Jean Crocq (psychiatre)
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Pour les articles homonymes, voir Jean Crocq et Crocq (homonymie).
| Nom de naissance | Jean-Baptiste Antoine Crocq |
|---|---|
| Naissance | |
| Décès | |
| Nationalité | Belge |
| Profession | Psychiatre |
|---|---|
| Employeur | Université de Gand |
Jean Crocq, né le à Bruxelles et mort le à Uccle, est un médecin psychiatre belge.
Biographie[modifier | modifier le code]
Jean-Baptiste Antoine Crocq est le fils de Jean Crocq, docteur en médecine et homme politique, et de Marie Elisabeth Christiaens[2]. Il se marie le 23 février 1889 à Bruxelles avec Léontine Bisserot[3].
Il travaille d'abord au service de neurologie et de psychiatrie de l'hôpital Saint-Jean de Molenbeek, puis devient médecin-chef du sanatorium du Fort Jacco d'Uccle.
En 1896, il fonde avec Xavier Francotte le Journal belge de Neurologie. Au cours de la même année, il est l'un des fondateurs de la Société de psychiatrie et de neurologie dont il assure le secrétariat[4] par la suite.
En 1922, il est nommé à la chaire de psychiatrie de l'Université de Gand[5]. Son successeur sera Maurice Hamelinck.
Il est l'auteur de nombreux ouvrages de psychiatrie et de neurologie[4].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Rijksuniversiteit te Gent, Liber memorialis, 1930-1980, Ghent, Alumni Fonds-Medische Fakulteit, 1980.
- Ville de Bruxelles, « Acte de naissance n°2101 »
, sur Familysearch, (consulté le )
- Ville de Bruxelles, « Acte de mariage n°212 » , sur Familysearch, (consulté le )
- « Nécrologie - Le Docteur Jean Crocq », L'Indépendance Belge, , p. 4 (lire en ligne )
- Michel Coddens, « La Belgique et la psychanalyse. Un rendez-vous manqué ? », Le Bulletin Freudien, 2008, nos 51-52, p. 17‑51.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
