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34 épreuves individuelles sont prévues à la fois chez les hommes et chez les dames ainsi que 6 épreuves mixtes lors de 29 étapes réparties dur quatre continents[1]. La saison commence par une étape estivale dans l’hémisphère sud, le à Cardrona en Nouvelle-Zélande puis marque une pause avant le début de la saison hivernale de l'hémisphère nord. Elle reprend début novembre en Italie, à Modène. la saison est perturbé par des températures trop douces pour la pratique du snowboard qui conduisent à quelques annulations, puis par la pandémie de Covid-19 qui en cause d'autres enb fin de saison. Finalement 29 épreuves individuelles (29 masculines et 29 féminines) peuvent avoir lieu et seulement 2 épreuves par équipes. Dans le détail, les épreuves sont composées de[2]
10 épreuves de slalom (au lieu de 14) + 1 par équipe mixte (au lieu de 4)
3 épreuves de slalom parallèle (au lieu de 6) + 1 par équipe mixte (au lieu de 2)
7 épreuves de slalom géant parallèle (au lieu de 8) + aucune par équipe mixte (au lieu de 2)
Première du classement du géant parallèle et deuxième de celui du slalom parallèle, l'Allemande Ramona Theresia Hofmeister remporte le classement général des épreuves de slalom[3]. De la même manière l'Italien Roland Fischnaller est premier du classement du géant parallèle et deuxième de celui du slalom parallèle, et remporte lui aussi le classement général des épreuves de slalom[4].
Après l'annulation des épreuves de mars (Moscou, Livigno et Winterberg) à cause de la pandémie de Covid-19, seulement trois slaloms parallèles ont pu avoir lieu, la moitié du total prévu[5]. Chez les femmes la Suisse Julie Zogg conserve son titre[6], son troisième dans la discipline, tandis que chez les hommes l'autrichien Andreas Prommegger s'impose pour la première fois[7].
Après l'annulation des épreuves de Lackenhof à cause de températures trop élevées[8] se sont sept des huit courses prévues qui ont eu lieu[9]. Chez les femmes l'Allemande Julie Zogg remporte son premier titre[10] avec facilité (cinq victoires et une seconde place[11]), tandis que chez les hommes l'Italien Roland Fischnaller[12] s'impose pour la première fois en géant parallèle après trois titre acquis en slalom parralèle.
La classement freestyle cumule les résultats de big air, half-pipe et slopestyle. Le calendrier est conçu pour être équilibré, avec cinq épreuves dans chaque discipline, mais les annulations du big air de Düsseldorf et du slopestyle de Špindlerův Mlýn procure un léger avantage aux spécialistes du demi-tube. Ainsi chez les femmes la Chinoise Cai Xuetong, qui ne participe qu'aux épreuves de half-pipe s'impose, pour la troisième fois après 2011 et 2012[13] devant deux snowboardeuses plus polyvalentes (slopestyle et big air), la Britannique Katie Ormerod et la Japonaise Reira Iwabuchi[14]. Chez les hommes, le travers est encore plus visible puisque l'Australien Scotty James s'impose (pour la première fois) devant le Japonais Yūto Totsuka, deux spécialistes du half-pipe. Le tenant du titre, le polyvalent Chris Corning, complète le podium[15].
Avec l'annulation de l'étape de Düsseldorf en la saison est finalement composée de quatre manches[16].
Chez les femmes la Japonaise Reira Iwabuchi conserve son titre acquis en 2019[17]. Chez les hommes l’Américain Chris Corning récupère son titre de 2018[18] grâce à deux victoires et deux troisièmes places[19].
En Half-pipe les cinq épreuves programmées ont lieu. Elles sacrent la Chinoise Cai Xuetong[20] pour la sixième fois (la seconde consécutive) et l'Australien Scotty James[21] pour la troisième fois.
Avec l'annulation de l'étape finale de Špindlerův Mlýn à cause de la pandémie de Covid-19[22] la saison est finalement composée de quatre manches[23]. En montant sur tous les podiums (mais sans aucune victoire) la Britannique Katie Ormerod remporte son premier titre[24]. Chez les hommes, c'est le jeune Japonais Ruki Tobita qui s'impose[25] dès sa deuxième saison au niveau mondial.
Malgré annulation de l’épreuve de Feldberg à cause de températures trop élevées[26] la saison comporte six courses comme prévu grace au sacrifice de l'épreuve par équipe de Big White, transformée en épreuves individuelles[27]. Chez les femmes, le chassé-croisé entre l'Italienne Michela Moioli (titrée en 2016 et 2018) et la Tchèque Eva Samková (titrée en 2017 et 2019) continue et c'est l'Italienne qui remporte son troisième titre[28] en remportant la moitié des épreuves et finissant deuxième des trois autres[29]. Chez les hommes, l'Autrichien Alessandro Hämmerle conserve son titre acquis en 2019[30].
↑Pour compenser l'annulation des épreuves de Feldberg, l'épreuve de border cross de Big White est annulée et remplacée par deux épreuves individuelles, une masculines et une féminines.