu sonore

--Yug (talk) 1 juin 2017 à 11:15 (CEST)[répondre]

Archivage de la discussion concernant la scission[modifier le code]

Une transition video et un fondu sonore sont deux techniques différentes. L'amalgame est génant.
La partie fondu sonore peut facilement être extraite puisque non sourcée. Je souhaite le faire, mais que devient l'historique ? --Yug (talk) 1 juin 2017 à 11:21 (CEST)[répondre]

Yug ce n'est pas sourcé mais il y a des auteurs quand même. Il faut apposer un modèle sur l'article (Modèle:Crédit d'auteurs) et un autre modèle (Modèle:Auteurs crédités après scission) en page de discussion pour créditer les auteurs. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Scission. --Vatadoshu (discuter) 6 août 2017 à 10:51 (CEST)[répondre]
@Yug ✔️ évidemment, vous pouvez corriger ou renommer l'article résultant si nécessaire Assassas77 (discuter) 29 janvier 2018 à 21:03 (CET)[répondre]