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Labo de l'économie sociale et solidaire[modifier | modifier le code]
| Fondation |
|---|
| Sigle |
Le Labo de l'ESS |
|---|---|
| Type | |
| Forme juridique | |
| Domaine d'activité |
Conseil en relations publiques et communication |
| Siège |
7e arrondissement de Paris Paris (75007) |
| Pays |
| Site web |
|---|
| RNA | |
|---|---|
| SIREN | |
| TVA européenne |
FR07524585569 |
Le Labo de l'économie sociale et solidaire est un groupe de réflexion français agissant dans le domaine de l'économie sociale et solidaire (ESS).
Histoire[modifier | modifier le code]
L'association loi de 1901 est fondée le 4 juin 2010.
Elle promeut un changement d'échelle de l'ESS privilégiant la coopération à la compétition[1]. Plusieurs groupes, travail sur les notions de circuit court[2], de finance solidaire
Le Labo de l'ESS, dans le cadre d'une réflexion partagée avec des membres du Réseau des collectivités territoriales pour une économie solidaire (RTES), du Conseil national des chambres régionales de l'économie sociale et solidaire (CRESS) - devenu ESS France, de la COORACE et de l'IRIS est à l'origine de la définition du terme de Pôle territorial de coopération économique (PTCE)[3]. Ce travail mènera à la reconnaissance institutionnelle des PTCE à l'article 9 de la loi relative à l'économie sociale et solidaire de 2014[4],[5],[6].
En 2014, elle compte parmi ses membres, Amandine Albizzati, Aline Archimbaud, Fanélie Carrey-Conte et François Chérèque[1].
En 2015, le Labo de l’ESS élabore la charte des circuits courts économiques et solidaires, définit sur quatre critères :
- le lien social établi entre les usagers,
- la coopération structurant une communauté d’intérêts non fondée sur la rémunération en capital,
- la transparence des informations données
- l’équité pour une juste répartition des rémunérations en fonction des contributions de chacune des parties[7]
Direction[modifier | modifier le code]
Présidence[modifier | modifier le code]
Présidence d'honneur[modifier | modifier le code]
Identités visuelles[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Adrien de Tricornot, « Des ressources pour réinventer l'économie : L'éco de la toile. l'économie sociale et solidaire (ESS) a son think tank, le Labo de l'ESS, un centre de réflexion créé en 2009 et présidé par Claude Alphandéry. »
, sur Le Monde, (consulté le )
- « Les circuits courts concernent tous les secteurs de l’économie sociale et solidaire », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne
, consulté le )
- Laurent Fraisse, « Mieux caractériser les PTCE face à un processus rapide d’institutionnalisation », Revue des études coopératives mutualistes et associatives, no 343, , p. 21–39 (ISSN 1626-1682 et 2261-2599, DOI 10.7202/1038778ar, lire en ligne
, consulté le )
- Séverin Husson, « Des pôles de compétitivité pour l’économie sociale », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne , consulté le )
- Xabier Itçaina, « L’économie sociale et solidaire et l’inscription territoriale des problèmes publics : émergence et enjeux d’un pôle territorial de coopération économique », Revue Gouvernance / Governance Review, vol. 18, no 1, , p. 62–83 (ISSN 1912-0362, DOI 10.7202/1077287ar, lire en ligne , consulté le )
- LOI n° 2014-856 du 31 juillet 2014 relative à l'économie sociale et solidaire - Article 9, Légifrance]
- Caroline de Malet, « Après le «green washing», le «share washing» » , sur Le Figaro, (consulté le )
- Philippe Bertrand, « Avec Hugues Sibille du Labo de l'ESS » , sur France Inter, (consulté le )
- « Le Labo de l'ESS séduit par des initiatives menées sur le Figeacois » , sur La Dépêche du Midi, (consulté le )
