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Le KORIS: la monnaie de l'industrialisation, du développement et de la libération des pays Africains zone CFA.

KORIS
kowris (swahili)
kowris (haoussa)
ikori (yoruba)
koris (wollof)
koris (english)

Unité monétaire actuelle
Pays officiellement
utilisateurs
ZONE KORIS

Drapeau du Bénin Bénin
Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso
Drapeau du Cameroun Cameroun
Drapeau des Comores Comores
Drapeau de la république du Congo République du Congo
Drapeau de la Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire
Drapeau du Gabon Gabon
Drapeau de la Guinée équatoriale Guinée équatoriale
Drapeau de la Guinée-Bissau Guinée-Bissau
Drapeau du Mali Mali
Drapeau du Niger Niger
Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine
Drapeau du Sénégal Sénégal
Drapeau du Tchad Tchad
Drapeau du Togo Togo


Et plus tard:

Drapeau de la république démocratique du Congo République démocratique du Congo
Drapeau de la Guinée Guinée
Drapeau d'Haïti Haïti
Drapeau de la Martinique Martinique}}

TOUS LES PAYS DANS LESQUELS VIVENT LES NOIRS.
Autres pays
utilisateurs
A venir
Banque centrale Central Bank of Africa CBA
Symbole local IK
Code ISO 4217 KOR
Sous-unité 100 cents ou centimes
Taux de change Cours en USD
Monnaies alignées Drapeau de Madagascar Madagascar
Drapeau des Seychelles Seychelles

Toutes les iles plus proches géographiquement d'Afrique que d'autre continent.

Taux de conversion 1 KORIS = 1 USD = 500 FCFA ()[1]
Chronologie

Le secret du changement consiste à concentrer son énergie pour créer du nouveau, et non pas pour se battre contre l'ancien !!!

Le Koris est la monnaie proposée par la société africaine pour remplacer le franc CFA à partir de Décembre 2018. C'est la monnaie de la zone KORIS, ex-zone CFA rassemblant tous les pays utilisant autrefois le FCFA contrôlé et géré par la france. Ces pays sont: Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Comores, Congo (Brazzaville), Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée équatoriale, Guinée-Bissau, Mali, Niger, République centrafricaine, Sénégal, Tchad, Togo Cette zone aura une extension ultérieure sur certains pays de la CEDEAO, le Cap Vert, Sao Tomé-et-Principe, la République Démocratique du Congo, et autres.

Cet article donnera réponse à toutes les interrogations sur cette monnaie, la Central Bank of Africa CBA, son origine, son fonctionnement, son lieu de fabrication et les impacts qu'aura cette monnaie KORIS sur la vie des Africains.

1. Le nom de la nouvelle monnaie KORIS[modifier | modifier le code]

Du nom de la nouvelle monnaie, le mot ''Franc'' n’y apparaitra plus. Le pouvoir de la monnaie appartient au peuple. Un vote public électronique avec les propositions telles que Kama, Koris, Afro, Cica, Pesa  fut organisé afin de choisir un nom par la population Africaine. Le nom issu de ce vote est KORIS avec 60,1% des suffrages au second tour suite à un premier tour qui a vu venir en tête AFRO et KORIS qui au premier tour était écrit CAURIS.

KORIS est dérivé de Cauris qui est une désignation de l'ancien outil monétaire utilisé en Afrique avant l'imposition du FCFA. L'adoption de la lettre K fut proposée afin d'éviter l'orthographe française. Aussi, le ''S'' est maintenu à la fin pour être prononcé et ainsi forcer la prononciation anglaise et non française.

Le nom complet de la monnaie est ''African KORIS.''

Symbole: IK

Code International: KOR.

2. Délimitation et potentialité de la zone monétaire KORIS[modifier | modifier le code]

2.1. Pays membres de la zone KORIS:[modifier | modifier le code]

Pour mettre fin au Franc CFA, aucun pays Africain ne sortira de la zone CFA, c’est la France que les Africains sortiront de la zone CFA. Ainsi, la monnaie qui remplacera le Franc CFA est une monnaie commune à tous les pays Africains utilisant le FCFA actuellement. La Guinée Conakry, le Congo Kinshasa, les autres pays CEDEAO, et d’autres pays Africains seront eux aussi approchés plus tard pour fusionner dans cette zone monétaire. Ce sera une monnaie communautaire qui occasionnera la fusion de la BCEAO, de la BEAC et de la BCC (Banque Centrale des Comores). Nous aurons donc la nouvelle banque centrale dénommée CBA Central Bank of Africa. Tous les noms des institutions à naitre autour de la nouvelle monnaie seront en Anglais. L'abandon de la langue française pour l'adoption de la langue anglaise d'abord et ensuite du Swahili ou deux langues Africaines sera le combat juste après le FCFA.

2.2. La zone KORIS a les potentialités suivantes:[modifier | modifier le code]

- 1er Producteur Mondial d'Or, de Coton, de Café, de Cacao, de Bauxite, de mais.

- 1ère Puissance Africaine en superficie: 6 420 280 Km2, suivi par l'Algérie avec 2.3 millions de Km2, la République Démocratique du Congo, le Soudan, la Libye.

- 2ième Puissance démographique d'Afrique: 170 497 790 habitants, suivant le Nigeria, et devant l'Ethiopie, l'Egypte.

- 4ième Producteur de Pétrole en Afrique avec 1 007 000 Barils par jour.

- 4ième Puissance d'Afrique en PIB après le Nigeria, l'Afrique du Sud et l'Egypte.

- 1ère Puissance Industrielle d'Afrique en 2030.

- 1ère Puissance Militaire d'Afrique en 2040.

- Puissance Nucléaire en 2050.

3. Valeur de la nouvelle monnaie KORIS[modifier | modifier le code]

1 KORIS = 500 FCFA = 1 Dollar US = 0.81 Euro. Décembre 2018.

3.1 Valeur du KORIS au lancement en Décembre 2018.[modifier | modifier le code]

Avant de développer ce point, il est utile de rappeler qu’en Novembre 2017, au moment de la rédaction de cet ouvrage, les taux de conversion entre le Dollars US et quelques monnaies sont les suivantes :

-         Oman (Pays situé à côté du Yémen et de l’Arabie Saoudite)

1 Omani Rial OMR = 2.6 USD

-         Koweït : 1 Dinar Koweitien = 3.3 USD

-         Bahrein: 1 Dinar Bahreini = 2.6 USD

Il existe donc des monnaies de pays dont les niveaux de l’économie sont en dessous du niveau de l’économie Américaine, mais dont les monnaies dépassent le Dollars Américain.

J’ai été suffisamment attaqué par mes frères Africains francophones, j’ai été   traité de rêveur, d’utopiste, d’illusionniste quand j’ai avancé l’idée d’établir le KORIS, dès son lancement en parité égale au Dollars US. Mais, je rappelle que Galilée fut traité de pire quand il annonça que la terre est ronde et tourne sur elle-même et non que le soleil tourne autour de la terre comme le stipulait la bible et les conceptions de l’église qui est allée jusqu’à exécuter Galilée pour cette vérité.

Je vais au travers de ces lignes démontrer la démarche bien compréhensible sans diplômes d’économie afin que tout le monde puisse se faire son idée de la fixation de la valeur d’une monnaie.

La fixation de la valeur d’une monnaie nationale ou dans une zone communautaire ne concerne en rien des institutions étrangères à cette zone monétaire. Le FMI, la Banque Mondiale, l’OMC n’ont pas leur mot à dire dans la fixation de la valeur du KORIS vis-à-vis du US Dollar et donc par rapport à toutes les autres monnaies. De même, ces institutions n’interviendront pas dans la gestion monétaire du KORIS.

La grande majorité des Africains francophones, dans leur complexe d’infériorité ont toujours cru devoir voir des pays étrangers, notamment la France ou le FMI leur fixer la valeur de leur monnaie. Ce qui ne doit pas être le cas. Tout pays peut décider lors de la création de sa monnaie de la valeur des taux de changes à pratiquer avec le Dollars US et les autres monnaies du monde. La nouvelle monnaie Cedis Ghanéenne fut établie égale au Dollars US en 2008 en terme de taux de change. (1 GH Cedis s’est échangé avec 1 US Dollar). Je vivais heureusement au Ghana en 2008 pour le constater.

A la date de mise en circulation de la monnaie KORIS, il sera comptabilisé la totalité des avoirs et de la masse monétaire FCFA en circulation dans la zone CFA pour avoir un montant global. Il sera calculé l’équivalent en Dollars US de ce montant au vu des taux de change en vigueur, qui tourneront autour de 500 FCFA = 1USD en Décembre 2018. Nous allons désigner le montant équivalent en Dollars US par : Montant A. Par illustration, nous prendrons Montant A = 500 Milliard USD.

Il sera fabriqué le même montant de KORIS, que nous désignons par Montant B. Montant B = 500 Milliard de KORIS.

Nous avons donc Montant A = Montant B = 500 Milliard.

Si 500 Milliard de KORIS équivalent à 500 Milliard USD, il est évident que 1 KORIS vaut 1 USD. Et puisque 1 USD vaut 500 FCFA, de même, 1 KORIS vaut 500 FCFA. 

En récapitulation, 1 KORIS = 500 FCFA = 1 US Dollar.

Ce taux sera le taux de change à pratiquer pour retirer les billets de FCFA des mains des populations pour leur remettre des billets de KORIS. Ce sera le même taux qui sera pratiqué pour la conversion des avoirs en banque des personnes ayant leur argent dans nos banques. Ceux qui avaient 20 millions de FCFA à la banque, soit l’équivalent de 40 000 Dollars US, auront donc sur leur compte 40 000 KORIS, toujours équivalent à 40 000 Dollars US. La valeur des avoirs ne changent pas.

Cette méthode fera que le PIB en US Dollar des pays de la zone KORIS ne changera pas et le patrimoine de chaque citoyen restera inchangé. Cette assurance devrait dissuader ceux qui pensent que leur argent ou avoirs vont se fondre avec le changement de monnaie et qui sont tentés d’aller faire des dépôts de leurs fortunes dans des banques étrangères, de ne pas le faire.

Il est important de rappeler qu’une fois tous les billets de FCFA retirés de la circulation, en observation de la garantie de convertibilité illimitée, nous devons les retourner à la France pour reprendre nos devises étrangères laissées chez eux en contre-partie de ces billets FCFA. La France pourra accepter comme refuser de les reprendre de nos mains pour nous retourner des devises internationales. Pas grave si elle refuse. Des moyens appropriés seront utilisés pour faire ce retrait. Cette opération devra être faite même avant la fin du FCFA et la fermeture des comptes d’opération. C’est surtout pour cette raison que la France n’hésite pas à éliminer physiquement TOUT dirigeant Africain qui veut mettre fin au FCFA. Car, mettre fin au FCFA revient à puiser dans les caisses françaises en un seul coup deux fois le montant équivalent à tout l’argent en circulation en zone CFA, puisqu’il faudra aussi comptabiliser le montant correspondant à la garantie que la France débite chaque fois que la zone CFA gagne de l’argent, les fameux 50%.

Ainsi au départ, la valeur de notre monnaie sera établie égale au Dollars américain. Un des problèmes majeurs à régler au travers de ce taux de change est de permettre aux Africains de se redonner confiance et réduire en eux le complexe d’infériorité. Ainsi, un Africain ne sortira plus 100 000 unités de sa monnaie (FCFA) pour se voir remettre juste 200 US Dollars, se voyant ainsi rabaissé de 500 fois mentalement face à l’étranger. Un Américain ne viendra plus chez nous avec 100 Dollars US pour se voir remettre 50 000 unités de notre monnaie (FCFA), se voyant ainsi rehausser mentalement 500 fois plus que nous. Il se verra remettre 100 KORIS s’il tend 100 US Dollar. Cet exercice d’équilibre mental participera énormément aux changements de mentalités pour la construction de la nouvelle Afrique industrialisée, moderne, et développée.

3.2. Valeur du KORIS dans le futur[modifier | modifier le code]

La valeur ultérieure du taux de change de la nouvelle monnaie sera fonction d’un panier de devises : le Yuan Chinois, le Dollars US, Yen Japonais, l’Euro et le Naira Nigérian. Mais seule notre banque centrale déterminera la valeur de cette monnaie vis-à-vis des autres monnaies en fonction des gains de devises étrangères et du rythme de fabrication des billets locaux. Ici encore, il est besoin de démontrer et d’expliquer.

           Rappelons qu’au départ, lors de la mise en circulation du KORIS, nous avons comme masse monétaire 500 milliards de KORIS pour 500 milliards de US Dollars en Décembre 2018. En 2020, nous n’aurons plus ces mêmes masses monétaires du fait que nous aurons échangé avec le monde entier, gagner des devises étrangères lors de nos exportations et dépenser des devises étrangères lors de nos importations. Nos banques feront des octroies de crédits et nous fabriquerons aussi des billets de KORIS en cours de fonctionnement entre 2018 et 2020, par l’utilisation de la planche à billets. Mais, notons entre parenthèses que la fabrication des billets de KORIS sera faite exclusivement pour des besoins essentiellement de paiement de la main d’œuvre allant dans le développement industriel et la construction d’infrastructures énergétiques. Nous ne ferons pas tourner la planche à billet pour faire payer des salaires ou engager des dépenses d’importation. Ce point sera expliqué ultérieurement dans le chapitre KORIS et développement industriel.

Supposons donc qu’en 2020, nous ayons 600 milliards de US Dollars en recettes de devises étrangères, et 800 milliards de KORIS, il apparait évident que nous ne pourrons plus pratiquer 1 KORIS = 1 US Dollars. On aura en divisant 800 milliards de KORIS par 600 milliards de US Dollars, 1 US Dollar = 1,33 KORIS.

De même, vers les années 2030, avec une bonne application de politiques industrielles et agricoles, nous pourrons arrêter les importations de riz, blé et autres produits manufacturés, tels que papier, brosse à dent, tissus et autres.  Ainsi, nous dépenserons moins de devises étrangères pour nos importations. Nous aurons aussi mis fin à toutes les sociétés de GSM exportant d’importantes quantités de devises hors de nos pays. Dans ce cas, nous pourrons avoir en 2030, 900 milliards de US Dollars, et aussi 900 milliards de KORIS (la fabrication des billets KORIS continuera toujours dans le temps), ce qui ramènera le taux de change à 1 KORIS = 1 US Dollar.

Le jour où nous aurons dans notre Central Bank of Africa CBA, 10 000 milliards de US Dollars et 5 000 milliards de KORIS, nous pourrons sans complication avoir 1 KORIS = 2 US Dollars. Ce moment sera probablement vers les années 2050. Mais, assurément, en ce moment, nous ferons comme la Chine le fait actuellement avec ses énormes recettes de devises étrangères mais qui applique un maintien volontaire de bas taux. L’objectif sera de pouvoir toujours faire plus de fabrication de billets de KORIS pour assurer le plein emploi de nos populations.

3.3 KORIS et Compétitivité des produits de notre économie.[modifier | modifier le code]

La valeur du taux de change influence très peu la compétitive des produits d’un pays. Supposons que nous produisons un article que nous vendons à 20 KORIS, soit 20 US Dollars. Si ce même article est produit par un autre pays qui le vend à 30 US Dollars, nous sommes plus compétitifs que ce pays.

1 US Dollar = 1 KORIS, Prix de revient de notre produit : 20 US Dollars.

1 US Dollar = 500 KORIS, Prix de notre produit : 30 US Dollars.

Dans cet exemple, nous sommes compétitifs dans le cas où nous fixons le taux de change à égalité.

Quel que soit le taux de change que nous autres pratiquons chez nous, cela n’influence en rien la fixation des prix des produits de nos concurrents par eux. Chacun fixe ses prix de vente selon ses prix de reviens. Ainsi, nous devons plus travailler à minimiser les couts de production si nous voulons être compétitifs.

           Nous ne pouvons jamais être compétitifs en produisant avec 100 Hommes à qui il faut payer des salaires et des outils rudimentaires ce que les autres produisent avec 2 Hommes et des machines perfectionnées. La clé de notre compétitivité se trouve plus dans l’industrialisation que dans la fixation de taux de change faible entre le US Dollar et notre monnaie KORIS.

La Chine malgré le fait qu’1 Yuan Chinois soit Presque 100 FCFA, l’Europe avec 1 Euro égale 655.9  FCFA n’ont jamais eu de difficultés de compétitivité en face des produits Africains dont la monnaie est pourtant en plus faible niveau de conversion avec le Dollars.

4. Présentation des Billets et pièces de Koris[modifier | modifier le code]

La nouvelle monnaie KORIS a pour grande coupure un billet de 100Unités. Rappelons que la plus grosse coupure de Dollars US, de RMB Chinois font 100, 500 pour l'Euro et 50 pour le Ponds Britannique. C'est seulement chez nous on trouve jusqu'à 10mille unités de notre monnaie sur une seule coupure. Nous utiliserons également des centimes comme pour les Américains. Les motifs seront plus avec des images d’industries de production et de visages de leaders Africains. Thomas Sankara, Sylvanus Olympio, Kadhafi et autres pourraient y figurer. Un concours pour la proposition de maquettes des nouveaux billets et pièces de monnaie fut lancé, et les propositions des candidats furent soumises pour vote électronique afin que chaque Africain puisse se prononcer et qu’ensemble, nous avions fait le choix approprié.

La phrase '' AFRICA, THE CRADLE OF HUMANITY / AFRIQUE, BERCEAU DE L'HUMANITE'' sera inscrite sur les billets pour interroger quotidiennement le subconscient des utilisateurs de ces billets et les inviter indirectement à s'approprier le fait que nous Africains sommes les premiers à venir sur terre, et que nous avons obligation de travailler pour avoir la première place sur terre en terme de développement et de bien-être de nos populations.

Au final, ce sont les billets suivants qui furent retenus :


5. Constitution des membres de la Banque Centrale[modifier | modifier le code]

Il est important de garantir l’indépendance de la Central Bank of Africa vis-à-vis de tous les dirigeants des pays Africains et du monde. Ainsi, il faut un ensemble d’Hommes représentant chaque pays et qui seront alors tenu de respecter mutuellement les uns les autres.

Chacun des 15 pays aura au moins deux représentants à la Central Bank of Africa dans le Conseil d’Administration qui sera exclusivement Africain, et donc sans aucun représentant Français ou étranger. Ces deux représentants seront choisis par chaque pays sur appels à candidature avec l’organisation d’un recrutement par le gouvernement et l’organisation du deuxième recrutement par l’Assemblée nationale.

Les votes au sein du conseil d’administration seront faits à la simple majorité. PLUS DE DROIT DE VETO. Il y aura rotation du poste de gouverneur entre l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale chaque 5 années de façon alternative. A chaque fois que le Gouverneur sera ressortissant de l’Afrique de l’Ouest, le Vice-Gouverneur sera originaire de l’Afrique Centrale. Il n’y aura pas construction de nouveaux sièges. Les sièges actuels seront utilisés.

6. Lieu de fabrication des billets[modifier | modifier le code]

Tous les billets et pièces seront fabriqués en Afrique dans un pays ex CFA. Ce pays sera choisi de commun accord entre les Chefs d’Etat Africain. Un système sécuritaire avec déclenchement d’incendie ou d’inondation sera installé et sera déclenché automatiquement en cas d’attaque ou d’intrusion non autorisée. La sécurité des lieux sera assurée par un détachement composé d’au moins un homme armé originaire de chaque pays membre de la zone monétaire. Un système de mise en marche de production avec authentification conjointe par signature électronique d’au moins 5 Présidents sera installé avant de démarrer les machines. En clair il faudra que depuis leurs pays respectifs au moins 5 Chefs d’Etat composent un code secret avant que l’on ne puisse fabriquer billets ou pièces de monnaie.

7. Centralisation des Réserves de Change et garantie de la nouvelle monnaie[modifier | modifier le code]

La nouvelle banque centrale jouera enfin et effectivement le rôle actuel joué par la France et le Trésor Français. Tous les paiements et recettes externes se feront directement à la nouvelle banque centrale qui gardera toutes ses réserves de change en Afrique. Elle sera aussi chargée d’effectuer directement les paiements aux pays étrangers correspondants à nos importations.

La Garantie de la nouvelle monnaie sera assurée par les Etats, les réserves de devises à constituer avec les exportations, et par la valeur synthétique des ressources naturelles stratégiques comme l’or, le diamant, l’uranium, le café, le cacao etc, détenues par les pays de la zone monétaire.

8. Convertibilité de la nouvelle monnaie et contrôle de la transférabilité :[modifier | modifier le code]

La nouvelle monnaie en contradiction avec le FCFA pourra être interchangeable avec les pays de l’Afrique et du monde sans devoir passer par le Dollars ou l’Euro. Il y aura donc accords entre la Central Banque of Africa et les banques centrales des autres pays pour acceptation de leurs devises dans notre zone monétaire et l’acceptation de notre devise dans ces différents pays. Le fonctionnement des paiements sera analogue au système actuel, les commerçants, les importateurs rendront leurs coupures de la nouvelle monnaie pour se voir transférer des devises étrangères dans les pays de leurs choix. Il faut noter qu’un contrôle strict de ces transferts sera effectué afin de rester dans des limites à définir par la banque centrale.

Notons que la monnaie en elle seule ne peut empêcher la fuite des capitaux. Ainsi, pour empêcher la fuite des capitaux, il faut limiter les investissements étrangers, car une fois qu’un étranger s’est enrichi dans la zone KORIS, il peut utiliser tous les moyens pour rapatrier son argent hors de la zone.

9. Utilisation des réserves de Change pour la stabilisation de la valeur de la nouvelle monnaie[modifier | modifier le code]

Nous utilisons 50% de nos recettes externes actuellement en paiement au trésor français pour garantir la parité fixe du FCFA avec l’Euro, mais, pas avec le Dollars US. Nous utiliserons aussi avec la nouvelle monnaie ces même 50% de nos recettes externes pour garantir la stabilité de la nouvelle monnaie au travers exclusivement des investissements industriels. Une liste non exhaustive des entreprises qui seront installées par le financement de la Central Bank of Africa est au-dessous de ce document. La Central Bank of Africa fera une répartition de ces investissements par pays et attribuera les allocations budgétaires nécessaires. Ainsi, certains pays deviendront importateurs de matières premières comme le coton des autres pays, pour en devenir des fabricants de vêtements, et exportateurs vers les autres pays. Il en sera de même pour le bauxite/aluminium, le fer/acier, le cacao/chocolat, etc. Ce système permettra l’augmentation des échanges intra-communautaire.

Les besoins de consommation et la vie de nos pays va continuer avec les autres 50% de nos recettes externes habituelles et les mobilisations de ressources internes.

10. Critères de convergence et établissement de politiques de développement communes :[modifier | modifier le code]

De la même manière que ni les Etats des USA, ni les Cantons de la Chine, ni les pays de la zone CFA n’ont réuni aucun critère de convergence avant de se mettre ensemble pour une monnaie commune, aucun critère de convergence ne sera réuni avant la mise en circulation de la monnaie communautaire, mais, par la suite, les critères de convergence suivant seront atteints par tous les pays utilisant la nouvelle monnaie :

-         Constitutionnalisation de la transformation des matières premières en Afrique,

-         Exportations possibles exclusivement pour les produits finis fabriqués en Afrique

-         Taux d’inflation inferieur ou égale à 6%,

-         Rapport déficit public / PIB

-         Rapport dette externe / PIB de 30% environ

Il sera également fait l'instauration de politique de développement commune, de politique agricole commune (l'Afrique pourra enfin subventionner ses agriculteurs -subvention impossible actuellement car l'argent devant servir à subventionner doit venir de l'étranger, ce qui ne sera plus le cas quand nous fabriquerons notre propre monnaie). Nous devrons aussi asseoir une politique d'industrialisation commune, et avoir des visions à long terme. Des standards Afro seront établis comme dans la zone Euro avec les standards européens. Des routes ne se ferons plus à 100 milliards dans un pays X, et pour les mêmes caractéristiques, même longueur, ces routes seront faites a 180 milliards dans un autre pays Y.

Nous limiterons les investissements étrangers et ferons un audit de la dette de chaque pays immédiatement après la fin du FCFA. Ainsi, nous saurons comment rembourser s’il le faut la partie légitime de cette dette avec nos productions industrielles. Mais, nous arrêterons systématiquement d’augmenter cette dette.

La nouvelle monnaie par laquelle nous allons remplacer le CFA sera la monnaie du développement industriel de l'Afrique, la monnaie qui permettra à la Banque centrale d'obliger nos banques habituelles de faire des prêts à 1% de taux d'intérêt contre 13% actuellement. Ce sera la monnaie qui mettra fin à l'émigration clandestine vers l'occident. Ce sera la monnaie qui mettra fin au chômage de masse chez nous.

11. Dotation de la masse monétaire par pays :[modifier | modifier le code]

Chaque pays aura une dotation monétaire équivalente au total de ses exportations, ses prêts et dons internationaux. A cela s’ajoute les crédits d’implantations industriels, et crédits de construction d’infrastructures et de consommation si possible. Ce n’est pas parce que tous ces pays seront dans la même zone que l’on utilisera les fruits du travail d’un pays pour donner à un autre pays. Ainsi, les grands pays n’ont rien à craindre des petits pays, et les petits pays n’ont également rien à craindre des grands pays. La dotation de masse monétaire en circulation de chaque pays sera fonction de son P.I.B.

Conséquences du KORIS sur les pays ex-zone CFA et sur la vie de ses utilisateurs[modifier | modifier le code]

Augmentation des crédits aux entreprises et à la consommation.[modifier | modifier le code]

La première et principale conséquence est le passage du ratio crédit/PIB de 23% actuellement à 120% le même mois d’entrée en circulation du KORIS, c’est-à-dire en Décembre 2018. Ainsi, l’enveloppe globale des prêts à accorder aux entreprises zone KORIS va augmenter considérablement.

Cette mesure va permettre que tout porteur de projet jugé rentable, trouve facilement financement pour sa réalisation sans apport de garantie personnelle autre que la rentabilité du projet qui pourra être utilisée ailleurs en cas de non remboursement. Il y aura une agence de garanties à laquelle les porteurs de projets peuvent également souscrire. Les projets industriels seront en priorité.

Ainsi, ce sera le début d’une industrialisation massive et rapide de l’Afrique. L’autre nom par lequel on appelle les pays développés étant pays industrialisés, lorsque nous serons industrialisés, nous serons aussi pays développés. Même s’il faudra retirer nos pays de l’accord du climat, nous imiterons les USA pour le faire. Cette industrialisation va donner l’occasion a toute la population même ceux sans formation académique ou universitaire de trouver des emplois bien payés dans les usines manufacturières et sur la chaine de distribution. Le chômage sera considérablement réduit par la création d’emplois offerts par les entreprises créées, et l’amélioration des niveaux de vie va décourager les départs en émigration de la jeunesse africaine. Il y aura aussi un retour massif de la diaspora africaine.

L’industrialisation va occasionner la baisse des importations, un début d’équilibre de nos balances commerciales et le début d’une épargne nationale pour la mobilisation des fonds en vue d’un armement futur.

Crédit d’Etudes Universitaires[modifier | modifier le code]

Cette mesure du changement ratio crédit/PIB permettra également le lancement des crédits-étudiants à valeur moyenne de 2000 KORIS/Etudiant/Année d’étude (Environ 1million FCFA). Des crédits-consommation pour ceux désireux de s’approvisionner en produits fabriqués en zone KORIS par des entreprises à capitaux d’origine africaine seront faits.

Création d’un fonds d’investissements[modifier | modifier le code]

Le KORIS est un outil de recadrage, et de réduction à long terme des investissements directs étrangers au profit des Investissements Africains.

Nous veillerons à ce que des industries appartenant à des étrangers ne voient pas le jour en Afrique zone KORIS, car ces étrangers après avoir exploité nos ressources naturelles, notre main d’œuvre sous-payée, rapatrient toujours leurs profits dans leurs pays d’origine.

Le KORIS va permettre à nos pays de se développer sans investisseurs étrangers, mais, la main d’œuvre, les compétences étrangères seront les bienvenues. Une politique de filtrage des visas d’accès aux pays de la zone KORIS permettra même de gérer ces aspects. Un Libanais, un Indien ou un Chinois ne pourra plus venir chez nous ouvrir juste une boutique de vente ou un restaurant. Il faudra avoir des compétences à vendre pour venir en Afrique zone KORIS.

Avec l’avènement du KORIS, il sera créé un fond d’investissement avec zone d’action tous les pays KORIS. Ce fond d’investissement sera financé dans un premier temps par les recettes d’exportations issues des ventes de matières premières et de la fiscalité interne.

Ce fond aura l’objectif majeur de redonner l’Afrique aux Africains. Ainsi, ce fond d’investissements permettra d’installer les diverses sociétés pour l’exploration, l’exploitation et la transformation de nos matières premières et de l’industrialisation.

Nos mines actuellement en Afrique sont exploitées par des entreprises étrangères aves souvent seulement 10% de participation de nos Etats. Nous devons passer impérativement à l’inverse.

Liste des Sociétés Africaines allant voir le jour avec la mise en circulation du KORIS.

(Les Business plans, budgets d’installation, FEED - Front End Engineering Design et autres documents relatifs aux stratégies de trouvaille des ressources humaines et moyens techniques pour l’installation de ces sociétés seront mis à disposition des dirigeants.)

Le Salaire Minimum à payer en 2020 dans ces sociétés sera d’environ 500 KORIS, c’est-à-dire 500$US mensuel, soit l’équivalent actuel de 250 mille Francs CFA. Le salaire maximum sera de 30.000 KORIS, c’est-à-dire 30.000 US$, soit environ 15 millions FCFA.

Le financement de l’implantation de ces sociétés sera assuré par les 50% de nos recettes externes que nous déposons actuellement en France et que nous vole le Trésor Français. Même si la France ne rapatrie pas notre argent, ce n’est pas grave, nous fonctionnerons avec l’argent que nous n’allons plus déposer avec la fin du FCFA.

1- Société Africaine de Télécoms - Africa Télécoms. Exemple : HUAWEI, China Télécoms.

2- Société Africaine de GSM - Africa Mobile. Exemple : China Mobile, Orange.

3- Société Africaine de Banques et Services Financiers. En remplacement de Société Générale de Banques, et les Banques étrangères chez nous.

4- Société Africaine d’Assurances et services affiliés.

5- Société Africaine de Gestion d’opérations Portuaires. En remplacement de Bolloré.

6- Société Africaine de Transports Aériens. En remplacement de AirFrance.

7- Société Africaine des NTIC. Exemples de : Microsoft, Google, Facebook, Whatsapp.

8- Société Africaine de Conception et Construction d’Industries et Equipements Industriels.

9- Société Africaine d’exploitation de l’Uranium. En remplacement de : Areva.

10- Société Africaine d’exploitation du Pétrole.

11- Société Africaine de Raffinage et de transformation du Pétrole.

12- Société Africaine d’exploitation industrielle du minerai de Fer.

13- Société Africaine d’exploitation industrielle de l’Or.

14- Société Africaine d’exploitation industrielle du Diamant.

15- Société Africaine d’armement et d’équipements militaires.

16- Société Africaine d’électronique et de fabrication d’appareils électro-ménagers.

17- Société Africaine des Universités et de la formation technique.

18- Société Africaine de Construction et d’Exploitation ferroviaire. En remplacement de : SNCF, Alstom, Bolloré.

19- Industrie Pharmaceutique.

20- Industrie de conception d’équipements médicaux.

21- Société d’Agriculture Industrielle.

22- Société Africaine de pêches industrielles et transformation de Produits Halieutiques

23- Société Africaine d’élevage et transformation produits viandes: Saucisses et autres.

24- Industrie de Transformation Café Cacao.

25- Chantier Naval avec sous-traitance. Exemple de : Chantier Saint Nazaire.

26- Constructeur Avion avec sous-traitance. Exemple : BOING, AIRBUS.

27- Constructeurs Automobiles avec sociétés de sous-traitance.

28- Industrie du Papier.

29- Industrie du Verre.

30- Industrie Céramique – Carreaux, WC, Lavabo etc.

31- Société Africaine de Distribution. Exemple: Carrefour, Tesco, Wallmart.

32- Société Africaine de confection de lingerie et tenues intimes et de vêtements. (Aidons nos femmes et hommes à ne plus porter des slips, soutien-gorge friperies déjà portés par les blancs.)

33- Société Africaine de Presse et de Télévision,

34- Société Africaine de divertissement - Cinéma et Musique.

35- Société Africaine de divertissement - Football et sports,

36- Société Africaine spatiale,

37- Etc.

Création de nouveaux riches Africains au sein de la population et des dirigeants politiques.[modifier | modifier le code]

Une nouvelle génération de riches entrepreneurs Africains verra le jour en lieu et place de ces étrangers qui viennent s’enrichir en Afrique présentement. Cette génération sera à la tête de la liste d'entreprises ci-dessus qui verront le jour avec l'avènement du KORIS.

Impacts sur le pouvoir d’achat des populations], Rehaussement des SMIG et des niveaux salariaux[modifier | modifier le code]

Il est prouvé que la majorité des populations de la zone CFA actuelle vivent avec moins d’1 Dollars US par jour comme revenu. En clair, le pouvoir d’achat de cette population est le plus faible au monde. C’est une situation qui doit changer, et la nouvelle monnaie KORIS participera à ce changement. Puisque la nouvelle monnaie occasionnera la naissance de plusieurs entreprises industrielles ou de services qui n’existaient pas avec le FCFA, le nombre de personnes qui seront sorties de chômage permettra d’augmenter le nombre de personnes qui auront des revenus supérieurs à 1 Dollars US/jour.  Le pouvoir d’achat et la consommation vont augmenter considérablement dans la zone KORIS. Ainsi, les SMIG seront harmonisés et rehaussés à environ 1000 KORIS (500 mille FCFA) à l’horizon 2025.

KORIS et Inflation[modifier | modifier le code]

Commençons ce développement par le rappel du SMIG moyen en Afrique francophone qui tourne autour de 40.000 FCFA, soit environ 61 Euros, et que le SMIG en France est en 2016 est de 1466 Euros, soit environ 961.000FCFA.

Quand nous divisons 961.000 F par 40.000F, nous avons 24. Donc, 961.000FCFA = 40 000 x 2 400 %. La conclusion de ce calcul est qu’il faut multiplier le revenu minimum de l’Africain francophone par 2 400 % avant d’atteindre le revenu minimum du Français. Et pour multiplier les revenus de l’Africain par ce taux, il faut donc multiplier les coûts de ses services par ce taux. Le vulcanisateur, le couturier, le peintre, le maçon, le menuisier, le soudeur, la coiffeuse, et autres devront multiplier les coûts de leurs services par ce taux. Cependant, les prix des produits du commerce ne pourraient augmenter, car même en France, il n’y a pas trop grande différence entre le prix du riz, et les prix chez nous. A cela, il faut ajouter que la concurrence sur le marché jouera son rôle de normalisation. Les prix d’électricité, de carburants, de télécommunications et autres n’augmenteront pas non plus.

Je m’apprêtais à rédiger ce texte pour justifier l’importance de l’inflation dans certains secteurs et démontrer que cet argument de maitrise de l’inflation dont se targuent nos banques centrales et les défenseurs du FCFA est en fait nuisible pour nous quand mon frère Burkinabè Larba LOMPO a  écrit :                        ‘’L'inflation une arme économique puissante pour engager une véritable croissance pour tout pays non industrialisé. Par exemple après la deuxième guerre mondiale, pour relever l'économie,  les européens ont élevé leur taux d'inflation à un niveau incroyable sur une longue période. 20% en France et en Italie jusqu'au 15 Août 1971. Ce taux était de 7% en Allemagne et plus de 15% pour les autres pays. Aujourd'hui parce qu'ils sont industrialisés ils mènent une politique de contrôle d'inflation. Et pour nous empêcher de mener une politique de croissance ils ont imposé leur politique monétaire et de maitrise de l’inflation.’’

En clair, il nous faut une forme d’inflation à   deux chiffres, soit environ 20% annuel, sur une période d’au moins 12 ans afin d’atteindre les 2400% calculé ci-dessus. Ce sera à cette condition que les paysans vendront leur coton, leur cacao, leur café, et autres produits d’exportation plus chers pour suivre le niveau de vie. Ce sera à cette condition que les machines remplacent au maximum les hommes dans nos activités de production agricole, artisanales, industrielles afin qu’un seul homme ait une productivité élevée et prétende donc à un revenu conséquent. Les gens diront que je raconte du n’importe quoi, mais, une inflation sélective est nécessaire pour rétablir un certain équilibre dans le partage des revenus de l’Etat. Les riches faisant 1% de la population ne seront plus détenteurs de 99% des richesses de la population pour laisser les 1% de richesses aux mains des 99% restant de la population. L’inflation est nécessaire afin qu’un Ministre de la république ou un Directeur de Société qui gagne, pots-de-vin compris environ 50 millions de FCFA mensuel ne soit plus en mesure de payer juste 30 mille FCFA à son homme de sécurité, son jardinier ou sa femme de ménage à la maison, sans assurance santé, sans 13ième mois, et autres avantages que lui Ministre a pourtant en plus de son salaire, ses primes et ses pots-de-vin!

Même avant la fin du FCFA, notre association lancera des opérations de sensibilisations des syndicats de chaque corps de métier afin de remonter les revenus de nos populations.

Indépendance vis-a-vis de la France et des institutions internationales et non-ingérence de la france dans les affaires Africaines[modifier | modifier le code]

L’implication actuelle de la France, de la Banque Mondiale, du FMI dans la gestion économique de l’Afrique est si forte qu’il est anormal de designer les pays Africains francophones et utilisateurs du FCFA de pays indépendant. Que ce soit par le contrôle des élections, que ce soit par la participation des commissions de la Banque Mondiale, du FMI et de la France à l’élaboration de nos budgets nationaux, que ce soit encore la gestion de nos banques centrales, la France est présente à chacun des niveau pour donner ses orientations, ses avis, et faire passer ses vœux. Le KORIS aura aussi pour conséquence d’accorder une vraie autonomie aux pays de la zone KORIS vis-à-vis de la France, du FMI et de la Banque mondiale. La France ne pourra plus placer et faire gagner des candidats aux élections Présidentielles chez nous, ces candidats qui partagent des billets de FCFA dont rien ne nous garantit viennent directement de la planche à billets de Chamelière, mettant en infériorité financière tous les autres candidats aux mêmes élections.

Le KORIS occasionnera aussi la baisse des dons, prêts et apports financiers des PTF habituels, surtout ceux Européens, et spécifiquement français. L’AFD, l’Agence Française de sous-développement, pardon de Développement, pourrait elle-même décider de fermer et quitter l’Afrique.

Enfin, sur les dirigeants dictateurs d’Afrique… Le KORIS aura un effet que je vous laisse rédiger vous-même en exercice de recherche.

Recadrage, réduction et suppression des investissements étrangers[modifier | modifier le code]

NOUS NE VOULONS PLUS DES INVESTISSEMENTS ETRANGERS EN AFRIQUE!

Quand un investisseur venant des pays dit ‘’oxydentaux’’ vient dans nos pays d’Afrique investir 1 million de dollars, c’est pour en ressortir au bout de 5 ans avec au moins 5 millions de dollars, nous volant légalement ainsi 4 millions de dollars.

Nous devons arrêter d’accepter les investissements étrangers et promouvoir le capitalisme d’Etat, les investissements d’Etat, puis des locaux et Africains

Une taxe sur les exportations de matières premières sera introduite dans tous les pays KORIS. Cette taxe sera exagérée pour toute entreprise dont les propriétaires ne sont pas originaires de la zone KORIS. Ils seront poussés à bout pour fermer les années à venir.

Les licences de GSM détenues par les entreprises à capitaux non originaire de la zone KORIS ne seront pas annulées automatiquement, mais, une politique de reprise progressive de ce marché du GSM sera faite afin que l’argent des télécommunications ne quitte plus la zone KORIS.

Certaines licences d’exploitations seront purement abolies. Seront visés en tête de liste, l’Uranium du Niger avec AREVA, et les divers cimentiers étrangers, les exploitants de Pétrole, de Diamant, d’or dans la zone KORIS. Les brasseries et autres entreprises suivront progressivement.

Nous allons remettre l’économie africaine dans les mains des Africains.

Il y aura l’abolition des Programmes d’Ajustement Structurelles et leurs conséquences de privatisation. Nos Etats auront encore la possibilité financière d’avoir des multinationales cogérées ensemble par des Africains et des compétences internationales.

La possibilité de l’application sans appel de la peine de mort aux dirigeants de ces sociétés sera étudiée et appliquée sans main morte aucune. Tous les dirigeants de ces sociétés seront informés à leurs prises de fonctions d’être sujets à la peine de mort en cas de détournements, de corruption, de malversations financières, de crimes économiques, de mauvaise gestion, de mauvais résultats (qui la plupart sont causés par des désirs d’enrichissement personnel au détriment du bien-être commun). Un peuple qui choisit de ne pas éliminer ses dirigeants corrompus, fait le choix délibéré d’éliminer ses innocentes populations contribuables et producteurs de richesse nationale avec des hôpitaux mal équipés causant des morts par défaut de dialyse, des femmes qui mourront en couche, des gens qui mourront par manque de médicaments ou par accident sur des routes jonchées de trous, etc. En résumé, un pays sans peine de mort pour les destructeurs de la nation est pire meurtrier qu’un pays avec application stricte de la peine de mort ciblée sur les dirigeants corrompus. La Chine est un exemple à suivre dans ce domaine.