Discussion:Mohamed Lakhdar Maougal

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


Références[modifier le code]

Il faudrait rajouter (l'auteur, titre du livre ou journal, ou un lien internet ( site officiel)(pas de forum) pour la biographie de Mohamed Lakhdar Maougal pour ne pas avoir une violation de droit d'auteur) et l'article peut être supprimer pour admissibiliter( voir: http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Crit%C3%A8res_d%27admissibilit%C3%A9_des_articles (Wikipédia:Critères d'admissibilité des articles), plusieurs de mes articles ont été supprimés à cause de cela. Alors je mets tout le contenu de la biographie sur la PDD, IP devrait apporter les références. Amicalement--Great11 (d) 1 octobre 2010 à 01:08 (CEST)[répondre]

Biographie[modifier le code]

{{refnec|Mohamed Lakhdar Maougal c'est un Professeur émirite de école nationale superieure de journalisme et des sciences de l'informations ENSJSI est né dans les Aurès à Khenchelaen 1945, d'une famille originaire d' Ain Beida par la mère (Rahmania) et de Ain Diss entre Aïn Fakroun et Touzline par le grand père paternel(Ouled Khiar). Formé dès sa plus tendre enfance aux deux médersates de Ain Beida, celle du mouvement national (de Chikh Belgacem Zinai et de chikh Saddaq Essoufi) et celle de l' Association des oulémas musulmans algériens (Cheikh Ghazali et de Si Othmani Athmane), il fut élève de l'école indigène du boulevard de l'ouest chez Mr et Mme Daoudi et eut comme enseignant l'instituteur Hamoudi. Après le concours d'entrée au Lycée franco musulman de Constantine à la fin des années 50, il fait ses études secondaires dans cet établissement consacré à la formation des encadrements bilingues et reçut sa formation en langue arabe de Si Abderrachid Mostefai, Si Abdelkader Benmohamed et Si Mohamed Sari. Renvoyé du Lycée suite à la grève insurrectionnelle qui a secoué le lycée après l'attentat à la grenade qui y avait été commis par la main rouge et les ultra en avril 1961,il fut réintégré grâce à l'intervention de Si Abderrachid Mostefai qui fut non seulement son professeur mais aussi le professeur de son propre père Mohamed Larbi à la division supérieure à Alger dans les années 30. Il parachève sa formation à l'Institut des hautes études arabes et islamiques de Constantine avant de partir à Alger pour finir ses études de graduation en licence de lettres modernes. Parrainé par le professeur Kamel Mahieddine Malti, il obtient une bourse de post-graduation et part à Paris en 1970 où il entrera comme enseignant aux universités de Paris VII Jussieu (1975-1986) et de Paris III Censier (1983-1986) ainsi qu'à l'École technique de la Chambre de commerce et de l'industrie de Paris (1979-1985). En février 1971, il rejoint le PRS (Parti de la Révolution socialiste (Algérie) dont il sera exclu en 1979 suite à la crise qui a fait suite au coup de force de Mohamed Boudiaf et de ses sbires pour imposer une fois de plus l'option de prestation de service avec la lettre à Chadli Bendjedid que ce dernier avait traité avec mépris (voir l'hebdomadaire algérien L'Observateur du mois de février 1992). Il crée alors un organe de résistance à l'infamie et à la compromission Le Patriote Algérien pour interpeller Mohamed Boudiaf qui se rangera du coté de la direction corrompue du PRS. Il lance en 1980 une revue indépendante à Paris, Nedjma en hommage à Kateb Yacine et à l' Étoile nord-africaine. De retour au pays, il entre en activité à l'Institut des langues étrangères de l' université d'Alger pour y enseigner la sociolinguistique et la littérature comparée. Membre actif des collectifs enseignants en 1988, il participe à jeter les bases de construction de syndicats autonomes algériens aussi bien chez les enseignants que chez les étudiants avec un noyau autour de l'association culturelle pour les cultures et les sciences ( AUCS) qu'il créera en mai 1989 Il publie un bulletin Daryass diffusé directement sur le site Universitaire de Bouzaréah ainsi que des fascicules de soutien pédagogique et créera une troupe théâtrale qui donnera quatre représentations dont une au TNA en 1993 grâce à l'entremise de son ami, Azzedine Medjoubi, directeur du TNA lâchement assassiné sur son lieu de travail. Retrouvant un ami ancien militant, Mohamed Benmansour, il est associé aux éditions ENAG pour diriger la collection El Anis en langue française jusqu'à la disparition de son directeur. Tout au long de la décennie noire 90, il parcourt la Kabylie pour faire des conférences dans les MJC et intervient en interpellant le Président Général Liamine Zeroual pour faciliter le retour du capitaine de l'ALN Bessaoud Mohand Arav exilé en France puis refugié en Grande-Bretagne dans une misère atroce et indigne. Appelé en 1999 par son ami Ali Benflis alors secrétaire général de la Présidence pour rejoindre le staff des conseillers, il prèferera aider son ami à distance refusant de travailler pour le président Abdelaziz Bouteflika pour lequel il n'a jamais voté. En 2001, il rejoint Ali Benflis, alors chef du gouvernement comme conseiller culturel chargé de mission. Il sera mis fin à ses fonctions comme il a été mis fin aux fonctions de Ali Benflis et des ses plus proches collaborateurs. Suspendu de ses enseignements par l'université qui refuse dans un premier temps de le réintégrer au mépris de la réglementation en vigueur; il enseignera dans une école privée secondaire avant de rejoindre comme vacataire l'IDRI ou Institut diplomatique et des relations internationales (Algérie).

    De 2004 à 2010, il profite de cet exil forcé à l'isolement en l'absence de toute manifestation de solidarité active à son endroit nonobstant des mobilisations personnalisées qui ont conduit à sa réintégration en 2008, il écrit des essais objet de ses recherches}
            Auteur de la biographie Boudiaf Said alias Hamed.co auteur (voir bibliographie)

NB/ Aicha KASSOUL est une écrivaine universitaire ayant quitté l'université d'Alger après bien des déboires de la part de certaines de ses médiocres collègues corrompues et haineuses appuyées par une partie de l'administration complice. Aujourd'hui elle représente l'Algérie comme Consule à Besançon(France)--41.200.1.160 (d) 16 septembre 2011 à 15:54 (CEST)(voir Wikipedia- KASSOUL Aicha)[répondre]

Biographie[modifier le code]

Je pose le bandeau ébauche car la section biographie manque cruellement. Ca serait bien aussi de savoir où et quand est né Mohamed Lakhdar Maougal. --Poudou99 (d) 10 août 2011 à 16:30 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur Mohamed Lakhdar Maougal. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 1 avril 2018 à 20:18 (CEST)[répondre]