Étienne Flandin
Étienne Flandin | |
Portrait d'Étienne Flandin. | |
Fonctions | |
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Résident général de France en Tunisie | |
– (2 ans, 2 mois et 6 jours) |
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Prédécesseur | Gabriel Alapetite |
Successeur | Lucien Saint |
Sénateur des Établissements français de l'Inde | |
– (13 ans, 5 mois et 21 jours) |
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Élection | 3 janvier 1909 |
Groupe politique | Union républicaine |
Prédécesseur | Jules Godin |
Successeur | Henri Gaebelé |
Député de l'Yonne | |
– (7 ans) |
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Élection | 27 avril 1902 |
Groupe politique | Union républicaine |
Député de l'Yonne | |
– (5 ans) |
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Élection | 3 septembre 1893 |
Groupe politique | Union républicaine |
Biographie | |
Nom de naissance | Étienne Jean-Marie Flandin |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Paris, France |
Date de décès | (à 69 ans) |
Lieu de décès | Paris, France |
Nationalité | française |
Conjoint | Pauline Ribière |
Enfants | Pierre-Étienne Flandin, fils |
Profession | Magistrat |
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Étienne Flandin, de son nom complet Étienne Jean-Marie Flandin, né le à Paris et décédé le dans la même ville, est un homme politique français.
Biographie
Membre de la famille Flandin, il est le fils du docteur Charles Flandin (1803-1887) et d'Aline de Sonis (1823-1857), sœur du général de Sonis. Il épouse Pauline Ribière (1854-1923) dont Pierre-Étienne.
Étienne Flandin quitte très vite la maison familiale de Domecy-sur-Cure (Yonne) pour compléter ses études au lycée Saint-Louis, puis faire son droit et consacrer son doctorat aux assemblées provinciales dans l'Empire romain. Sa carrière juridique est courte : professeur de droit civil à la faculté de droit d'Alger de 1880 à 1882, il assume diverses charges aux parquets de Pau, Paris et Alger — procureur général d'Alger — jusqu'en 1893.
Il commence sa carrière politique en entrant, en 1887[1], au Conseil général de l'Yonne dont il devient vice-président. En 1893, il est élu dans l'Yonne aux élections législatives. Battu par son adversaire radical en 1898, il retrouve un nouveau mandat en 1902 puis en 1906. Le , encore député, il est élu sénateur des Établissements français de l'Inde, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort. Le , Flandin est nommé résident général de France en Tunisie en mission temporaire.
Il était chevalier de la Légion d'honneur et officier d'Académie.
Mort en 1922, il est inhumé au cimetière de Domecy-sur-Cure.
Archives
Les papiers personnels d'Étienne Flandin sont conservés aux Archives nationales sous la cote 423AP[2].
Sources
- « Étienne Flandin », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Références
- Le Temps sur Gallica.
- « Archives de personnes, de familles, d'associations : 423AP. FLANDIN (famille) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressource relative à la recherche :
- « Étienne Flandin », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « Flandin Étienne », sur senat.fr (consulté le ).
- Conseiller général de l'Yonne
- Député de l'Yonne (Troisième République)
- Sénateur des Établissements français de l'Inde
- Sénateur de la Troisième République française
- Résident général de France en Tunisie
- Enseignant à l'École supérieure de journalisme de Paris
- Naissance en avril 1853
- Naissance à Paris
- Décès en septembre 1922
- Décès à Paris
- Décès à 69 ans
- Député de la sixième législature de la Troisième République
- Député de la huitième législature de la Troisième République
- Député de la neuvième législature de la Troisième République
- Magistrat français du XIXe siècle