Henri Bourbon
Henri Bourbon | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (2 ans, 10 mois et 16 jours) |
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Élection | 2 janvier 1956 |
Circonscription | Ain |
Législature | IIIe (Quatrième République) |
Groupe politique | COM |
– (5 ans, 7 mois et 27 jours) |
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Élection | 21 octobre 1945 |
Réélection | 2 juin 1946 10 novembre 1946 |
Circonscription | Ain |
Législature | Ire Constituante IIe Constituante Ire (Quatrième République) |
Groupe politique | COM |
Conseiller général de l'Ain | |
– (7 ans) |
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Circonscription | Canton d'Ambérieu-en-Bugey |
Prédécesseur | Roger Deléaz |
Successeur | Léon Tournier-Billion |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Annemasse |
Date de décès | (à 89 ans) |
Lieu de décès | Oyonnax |
Résidence | Ain |
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Henri Bourbon, né le à Annemasse et mort le à Oyonnax, est un homme politique français.
Membre du Parti communiste français, il a été député de l'Ain et conseiller général du canton d'Ambérieu-en-Bugey.
Biographie[modifier | modifier le code]
Fils d'un cheminot, Henri Bourbon devient cheminot lui-même (facteur aux écritures). En 1928, il adhère au Parti communiste français (PCF) et à la CGTU[1]. Il met en place le syndicat unique des cheminots de Bellegarde[2].
Résistance[modifier | modifier le code]
En 1940, il est arrêté pour ses activités au sein du PCF et doit purger une peine de prison au Fort Saint-Nicolas. Libéré en , révoqué, il entre dans la clandestinité au début de 1941 et met sur pied la première section illégale du Parti communiste à Oyonnax. Il est responsable de nombreux groupes de sabotage en 1942 dans la région lyonnaise et en Auvergne puis, en 1943, dans la région toulousaine[2],[3].
Mandats électifs[modifier | modifier le code]
En 1945, il est secrétaire de la Fédération PCF de l’Ain[1]. La même année, il est élu conseiller municipal de Bourg-en-Bresse et, en 1951, conseiller général du canton d'Ambérieu-en-Bugey[2].
Il est député communiste de l'Ain de 1945 à 1951. Il est membre de la Commission des moyens de communication et juré à la Haute-Cour de Justice[2].
Aux élections législatives de 1951, il perd son mandat en raison de la pratique de l'apparentement, mais est réélu en 1956. Il est membre de la Commission de la justice et de la législation, de la Commission du suffrage universel et de la Commission de l'intérieur en 1957[2].
Détail des mandats[modifier | modifier le code]
- Député de l'Ain[2] :
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- Conseiller municipal de Bourg-en-Bresse
- Conseiller général du canton d'Ambérieu-en-Bugey (1951 - 1958)
Distinctions[modifier | modifier le code]
- Chevalier de la Légion d'honneur
- Croix de guerre 1939-1945 avec palme
- Médaille de la Résistance française
Références[modifier | modifier le code]
- « BOURBON Henri », sur maitron.fr (consulté le ).
- « Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1940 à 1958 (La documentation française) », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « Histoire de Coligny - La Résistance (1940 à 1945) » (consulté le ).
Annexes[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
- Membre de l'Assemblée constituante de 1945
- Membre de l'Assemblée constituante de 1946
- Député de l'Ain (Quatrième République)
- Député de la première législature de la Quatrième République
- Député de la troisième législature de la Quatrième République
- Naissance en novembre 1906
- Naissance à Annemasse
- Décès à Oyonnax
- Décès à 89 ans
- Combattant des maquis de l'Ain et du Haut-Jura
- Personnalité liée à Bourg-en-Bresse
- Député membre du Parti communiste français
- Résistant communiste français
- Chevalier de la Légion d'honneur (date non précisée)
- Titulaire de la croix de guerre 1939-1945
- Titulaire de la médaille de la Résistance française
- Décès en juin 1996