Proposition refusée. L’anecdote suivante, proposée par Xavier Sylvestre, a été rejetée par Nomen ad hoc et la discussion est conservée pour archivage.
Les candidats à l'Élection présidentielle française de 2017 dont le nom de famille se termine par n ont rassemblé 95,95% des suffrages exprimés au premier tour et 100% au second tour. Parmi eux, 4 candidats dont le nom de famille se termine par on (Macron, Fillon, Mélenchon et Hamon) ont reçu 69,95%, puis 66,10% des suffrages exprimés.
La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités
(surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents.
Proposée par Erik Bovin le 17 mai 2018, et publiée le 14 juin 2018. [indice de similitude 6.1/10]:
Discussion :Autres titres possibles: Une véritable histoire de ons. Les ons z'y trônent. Les ons, ça ose tout, c'est d'ailleurs à cela qu'on les reconnaît. Une singulière loi de Poisson.
C'est assez long (encore on), avec beaucoup de chiffres, mais le fait, à la fois pour le "n", et pour le "on" est unique et totalement improbable. Mathématiquement, le calcul du Chi deux pour une lettre donnée est centré autour d'une probabilité de 1/26, soit 3,85%. Politiquement, on se perd en conjonctures pour expliquer cette domination du "on", déjà lors de la primaire du PS (Hamon), puis celle de LR (Fillon), enfin lors de la présidentielle elle-même (Macron). A noter que les primaires comportaient aussi des candidats nommés Poisson et Peillon, ou encore des doublettes Juppé et Copé, ou Duflot et Jadot.
L'excellente dramatique historique de France-Inter, jusqu'à 22:00 ce dimanche [1] a donné une partie de la réponse à ma question. Le wagon des plénipotentiaires allemands en route vers Rethondes, convoyé par l'armée française, avait des fauteuils de satin vert avec un "N" géant. Il s'agissait du wagon privé de Napoléon III. Il est possible que le "N" et la terminaison "on" aient gardé depuis Napoléon une place particulière dans l'inconscient politique collectif français, s'il existe--Xav[talk-talk]11 novembre 2018 à 21:55 (CET).[répondre]
L'excellent et très modéré Alain Rémond, chroniquant dans le bien-pensant La Croix[2], faisant la même remarque (sur le "on", qui ne concerne d'ailleurs aussi), sans être pourtant taxé d'être politiquement incorrect.
En l'état cette analyse statistique ne figure pas sur sur la page mise en gras, c'est une déduction des tableaux de résultats qui n'est même pas mentionnée et amha d'un intérêt tout relatif. - Cymbella (discuter chez moi) - 12 novembre 2018 à 09:21 (CET)[répondre]
L'encyclopédie n'apporte (et pour cause, on va dire) aucun élément qui permette d'approfondir la signification de cette intéressante trouvaille, qui n'illustre rien d'autre que l'esprit malin du proposant (ce qui n'est pas le but de la rubrique ). --Fanfwah (discuter) 12 novembre 2018 à 10:28 (CET)[répondre]
On est nombreux (moi y compris) à s'être amusé de la densité des noms en "on" dans cette élection, mais je ne suis pas certain que cela soit pertinent pour une anecdote. C'est de l'amusement plus que de l'encyclopédisme. -- TwøWiñgš - [Formules de politesse parfois implicites, inutile de s'offusquer] - Et si on discutait ?12 novembre 2018 à 20:38 (CET)[répondre]