Discussion:Desperate Housewives

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Noms des personnages[modifier le code]

Pourquoi écrire dans la partie "noms des personnages" que Bree Van De Kamp devient Bree Hodge dans la saison 3 et que Gabrielle Solis devient Gabrielle Lang dans la saison 4 ? Cela revient à révéler au téléspectateur néophyte des moments-clés de l'intrigue (le divorce entre Gabrielle et Carlos Solis, la fin du mariage Bree/Rex Van De Kamp...). --Ramblas 15 décembre 2007 à 13:29 (CET)

Cinquième saison[modifier le code]

L'homme qu'embrasse Susan est un dénommé Ken, joué par Gale Harold, et non le mari de Katherine (page éditée). De gros problèmes d'expression et d'orthographe concernant le résumé de la saison 5 (pas encore édité). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 62.35.50.125 (discuter), le 25 mai 2008 à 15:41 UTC

Traduction ridicule du titre original[modifier le code]

Je ne sais pas où vous avez déniché "Beautés désespérées" mais c'est du grand n'importe quoi. Par ailleurs, si vous compreniez un peu l'anglais, vous sauriez que "desperate" signifie autant "aux abois" ou "prêt à tout" que juste littéralement "désespéré". Comme dans le fameux dicton : "Desperate times call for desperate measures" (Aux grands maux, les grands remèdes). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.200.50.12 (discuter), le 6 juin 2009 à 13:48 UTC

Ce n'est pas une traduction mais le titre québécois de la série, un point c'est tout. Tu peux vérifier sur IMDb puisque tu en parles. ©éréales Kille® [Speak to me]* en ce samedi 6 juin 2009 à 13:54 (CEST)[répondre]
Oui ben c'est quand même n'importe quoi. Et puis on est sur le wikipedia français, pas canadien. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.200.50.12 (discuter), le 7 juin 2009 à 19:19 UTC
La Wikipédia francophone, donc Québec, Belgique, Suisse... et pas wikipedia de la France. Peut-être que cela t'aidera. --GdGourou - Talk to °o° 7 juin 2009 à 23:52 (CEST)[répondre]

Rang annuel de DH et House[modifier le code]

Petite bizarrerie quand on compare les classements annuels de Desperate Housewives et de House. En effet, pour sa 7ème saison, DH enregistre une moyenne de 11.2 millions de téléspectateurs par épisode alors que House en enregistre 9.9 millions. Ce qui est étrange c'est que DH est moins bien classée (25ème) que House (22ème) ! Avec la saison 6, c'est pareil. DH et House enregistrent les mêmes audiences, à savoir 12.8 millions de téléspectateurs par épisode. Cette fois, DH est 20ème alors que House est 11ème. C'est encore une fois assez étrange, à moins que 10 séries aient une audience de 12.8 millions (assez improbable). Encore plus étrange, pour la saison 4, les deux séries ont le même classement (8ème) avec deux scores différents : 17.8 pour DH et 16.2 pour House. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Maxel62 (discuter), le 29 août 2011 à 11:06 UTC

Il doit y avoir une erreur à cause des initiales : DH vaut pour Desperate Housewives et également pour Dr House (en France, ailleurs je ne sais pas), il y a pu avoir confusion. Clément (d) 18 novembre 2011 à 14:01 (CET)[répondre]

Passages non-sourcés[modifier le code]

Je me permets de transférer ici des passages non-sourcés de l'article, dont certains éléments se rapprochent des travaux inédits --• Cdt Kesiah [] 19 décembre 2011 à 22:22 (CET) :[répondre]

  • Section « Développement » :

Le feuilleton de Marc Cherry trouve ses racines dans un lot de séries à succès : le point de départ est sans conteste Melrose Place. Fan de son personnage central Amanda Woodward (Heather Locklear devait jouer un rôle dans Desperate Housewives, très probablement celui de Susan) et des intrigues tordues, il a engagé deux de ses acteurs, Marcia Cross et Doug Savant, ainsi que John Haymes Newton qui apparaît dans le rôle du réparateur du câble que Carlos passe à tabac dans la première saison. Mais le créateur a d'autres références telles que Six Feet Under (la mort de l'un des personnages principaux comme point de départ de la série) ou American Beauty (les décors idylliques, la narration post-mortem et la critique sociale concernant le mode de vie WASP). La série aurait pu s'appeler The Secret Lives of the Housewives (« Les vies secrètes des femmes au foyer ») ou Wisteria Lane (nom du quartier de la ville de Fairview à l'apparence idyllique, dans lequel les personnages vivent). Mais Marc Cherry, qui est à l'origine de tout le concept, a tenu à intituler la série Desperate Housewives (« Femmes au foyer désespérées »), car selon lui, ce nom promettait quelque chose de nouveau par rapport aux titres classiques « compréhensibles » (Lost : Les Disparus, par exemple).

Également amateur de la série Sex and the City, Cherry lui emprunte sa structure narrative et thématique, à savoir la mise en opposition de personnages féminins appartenant à un même groupe social, au même cadre de vie urbain, liés par quelques mini-intrigues comiques ou dramatiques mais séparés par leur représentation du monde et leur rapport à l'existence (sur un mode économique, culturel, sentimental, affectif, sexuel…). Avec Desperate Housewives, Cherry crée en quelque sorte une suite à cette série, dans laquelle il montre ce que peuvent devenir ces femmes quand, passés les 35 ans, elles ont trouvé leur soi-disant prince charmant, avec les enfants et la villa qui va avec.

Mais le feuilleton lorgne également sur des références plus souterraines : Alfred Hitchcock, d'abord pour la forme, l'art de la transition, la variété simple et dynamique des plans, des focales, la manière frontale de peindre un cadre social, le recours symbolique à une palette de couleurs primaires (le noir de l'âme, le bleu de l'azur, le rouge du sang) et la façon de construire un environnement apparemment lisse et sans histoire, mais d'où sourd un ou plusieurs mystères dont la présence bouleverse la petite vie ordonnée et tranquille des personnages principaux. L'élucidation de l'énigme permet de tenir le spectateur en haleine grâce à un déroulement dramatique. Si le dénouement est tragique, ses péripéties sont ponctuées en parallèle de jeux de fausses pistes, d'accusations trompeuses et de répliques ironiques. L'esprit hitchcockien de la série se fonde avant tout sur Fenêtre sur cour, où la promiscuité et l'ennui mènent le personnage incarné par James Stewart à espionner les locataires de sa cour résidentielle à l'aide de jumelles puis à découvrir un meurtre.

L'utilisation quant à elle d'un comique de situation, dynamique, rythmé, axé sur l'enchaînement de gags avec effet d'emballement et série de chutes, est un clin d'œil appuyé à la tradition burlesque du cinéma américain : celle de la comédie des années trente (la screwball comedy), celle des années soixante, pour l'importance narrative accordée aux objets et la dégénérescence en catastrophe générale de petits gestes maladroits (l'exemple typique de cette construction est l'incendie involontaire, dans le tout premier épisode, de la maison d'Edie Britt provoquée, aux suites d'un quiproquo, par Susan qui lance par dépit un soutien-gorge, sans intention de nuire, sur une bougie qui se renverse alors sur un rideau et ainsi de suite) et le cinéma de Woody Allen pour la satire sociale et la comédie de mœurs avec son lot de joutes verbales et de phrases assassines.

Lost my power (épisode 20 saison 8) = Perdre mon pouvoir[modifier le code]

C'est un peu beaucoup débile de traduire "Lost my power" par "Perdu mon pouvoir" enfin je veux dire, faut arrêtez d'utiliser les traducteurs du genre reverso ou google traduction. "Lost my power" veut dire "Perdre mon pouvoir", "Perdu mon pouvoir" c'est ridicule et ça ne veut rien dire ! Revoyez votre Anglais ! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.165.81.206 (discuter), le 4 avril 2012 à 23:08 UTC

Il s'agit d'une traduction littérale : « lost » est le passé simple du verbe « to lose », avec ou sans reverso et cie.
Le titre français officiel sera peut-être différent. --• Cdt Kesiah [] 4 avril 2012 à 23:51 (CEST)[répondre]


Oui il sera différent comme d'habitude, les titres français et canadiens n'ont rien à voir avec les tires américains.

Section distribution[modifier le code]

Avant que cela ne dégénère en guerre d'édition (et pour si peu...), je propose de lister dans cette section les acteurs principaux seulement ; vu que le grand nombre d'acteurs liés à la série, si on devait lister tous les invités (et oui, si on en liste 2, il faut alors tous les mettre), la liste serait interminable et peu encyclopédique. Cela est déjà appliqué sur d'autres articles. --• Cdt Kesiah [] 20 avril 2012 à 18:14 (CEST)[répondre]

Je pense que les listes d'invités ont leur place dans les articles des saisons. --• Cdt Kesiah [] 20 avril 2012 à 18:22 (CEST)[répondre]
J'ai supprimé les deux invités en question (à placer sur les articles des saisons éventuellement) :
et ajouté quelques précisions dans la section. --• Cdt Kesiah [] 21 avril 2012 à 13:40 (CEST)[répondre]

Section de travail inédit : Technique de scénarisation[modifier le code]

Vu que la section intitulée "Technique de scénarisation" est du travail inédit (voir ce commentaire de diff), une pratique contraire aux principes de Wikipédia, je l'ai supprimée de l'article. Voici le contenu de la section :

Desperate Housewives suit une technique de scénarisation particulièrement adaptée à la télévision, une des spécificités de ce média par rapport au cinéma étant que le spectateur a le loisir de changer de chaîne si le programme ne l'intéresse pas. Cette composante est prise en compte dans toute production destinée au petit écran, selon une des règles courantes d'écriture de scénario, énoncée par le théoricien Syd Field : prévoir, après un moment fort de l'histoire (plot point), une séquence d'intériorisation de l'événement par les personnages de manière à en montrer les répercussions (aftermath). Cependant, les responsables de chaînes exigent souvent la suppression de tels moments, jugés trop lents et sans intérêt pour la progression de l'histoire et dont ils craignent qu'ils ne fassent fuir les spectateurs vers une autre chaîne.
Desperate Housewives est un exemple-type d'écriture adaptée à la télévision : chaque épisode est en fait une succession de petites histoires auto-conclusives de quelques minutes, auxquelles le spectateur peut s'intéresser, quel que soit le moment où il allume son téléviseur. Lorsque le mini-événement est terminé, un autre lui succède immédiatement, afin de maintenir l'attention du spectateur. Si des conséquences d'un événement doivent être exposées, elles le seront à l'occasion d'un autre mini-événement, plus tard. Si ce schéma peut être considéré comme frustrant pour certains téléspectateurs, il garantit toutefois sa captation.
Le défaut de cette technique est qu'il donne à tous les événements, même les plus dramatiques, un aspect anecdotique. C'est pourquoi en de rares occasions, des entorses ont été faites à la règle. Ainsi, dans l'épisode 23 de la première saison (Une fin heureuse), lorsque Bree apprend la mort de son mari, le spectateur a droit à un long aftermath, où Bree se retrouve seule et continue à nettoyer calmement sa maison, puis finit par craquer et s'effondrer.

--• Cdt Kesiah [] 25 avril 2012 à 21:24 (CEST)[répondre]