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== Polémique avec la CNIL ==
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Le 26 février 2013, Gilles Babinet accorde un interview au Magazine ''[[L'Usine nouvelle]]'' dans lequel il déclare que {{Citation|la [[CNIL]] est un ennemi de la nation}}<ref name=":0"/>. Une importante polémique s'ensuit, au cours laquelle les réactions les plus diverses se font entendre ; des dizaines de personnalités du monde numérique s'expriment dans les médias à ce propos, généralement pour défendre la CNIL<ref>{{Lien web
Le 26 février 2013, Gilles Babinet accorde un interview au Magazine ''[[L'Usine nouvelle]]'' dans lequel il déclare que {{Citation|la [[CNIL]] est un ennemi de la nation}}<ref name=":0"/>. Une importante polémique s'ensuit, au cours laquelle les réactions les plus diverses se font entendre ; des dizaines de personnalités du monde numérique s'expriment dans les médias à ce propos, généralement pour défendre la CNIL<ref name=":1"><nowiki>{{Lien web
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Polémique avec la CNIL

Le 26 février 2013, Gilles Babinet accorde un interview au Magazine ''[[L'Usine nouvelle]]'' dans lequel il déclare que {{Citation|la [[CNIL]] est un ennemi de la nation}}<ref name=":0" />. Une importante polémique s'ensuit, au cours laquelle les réactions les plus diverses se font entendre ; des dizaines de personnalités du monde numérique s'expriment dans les médias à ce propos, généralement pour défendre la CNIL<ref name=":1"><nowiki>{{Lien web
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Gilles Babinet lui-même semble vouloir, sinon éteindre ou pour le moins amoindrir le choc, au travers d'une tribune publiée sur le site [[01net]]<ref>[http://pro.01net.com/editorial/587657/gilles-babinet-une-cnil-reformee-pourrait-remplir-un-role-utile/ « Gilles Babinet : « Une Cnil réformée pourrait remplir un rôle utile » »], Éditorial de Gilles Babinet, sur le site ''01net.com'' - 26 février 2013.</ref>. Au delà de l'émoi initial, le propos de Babinet consiste avant tout en une charge contre le [[principe de précaution]] et une République qui mettrait trop en avant la sécurité par rapport à l'innovation. La polémique ressortira périodiquement et la CNIL s'attacherait désormais{{refsou}} à donner des gages, de sorte à se faire un défenseur de l'innovation, même si son mandat n'a, à cet égard, en rien évolué.
Gilles Babinet lui-même semble vouloir, sinon éteindre ou pour le moins amoindrir le choc, au travers d'une tribune publiée sur le site [[01net]]<ref>[http://pro.01net.com/editorial/587657/gilles-babinet-une-cnil-reformee-pourrait-remplir-un-role-utile/ « Gilles Babinet : « Une Cnil réformée pourrait remplir un rôle utile » »], Éditorial de Gilles Babinet, sur le site ''01net.com'' - 26 février 2013.</ref>. Au delà de l'émoi initial, le propos de Babinet consiste avant tout en une charge contre le [[principe de précaution]] et une République qui mettrait trop en avant la sécurité par rapport à l'innovation. La polémique ressortira périodiquement et la CNIL s'attacherait désormais{{refsou}} à donner des gages, de sorte à se faire un défenseur de l'innovation, même si son mandat n'a, à cet égard, en rien évolué.

== Médaille ==
A plusieurs reprises, Gilles Babinet a fait savoir qu'il refuserait toute forme de médaille si l'on venait à lui en proposer [[c'est avec des Hochets que l'on mène des hommes. (Huffington Post - 2 avril 2014)|une]]. En particulier, il s'est publiquement engagé à ne jamais accepter la légion d'honneur, si celle-ci venait à lui être proposée. Selon lui "Notre pays en réalité se meurt de pensée unique, de condescendance et de fascination à l'endroit des puissants, qui sont pourtant les derniers barrons d'un modèle à bout de souffle".


== Institut Montaigne ==
== Institut Montaigne ==

Version du 21 juin 2015 à 23:25

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Jacques Babinet.

Gilles Babinet en 2009.

Gilles Babinet est un entrepreneur français, né à Paris en 1967.

Il est actuellement « Digital Champion », c'est-a-dire responsable des enjeux de l'économie numérique, pour la France auprès de la Commission européenne[1],[2],[3].

Biographie

Formation

À la suite d'un passage difficile au collège et au lycée, au cours duquel il ne parvient pas à s'intégrer dans le cadre scolaire classique, Gilles Babinet passe son baccalauréat en candidat libre à l’âge de 20 ans[4].

Carrière

Entrepreneuriat

Depuis 1989, Gilles Babinet a fondé neuf sociétés, dans des domaines d'activité variés[5] :

  • Escalade Industrie : en 1989, il fonde à 22 ans sa première société, Escalade Industrie, spécialisée dans les travaux électriques en hauteur. En moins d'un an, elle recrute une quarantaine de personnes[6].
  • Absolut Design : en 1991, il lance Absolut Design, en compagnie de Clément Bataille. En huit ans, la société se développe principalement dans le transport, en dessinant le tramway de Bordeaux, les poubelles du métro parisien, etc. En 2000, il revend ce qui est devenu BETC DESIGN à Euro RSCG[7].
  • Musiwave : toujours en 2000, il fonde Musiwap, rapidement renommée Musiwave, qui propose à partir de 2002, des sonneries pour téléphone « hifi », non plus composées d’harmonies synthétisées, comme c’est le cas pour une sonnerie polyphonique, mais produites à partir de l’enregistrement initial de l’artiste[8]. En partenariat avec l'opérateur anglais Vodafone, Musiwave lance des téléchargements de titres de musique en qualité CD, en utilisant la technologie GPRS[9]. En janvier 2006, Musiwave est revendue à la compagnie Openwave pour 139 millions d'euros[10].
  • Captain Dash[11] , spécialisée dans l'analyse du big data[12], proposant aux directeurs marketing de synchroniser dans un même tableau de bord dynamique l'ensemble des données provenant de leur ERP, de leurs outils statistiques web avec des données exogènes : météo, qualité de l’air, de l’eau, cours de bourses, trafic routier, vacances scolaires, fêtes religieuses, tarifs énergétiques, Google Trends, variations monétaires, élections politiques, audiences TV, etc[13]. CaptainDash aurait été l'une des premières sociétés en France a mettre en œuvre Hadoop, l'outil opensource de bigData.
  • Eyeka : Gilles Babinet fonde cette société en avril 2006 en l'orientant dès le départ sur le principe de cocréation[14]. Elle réalise sur la demande d'entreprises une recherche publicitaire, marketing, stratégique auprès d'une communauté d'internautes[15]. Eyeka ferait partie, avec Tongal et Zuppa, des leaders mondiaux dans le domaine de la Co-création. La communauté de créatif aurait désormais atteint 300,000 membres (janvier 2015). La société aurait levé des fonds importants (plus de 10 millions d'euros) auprès de différents investisseurs, dont Ventech, I-source et DNCapital.
  • MXP4[16] : une solution de musique interactive qui promeut les jeux sociaux. L'entreprise a publié sa première plateforme Bopler Games, disponible sur Facebook.
  • Digibonus[17] : une plateforme permettant aux entreprises d'organiser leurs propres jeux concours sur Facebook pour engager activement leurs fans[18].

Actuellement président du conseil d'administration de Captain Dash, il siège également au Conseil de Eyeka qu'il présida de 2006 à 2012 ; il a par ailleurs siégé au conseil d’administration du Mobile Entertainement Forum, une association internationale qui promeut les services de loisirs sur les mobiles. Il s'investit également dans l'aide à la création d'entreprise, en étant un membre actif de l'association 100 000 entrepreneurs[19].

Gilles est également membre du Conseil Stratégique de EY.

Conseil national du Numérique

Le , Gilles Babinet est élu premier président du Conseil national du numérique par ses 18 membres, aux côtés de trois vice-présidents : François Momboisse (Commission Croissance), Giuseppe de Martino (Commission Accès) et Nicolas Voisin (Commission Liberté)[20]. La durée du mandat est fixée par décret pour une durée d'un an, renouvelable une fois[21]. Cette instance consultative est officialisée le même jour par Nicolas Sarkozy.

Le CNN a pour charge d'éclairer les pouvoirs publics sur les enjeux de l'économie numérique et d’améliorer le dialogue entre le gouvernement et le secteur de l'Internet[22]. Sous sa présidence, il oriente le CNN sur des travaux de réforme de l'État et de compétitivité ; en particulier, le CNN s'est engagé sur le développement de « l'e-éducation », du financement de l'innovation, de la fiscalité du numérique, et de l'open-data.

  • L'e-éducation[23] : l'avis appelle à une mutualisation au niveau régional, avec les académies et les collectivités, des responsabilités techniques et pédagogiques relatives au numérique, sur la base du volontariat. L’État doit fournir des incitations à adhérer à cette structure, garante de la cohérence et de la pérennité des projets numériques.
Le CNN met en lumière la nécessité de la mise en place au niveau national d’un organe de réflexion, de conseil et d’accompagnement sur l’école numérique. Cet organe mixte doit être composée de personnes qualifiées issues du milieu enseignant, mais aussi du monde du numérique. De même, il appelle à la création d'une plate-forme collaborative de référencement des ressources pédagogiques numériques. Les enseignants doivent disposer d’outils de recherche et de collaboration leur permettant de faire circuler et retrouver rapidement les ressources pédagogiques les plus adaptées à leurs besoins.
  • Le financement de l'innovation[24] : Le CNN souhaite améliorer le fonctionnement du Fonds national pour la société numérique, renforcer les mécanismes de soutien à l'amorçage dans le cadre du FSN, ainsi que soutenir et structurer le financement privé de l'innovation par des mécanismes incitatifs.
  • La fiscalité du numérique[25] : le CNN rappelle que la fiscalité des acteurs numériques a pour but de financer le déploiement des réseaux haut-débit et de financer le développement des industries culturelles. Le CNN s'interroge aussi sur le fait que les acteurs de l'internet non domiciliés sur le territoire français soient susceptibles de créer de la valeur ajoutée, valeur qui ne fait pas l’objet d’une taxation par le Gouvernement français, contrairement aux acteurs domiciliés fiscalement sur le territoire français.
  • La libération des données publiques[26] : l'enjeu est d'accompagner les administrations vers une libération de leurs données, pour que celles-ci alimentent la sphère privée et permettent aussi de repérer les meilleures pratiques de gestion au sein du service public.

Digital champion

Le , Gilles Babinet est nommé « Digital Champion » par la ministre déléguée au Numérique Fleur Pellerin, auprès de Nelly Kroes, la commissaire européenne chargée du Numérique et vice-présidente de la Commission européenne[1],[2],[3].

Dans le cadre de cette fonction, il fait parler de lui en marge de la publication du rapport Pour un "New Deal" numérique[27], en déclarant dans une interview donnée à L'Usine nouvelle que la CNIL est « un ennemi de la nation »[28],[29]. Cette nomination est dans la continuité de son poste occupé au Conseil national du numérique[réf. nécessaire].

Polémique avec la CNIL

Le 26 février 2013, Gilles Babinet accorde un interview au Magazine L'Usine nouvelle dans lequel il déclare que « la CNIL est un ennemi de la nation »[28]. Une importante polémique s'ensuit, au cours laquelle les réactions les plus diverses se font entendre ; des dizaines de personnalités du monde numérique s'expriment dans les médias à ce propos, généralement pour défendre la CNIL[30].

Polémique avec la CNIL

Le 26 février 2013, Gilles Babinet accorde un interview au Magazine L'Usine nouvelle dans lequel il déclare que « la CNIL est un ennemi de la nation »[28]. Une importante polémique s'ensuit, au cours laquelle les réactions les plus diverses se font entendre ; des dizaines de personnalités du monde numérique s'expriment dans les médias à ce propos, généralement pour défendre la CNIL[30].

Gilles Babinet lui-même semble vouloir, sinon éteindre ou pour le moins amoindrir le choc, au travers d'une tribune publiée sur le site 01net[31]. Au delà de l'émoi initial, le propos de Babinet consiste avant tout en une charge contre le principe de précaution et une République qui mettrait trop en avant la sécurité par rapport à l'innovation. La polémique ressortira périodiquement et la CNIL s'attacherait désormais[réf. souhaitée] à donner des gages, de sorte à se faire un défenseur de l'innovation, même si son mandat n'a, à cet égard, en rien évolué.

Médaille

A plusieurs reprises, Gilles Babinet a fait savoir qu'il refuserait toute forme de médaille si l'on venait à lui en proposer une. En particulier, il s'est publiquement engagé à ne jamais accepter la légion d'honneur, si celle-ci venait à lui être proposée. Selon lui "Notre pays en réalité se meurt de pensée unique, de condescendance et de fascination à l'endroit des puissants, qui sont pourtant les derniers barrons d'un modèle à bout de souffle".

Institut Montaigne

Gilles Babinet participe à la rédaction de rapports de l'Institut Montaigne parmi lesquels :

Ce rapport formule des propositions concrètes pour aider le tissu des PME à grandir et à se développer en France et à l’international.
Ce rapport présente dix propositions pour faire de la France un acteur majeur de la transformation numérique.

Publications

  • L'Ère Numérique, un nouvel âge de l'humanité, éditions Le Passeur, janvier 2014 (ISBN 2368900675)[32]
En janvier 2014, Gilles Babinet publie L'Ère Numérique, un nouvel âge de l'humanité, ouvrage dans lequel il met en avant l'impact des technologies, des concepts ainsi que des modes de pensées issus de la sphère numérique sur le monde tel qu'il existe aujourd'hui[33].
Il identifie cinq domaines (la connaissance, l'éducation, la santé, la production et l'État) dont l'évolution en cours, intrinsèquement liée à celle du numérique, va provoquer un changement de paradigme profond pour l'humanité[33].
  • Big Data, penser l'homme et le monde autrement, éditions Le Passeur, février 2015. (ISBN 2368902600)[34]

Notes et références

  1. ↑ a et b http://www.redressement-productif.gouv.fr/rp/gilles-babinet-nomme-digital-champion
  2. ↑ a et b http://www.pcinpact.com/breve/71900-gilles-babinet-digital-champion-pellerin.htm
  3. ↑ a et b http://frenchweb.fr/entretien-audio-reaction-de-gilles-babinet-aujourdhui-digital-champion-a-bruxelles-62113/ FrenchWeb (juin 2012)
  4. ↑ http://reseau.journaldunet.com/membre/3517538/3543856394/gilles_babinet/
  5. ↑ http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/debat/0202872447445-les-hauts-et-les-bas-de-gilles-babinet-591367.php
  6. ↑ http://www.chefdentreprise.com/Chef-d-entreprise-Magazine/Article/Qu-est-ce-qui-fait-courir-les-SERIAL-ENTREPRENEURS-36551-1.htm
  7. ↑ Euro RSCG BETC marche à l'Absolut DESIGN, Stratégies, 10 mars 2010
  8. ↑ http://www.qualisteam.fr/actualites/sept02/06-09-2002-1.html
  9. ↑ Un opérateur mobile adopte la solution de MusiWave MODS, premier service mobile de téléchargement de musiques originales, Serialwireless.net, 18 mars 2004
  10. ↑ Raphaële Karayan, Openwave achète Musiwave pour 100 millions d'euros, Le Journal du Net, 29 septembre 2005
  11. ↑ http://captaindash.com/
  12. ↑ http://www.cxp.fr/flash-cxp/big-data-offre-est-besoins-doivent-emerger_1217
  13. ↑ http://frenchweb.fr/presentation-de-captain-dash-au-microsoft-remix-2010/
  14. ↑ http://fr.eyeka.com/
  15. ↑ http://www.lesechos.fr/management/carre-vip/interview-vip/0201473449199-francois-petavy-management-de-l-innovation-la-co-creation-redonne-sa-place-au-consommateur-187425.php
  16. ↑ http://www.mxp4.com/
  17. ↑ http://www.digibonus.com/
  18. ↑ http://fr.locita.com/reseaux-sociaux/facebook/digibonus-maitrisez-vos-concours-facebook/
  19. ↑ « Gilles Babinet, l'insatiable entrepreneur », Journal Du Net,‎ (lire en ligne)
  20. ↑ http://www.lentreprise.com/informatique-telecom-internet/qui-sont-les-membres-du-conseil-national-du-numerique-cnn_29171.html?p=2
  21. ↑ http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=A1B09AB0741099D72BB529123D03257A.tpdjo17v_1?cidTexte=JORFTEXT000023928752&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id
  22. ↑ http://www.elysee.fr/president/les-dossiers/economie/conseil-national-du-numerique/installation-du-conseil-national-du-numerique-une.11246.html
  23. ↑ http://www.cnnumerique.fr/avis10/
  24. ↑ http://www.cnnumerique.fr/avis07/
  25. ↑ http://www.cnnumerique.fr/avis08/
  26. ↑ http://opendata.blogs.nouvelobs.com/tag/conseil%20national%20du%20numérique
  27. ↑ http://www.01net.com/editorial/587595/l-institut-montaigne-epingle-la-france-pour-son-retard-dans-le-numerique/
  28. ↑ a b et c http://www.usinenouvelle.com/article/pour-gilles-babinet-il-faut-fermer-la-cnil-c-est-un-ennemi-de-la-nation.N192221/
  29. ↑ http://pro.01net.com/editorial/587657/gilles-babinet-une-cnil-reformee-pourrait-remplir-un-role-utile/
  30. ↑ a et b {{Lien web url=http://www.journaldunet.com/solutions/expert/53549/la-cnil-est-un-ennemi-de-la-nation--diantre.shtml titre=«La CNIL est un ennemi de la Nation» Diantre ! source=journaldunet.com date=28 f&évrier 2013 auteur=Patrick Bertrand }}
  31. ↑ « Gilles Babinet : « Une Cnil réformée pourrait remplir un rôle utile » », Éditorial de Gilles Babinet, sur le site 01net.com - 26 février 2013.
  32. ↑ http://livre.fnac.com/a6495611/Gilles-Babinet-L-ere-numerique-un-nouvel-age-de-l-humanite#ficheDt
  33. ↑ a et b http://www.franceinfo.fr/entretiens/un-monde-d-idees/un-monde-d-idees-1-gilles-babinet-1365715-2014-03-28
  34. ↑ http://livre.fnac.com/a7763141/Gilles-Babinet-Big-data-penser-l-homme-et-le-monde-autrement#ficheDt

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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